Texte Libre

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/!\ fautes d'orthographes classées dans le guiness des records /!\
Juillet 2025 | ||||||||||
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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
Une suite que pas mal attendent ! HIHI la première fois que je fais un lemon soyez indulgent ^^"
je vous remercie pour tout vos commentaire ! ^^ merci énormément !!
JE VOUS ADORE
- Ooh Raphaël !! Je gémis plus fort
Sa félation est parfaite, je sens sa langue divagué sur mon penis durci par le plaisir, son regard désireux sur moi de temps à autres. Sa main vient me carresser la peau doucement jusqu'à mes
mamelons rouges de plaisir, mes joues en feu je n'arrive pas à m'empêcher de hurler mon plaisir. Alors que je sentais que j'allais éjaculer il se retira à temps, voulant surment me faire attendre
ou me frustrer un max pour que je sois encore plus entreprenant. Je me lève brusquement de mes draps blanc pour attiré son visage vers le mien et prendre sa bouche avec voracité ! Mes ardeurs ne
font qu'augmenter et ses mains sur ma nuque approfondissent notre baiser digne des plus grands. Je défait sa ceinture doucement tout en ne le lachant pas des lèvres, ses mains glissent dans mes
cheveux châtain qui s'écrasent devant mes yeux.
- Tu me rend dingue..., je soupir
Il sourit et m'embrasse par la suite dans le coup pendant que je descend son patalon noire, fin, j'en profite pour m'attarder sur ses fesses bien rebondit, rondes : parfaites ! Tout est
parfait chez lui ! Par dessus le tissu je frotte la rai je sens une réaction direct qui m'excite encore plus. Il me mord la peau légèrement de mon coup en gémissant doucement. Ses mains sur mon
torses qu'il continue de carresser avec tendresse et volupté. J'introduis une main dans son boxer délicatement faisant bien expret de le faire gémir, fier de moi je continu. L'entendre
murmurer mon prénom me donne des frissons jamais je n'ai connu une telle euphorie et béattitude ! C'est l'extase ! Je me sens pousser des ailes. J'aimerai le prendre immédiatement, ses
petites fesses me font rêver j'aimerai qu'il hurle mon nom pendant que nos deux corps se frottent à en devenir rouge.
Je renverse la vapeur et me retrouve au dessus de lui, je plaque ses mains au dessus de sa tête et l'embrasse tendrement cette fois, jouant au chat et à la souris avec sa langue humide et
chaude. Une langue experte et délicieuse.
Nos deux sexes collés l'un contre l'autre ne fait qu'accentuer l'intensité de la chaleur dans cette pièce c'est devenu un véritable magma qui émerge de nos corps, un volcan pret à
cracher flammes. Je carresse du bout des doigts sa clavicule pour descendre avec l'indexe traçant une ligne invisible qui délémiterai son corps musclé en deux.
- Vas y Vincent n'est pas peur..., dit il en gémissant
Ma main maintenant arrivées à son nombrile ralentissent pour faire durer le désir et la frustration, j'avance doucement mais surement, je carresse d'abord les contour pressant bien vers
l'intérieur. Il pousse une grimace de plaisir et se courbe rapprochant son sexe durci contre le mien qui allait exploser ! Ma respiration régulière était bruyante et érotique,
j'aurai jurer voir de la buer dans la pièce.
Je décolle ma langue de sa bouche et descend dans son lobe que je mordille avec délice, descends dans son coup, l'entré de son torse.
C'est comme découvrir un nouveau pays, on en apprecit les joies du paysage, on apprend à connaître. Raphaël m'aurait demandé la Lune que je serai allé la chercher même à pied si il le
fallait, je suis fou amoureux de lui ! Je ne sais pas ce qu'il arrivera si jamais il partait ! Je pourrai pas le supporter. Il est une partie conséquente de moi et je ne sais pas comment
l'expliquer. Il ne m'a rien apporté de particulier, il n'a pas vraiment fait quelque chose de miraculeux pour moi mais je l'aime c'est tout. Nous n'avons pas une histoire qui
s'inscrirait dans les tragédies de Racine ni dans les romans romantiques où le couple à des problèmes énormissime ! Je l'aime c'est tout, l'amour ne s'explique pas. Il se montre.
Je continu ma traversé sur sa peau chaude et douce, je bisouille l'entré de son boxer et attrape le tissu avec les dents que j'enlève doucement, suivit à la trace par mes
mains.
- Vincent...humm...ne fais pas croire que tu n'as jamais rien fait avec un homme ! Dit il étonné tout en sueur
- Je t'assure que c'est vrai...ça ne te vas pas ?
- Oh si c'est parfait ! Il attrape mon bras pour me rammener à lui et m'embrasse passant sa main dans la corbure de mon dos.
Une corbure bien trop imposante à mon gout. Mais mon petit cul à l'air de lui faire de l'effet en tout cas. Je souris et attrape sa langue avec mes dents de malice, pendant quelques secondes il
semble amusé également, je reprend possession de celle ci. C'était peut être ma façon à moi de dire qu'elle m'appartien, à moi et à moi seul.
Mes mains descendent vers son sexe, je passe dessus comme un coup de vent frôlant à peine la verge, refait le trajet dans l'autre sens en s'approchant un peu plus jusqu'à ce que ma
main carresse celui ci de son long,lentement, sadiquement je jouis intérieurement de voir qu'il n'en peut déjà plus, lui qui a beaucoup plus d'expérience que moi ! Ce n'est pas lui
qui ne tient pas longtemps, c'est moi qui m'y prend mieux que ce que je ne le pensais.
- Je t'en supplie je....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que j'engouffre l'engin dans ma bouche, un oquet de surprise l'empêche de parler et laisse place à des respirations saccadé, plus mes
vas et viens vont vite, plus il se arque. Sentir la verge d'un homme dans sa bouche est assez bizarre sur le coup, mais on y prend vite gout ! Rien que de l'entendre jouir me donne
de l'appetit, l'appetit de l'entendre crier encore plus fort. Comme jamais.
- VINCENT ARRETES...JE AAH ! Dit il dans un cri de jouissance
J'arrête ma félation n'étant pas pret à gouter à sa semence pour le moment je remonte dans la façon la plus sensuelle laissant ma languer vaqué à son gout. Raphaël ne semble pas aussi
patient, il me remonte brusquement et m'embrasse engouffrant sa langue au plus profond de ma bouche, me serrant contre lui, titillant mes mamelons. Je crois que je l'ai chauffé à mort ! Il
est si torride que mon érection commence à me faire mal ! J'aurai presque trop chaud, je sens mon coeur exploser dans ma poitrine, je n'arrive même plus à souffler.
Je retire ma bouche de la sienne restant à quelques centimètres quand même, retrouvant de l'oxygène, sa bouche humide essoufflé également ne semble pas rassasié car il attire ma tête vers
lui en me prenant par la nuque et m'embrasse le coup, mordillant la peau, léchant sensuellement l'épiderme en fusion.
L'atmosphère ne fait qu'augmenter c'est une chaleur étouffante, mais tellement bonne ! Je n'ai jamais ressenti ça ! C'est à en devenir dingue. Il me regarde dans les yeux pendant quelques
minutes, les goutes de sueur perlant déjà mon front mon souffle contre son visage, il prend ma main droite et lèche l'indexe sans me quitter des yeux. Je me sens tout gêner,
encore plus excité (si c'est possible), son sérieux me fait vibrer, il lèche avec abondence puis s'approche de mon oreille les lèvres mouillées de salive.
- Vas y...
Ne lui demandant même pas de quoi il parlait, j'ai écarté ses jambes doucement avec les miennes, carressant ses parcelles de peau. Il ferme les yeux attendant patiement, sa tête
bascule sur le côté quand je touche la rai. Je souris rouge de gêne mais tellement heureux d'enfin pouvoir assouvir mes envies avec l'homme que j'aime.
J'approche de la cavité et introduit un doigt d'abord, il arque de plaisir remuant un peu les hanches pour que j'enfile vite le deuxième qui ne se fait pas prier. Je remue un
peu l'intérieur pour bien dilaté il a l'air d'avoir l'habitude.
- Maintenant Vincent j'en peux plus...
Je me redresse doucement l'embrassant avec fougue, me préparant, soulève un peu ses hanches et le pénètre d'un coup sec et brusque.
Il cri de douleur d'abord, je reste à l'intérieur de lui pour qu'il s'y habitue d'abord. Comment vous dire ce que je ressens ? C'est mieux que n'importe qu'elle rapport, c'est le sommum
! Son étroitesse, me sentir à l'intérieur de lui me fait encore plus suée, me rend heureux à un point que je serai capable de le crier sur tous les toits. Je commence
quelques vas et viens doucement pour bien élargir, il continue de grimacer de douleur pendant quelques minutes, je commence à m'inquiéter est-ce si désagréable ?
- Ca va ? Je demande inquiet
- Continues surtout ne t'arrêtes pas..., dit il la voix cassé
Je continue alors, suivant ses conseils, je me sens un peu coupable d'être le seul à prendre du plaisir en sentant ses fesses serrés contre mon pénis.
Des vas et viens doux, il semble prendre de plus en plus de plaisir, je sens à nouveau ses hanches remuées demandant plus. Je met mes bras contre le lit positionne ses hanches comme il
faut pouvant ainsi l'embrasser avec tout le plaisir qu'on prend ensemble. Un coup de rein plus rapide il s'agrippe à mon dos, je continue, des coups de rein de plus en plus
violent qui fait grincer les lates de bois de mon lit mais vite remplacer par nos deux gémissements. Ensemble nous jouissons de l'instant, les corps se frottant de plus en plus
brutalement, ses mains griffant tout mon dos, mes lèvres proches des siennes je carresse avec ma langue sa petite bouche ouverte. Il ouvre les yeux plein de
désir et d'extase et m'embrasse avec avidité, ses mains se posent sur mes fesses accompagnant les allers et retour pressant contre elle à chaque pénétration. C'est dans un
dernier orgasme qu'on se vide ensemble à quelques secondes d'intervalle, moi plus jeune bien sûr.
Je m'écroule sur son corps épuisant sentant tout mes muscles brûlés par l'effort ou de désir je ne sais pas trop. La respiration courte et coupé, la sienne plus stable mais la tête
contre son torse humide je peux entendre son coeur battre la chamade.
J'en souris content d'avoir été à la hauteur, je sens ses bras m'entourer tout en me carressant le rai de la colonne du bout des doigts.
- Merci..., dis je dans un souffle
- Tu étais parfait...
Je t'aime Raphaël.
" C'était un jeudi ou un samedi je me souviens de son regard glaciale juste avant de
prendre ce train. Ce train qui l'emmenait loin de moi, ce train qui me laisse seul moi et mon désespoire jamais je ne le reverrai...pourquoi ? Est-ce si mal de s'aimer ? Est-ce si mal de vouloir
être heureux ? Pourquoi ?"
- C'est étonnant, dit l'un des homme
- C'est magistral ! Bravo ! Applaudit un autre
- Monsieur Anderson on peut dire que vous êtes l'homme de toute les situations ! Grâce à vous la société de Genèse.Corp reprend vie ! Lokart n'était pas un client facile portons un
toast ! S'écrie celui qui était en bout de table
- A la plus grande société de mis en enchère de tout le pays !
- Et à Monsieur Anderson, dit encore le vieille homme
- Merci, répondit le concerner en buvant son verre doucement
En plein centre de Londre siégeait l'une des grande sociétés de mise enchère, peut être la plus grande ! Diriger depuis des années par les hommes les plus influants artistiquement de ce pays. Le
petit Anderson était rentré dans la société depuis seulement quelques mois et voilà qu'il récupérait un grand milliardaire les accusants de s'être fait duper par sa dernière acquisition. Un
tableau du milieu dix septième représentait Vénus à peinture à huile faite en Italie. Anderson était quelqu'un de très convaincant, son caractère et ses propos pourraient venir à bout de
n'importe quel homme politique et séverement centré sur ses opinions : on disait que Samuel Anderson avait le don de la parole.
Cet homme de trente et un ans n'avait aucun autre but dans sa vie que son travail, refusant toute famille par peur de tout perdre du jour au lendemain. Un homme de conviction et valeur mais qui
ne vivait plus vraiment. Il avait été restaurateur dans un grand musé avant de passer directement chef d'une grande galerie d'art pour enfin arriver au sommet, les enchères. L'argent ne
l'intérèssait pas ! Mais il connaissait la langue des billets brillant dans les yeux de chaques hommes de pouvoir, une langue qui ne s'improvisait pas. Dans ce monde la
loi du plus fort est de vigueur et Sam était un véritable requin des affaires. Son travail était de convaincre le client, il participait aux enchères de temps à autres mais
rare tout de même. Il préférait recruter le nombre incroyable de client, voilà son vrai défis, toujours plus haut, être au sommet c'était sa véritable ambition.
- Je rentre monsieur Anderson, dit sa secrétaire
Il releva la tête de ses papiers et enleva ses lunettes rapidement pour adresser un sourire tendre à celle-ci. Elle fit un grand signe tenant son bas ventre, un petit bébé
l'attendait mais elle refusait de laisser cet homme travailler sans relâche seul, il avait tellement fait pour elle.
- Repose toi bien Camille, lança Samuel
- Essayez de faire de même, dit elle en fermant la porte
- Bonne nuit à vous.
Il répétait toujours la même phrase, elle répétait toujours la même chose depuis trois ans. Ils ne se quittaient pas ayant débutés ensemble il l'a toujours voulu à ses côtés. " Mon
petit rayon de soleil" il l'appelait et bon nombres de ses collègues croyaient qu'ils étaient ensemble au début, tellement proche l'un de l'autre Camille qualifirait cette relation de
fraternel plus qu'autre chose.
Un bourreau du boulot certes mais c'était un être très chaleureux et gentil. Il n'avait aucun ennemis jusqu'à présent pas même les concurrents qui au contraire faisait tout
pour l'avoir dans leurs rangs, croyez le ou non mais il fallait mieux être ami avec Samuel Anderson. Une règle d'or.
C'est seulement à vingt deux heures qu'il quitta son bureau, sa veste poser sur l'un des bras et l'attacher caisse dans l'autre. Le visage calme et serein il rentra chez lui
dans un calme plat, sa journée avait été brillée par se fabuleux poisson qu'il avait repêcher demain il passera à un riche entrepreneur qui hésitait à prendre une statue de la
renaissance ou un tableau de Van Gogh. Après un café vite ingurgité il se coucha toute suite ne voulant pas perdre ses huit heures de sommeil indispensable pour être au meilleur de sa
forme. Dans sa chambre au couleurs chaudes il s'endormis paisiblement repensant sans cesse à ce qu'il allait faire, ce qu'il devrait dire, ce qu'il devra recommencer.
- Bonne nuit. Se dit il à lui même
La lampe éteinte, les étoile allumées, plonger dans les ténêbre silencieux de la nuit il laissa aller sa tête sur son oreiller doux. Encore une larme juste une dernière.
Un matin ensolleillé pour un début d'automne, marchant dans la rue à grand pas il devra joindre le métro d'ici quelques minutes. Toujours une heure d'avance au boulot c'est mieux que deux minutes
de retard. Les londoniens n'étaient pas très matinaux, pas tellement de bousculade mais quelques uns peut être tout aussi préssés que lui se pressa d'entrer dans le train. Il s'assit
sur une chaise devant la porte attendant inlassablement que celui ci s'arrête à son arret habituel. Le grincement des railles le fit sortir de ses rêves, encore un peu endormis
mais très attentif il sortit avec quelques uns également. Un grand batîment luxueux lui ouvrait les bras il rentra à l'intérieur sans s'arrêté adressant un sourire rapide au
receptioniste puis dans l'ascenceur presque déjà plein. A nouveau il salua ses collègues de travail qui s'arrêtèrent à différents étages, il arriva au septième : le sien.
- Bonjours monsieur Anderson, dit Camille en essayant de se lever
- Reste assise Camille, dit il en se précipitant sur elle, ne te fatigue pas trop.
Il admirait ce petit bout de femme, à seulement vingt quatre ans enceinte de six mois, enceinte d'une infine partie du pouvoir de Dieu. Le pouvoir de crée. Il toucha doucement le ventre
déjà bien rond puis fit une bise énorme à la maman en prenant le dossier.
- Je t'ai déjà dit que tu pouvais prendre un congé, dit il inquiet
- Je serai toujours là pour vous aidez monsieur Anderson...je vous dois tellement, dit elle en baissant les yeux timidement
Attendrit par la douceur de cette futur maman il lui redressa le menton.
- Tu ne me dois rien c'est moi qui te dois tout, dit il sincèrement
- Allons ne dites pas n'importe quoi ! Monsieur Choukler vous attend dans votre bureau il est vraiment furieux !
- Pourquoi ça ?
- Vous n'êtes pas encore passer goûté la tarte de sa femme, dit elle amusé
Sam sourit à cette plaisanterie. Choukler était le patron d'une grande galerie d'art et un ami important de l'entreprise qui fournissait pas mal de ses oeuvres. Choukler était
également un grand fan du don de Sam, celui ci portant une admiration inégalé au prodige qu'avait recruter Genèse.Corp, un prodige qui mérite plus disait il sans cesse.
- Mon cher Samuel ! S'éxclame l'homme jeune sur son propre bureau
- Monsieur Choukler, dit il en fronçant les sourcils pour bien lui faire comprendre qu'il ne pouvait tout de même pas tout se permettre
- Pardon désolé je voulais savoir ce que ça faisait d'être sur le siège de l'homme le plus puissant du monde artistique.
- Aller vous assoir sur le siège de Spielberg alors, dit Sam en riant presque
Choukler se leva pour marcher un peu dans le bureau de celui ci.
- Ce n'est pas de l'art ! Le vrai art ne nait pas des mains aussi simple que celles de Spielberg...le cinéma ne devrait pas être un art !
- C'est pourtant le septième..., continua Sam
- Vous avez vraiment le mot à tout, sourit Choukler en regardant le prodige dans les yeux
- Je ne dis que la vérité, répondit Samuel en accentuant son regard
- Bien ! Je t'invite ce soir à une grande reception !
- Je n'ai pas le te...
- Viens, coupa soudainement Choukler
Samuel se tut un moment voulant comprendre ce revirement soudain presque agressif, y avait il quelque chose à cette soirée qu'il devait absolument voir, quelqu'un ? Quoi ? Intrigué il ne
pouvait pas refuser puis Choukler a toujours été d'une grande aide avec lui, il lui fait confiance malgré son tempérament parfoi lourd.
- Tu goûtera à la tarte de April ! Lança-t-il en fermant la porte derrière lui
Samuel sourit légèrement à sa plaisanterie et se remit au boulot immédiatement, il devait rencontrer encore un riche milliardaire il n'avait pas de temps à perdre.
- Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet, se dit il essayant de se rassuré
C'est presque comme un rituel, chaque fois qu'il devait convaincre un acheteur il répété cette phrase comme une formule magique pensant qu'elle lui portait vraiment bonheur. Cette
phrase n'était pourtant pas la sienne, cette phrase n'était pas de sa bouche, cette phrase était pour lui, cette phrase était un cadeau d'adieu qu'un fraguement de son coeur avait
laissé avant de s'en aller.
" Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet. Je t'aime Sam."
"BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPPPPPPPP" " BOUMMM"
Le premier bruit c'était mon réveil, le deuxième c'est que je dois en acheter un nouveau. Je me lève lourdement, j'ai l'impression de ne pas savoir où je suis mais je sais en tout cas c'est que
je dois aller en cours. Doucement mais surement j'atteint ma douche et allume le jet pendant que je me déshabille, l'eau coulant sur mon corps frèle, une peau laiteuse, pas assez musclé ni trop
maigre. On me disait souvent que j'avais un corps de fille, ma corbure de rein en faisait baver plus d'un aussi hétero soit il, je ne ressemblais pas non plus à la plus cliché des femme ! Mais
j'avais comme ils disaient "un petit cul rebondit". Un frissons me parcourut bursquemment me rappelez de certains événements ne seraient pas une bonne idée, je coupe le jet et sors avec ma
serviette autour de la taille. J'attaque mes habits, fait mon sac, retourne dans la salle de bain et avec la main j'enlève la buée de mon miroir. Mon visage aux traits fin, mes
lèvres fines et légèrement rosés, mes yeux vert en forme d'amande ; vraiment je ne voyais rien de bien chez moi. Comment ce professeur à put m'embrasser ?
Ma montre sonne ça sinifie que si je ne pars pas maintenant je vais être en retard pour mon cours de Géo ! Je sors à toute vitesse et prenant bien la peine de fermer à clés et courant presque pour attraper mon bus, c'est ce que j'appelle mon sprint du matin.
Une fois arrivé devant le lycée si bien ronommé, j'ai senti quelqu'un me sauter sur le dos, me rappellant de la vieille je me retourne un grand sourire au lèvres mais qui s'éteint automatiquement.
- C'est toi Klay...
- Bah qui voulais tu que ça soit ? Rigole-t-il
Si tu savais Klay...si tu savais, ce conard de Culigan c'est barrer toute suite après avoir déposer le plus beau des baisers, il s'est barrer me laissant pétrifier sur place sans un mot.
- Vincent il faut que je te présente une fille !
Klay me tire par la bras soudainement comme pour me sortir de ma rêverie, je devais avoir un visage assez mélancolique pour être aussi presser, cela dit ça ne
m'étonne pas...je regrette vraiment ce qui c'est passer la vieille car j'en suis plus malheureux qu'heureux.
- Je te présente Jena
- Salut, me dit la fameuse Jena
- 'lut, je dis à mon tour
Elle avait vraiment tout de la super belle fille, de long cheveux chatain bouclé, un sourire à faire chaviré la plus grosse des brutes, des yeux noisette absolument craquant. Puis un
corps de rêve ! Les formes où il faut le style vestimentaire simple mais qui lui allait tellement bien. Seulement voilà...moi je restais de glace cette fille ne me faisait pas le
moindre effet.
- Je suis contente de te rencontrer Vincent, dit elle en rougissant un peu, depuis peu je te voyais traîner avec les autres mais j'avais un peu peur de t'approcher je suis assez timide
! Rit elle de nervosité
- Hum.
Elle devra se contenter des petit bruit signifiant " Ah bon ?" ou encore " Oui", "Non" pour réponse, j'avais vraiment pas envie de lui parler. La sonnerie mis enfin fin à mon calvaire,
j'ai put aller en cours tranquillement. C'est définitif je suis bien homosexuel rester de marbre face à un canon pareil n'est pas normal, je me dégoute presque.
- Eh psst !
Je me retourne sur ma gauche, je voit Klay à quelques mètre de moi me faire des signes pour que je le remarque, je le regarde les sourcils levés l'air décomposé, je ne sais
pas trop si j'ai encore envie de venir en cours (j'en ai jamais eut envie.). Il essaye de me mimer quelques chose et ce que je comprends c'est "Toi...soirée...ce soir". Il veut que
je vienne à une soirée ? Mauvais plan j'aime pas les grosse fête où tout le monde ne me connait pas, parce que je sais que je vais me faire draguer par n'importe quoi y compris les
mecs. "C'est HORS de question" je lui ai mimer à mon tour, il fait une mine boudeuse et me sourit pour rattaquer les cours passionnant du prof gras et laid. Aujourd'hui je n'ai pas
maths et c'est presque une bénédiction de ne pas le voir, je suis trop déprimé pour lui faire face j'ai pas envie qu'il me pose des questions ou pire ! Qu'il m'ignore. C'est donc
dans la même morosité que je fini mes cours de la journée arrivant maintenant bientôt à la fin, je suis pressé de rentrer chez moi et de m'affaler devant ma télé pour
m'endormir devant et me reveillé avec un mal affreux à la nuque parce que j'aurait dormi la tête sur le accoudoire. Comme d'habitude je suis le premier à sortir de classe, le professeur ne
dit rien lui, aucun ne se préoccuper de moi si je prends mes cours t'en mieux sinon t'en pis. Je cours dans les couloirs (je passe ma vie à courir) espérant dans mon fort
intérieur de cogner mon beau professeur, mais rien y fait je suis arrivé devant mon arrêt de car à temps et en plus je n'ai bousculé personne j'ai juste entendu le cri
lointain de Klay qui me souhaitait une bonne soirée. Bonne soirée mon cul ! Hop mon plateau télé, mon canapé design que ma mère à choisit, ma écran geant sur N.C.I.S. et voilà que
je ressemble à une fille qui vient de se faire plaquer...c'est pathétique.
Tiens je vibre ? J'ai un message pour ceux qui connaisse pas cette expression. Je regarde avec attention c'est Klay "J'arrive". Mais quel abruti ! Je lui ai dit que je venais pas bordel de
merde !! Je lui renvois un message pour le prévenir à nouveau et voilà maintenant je suis en rogne parce que j'ai encore espérer que ça soit ce connard de prof mais au fond je sais
qu'il a même pas mon numéro !
Toc toc
- Bordel Klay je t'ai dis que je venais pas tu te fou de...
- Bonjour Vincent.
Oh...mon dieu...il est là...il est bien là ! IL EST LA !! J'ai envie de lui sauter au coup mais ça serai suspect et puis il ne m'a embrassé qu'une fois et puis rien est officiel puis
qu'est-ce qui me prend je sors pas avec des mec ! Oui mais lui c'est pas n'importe quel mec...enfin merde je suis perdu ! Je reste bouche baie devant l'encadrement de la porte et le
laisse entrer tranquillement. Ses yeux font un tour d'horizon, ses yeux perçant parcour mon chez moi doucement avec un léger sourire. Je finis par fermer la porte et m'avancer doucement
vers mon canapé, il regarde en ma direction en suivant mon trajet.
- Vous voulez quelque chose à boire ? Je demande innocement en prenant mon plateau
Il ne me répond pas je pose mon plateau sur le comptoire de la cuisine et revient comme si j'attendais une réponse mais tout ce qu'il affiche c'est un petit sourire sur le coin des lèvres.
- Vous voulez autre chose ? Je demande moins innocemment
- Tu me provoque Vincent ? Dit il en avançant vers moi
De reflexe j'ai recule brusquement pour m'écraser assis sur mon canapé regardant mon professeur. Il se place entre mes jambes sans me quitté des yeux
toujours avec son sourire, il enlève sa veste noire longue pour la pose à côté et dévoile une chemise blanche sortant du pantalon, le noeux de cravate complètement défait, il
ressemblait à un acharner du travail qui venait de finir un boulot épuisant. Je déglutis difficilement face à ce bel homme, ces long cheveux noire tombaient sur ses épaules comme une
cascade, ses yeux marron/rouge me fascinaient, ses lèvres fines et humides m'attiraient de plus en plus. Et voilà il n'en fallut pas plus pour que je bande...mais je n'osais rien faire
j'étais omnibuller par lui. Je remarqua qu'il eut comme un sourire satisfait et doucement il se posa sur moi en califourchon, encore une fois je ne bougeais pas je le laissais faire. Il
était bien plus carré que moi, sans non plus trop l'être il avait la physionomie d'un homme moyen mais je ressemble quand même à un cur-dent. Avec une douceur incomparable il posa sa main sur ma
joue remontant dans mes cheveux, il dessinait les formes de mon visage avec ses yeux et son sourire avait disparut laissant place à une simple analyse des courbes de ma figure. Il avait un
regard doux et protecteur, quelque chose que je n'avais jamais connus, mon coeur battait la chamade chaque mouvement de sa main sur mon visage, j'ai fermé les yeux de bien être. Jamais je ne
m'étais senti aussi bien, jamais je ne me suis senti aussi...aimer ? Quelque chose de chaud et humide s'est posé sur mes lèvres, je reconnus toute suite les siennes pour les
avoir gouter la vieille, je reconnus toute suite la tendresse dont il faisait preuve...quelle béattitude. Comment pouvait il me rendre aussi heureux ? Je planais presque. Il
s'est rettiré de notre baiser devenu trop fougueux mais sans me lacher des yeux il a retrouvé un sourire tendre pour enfin se retiré de sa position et se remettre debout.
- Monsieur Culigan je suis un peu perdu..., dis je en reprenant mes esprits
- Comment ça ?
- Mais voyons vous êtes professeur !
- Bonne déduction mais encore ?
- Je suis votre élève et je suis mineur vous n'avez pas peur d'avoir des problèmes ?
- Tu as peur toi ? Il me demande avec un sourire réconfortant
- Oui, dis je tout doucement en baissant la tête
J'ai peur monsieur mais ce n'est pas des autres, c'est de vous ! Si jamais vous ne voulez plus jamais me voir j'ai peur de ne pas m'en remettre.
- Peur de quoi Vincent ? Dit il en s'accroupissant devant moi
- Je...je sais pas...
- C'est vrai que je suis professeur et toi mon élève mais peu m'importe on fait rien de mal je t'ai juste embrassé je vois pas le problème.
Juste embrassé...
- Oui mais monsieur Culigan
Il se penche vers moi sans sourire mais en gardant un regard doux.
- Appelle moi Raphaël quand nous sommes seul ça serai mieux non ? J'ai l'impression d'être vieux quand tu me parles comme ça après tout je n'ai que vingt sept ans.
- Raphaël ?
- Oui il y a un problème ?
Raphaël...ce prenom ne m'avait jamais sembler aussi beau que maintenant.
Merci pour vos commentaire :pp Je vous adore ^^
Il neige dehors, superbe j'ai gagné le droit de marcher à
pied parce que cette merde téléphone n'a plus de batterie !! C'est quoi cette soirée de merde ?! Ils ont décidés de s'acharner sur moi ou quoi ? Bon allée on reste zen et on marche dans le calme
laisse popole redescendre petit à petit, si tu ne penses pas à lui il va rejoindre très vite sa position initiale...MAIS JE PENSE A LUI ! Je me met à courir je ne sais pas pourquoi mais j'adore
courir, je cours pour m'éloigner le plus possible de cet homme il m'a changé et je refuse de changé ! Je continu de courir sans m'arrêter j'ai pas le droit de m'arrêter ! Plus vite ! Toujours
plus vite !
- Je te rammène ?
Une voiture s'arrête à côté de moi, un homme ouvre la fenêtre du passager, il n'est surement pas bourré mais il ne m'inspire pas confiance du tout il a un regard qui me glace le sang, surtout que
son regard s'attarde sur la bosse qui s'est formé sur mon jean (qu'on voit à peine). Mon coeur s'emballe c'est bien la première fois que j'ai peur de quelqu'un mais là je me sens vraiment en
danger : il a la carrure d'un rugbyman ! Puis je connais pas les américaine le seul homme américain que je connaisse est responsable de cette bosse.
- Je peux m'occuper de ça aussi si tu veux..., dit il en passant sa langue sur sa bouche
Je me remet à courir à vive allure je dois essayer de le semer il me fout les chocottes ce gars ! J'entends la voiture qui redémarre rapidement mais qu'est-ce qu'il me veut bordel ? Tout le monde
à décidé d'être gay ou quoi ?! Je continue de courir et reconnais un arrete de bus je regrde derrière moi et ne voit plus de voiture (AMEN) je marche en reprennant mon souffle. C'est une ville de
dingue arriver chez moi je vais demander à mon père le déménagement immédiat de son fils chéri ! ...rectification je vais demander à maman. Je vis seul, mon père ayant juger que j'étais
assez grand pour avoir mon petit studio n'a pas été contre quand je lui ai demandé. Je me souviens que ma mère avait pleurer mais je ne pouvais pas continuer à vivre avec eux avec
l'indifférence de mon père, c'est le pire des cas je préférais encore qu'il hurle sur moi qu'il me frappe plutôt qu'il ne sache même pas que j'existe. Et voilà je me remet à penser à ça...je
revois ma mère sourire quand elle apportait mon petit déjeuner je la revois heureuse avec un fils et un mari mais pas un père, non il ne méritait pas d'être père ! Il ne la mérite pas non plus !
Mais ils s'aiment et ils sont bien sans moi...j'ai pas besoin d'exister ils étaient bien sans moi...sans moi...
- T'as voulus me semer !
Merde la voiture noire de tout à l'heure ! Je commence à paniquer j'ai pas le temps de courir que le gars sort déjà de sa voiture, je dois faire quoi je commence à paniquer comme une fiote ! J'ai
tous les symptôme de l'homosexuel type ça craint...
- Je ne te veux que du bien pourquoi t'as peur ? Il me demande un grand sourire pervers sur les lèvres
J'allais dire quelque chose quand je sens quelqu'un me sauter sur le dos je failli basculer en arrière étonné je me retourne et tombe nez à nez avec le sourire tendre de Mr.Culigan suivit d'un
petit clin d'oeil.
- Je t'ai fais attendre chéri je suis désolé, il dit d'un ton enjoué
Le gars de la voiture noire soupire et part dans sa voiture en trombe comme si ne rien était. Moi je reste bloqué j'aimerai remercier Mr.Culigan il vient de me sauver les miches et c'est pas une
façon de parler. Attention : petit cerveau vient de faire une découverte !
* Quelqu'un est contre moi
* Me prend dans ses bras
* M'a appelé Chéri
* Mr Culigan
Il en faut pas plus pour que le caporale se mette en route à nouveau, bravo bravo monsieur...je n'ose même pas faire un mouvement pour me défaire de son étreinte tout simplement parce que j'en ai
pas envie, j'ai l'impression qu'il attend qu'on ne voit plus la voiture pour me lâcher. La voiture avance toujours et tourne à la prochaine ruelle ça y est on la voit plus mon rêve va se terminer
ici...ici...ICI ! Il me lâche pas ! La bosse commence vraiment à me faire mal j'ai interet de m'écarter de lui sinon je vais faire une émoragie. Je me sens au chaud dans ses bras pourquoi j'aurai
envie de m'écarter ? Parce que tu vas faire une crise cardiaque !
- Monsieur..., mon cerveau à eut raison de moi je le rappelle à l'ordre
Il ne dit rien et ne me jette pas c'est surtout ça qui me perturbe, ses mains qui étaient sur mes épaules s'écartent pour rentrer dans ma veste et toucher mon torse par dessus le
tissu.
- Monsieur..., dis je d'une voix semblant s'échapper du plus profond de ma poitrine
Il s'écarte doucement de moi, j'ose même pas me retourner pour le regarder j'ai peur qu'il remarque mon chamboulement mais j'ai surtout peur qu'il remarque mon troisième bras en détresse. Je
m'assois lourdement sur un des banc de l'arrêt de bus et attend le prochaine qui ne devrait plus tarder, timidement je tourne mes yeux vers mon professeur il est debout les mains dans ses poches
et me fixe sans émotions. Je baisse les yeux de nouveau je sais que mes joues sont en feu tout en moi et en feu quand je le vois lui ! Maintenant c'est sûr je peux pas le nier je suis à fond dans
ce type...je suis devenu bi c'est une certitude mais de là à dire gay je ne pense pas...
- Si tu veux je peux te rammener chez toi tu vas avoir froid le bus n'arrive pas avant minuit, dit il en sortant une cigarette
Je vois la fumer s'échapper de sa bouche sensuellement, je me lève et prend la cigarette sous son air étonné je tire une longue taff et recrache comme je venait d'aspirer la plus grand bouffer
d'oxygène jamais prise. Je remet sa cigarette entre ses lèvres perplexe restées entre ouverte, je fais bien expret de les effleurer à peine et affiche un sourire de soulagement. Oui une bouffé de
nocotine ne m'a jamais rien fait de mal j'en suis heureux ! Je reste face à lui les mains dans les poches attendant qu'il se décide pour bouger, une mintute passé comme ça sans bouger c'est long
mais il se décide finalement de me conduire chez moi. On rejoint sa voiture garer pas très loin, une grosse Benz grise métalliser, quel bijoux ! J'adore les voitures ! Celle ci n'est pas loin des
trois cent chevaux, vous vous en fichez ? Ok je ferme ma gueule. Je pose donc mon cul sur ses sièges en cuir noire, il a encore la cigarette dans la bouche et démarre doucement.
- Tu ferai bien de m'indiquer où tu habite, dit il d'un ton ironique
Je lui fait des signe pour tourner dans les route à suivre, enfin j'ai finit il a trouver l'immeuble dans la quelle je logeais. Je souris lui demande une cigarette mais il ne semble pas vouloir
me donner un petit remontant, il ne me rend pas la tâche facile. Je soupir et approche ma main de son pantalon pour tater voir si le paquet était là, content de voir que je le destabilisais je ne
me suis pas gêner pour être plus long. Je remonte les mains dans son veston je trouve enfin une poche avec l'objet désirer je sors une cigarette et la met dans ma bouche je sors de la voiture
sans un "au revoir" ni un "merci". Je l'allume à quelque pas des marche qui montent dans mon immeuble, chaque nouvelle bouffé est un peu de stresse évacué. J'entends une portière claquer,
Mr.Culigan arrive derrière moi avec sa cigarette dans la bouche, un air froid mais très calme ! J'admire son calme. Moi j'ai un sourire sournois sur les lèvres j'adore le provoquer, c'est à mon
tour de le destabiliser il s'est assez joué de moi. J'ai remarqué tout à l'heure qu'il avait été beaucoup trop proche quand il me prennait dans ses bras se pourrait il que lui aussi soit attirer
par mon corps trop frèle ?
- Il me semble ne pas avoir entendu un merci venant de ta bouche, dit il toujours aussi froid
- Vous êtes sourd monsieur alors, me moquais je
Un courant d'air fit virvolté ses cheveux long j'en était éblouis par sa beauté incomparable, il regardait à sa droite jeta sa cigarette rapidemment il franchi les quelques mètres qui nous
séparait pour être en face de moi, beaucoup trop pret à mon gout, son corps collait littéralement le mien. D'une voix sensuelle il s'approcha encore de ma bouche qui frémissait à l'idée que la
sienne ne soit qu'à quelques centimètres.
- Je veux l'entendre encore une fois...
Sans que je puisse dire quoi que ce soit il s'empara de mes lèvres tremblantes pour m'embrasser tendrement. Je n'ai jamais ressenti autant de magie dans un baiser, sa main droite était sur mon
visage touchant mes cheveux châtain qui volaient également sous le vent.