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Danouch's MAJ :
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  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 23:45

Une suite que pas mal attendent ! HIHI la première fois que je fais un lemon soyez indulgent ^^"
je vous remercie pour tout vos commentaire ! ^^ merci énormément !! 
JE VOUS ADORE 



-Our-Kiss-is-a-Sin--by-beautiful-shinigami.jpg
- Ooh Raphaël !! Je gémis plus fort
Sa félation est parfaite, je sens sa langue divagué sur mon penis durci par le plaisir, son regard désireux sur moi de temps à autres. Sa main vient me carresser la peau doucement jusqu'à mes mamelons rouges de plaisir, mes joues en feu je n'arrive pas à m'empêcher de hurler mon plaisir. Alors que je sentais que j'allais éjaculer il se retira à temps, voulant surment me faire attendre ou me frustrer un max pour que je sois encore plus entreprenant. Je me lève brusquement de mes draps blanc pour attiré son visage vers le mien et prendre sa bouche avec voracité ! Mes ardeurs ne font qu'augmenter et ses mains sur ma nuque approfondissent notre baiser digne des plus grands. Je défait sa ceinture doucement tout en ne le lachant pas des lèvres, ses mains glissent dans mes cheveux châtain qui s'écrasent devant mes yeux. 
- Tu me rend dingue..., je soupir 
Il sourit et m'embrasse par la suite dans le coup pendant que je descend son patalon noire, fin, j'en profite pour m'attarder sur ses fesses bien rebondit, rondes : parfaites ! Tout est parfait chez lui ! Par dessus le tissu je frotte la rai je sens une réaction direct qui m'excite encore plus. Il me mord la peau légèrement de mon coup en gémissant doucement. Ses mains sur mon torses qu'il continue de carresser avec tendresse et volupté. J'introduis une main dans son boxer délicatement faisant bien expret de le faire gémir, fier de moi je continu. L'entendre murmurer mon prénom me donne des frissons jamais je n'ai connu une telle euphorie et béattitude ! C'est l'extase ! Je me sens pousser des ailes. J'aimerai le prendre immédiatement, ses petites fesses me font rêver j'aimerai qu'il hurle mon nom pendant que nos deux corps se frottent à en devenir rouge. 
Je renverse la vapeur et me retrouve au dessus de lui, je plaque ses mains au dessus de sa tête et l'embrasse tendrement cette fois, jouant au chat et à la souris avec sa langue humide et chaude. Une langue experte et délicieuse. 
Nos deux sexes collés l'un contre l'autre ne fait qu'accentuer l'intensité de la chaleur dans cette pièce c'est devenu un véritable magma qui émerge de nos corps, un volcan pret à cracher flammes. Je carresse du bout des doigts sa clavicule pour descendre avec l'indexe traçant une ligne invisible qui délémiterai son corps musclé en deux. 
- Vas y Vincent n'est pas peur..., dit il en gémissant
Ma main maintenant arrivées à son nombrile ralentissent pour faire durer le désir et la frustration, j'avance doucement mais surement, je carresse d'abord les contour pressant bien vers l'intérieur. Il pousse une grimace de plaisir et se courbe rapprochant son sexe durci contre le mien qui allait exploser ! Ma respiration régulière était bruyante et érotique, j'aurai jurer voir de la buer dans la pièce. 
Je décolle ma langue de sa bouche et descend dans son lobe que je mordille avec délice, descends dans son coup, l'entré de son torse. 
C'est comme découvrir un nouveau pays, on en apprecit les joies du paysage, on apprend à connaître. Raphaël m'aurait demandé la Lune que je serai allé la chercher même à pied si il le fallait, je suis fou amoureux de lui ! Je ne sais pas ce qu'il arrivera si jamais il partait ! Je pourrai pas le supporter. Il est une partie conséquente de moi et je ne sais pas comment l'expliquer. Il ne m'a rien apporté de particulier, il n'a pas vraiment fait quelque chose de miraculeux pour moi mais je l'aime c'est tout. Nous n'avons pas une histoire qui s'inscrirait dans les tragédies de Racine ni dans les romans romantiques où le couple à des problèmes énormissime ! Je l'aime c'est tout, l'amour ne s'explique pas. Il se montre.
Je continu ma traversé sur sa peau chaude et douce, je bisouille l'entré de son boxer et attrape le tissu avec les dents que j'enlève doucement, suivit à la trace par mes mains. 
- Vincent...humm...ne fais pas croire que tu n'as jamais rien fait avec un homme ! Dit il étonné tout en sueur
- Je t'assure que c'est vrai...ça ne te vas pas ?
- Oh si c'est parfait ! Il attrape mon bras pour me rammener à lui et m'embrasse passant sa main dans la corbure de mon dos.
Une corbure bien trop imposante à mon gout. Mais mon petit cul à l'air de lui faire de l'effet en tout cas. Je souris et attrape sa langue avec mes dents de malice, pendant quelques secondes il semble amusé également, je reprend possession de celle ci. C'était peut être ma façon à moi de dire qu'elle m'appartien, à moi et à moi seul. 
Mes mains descendent vers son sexe, je passe dessus comme un coup de vent frôlant à peine la verge, refait le trajet dans l'autre sens en s'approchant un peu plus jusqu'à ce que ma main carresse celui ci de son long,lentement, sadiquement je jouis intérieurement de voir qu'il n'en peut déjà plus, lui qui a beaucoup plus d'expérience que moi ! Ce n'est pas lui qui ne tient pas longtemps, c'est moi qui m'y prend mieux que ce que je ne le pensais. 
- Je t'en supplie je....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que j'engouffre l'engin dans ma bouche, un oquet de surprise l'empêche de parler et laisse place à des respirations saccadé, plus mes vas et viens vont vite, plus il se arque. Sentir la verge d'un homme dans sa bouche est assez bizarre sur le coup, mais on y prend vite gout ! Rien que de l'entendre jouir me donne de l'appetit, l'appetit de l'entendre crier encore plus fort. Comme jamais. 
- VINCENT ARRETES...JE AAH ! Dit il dans un cri de jouissance
J'arrête ma félation n'étant pas pret à gouter à sa semence pour le moment je remonte dans la façon la plus sensuelle laissant ma languer vaqué à son gout. Raphaël ne semble pas aussi patient, il me remonte brusquement et m'embrasse engouffrant sa langue au plus profond de ma bouche, me serrant contre lui, titillant mes mamelons. Je crois que je l'ai chauffé à mort ! Il est si torride que mon érection commence à me faire mal ! J'aurai presque trop chaud, je sens mon coeur exploser dans ma poitrine, je n'arrive même plus à souffler.
Je retire ma bouche de la sienne restant à quelques centimètres quand même, retrouvant de l'oxygène, sa bouche humide essoufflé également ne semble pas rassasié car il attire ma tête vers lui en me prenant par la nuque et m'embrasse le coup, mordillant la peau, léchant sensuellement l'épiderme en fusion. 
L'atmosphère ne fait qu'augmenter c'est une chaleur étouffante, mais tellement bonne ! Je n'ai jamais ressenti ça ! C'est à en devenir dingue. Il me regarde dans les yeux pendant quelques minutes, les goutes de sueur perlant déjà mon front mon souffle contre son visage, il prend ma main droite et lèche l'indexe sans me quitter des yeux. Je me sens tout gêner, encore plus excité (si c'est possible), son sérieux me fait vibrer, il lèche avec abondence puis s'approche de mon oreille les lèvres mouillées de salive.
- Vas y...
Ne lui demandant même pas de quoi il parlait, j'ai écarté ses jambes doucement avec les miennes, carressant ses parcelles de peau. Il ferme les yeux attendant patiement, sa tête bascule sur le côté quand je touche la rai. Je souris rouge de gêne mais tellement heureux d'enfin pouvoir assouvir mes envies avec l'homme que j'aime. 
J'approche de la cavité et introduit un doigt d'abord, il arque de plaisir remuant un peu les hanches pour que j'enfile vite le deuxième qui ne se fait pas prier. Je remue un peu l'intérieur pour bien dilaté il a l'air d'avoir l'habitude. 
- Maintenant Vincent j'en peux plus...
Je me redresse doucement l'embrassant avec fougue, me préparant, soulève un peu ses hanches et le pénètre d'un coup sec et brusque. 
Il cri de douleur d'abord, je reste à l'intérieur de lui pour qu'il s'y habitue d'abord. Comment vous dire ce que je ressens ? C'est mieux que n'importe qu'elle rapport, c'est le sommum ! Son étroitesse, me sentir à l'intérieur de lui me fait encore plus suée, me rend heureux à un point que je serai capable de le crier sur tous les toits. Je commence quelques vas et viens doucement pour bien élargir, il continue de grimacer de douleur pendant quelques minutes, je commence à m'inquiéter est-ce si désagréable ?
- Ca va ? Je demande inquiet
- Continues surtout ne t'arrêtes pas..., dit il la voix cassé
Je continue alors, suivant ses conseils, je me sens un peu coupable d'être le seul à prendre du plaisir en sentant ses fesses serrés contre mon pénis. 
Des vas et viens doux, il semble prendre de plus en plus de plaisir, je sens à nouveau ses hanches remuées demandant plus. Je met mes bras contre le lit positionne ses hanches comme il faut pouvant ainsi l'embrasser avec tout le plaisir qu'on prend ensemble. Un coup de rein plus rapide il s'agrippe à mon dos, je continue, des coups de rein de plus en plus violent qui fait grincer les lates de bois de mon lit mais vite remplacer par nos deux gémissements. Ensemble nous jouissons de l'instant, les corps se frottant de plus en plus brutalement, ses mains griffant tout mon dos, mes lèvres proches des siennes je carresse avec ma langue sa petite bouche ouverte. Il ouvre les yeux plein de désir et d'extase et m'embrasse avec avidité, ses mains se posent sur mes fesses accompagnant les allers et retour pressant contre elle à chaque pénétration. C'est dans un dernier orgasme qu'on se vide ensemble à quelques secondes d'intervalle, moi plus jeune bien sûr. 
Je m'écroule sur son corps épuisant sentant tout mes muscles brûlés par l'effort ou de désir je ne sais pas trop. La respiration courte et coupé, la sienne plus stable mais la tête contre son torse humide je peux entendre son coeur battre la chamade. 
J'en souris content d'avoir été à la hauteur, je sens ses bras m'entourer tout en me carressant le rai de la colonne du bout des doigts. 
- Merci..., dis je dans un souffle 
- Tu étais parfait...
Je t'aime Raphaël.   
    

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 18:26
                           " Le vent soufflant contre ma peau, les cris venant de quelques étages en dessous. C'était il y a un an. Je supportais plus de vivre sans toi...aujourd'hui je ne suis peut être plus aussi seul..."


        
             L'odeur du café chatouille les narines de Sam, il se réveil doucement. Voilà bien des années qu'il n'a pas dormit autant heureusement pour lui que c'est un dimanche et qu'il ne travail pas il n'aurait pas supporter trop s'endormir mais ici, même si c'est un todi, il s'y sent mieux que dans son propre appartement. Il se frotte les yeux et remarque qu'un plateau petit déjeuner l'attend à sa gauche sur la table de chevet, doucement il s'en rapproche constate que Camille n'a pas perdu les bonnes vieilles habitudes : des tartines à la confiture de grenade comme il les aime. 
Il finit rapidement son petit déjeuner pour se lever et se diriger vers la salle de bain relié à la chambre, le miroire est fendu sur le haut mais ça ne le dérange pas il se regarde furtivement puis se rafraîchi le visage. Quel bien fait ! De l'eau fraîche ça réveille ! Il se regarde une dernière fois puis sort des deux  pièces pour entrer dans un petit salon et cuisine à la fois.
Camille est au fournaux frodonnant une musique douce et mélodieuse, Sam sourit en la voyant si active et heureuse. Elle sera vraiment une mère extraordinaire. Il s'approche d'elle et lui fait un gros bisous sur la joue pour lui dire bonjour, elle sourit et continue de faire à manger le saluant comme il se doit. 
- Tu nous fais quoi de bon ? Demande Sam enthousiate
- Spécialité de Camille ! Vous ne le saurez quand goutant, elle apporte une cuillère chaude vers la bouche gourmande de Anderson
Il s'en léchait les babine sentant la bonne odeur d'une sauce parfaitement bien reussit, il goutte et semble tomber des nus ! Il savait au combien la cuisine de sa secrétaire était superbe mais il ne pouvait pas s'empêcher d'être étonné à chaque fois : cette femme à vraiment tout pour plaire, comment un homme peut il laissé un trésor pareil ? Le monde lui ai vraiment un mystère totale,  même si la responsabilité d'être peur peut être effrayante l'amour doit tout surmonter !! Surtout un venu providentielle, c'est le plus cadeau que le monde n'est jamais offert à la femme. Un bébé c'est la vie ! C'est l'union de deux amour partager. 
Et bien non ! Il a fallut qu'il existe des gens aussi stupide pour refuser ce cadeau, pour l'abandonner tout bonnement. On devrait condamné l'abandon par la loi. Sam sourit à cette idée, un sourire triste se dessina sur son visage rayonnant il y a à peine quelques seconde mais le simple fait de penser à un abandon lui rappel des souvenirs...des souvenirs douloureux. 
- On passe à table ? Demande Camille
- Oui, dit il en suivant à peine la discussion
Il se lève comme un robot et se pose à une petite table dans un coin avec en face de lui la jeune mère. Anderson plonge ses yeux dans le dîner qu'il attend, mais sa tête n'est plus à l'appetit au lieu de lui ouvrir l'estomac c'est sa mémoire qui est touché. Ce n'est pourtant pas le moment de commencer à déprimé ! Pas devant elle. Il mange comme un automate mais son esprit était ailleurs, son esprit et son coeur est resté sur ce quai, il n'a pas quitté sa place et plus le temps passe plus la plaie s'ouvre comme ride que le temps creuserai. Camille lui parlait de diverse chose, il ne voulait pas tellement participer à la discussion sentant ses entrailles se serrer et ses yeux lui piqués. Il revoyait son visage, il voyait son sourire et sa petite serrer la sienne. Ils étaient inséparable unis comme les deux doigts de la main il aurait été impossible de les séparer, cet amour qu'ils avaient l'un pour l'autre était fort, beaucoup trop fort pour être accepter...alors il est partit. Il l'a laissé seul ce jour la sur le quai, lui adressant seulement un dernier regard vider d'émotion. Une dernier regard qui signifiait combien il était difficile de partir, de l'abandonner...de le quitter à tout jamais. 
Quand la vie sépare deux âmes faites pour rester ensemble, les déchirures et autres cicatrices ne se ferment jamais, elles restent ouverte attendant que la mort les frappe pour abréger leur souffrance. On ne repart pas une âme brisé comme on reparerai un pot casser, comme on ne peut ressucister d'une mort intérieur, le corps reste là mais plus rien ne compte, plus rien ne subsiste. Tout est superficiel et sans interet quand on peut pas voir à travers les yeux de celui qu'on aime. 
Il s'était jurer de ne plus jamais s'intéresser à qui que ce soit, pourtant ce David lui avait fait l'effet d'un calmant. C'est comme si à son simple contact il sentait son sac de brique se vider petit à petit, un peu plus vivant à chaque sourire qu'il lui envoyait plus fort, il avait l'impression de compter pour quelqu'un de ne pas être toujours en vie pour rien. David était un peu une sorte de corde au quelle il pouvait s'attacher pour tenir, un bras tendu qui l'aiderai à remonter la falaise mais ils ne se connaissaient pas ! Allait il vraiment remonter cette falaise où se laisser tomber ? 
Jamais il n'aurait cru regarder un autre moi, pour lui il n'en avait qu'un seul, le seul et l'unique mais une peur le rongeait. Il avait peur quand laissant David rentrer dans son coeur qu'il oublie celui pour qui il donnera sa vie, qu'il en oublie son visage et ses souvenirs ! Il ne veut surtout pas oublier l'amour qu'il lui porte toujours, il ne veut pas qu'on le remplace. Pourtant...Dieu sait que ce David l'intéresse il en revêrai nuit et jour si il ne fait rien. 
- Un café monsieur Anderson ? Demande Camille
- Pourquoi pas, dit il calme mais toujours pris dans ses pensés inquiétante
- Je vous appporte ça...
Elle se lève difficilement et s'en va faire les deux cafés avec sa beudeine. Samuel se rend enfin compte qu'il laisse une femme enceinte faire quelque chose ! Jamais il n'accepterai ! Il se lève dans la précipitation et prend les petits bras de sa secrétaire pour la conduire jusqu'au canapé. 
- Tu n'as pas à travaillé !! Couche toi je m'occupe des cafés ! Dit il honteux de ne pas avoir réagis plus tôt
- Mais...mais...
- Pas de mais ! Ce week end c'est repos ! Et j'y veillerai ! 
Samuel laissa Cmille perplexe sur le canapé pendant qu'il essayait de faire deux expresso. Il se demandait si le café n'était pas mauvais pour le bébé ? Il lui semble que oui, il boira donc la moitié de l'expresso de Camille, il ne voudrait pas faire de mal au petit alors qu'il n'est pas encore né. Il tend la petite tasse à le jeune mère pour enfin souffler au dessus du sien, sans sucre naturellement il déteste ça ! Ca enlève tout le gout du café. Il préfère entamer une discussion plutôt que de se remettre à penser au deux autres.
- Camille je vais devoir te donner un ordre..., dit il doucement
- Quoi donc ? Elle demande inquiète
- A partir de lundi tu viens habiter à la maison le temps de la grossesse, il dit fermement
- Nous en avons déjà parlé monsieur et ...
- Non Camille ! C'est l'enfant que tu met en danger là ! C'est un endroit mauvais pour lui, imagine que tu attrappe une malade durant la grossesse ! Il est hors de question que tu restes ici une semaine de plus. 
Il buvait tranquillement son café sans quitté des yeux Camille, il savait qu'elle cederait de cette façon, elle a toujours céder à ses caprices. 
- Très bien. 
Finit elle par dire en baissant la tête de gêne. Jamais une personne n'avait été aussi gentille avec elle, à vrai dire elle n'a pas vraiment été gaté non plus mais monsieur Anderson était vraiment charmant. Si il n'était pas homosexuel...
Elle leva les yeux vers son ange gardien, il sortit son téléphone et décrocha rapidement. Elle se demande qui c'était jusqu'à ce que son visage au trait devient rouge écarlate. Les yeux grand ouvert il machouillait ses mots ! Il en était presque ridicule mais très drôle. Camille compris toute suite de qui il s'agissait.
- Monsieur Hank vous appelez ? Elle demande espiègle
Samuel leva les yeux vers sa secrétaire avec un sourire niais sur le visage : bingo ! 
- Que vous demande-t-il ? 
- Tu es bien curieuse Camille il aimerai juste qu'on se voit très bien tôt...
- C'est à dire ?
- Ce soir, dit il doucement
- Je savais ! C'est un rencard monsieur foncez ! Dit elle brusquement toute heureuse
- On te changera pas ma puce.
Il s'approche doucement d'elle, pose sa main sur sa joue rougis par le regard tendre que lui lançait son patron, jamais elle n'avait été autant envoûter par un garçon, pas même son ex-petit-ami. Il était figer d'admiration quand il déposa un délicat baiser sur son front, un baiser chaud et humide, un baiser témoignant toute l'affection qu'il lui portait. Elle le savait bien, ce garçon à un trop plein d'amour il a besoin de l'exprimer pour que l'on l'aime également. 
Tellement craquant, se dit elle tout gaga ressentant déjà les sentiments du maman. 

J'aurai voulu que jamais on ne se sépare...j'aurai voulu que l'on s'aime pour toujours...mais on ne peut pas    
  
 
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 17:03
                        Je rentre dans la salle de cours seul, Klay ne me parle plus. Je ne sais pas si Raphaël a "rompu" avec lui mais ce que je sais c'est que mon premier ami dans ce lycée ne veut plus me parler, il ne me regarde même plus. Je peux comprendre qu'il me déteste, il doit bien se douter que je flirt avec notre professeur, celui pour la quelle on se bat. 
Quelle idiotie. 
Comme d'habitude j'écoute d'une seule oreille et passe l'heure à regarder le froid givré sur les vitres humides par la chaleur de la salle, les gens se pressent dans la rue, ils remontent leur veste, courent jusqu'à leur voiture, marchent des sacs en main ou encore couvrent leur bébé correctement. J'observe une mère qui essaye tant bien que mal de calmer son enfant, je le vois crier de loin mais ne l'entends pas. Cette vitre empêche le son, je vois ses petites mains se crispées se serrer tout en pleurant réchauffant ses joues rosés. La sonnerie me sort de ma contemplation et calmement je me dirige vers la sortir, je ne suis pas vraiment d'humeur aujourd'hui, le visage blème je marche doucement dans le couloir manquant de me faire bousculer plusieurs fois. Je regarde derrière moi et remarque Klay rigolant avec ses amis, chahutant tranquillement et moi il m'a effacé, je suis un mec effacé de toute manière pourquoi être surpris. Je ne demande rien à personne. 
Je marche d'un pas plus rapide remontant ma veste noire sur mon coup et rentre ma tête dans les épaules pour sortir de cette prison au plus vite. La nuit tombe si tôt en hiver espérons que je ne rencontre pas des gars bizarre comme la fois où je suis allé en boîte. En y réfléchissant vu ce qui s'est passé après ce n'était pas plus mal...
- On peut savoir ce qui te fais sourire ? Me demande une voix non étrangère
Je me retourne doucement, avalant ma salive : l'heure de l'affrontement a peut être sonné...peut être. 
- J'ai le droit de sourire non ? Dis je naturellement 
- J'espère que t'es content de toi..., dit il le regard plein de haine
- De quoi tu parles ? 
Finalement jouer la carte de celui qui n'est pas au courant n'est pas une aussi bonne idée j'ai l'impression qu'il va me sauter à la gorge. 
- Je t'avais pourtant dit que je l'amais..., dit il d'une voix plus brisé
Son expression changea du tout au tout ! Il pris soudain un regard anéanti, des larmes noyaient ses pupilles marron dans un mélodrame atroce. Je me mettais à sa place...si Raphaël l'avait choisi dans quel état je serai ?
- Ecoute je ne l'ai pas forcé mais il devait faire un choix...je suis désolé Klay...
- T'ES QU'UN CONNARD !! Il cria sa rancoeur, un putin de fils de pute ! Tu me l'as enlevé bordel ! Je n'ai plus personne...seul...
- Tu en aura d'autres tu sais ! 
- J'en veux pas d'autre...tout comme tu n'en veux pas d'autres.
Il baisse les yeux honteux pour un garçon de craqué, il se retourne et s'en va en courant. Je me sens coupable de lui infliger cette peine mais c'est ainsi je ne peux rien y faire car moi aussi j'en ai besoin...moi aussi j'étais seul et c'est avec moi qu'il est enfin...je l'espère. 
Je rentre dans mon appartement vide, je lance mon sac dans un coin et me prépare un petit truc à grignoter avant de prendre une bonne douche chaude. Je ne sais jamais quand est-ce qu'il vient à vrai dire, jusqu'à maintenant il est toujours venu dans les alentours de dix heures épuisé et tout ce qu'il désire c'est m'embrasser. Je ne refuse jamais. 
Douche fin prête, je me frotte les cheveux en entrant dans mon salon j'allume ma télé et regarde les infos, même si j'aime pas forcément, ils n'annoncent que des drâmes, des guerres, des mauvaises nouvelles en somme mais jamais quelque chose de sympa ! Je zape sur une émission télé-réalité assez marrante. Ma serviette sur l'accoudoire je la regarde en riant de temps en temps quand l'un des gars s'explosent la gueule ou sort une connerie phénomènale. La porte s'ouvre laissant place à une longue veste noire et un attaché caisse, le propriétaire s'accoude à la porte pour enlever ses chaussures puis il vient s'assoire à côté de moi. Il m'embrasse furtivement pour me dire bonjour voyant que j'étais captivé par mon émission, il en rit pour se moquer de moi, je sais qu'il n'aime pas ça. 
- T'es obligé de regarder ce genre de connerie, dit il sarcastiquement
- Tu veux voir un film ? Y a " I am legend " sur les chaines du sat' ! 
- C'est mieux que ta connerie, dit il amusé 
Je zape de chaîne rapidemment, Will Smith est en train de se réveillé pendu à un fil. Moi j'ai déjà vu se film au cinéma je l'ai trouvé super à vrai dire, l'histoire n'est pas très original puisque Resident Evil et d'autre film avait déjà l'idée de base. Seulement l'histoire reste émouvante et quelque peu différente. 
Comme un gamin je pose ma tête sur ses genoux absorber par la film, ses mains me carressent les cheveux jusqu'à ce que je ne sente plus rien. Très vite le film se finit et je me relève pour voir son visage endormi paisiblement, semblant faire un joli rêve sur sa bouche je peux lire un léger sourire. 
- Bonne nuit doux prince, dis je en lui donnant un bisous sur le coin des lèvres
Il sourit un peu plus et m'attrape brusquement le coup pour me faire basculer sur le canapé et se mettre au dessus de moi. Il a l'air tout à fait réveillé, son immaturité soudaine me faire rire moi qui croyait que c'était un homme beaucoup trop sérieux je vois qu'il sait rire également. 
- Finalement tu es très fourbe mon cher professeur, dis je d'une voix sensuelle
- Tu me croyais si grincheux ?
- Non mais tu ne faisais pas vingt-sept ans...peut être trente ! 
- Petit malin tu vas voir ! 
Il me fait des chatouilles et je ne peux pas me retenir de me tortillé et rire de bon coeur le suppliant d'arrêter. Comme beaucoup d'entre nous je crains les chatouilles mais moi c'est vrai grave ! Il l'a remarqué quand on dormait il m'avait à peine frôler que j'ai rigolé ! D'abord ayant peur qu'il se vexe je me suis excuse lui disant qu'il me chatouillait, contrairement à ce que je croyais il n'était pas du tout vexé ! Il a profité de ma faiblesse. Alors qu'il s'arrêta je réussit à reprendre mon souffle doucement, ne le lâchant pas du regard celui ci devenait de plus en plus sérieux et pénétrant. Il me donnait des frissons.
Dans une lenteur calculé il s'approche doucement, hésitant, avec précotions de mes lèvres, je suis le trajet de mes yeux la bouche légèrement entre ouverte prêtent à accueillir sa langue. Il dépose un baiser long sur mes lèvres, la douce sensation de celle ci pressé contre les miennes me réchauffe le coeur. Il approfondit le baiser et je laisse le passage pour qu'il puisse trouver la mienne, timide pour faire l'amour à la sienne il vient lui  même la chercher. Un baiser intense, appaisant et torride à la fois. Il se retire brutalement le souffle court, sans cesser de me regarder je pouvais voir le désir animé son esprit. C'est comme si il me demandait la permission d'un simple regard long, doux, rassurant. Je lui sourit et m'aggripe à son coup pour lui posé une multitude de petit baiser sur ses lèvres et les coins. 
- J'ai envie de toi Raphaël..., je lui murmure doucement

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 21:53
enceinte.jpg                    
                      " Tu me disais " regarde Sam c'est un aigle le roi du ciel, il ne connait pas de limite, il est au sommet de ses grandes ailes il impose sa prestance. Regardes Sam c'est un aigle...un jour tu sera comme cet aigle n'est-ce pas ? Tu volera de tes ailes impérial et tu gouvernera le ciel, tu vera le monde comme il est beau de là haut. Regardes Sam..." 

                  Il frappe à cette grande porte en bois, un homme calme sans même dire un mot lui ouvre la porte : un major d'homme. Il entre sans dire quoi que ce soit également, c'est ainsi dans la haute société remercier un domestique serai inutile, sa pourrait presque paraitre bizarre. Dés son arriver quelques invités le reconnaissent immédiatement, certain pour avoir déjà travaillé avec lui, d'autre par sa rumeur ou encore sa beauté. " Un homme de trante et un an ? Impossible il en fait à peine vingts."
- Monsieur Anderson heureux d'enfin vous rencontrez je suis Peter Levy, dit il en lui serrant la main
- Et moi son épouse Peny, dit la femme 
- Bonsoir madame, salua à son tour Sam
- Que de compliments à votre sujet ! Depuis quand travaillez vous pour Genèse.Corp ?
- Le mois de février, répond Sam en entrechocant son verre de champagne avec celui de l'homme et de son épouse
- Quelle chance vraiment ! En peu de temps vous êtes devenus incontournable dans toutes les discussions ! Dit l'homme en riant
- A vraiment, ris légèrement Sam par politesse
- Même dans celle des femmes, dit Levy en lui tapottant le coup suivit d'un rire gras correspondant perfaitement à son gabarie
- Ah ! Rit encore Sam en buvant sa coupe
- Alors monsieur Anderson on est venu accompagnez ? Demandez la femme avec un sourire ravageur sur les lèvres
Les femmes des riches hommes d'affaires étaient généralement des femmes dans la quarantaine bourrer de botox, jamais Sam n'aurait toucher à ça au grand Dieu JAMAIS ! Il déteste c'est mangeuse d'homme qui n'attendait que le plus offrant. Il se força à lui sourire pour paraître poli et finit son verre d'un seul trait. 
- Bien sûr, dit Samuel en posant son verre sur l'une des tables
- Ah bon ? Dit la femme semblant étonné, je ne la vois pas !
- Là bas.
Samuel se poussa légérement et pointa Camille dans une magnifique robe violette en soie qu'il lui avait payer. Une robe qui faisait ressortir son ventre mettant en avant la magnificience d'une femme enceinte. Elle souriait à pleine dent comme toujours, heureuse quoi qu'il arrive, une coupe de cheveux digne des plus grand coiffeur, ses long cheveux de bleu légerment onduler était attacher, des bouclettes tombaient de sa coupe comme de fins rubans. Elle était ravissante, pensait Sam en la voyant, ses yeux noire brillant sous les chandelles des lustres lui donnait des paillettes dans son sourire. Samuel sourit à cette vue magnifique, il était heureux de l'avoir pret de lui, il ne sait pas ce qu'il ferai sans son soutient, en tout cas il n'en serai pas là. 
- Ah je vois, dit doucement madame Levy
- Ravissante n'est-ce pas ? Demanda Sam en enfçant le couteau dans la plait
- Très, dit Levy d'un sourire amer
- Tiens je te cherchais partout ! S'exclama la bonne vieille voix de Choukler derrière lui
- Et bien je suis là, dit Sam en s'excusant auprès du couple 
Il se laissa diriger par Choukler, il lui présentait toute les plus grosses fortunes du monde de l'art il y avait même un ministre de la chambre des Lord. Il continua sa présentation par des hommes inconnus de la société artistique mais qui s'intéresse de plus en plus à cette matière devenu incontournable depuis quelques annés, acquisation d'une oeuvre devenait presque comme une obligation pour rentrer dans les reformes et principes de la fortune. Cependant Sam n'avait pas encore compris ce qu'il cherchait vraiment à le faire ammener ici, certes il venait de lui donner une large palette de clientèle mais ça m'étonnerai que ça soit la seule raison pour la quelle il a tellement tenue à sa venue. Samuel réussit à s'exclipser de toutes ses conventions et autres formalité pour se diriger vers le buffet, quelques petits fours et le voilà partit pour analyser les personnalités à l'oeil uniquement. Il avait déjà reperer ses porchains clients, finalement ce n'était pas une si mauvaise idée que de venir ici, en plus les petit fours sont délicieux ! 
- Au fromage..., dit un homme à sa gauche
- Pardon ? Demanda Anderson 
- Les meilleurs sont au fromage, dit le même homme avec un grand sourire
- Je préfère ceux à l'olive, dit Sam en degustant l'un d'eux
L'homme se mit à rire sans quitter des yeux Sam, son sourire avait quelque chose de chaleureux et appaisant. De lui semblait se dégager une sagesse et une paix reposante berceuse, enfin parfaite. Il était grand surement dans les un mètre quatre vingt-dix, une carrure d'athlète au visage d'ange quel contraste ! Ses yeux bleu couleur océans semblait briller comme la mer sous le soleil de l'été. Ses cheveux blond fin et court intensifiait ce côté angélique et un charisme fou l'envloppait. Etonnant que Sam en remarque autant, il ne regardait pas les hommes, pas les autres hommes. 
- Je m'appelle David, David Hank. Dit il en tendant sa main
- Samuel Anderson, répondit Sam en serrant sa main
- Je sais qui vous êtes, sourit de nouveau David
- Et vous ? Qui êtes vous ? Demanda Sam intrigué
David fit des gros yeux un instant puis il rit de bon coeur pour reprendre ses esprits quelques instant après. Cette question était si drôle ? Se demanda Samuel
- Je suis un ami de Choukler, dit il calmé
- Très bien.
- On vous a traînez de force ici n'est-ce pas ?
- En effet Choukler adore me chaproner mais je ne lui en veux pas il m'aide beaucoup à vrai dire, Dit sincèrement Sam
- Oui il aime rendre service. 
David se posa contre la table croisant les bras et faisant un tour de salle avec son éternel sourire sur les lèvres. Samuel n'arrivait pas à savoir ce qui l'intriguant tant chez cet homme tellement serein ! Ca en était presque effrayant. Il continua sa mission sur le buffet tout en écoutant parler le beau blond, ses paroles semblaient accompagner d'une douceur extrême comme si elle appaisait quiconque l'écoutait, une sensation éphémère mais qui mérite d'être connu au moins une fois dans sa vie. Il parlait de tout, des gens qu'ils connaissaient dans cette fête la façon dont la quelle Choukler la traîner également aussi mais surtout d'art. Peut être était il artiste ? En tout cas il semblait amoureux de l'art, un amour profond et sincère, un amour qui l'avait rendu si séduisant que femmes ou hommes ne regarderaient que lui. Comment Choukler pouvait il connaître un homme aussi intéressant sans en avoir parler à son prodige préferer ? Il en était subjuguer mais sans vraiment lui montrer il l'admirait secrètement, d'un oeil neutre et simple que le plus grand des experts n'aurait pas put détecté la moindre émotion. Si peut être l'indifférence alors qu'en fait il absorbait chaque paroles, chaque syllabe pronnonce de cette bouche. Il portait un costume blanc, un costume blanc avec la peau blanche faisait penser aux cieux, encore l'ange, oui c'est homme était un ange. 
- Oui on peut dire que j'aime l'art..., sourit David
- Je l'ai remarqué, sourit Sam
- Désolé je t'ennuie avec mes long discour mais je me sentais un peu seul à cette reception, ria David
- Il n'y a pas de mal vous n'êtes pas avec votre femme ? Demanda Samuel le coeur battant
- Ma femme ? Je ne suis pas marié.
- Et vous ? Vous êtes le futur papa ? 
- Non ! Dit précipitamment Sam, enfin...c'est ma secrétaire quelqu'un de très important pour moi mais pas ma petite amie...
- Oh...désolé je vous ai mis mal à l'aise ? 
- Vous l'êtes autant que moi, Sourit Samuel
- Comment ça ? 
- Une fois vous me vouvoier et l'autre vous me tutoier. 
David semblait pris sur le fait mais il ne semblait pas gêner, à moins que son petit rire soit nerveux. 
- Je remarque là l'un des plus grand, sourit David chaleureusement
Samuel partagea sa bonne humeur durant toute la fête à discuter de diverses choses. La compagnie de David lui était très agréable il était vraiment heureux d'enfin parler correctement avec quelqu'un sans surveiller ce qu'il doit dire par peur de ne pas être à la hauteur. Il se sentait plus libre de ses mots ce qui la rassurait énormément et bizarrement le fait qu'il soit seul le rendait plus joyeux que jamais.
Mai au fond, il se détestait de penser une chose pareil. 
La salle se vidait peu à peu de ses invités, les deux hommes étaient assis tranquillement toujours en train de discuter quand une ravissante jeune maman vint presque endormis poser une main fatigué sur l'épaule du beau brun. 
- Monsieur Anderson je dois rentrer, je vous souhaite une bonne nuit monsieur Choukler veut bien me rammener, dit elle avec le sourire même épuisé
- Non je viens attend moi Camille, dit Sam
Il ne pouvait pas la laisser rentrer seul, il ne pouvait pas la laisser tout court si lui qui avait insister pour qu'elle vienne et il allait l'abandonner dans son apparatement il était hors de question, même si pour cela il devrait arrêter la passionnante discussion avec le beau David. 
- Parodonnez moi je dois partir mais nous continuerons cette discussion une autre fois, dit Sam en tendant sa main
- Avec joie, sourit David
Serrant sa main sans le quitter des yeux, en un quart de seconde le temps s'était arrêter pour eux deux. Etaient-ils seuls au monde enfin ? Samuel avait une envie furieuse de l'embrasser. Avec fougue et passion il se voyait déjà lui sauter au coup et lui arracher cette cravatte bleu nuit s'accordant parfaitement à sa chemise, lui déchirer sa chémise avec une brutalité excitante, la chaleur grimper d'un seul coup, David l'embrassant de le coup, lui mordillant les mamelons...
- Monsieur Anderson ? Dit Camille
- Euh oui...pardon, Sam était revenu sur terre
Il n'avais pas quitter des yeux le beau blond qui semblait amuser par la situation, comme si il savait ce que venait de voir Samuel. Il en était presque mal à l'aise pour la première fois de sa vie, mais l'envie de lui sauter au coup était toujours là ! Quelle torture. Il finit par partir sans retourner s'injurant de tous les noms pour penser des choses pareils d'un homme qu'il connait que depuis quelques heures. D'un autre homme. 

Camille s'était endormis durant le trajet, Sam avait fait tout son possible pour réussir à la monter dans son petit appartement. Elle vivait seule depuis la grossesse, le père s'est défiler comme un lâche alors qu'ils étaient ensemble depuis déjà huit ans. Il a pris peur et la laisser seule avec sa peine et sa tristesse, tristesse qu'elle avait transformé en joie depuis se forçant d'aller de l'avant et de ne pas regretter. Pour elle cet enfant est une bénédiction et sans l'aide de Samuel elle ne l'aurait jamais compris. Le jour du départ du père elle s'est rendu à pied jusqu'à l'appartement de son patron, sous la neige glacé elle était tomber gravement malade et c'est Sam qui s'en est occupé. Il lui avait juré de l'aider pour l'enfant, que si il fallait de l'argent il en donnerai, il lui donnera autant d'amour qu'un père pourra lui donner. Jamais il ne laissera tomber celle qu'il considère comme son fil d'Ariane, sa petite soeur, sa raison de vivre, son petit rayon de soleil.
Car elle aussi a été là quand il le fallut, de cette dette Sam ne s'en defera jamais. 
Il l'a coucha dans son petit lit au couverture médiocre, il lui avait proposé d'habiter avec lui pendant la grossesse mais elle avait toujours refuser disant que cet appartement miteux était leur appartement. Pourquoi le monde est-il aussi cruel avec ceux qui le mérite le moins ? Pourquoi est-ce qu'il y a autant de larme couler ? Pourquoi ? 
Une réponse que tout le monde se pose mais que certains vivent vraiment. 
- Bonne nuit. Sourit Sam en couvrant sa princesse
Il lui déposa un baiser sur le front et alla se coucher à ses côtés pour la réchauffer la voyant grelotter. Mais le froid glaciale qui emprisonne son coeur dans des glaces éternel ne se réchauffera jamais...

Regardes Sam...regardes comme je t'aime.   
   
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 19:28

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                  " C'était un jeudi ou un samedi je me souviens de son regard glaciale juste avant de prendre ce train. Ce train qui l'emmenait loin de moi, ce train qui me laisse seul moi et mon désespoire jamais je ne le reverrai...pourquoi ? Est-ce si mal de s'aimer ? Est-ce si mal de vouloir être heureux ? Pourquoi ?" 

- C'est étonnant, dit l'un des homme 
- C'est magistral ! Bravo ! Applaudit un autre
- Monsieur Anderson on peut dire que vous êtes l'homme de toute les situations ! Grâce à vous la société de Genèse.Corp reprend vie ! Lokart n'était pas un client facile portons un toast ! S'écrie celui qui était en bout de table
- A la plus grande société de mis en enchère de tout le pays ! 
- Et à Monsieur Anderson, dit encore le vieille homme
- Merci, répondit le concerner en buvant son verre doucement
En plein centre de Londre siégeait l'une des grande sociétés de mise enchère, peut être la plus grande ! Diriger depuis des années par les hommes les plus influants artistiquement de ce pays. Le petit Anderson était rentré dans la société depuis seulement quelques mois et voilà qu'il récupérait un grand milliardaire les accusants de s'être fait duper par sa dernière acquisition. Un tableau du milieu dix septième représentait Vénus à peinture à huile faite en Italie. Anderson était quelqu'un de très convaincant, son caractère et ses propos pourraient venir à bout de n'importe quel homme politique et séverement centré sur ses opinions : on disait que Samuel Anderson avait le don de la parole. 
Cet homme de trente et un ans n'avait aucun autre but dans sa vie que son travail, refusant toute famille par peur de tout perdre du jour au lendemain. Un homme de conviction et valeur mais qui ne vivait plus vraiment. Il avait été restaurateur dans un grand musé avant de passer directement chef d'une grande galerie d'art pour enfin arriver au sommet, les enchères. L'argent ne l'intérèssait pas ! Mais il connaissait la langue des billets brillant dans les yeux de chaques hommes de pouvoir, une langue qui ne s'improvisait pas. Dans ce monde la loi du plus fort est de vigueur et Sam était un véritable requin des affaires. Son travail était de convaincre le client, il participait aux enchères de temps à autres mais rare tout de même. Il préférait recruter le nombre incroyable de client, voilà son vrai défis, toujours plus haut, être au sommet c'était sa véritable ambition. 
- Je rentre monsieur Anderson, dit sa secrétaire
Il releva la tête de ses papiers et enleva ses lunettes rapidement pour adresser un sourire tendre à celle-ci. Elle fit un grand signe tenant son bas ventre, un petit bébé l'attendait mais elle refusait de laisser cet homme travailler sans relâche seul, il avait tellement fait pour elle. 
- Repose toi bien Camille, lança Samuel 
- Essayez de faire de même, dit elle en fermant la porte
- Bonne nuit à vous. 
Il répétait toujours la même phrase, elle répétait toujours la même chose depuis trois ans. Ils ne se quittaient pas ayant débutés ensemble il l'a toujours voulu à ses côtés. " Mon petit rayon de soleil" il l'appelait et bon nombres de ses collègues croyaient qu'ils étaient ensemble au début, tellement proche l'un de l'autre Camille qualifirait cette relation de fraternel plus qu'autre chose. 
Un bourreau du boulot certes mais c'était un être très chaleureux et gentil. Il n'avait aucun ennemis jusqu'à présent pas même les concurrents qui au contraire faisait tout pour l'avoir dans leurs rangs, croyez le ou non mais il fallait mieux être ami avec Samuel Anderson. Une règle d'or.
C'est seulement à vingt deux heures qu'il quitta son bureau, sa veste poser sur l'un des bras et l'attacher caisse dans l'autre. Le visage calme et serein il rentra chez lui dans un calme plat, sa journée avait été brillée par se fabuleux poisson qu'il avait repêcher demain il passera à un riche entrepreneur qui hésitait à prendre une statue de la renaissance ou un tableau de Van Gogh. Après un café vite ingurgité il se coucha toute suite ne voulant pas perdre ses huit heures de sommeil indispensable pour être au meilleur de sa forme. Dans sa chambre au couleurs chaudes il s'endormis paisiblement repensant sans cesse à ce qu'il allait faire, ce qu'il devrait dire, ce qu'il devra recommencer. 
- Bonne nuit. Se dit il à lui même
La lampe éteinte, les étoile allumées, plonger dans les ténêbre silencieux de la nuit il laissa aller sa tête sur son oreiller doux. Encore une larme juste une dernière. 

Un matin ensolleillé pour un début d'automne, marchant dans la rue à grand pas il devra joindre le métro d'ici quelques minutes. Toujours une heure d'avance au boulot c'est mieux que deux minutes de retard. Les londoniens n'étaient pas très matinaux, pas tellement de bousculade mais quelques uns peut être tout aussi préssés que lui se pressa d'entrer dans le train. Il s'assit sur une chaise devant la porte attendant inlassablement que celui ci s'arrête à son arret habituel. Le grincement des railles le fit sortir de ses rêves, encore un peu endormis mais très attentif il sortit avec quelques uns également. Un grand batîment luxueux lui ouvrait les bras il rentra à l'intérieur sans s'arrêté adressant un sourire rapide au receptioniste puis dans l'ascenceur presque déjà plein. A nouveau il salua ses collègues de travail qui s'arrêtèrent à différents étages, il arriva au septième : le sien. 
- Bonjours monsieur Anderson, dit Camille en essayant de se lever
- Reste assise Camille, dit il en se précipitant sur elle, ne te fatigue pas trop. 
Il admirait ce petit bout de femme, à seulement vingt quatre ans enceinte de six mois, enceinte d'une infine partie du pouvoir de Dieu. Le pouvoir de crée. Il toucha doucement le ventre déjà bien rond puis fit une bise énorme à la maman en prenant le dossier.
- Je t'ai déjà dit que tu pouvais prendre un congé, dit il inquiet
- Je serai toujours là pour vous aidez monsieur Anderson...je vous dois tellement, dit elle en baissant les yeux timidement
Attendrit par la douceur de cette futur maman il lui redressa le menton. 
- Tu ne me dois rien c'est moi qui te dois tout, dit il sincèrement
- Allons ne dites pas n'importe quoi ! Monsieur Choukler vous attend dans votre bureau il est vraiment furieux ! 
- Pourquoi ça ? 
- Vous n'êtes pas encore passer goûté la tarte de sa femme, dit elle amusé
Sam sourit à cette plaisanterie. Choukler était le patron d'une grande galerie d'art et un ami important de l'entreprise qui fournissait pas mal de ses oeuvres. Choukler était également un grand fan du don de Sam, celui ci portant une admiration inégalé au prodige qu'avait recruter Genèse.Corp, un prodige qui mérite plus disait il sans cesse. 
- Mon cher Samuel ! S'éxclame l'homme jeune sur son propre bureau
- Monsieur Choukler, dit il en fronçant les sourcils pour bien lui faire comprendre qu'il ne pouvait tout de même pas tout se permettre
- Pardon désolé je voulais savoir ce que ça faisait d'être sur le siège de l'homme le plus puissant du monde artistique. 
- Aller vous assoir sur le siège de Spielberg alors, dit Sam en riant presque 
Choukler se leva pour marcher un peu dans le bureau de celui ci.
- Ce n'est pas de l'art ! Le vrai art ne nait pas des mains aussi simple que celles de Spielberg...le cinéma ne devrait pas être un art !
- C'est pourtant le septième..., continua Sam
- Vous avez vraiment le mot à tout, sourit Choukler en regardant le prodige dans les yeux
- Je ne dis que la vérité, répondit Samuel en accentuant son regard 
- Bien ! Je t'invite ce soir à une grande reception ! 
- Je n'ai pas le te...
- Viens, coupa soudainement Choukler
Samuel se tut un moment voulant comprendre ce revirement soudain presque agressif, y avait il quelque chose à cette soirée qu'il devait absolument voir, quelqu'un ? Quoi ? Intrigué il ne pouvait pas refuser puis Choukler a toujours été d'une grande aide avec lui, il lui fait confiance malgré son tempérament parfoi lourd.
- Tu goûtera à la tarte de April ! Lança-t-il en fermant la porte derrière lui
Samuel sourit légèrement à sa plaisanterie et se remit au boulot immédiatement, il devait rencontrer encore un riche milliardaire il n'avait pas de temps à perdre.  
- Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet, se dit il essayant de se rassuré
C'est presque comme un rituel, chaque fois qu'il devait convaincre un acheteur il répété cette phrase comme une formule magique pensant qu'elle lui portait vraiment bonheur. Cette phrase n'était pourtant pas la sienne, cette phrase n'était pas de sa bouche, cette phrase était pour lui, cette phrase était un cadeau d'adieu qu'un fraguement de son coeur avait laissé avant de s'en aller. 

" Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet. Je t'aime Sam."

 

Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 16:44
                    - Vincent je dois y aller je peux pas rester, dit il serrer contre moi
A moitié endormis je savais pas trop qui me parlait en tout cas c'était une belle et douce voix, tellement douce qu'elle me chatouillait l'oreille. Raphaël ! Merde ! J'ouvre brusquemment les yeux, une monté d'adrénaline allucinante ! Il était bel et bien là, dans mon lit, avec juste un petit boxer qui moullait parfaitement son...enfin voilà quoi ! Ce qui m'étonne le plus c'est qu'on a rien fait...je suis dégouté. 
- Vincent tu m'entends ? Repète-il en soufflant dans ma nuque
Je n'arrive même pas à parler tellement mon émotion est grande j'ai envie de sauter au plafond ou de le sauter tout court...oula je pars dans mes fantasmes là ! Je me retourne doucement les yeux rivés sur les siens qui devaient être ouverts depuis bien longtemps, les miens avaient dut mal à s'habituer à la lumière de ma lampe. Je remonte les couhettes jusqu'à mon menton et me serre contre lui en gémissant un peu, vous savez ce fameux "hum..." qui veut dire " reste avec moi...". Il me regarde longueument, je continu mon cinéma les yeux de merlan fris essayant de le faire céder. Il me sourit. JE SUIS LE MEILLEUR ! Il se recouche et me serre contre lui tout en carressant la rai de ma colonne vertable remontant le long de la nuque, carressant les cheveux et rebelote. Je suis tellement bien au creu de ses bras que jamais je ne voudrais m'en séparer, je sais maintenant qu'il est sincère ! Enifn je l'espère...bah oui ! C'est quelqu'un de patient je me demande combien de fois il a put faire l'amour avec un homme ? Oui parce que moi même si j'y pense beaucoup, je suis pas sûr d'être pret que ça soit en passif ou pas !  
Je relève les yeux pour regarder son visage serein et décontracté, il observe un point invisible devant lui sans cesser de me carresser. Il est tellement beau, j'en rougis sans pour autant en bander ce qui est déjà pas mal ! C'est la seule partie de moi que j'ai encore du mal à contrôler. 
- Parles moi de toi, je dis soudainement en posant ma tête sur son torse chaud
- Que veux tu que je te dise ? Dit il amusé
- Tout ! Je veux savoir tout...
- Pars tout je suppose que tu entends ma sexualité...
Comment il sait ? Il me ferai presque peur. 
- Ou-oui.
- Je l'ai toujours sut...j'ai toujours sut que j'étais homosexuel mais je l'ai également toujours repoussé.
- J'aimerai savoir pourquoi hier quand tu as dis que tu n'étais qu'un plan cul tu semblais triste...
J'allais me risquer, c'est vrai que ça me tracasse assez j'ai toujours cru que c'était lui qui me prênait pour un plan cul. 
- Tu sais il y a beaucoup plus de gay que ce que l'on croit et la plus part cherche juste un plan sexe...histoire de goûter ! Même si moi je répoussais cette facette j'ai céder à un garçon beaucoup plus jeune que moi...un élève. Il m'alluma comme un fou, je n'ai pas sut resisté surtout qu'il avait tout d'un homme parfait, gentil, romantique, souriant ! Ce garçon respirait la bon humeur ce que je n'avais pas. 
J'absorbais chaque parole comme si c'était les miennes et malgré moi une pointe de jalousie m'envahis quand il parlait de ce fameux élève. 
- Que c'est-il passé ?
- Je n'étais qu'un plan cul, dit il un sourire mélancolique sur la bouche
Je ne savais pas trop quoi répondre à ça, son sourire cachait tellement de tristesse que j'en avais presque envie de lui hurler que pour moi il ne sera jamais juste un plan cul ! Pourtant ma fierté m'en empêchait par peur de le faire partir peut être. Un amour dit trop vite pourrai le faire fuir vu qu'il ne connait pas vraiment cette facette, à moins que...il a été amoureux de cet élève ! 
- Tu...tu étais amoureux...
- Je sais pas si on peut appeler ça comme ça...oui enfin je pense que oui j'en étais éperdument amoureux...
Pour toute réponse je me suis redresser et lui est volé un baiser ! Rare était les fois où je prennais les devants mais j'avais peur qu'il craque je ne sais pas. Je sais qu'on est pas tous comme moi mais ça voix me déchirait le coeur à chaque fois que je le voyais conter cette histoire mal finit. Ce baiser signifiait peut être aussi ma peur qu'il s'en aille ? Ma peur de le perdre en somme. Il m'a simplement sourit et à repris mes lèvres délicatemment pressant sur ma nuque pour l'approfondir. Ce mec me fait rêver. Finalement on a décidé de se lever et il est rentré chez lui sans un baiser d'adieu me demandant d'être présent au prochain cours, je pouvais pas rester toute ma vie dans un petit appartement, puis maintenant on était plus en froid. Il restait quand même quelque chose. 
- Tu n'oublies pas..., dit en le regardant partir
Il se retourne étonné.
- De quoi ? Dit il intrigué
- De rompre avec Klay...
- Klay...mais je ne sors pas avec...
- Alors fais lui comprendre car je ne crois pas qu'il partage ton opinion si tu ne romps pas avec pas la peine de revenir ici. Dis je d'une voix ferme
Il semble hésitant, surpris mais il me sourit quelques secondes après. Un sourire qui me met du baume au coeur et me donne des frissons. Dans sa démarche sûre et masculine il quitte mon appartement laissant derrière lui un vent nouveau. Je suis rentré dans la douche les idées en place, heureux comme jamais, me rememorant tous les beaux baisers et sourires qu'il a put me faire. Je suis sûr de l'aimer comment ne pas l'aimer ? Il est tendre, mystérieux, délicat, charmant ! Il a tout de ce que j'ai toujours voulus et le sentir qu'à quelques mètres me rassure tellement que j'ai envie de lui sauter au coup. Je suis sorti de la douche et j'en ai profité pour réviser un peu avant mon entrée en cours demain, ne surtout pas arriver comme un ignorant ça serai un peu exagérer ! Puis maintenant j'ai quelqu'un pour qui je peux faire des efforts, maintenant je suis plus seul. 
Il est avec moi.
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 17:09
                   Dire que j'y avais cru, dire que j'aurai été capable d'assumer cette homosexualité. Tu m'as brisé, je sais pas vraiment ce qui m'arrive mais j'ai l'impresion de sombrer, de ne plus être le même, j'ai l'impression que quelque chose en moi est parti ce soir là. 
- Merde il fait jour. 
Je  me réveille difficilement savourant mon petit week-end, dans mon lit. En fait ça doit faire quatre jours que je ne quitte plus cette pièce. Je paresse sur mon lit, le regard perdu dans le vide ne pensant à rien et rêvant à chaque fois à la même chose...lui. Mon corps ne répond même plus, le lendemain je ne me souviens pas de ce que j'ai fait la vieille car mes pensés sont emprisent de son regard, de cette trahison. Combien d'années cela fait il que je n'ai pas verser une larme ? Je m'étais forger un caractère à toute épreuve difficile, ayant eut un très bonne entrainement durant mon enfance j'ai cru que rien n'aurai put m'attendre. Croire, encore et encore, mais croire n'empêche pas mon coeur de saigner extirpant tous les sentiments les plus douleureux ; colère, tristesse, solitude, humiliation...l'amour. J'avais espérer encore une fois avoir ne serai ce qu'un peu de bonheur dans ma vie, j'avais espérer être particuliers pour une personne mais apparament tout ceux que je rencontre on le visage de mon père.  
Comment peut on être aussi naif ? Lequel de nous deux est vraiment en tord ? C'est ma faut d'être tomber amoureux d'un professeur dont je ne connais rien. Oui amoureux, j'aimais je n'aurai cur me l'avouer mais quoi d'autre peut il laissé une trace aussi infligente que l'amour ? Quoi d'autre peut il vous réduire à l'état d'un animal abattue ? Quoi d'autre peut il vous détruire à ce point ? Je ne vois rien d'autre que l'amour. Et le pire, c'est que je l'aime encore. 
Je décide enfin de me lever, ma mère va s'inquiété si je ne lui donne pas de mes nouvelles, je décroche le téléphone et l'appelle ilico-presto ! Elle a déjà dut recevoir les plaintes du lycée pour mes quatres jours d'abscences injustifiés. Je ne me souviens même plus si le téléphone à sonner. 
- Allo ? Dit elle d'une voix inquiète
- C'est Vincent...
- Vincent ! Chéri ! Tu te rends compte à quel point je suis inquiète impossible de te joindre et ta disparation soudaine ! Non vraiment là tu exagère Vincent !
- C'est rien je suis malade ça ira mieux Lundi, mentais je
Lundi, espérons le. 
- Bien mon coeur soigne toi bien et si tu as besoin de quoi que ce soit je viendrai sans hésité ! 
- Oui maman très bien bisous je t'aime.
Je raccroche brusquemment le fixe, ne voulant pas entendre ses derniers petits mots. Je ne supporte plus aucun mots doux sans que ca crée en moi une crise d'hystérie totale. Je me lève comme un mort et m'écrase sur mon matela, les bras écarter regardant le plafond d'un blanc cassé. Je suis vraiment pathétique, bon pour l'asile. Plongés dans mon blâme personnel et mentale je me laisse porter par une fatigue qui me gagne depuis quatre jours. Je me fais reveillé par la sonnerie de mon cellulaire, la tête qui tourne, je décroche avec amertume et me prépare à hurler sur le connard qui m'a sortit de mon sommeil. 
- Quoi ! Je m'écri
- Tu es chez toi ?
- QUI SAIT BORDEL ? 
- Ouvre la porte.
On se croirai dans un vieux film d'horreur débile ! Enervé je me lève brutalement. Petit malaise je me rassois le vertige me gagne, quel con ! Je me relève encore plus énerver et ouvre la porte à grande vollé. Mon regard se plante dans ses yeux rouges que j'ai toujours répugner de voir depuis quatre jours ! Sans même dire un mot je referme la porte mais Raphaël bloque avec son pied. Tant bien que mal je pousse pour pouvoir la fermer, sentant déjà les larmes me montés aux yeux. 
- Ouvres cette porte Vincent ! 
- Allez vous faire foutre ! Continuais je de pousser
Malheureusement avec la peau sur les os et lui son corps musclé il n'y a pas photos je m'écroule au sol, surpris par la force de sa poussé. Je me met les mains sur la tête d'agacement ! Il est vraiment le dernier homme au monde que je désir voir ! 
Il referme la porte calmemant de son regard frois il me regarde haut, puis il fait un tour d'horizon, comme la première fois...MERDE TA GUEULE ! 
- Qu'est-il arriver à ton beau salon ? Dit il sans aucune surprise dans sa voix
Je me relève et remarque le carnage, c'est vrai que le soir où j'ai reçu un couteau dans le dos je me suis assez bien défouler sur tout objet à porter de main. Pas la peine de rivalisé à ce que je vois de toute manière ça ne m'empêchera pas de resté muet. Plus énervé que jamais je chope mon dernier paquet de clopes et m'enferme dans mes chambre, là au moins je suis sûr qu'il ne viendra pas me faire chier ! Je ne veux pas le voir, je ne veux pas le voir. J'ouvre ma fenêtre un vent glacial me réveille totalement et j'allume ma petite dose de noctine de cette soirée qui risque d'être suivit de biens d'autres. 
Il faut oublier.
Il a allumer la télé, je vois qu'il prend ses aises en plus ! Je n'ai qu'à me dire qu'il est pas là, je n'ai qu'à me dire qu'il va partir. Je fume ma cigarette tremblant de rage et non de froid, ayant juste un t-shirt et un bas de pijama cella dit je doute un peu. Je referme la fenêtre et me dirige vers mon lit éteingnant la lumière, m'engoufrant dans mon lit espérant que tout ceci ne soit qu'un cauchemar...oui un mauvais rêves. 
- Vincent...ouvre la parte s'il te plait..., dit il d'une voix presque suppliante
Je m'efforce de ne rien entendre, mon coeur bat la chamade vais je resister longtemps ? Encore une fois j'en doute. 
- Vincent...il faut que je te parle...
- Moi je ne veux pas te parler tu comprends pas ?
- Ecoute je ne pensais pas que tu...enfin étais amoureux !
- JE NE SUIS PAS AMOUREUX ! 
- Alors pourquoi est-ce que tu pleures Vincent...
Comment...je ne veux même plus le voir ! Il me dégoute
- Retourne avec Klay lui il t'aime vraiment ! Pour moi t'étais qu'un plan cul j'en ai rien à foutre ! Et tu veux que je te dise tu me répugne toi et les autres sales tapettes dans ton genre ! Casses toi de chez moi. 
Je n'ai fait que dire tout le contraire de ce que je pensais...y compris la dernière phrase. Je ne l'entendais plus, l'ai je blessé ? Je me sens tout à coup coupable, je n'avais pas forcément envie de le blessé...enfin si je voulais ! Mais...roh je sais plus rien je suis perdu. 
- Je suis désolé de t'avoir fait souffrir...tu as raison je ne suis qu'un plan cul.
J'entends ses pas marteler mon parquet, une voix en moi me hurle de lui courir car sa voix sur sa dernière phrase semblait déchiré de l'intérieur. Que faire ? Non je ne peux pas ma fierté m'en empêche ! Pourtant...et merde ! Je me lève très rapidement pour ouvrir la porte de ma chambre en le voyant sur le pas de la porte et se retourne vers moi les yeux brillant sous la lumière du salon, je crois voir de la culpabilité dans son regard. J'ai l'impression qu'il s'écroule par terre je vais pour l'aider quand je réalise que c'est moi qui voit le sol incliner...
- Ne pars pas, je murmure en le voyant s'approcher
- Ca fait combien de jours que tu n'as pas manger ? Dit il inquiet
- Ne me laisse pas Raphaël...ne me laisse plus...
- Je m'en veux beaucoup Vincent pardonne moi ! 
Quel étrange garçon, il peut me paraitre si froid et si doux à la fois ! Je suis subjuguer par sa complexcité qui ressemble beaucoup à la mienne. Finalement on est deux gamins qui ne savent pas du tout ce qu'ils veulent. Enfin si moi je sais ce que je veux...c'est lui. Il me porte jusqu'à ma chambre et me pose sur le lit pendant qu'il disparait dans la cuisine, qu'est-il en train de faire ? A manger ? C'est vrai que je commence à avoir faim et me faire servir par mon cher professeur est une perpective très agréable. Voilà la première fois que je souris depuis quatre jours, la personne qui a le pouvoir de vous détruire et de vous rendre le sourire à la seconde, c'est ça l'âme-soeur ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 20:49
                               Je me lève à mon tour avec un léger sourire sur les lèvres, le fait qu'il me laisse l'appelé par son prénom signifie peut être qu'il envisage quelques chose...enfin j'en sais rien moi ! Faut pas que j'espère trop non plus je ne le connais même pas. C'est assez direct comme relation, elle n'est fonder sur rien. Mais je ne dois pas me laisser aller qui sait ! 
- Vous avez déjà manger mons...j'ai un peu du mal, dis je gêné
Il rigole amuser par la situation et me carresse la joue doucement pour déposer un baiser chaste.
- C'est rien...non je n'ai pas faim.
- Je peux te demander pourquoi tu es venu ? 
Quel sensation bizarre de le tutoier.
- J'avais envie te voir ! J'avoue que ça n'était pas très gentil de ma part de te laisser en plan comme je l'ai fait. Il se retourne le regard coquin. Je voulais retrapper le coup à ma façon...
- C'est reussit en tout cas..., je dis en rougissant
- Je vois ça, dit il en s'approchant
- Je suppose que les questions défilent dans ta tête.
Si tu savais ce qui défile dans ma tête. Son téléphone sonne il répond et fronce les sourcils il n'a pas l'air content et raccroche quelques secondes après qu'on lui ai dit quelque chose. Je m'assois en attendant et il s'assoit en face de moi en reprenant un sourire doux et seducteur à la fois. 
- C'était qui ? Je demande innocement
- Mon père. Dit il sans quitter son sourire
- Tu ne t'entends pas bien avec ton père ? 
- Pourquoi veux tu parler quand on pourrait faire autre chose...
Il me carresse la lèvre avec son pouce, doucement je ferme les yeux et pourtant j'aimerai tellement en savoir plus sur lui, sur sa vie, ses loisirs, sa famille. Il m'embrasse encore une fois avec une sensualité trop parfaite ! Je me remet à bander comme un malade sentant sa langue jouer avec la mienne c'est tellement agréable...humm je ne serai pas décrire cet act à sa perfection ! C'est au dessus de tous plaisir c'est divin ! Je sens qu'il se sert de plus de plus à moi, me basculant sur le canapé il se retrouve maintenant au dessus de moi. Il se redresse ses long cheveux de couleur charbon forme comme un rideau et seul ses yeux vermillon éclaire le désir qui nous anime. Sa main se balade sous mon t-shirt, je me crispe au contact de celle-ci brûlant chaque parcelle de ma peau qu'il effleure. Il m'embrasse le coup doucement en laissant voguer sa main sur tout mon torse, sa langue chaude et humide forme des légers va et viens dans ma nuque, mon coup, mon lobe remontant sur mon menton et mourrant sur mes lèvres. Mes mains se prennent au jeu et sans m'en rendre compte elles agrippent son dos brutalemment quand ses doigts chatouillent mon têton laissant échapper un léger gémissement.
- Ferme les yeux Vincent..., il me sussure à l'oreille
Je m'éxécute, la bouche ouverte par ma respiration devenue trop forte pour être normale. Il enlève mon t-shirt avec délicatesse et entâme de m'embrasser longoureusement puis contenu son trajet dans le coup, le torse, les tétons, le ligne séparant ce qui aurait du être des abdos mais les miens sont bien médiocre étant trop mince pour me muscler. Mon nombril ni échappe pas et plus il se rapproche du bas du ventre plus l'adrénaline me monte à la tête et mon corps frissonne. Il défait ma ceinture dans une lenteur calculé presque une torture, je déglutis difficilement sachant très ce qu'il allait faire. Un peu tard pour cacher mon exitation et même si je suis anxieu je mentirai en disant que je n'ai pas une envie folle de sentir sa bouche dessus. 
- Tu me gate Vincent..., dit il de sa voix érotique
Mon éréction me faisait presque mal jusqu'à ce que je sente ses doigts se refermés déçu doucement, sa langue la parcourant de ton son long ! J'avais presque envie d'éjaculer toute suite ! Le plaisir était extra et alors que je crois ne pouvoir ressentir plus, après quelques minutes de vagabondage de sa longue, sa bouche si pulpeuse et ses lèvres fines couvraient mon sexe d'une chaleur presque reposante. Un feu inconnu me consumait ! Je n'aurai jamais cru avoir un tel plaisir et je ne me privais pas de l'exprimer je me remarquais que je hurlais presque ma jouissance divine ! Sa bouche...hum ! Les vas et viens devenant de plus en plus rapides je pouvais pas m'empêcher de gémir tout mon plaisir.
- Raphael...je...arrête je vais...AAH!! 
Je me suis déversés dans sa bouche sans pouvoir me retenir plus longtemps, je n'osais pas ouvrir les yeux de peur de voir son regard sur moi, j'avais honte de ne pas avoir put tenir plus longtemps !
- Quel regale..., dit il en revenant sur moi
- Je suis désolé...
- De quoi ? Tu as été super...elle est superbe ! Dit il en me taquinant
J'ouvre les yeux et le voit se lecher les doigts d'un air encore plus coquin, suivant le moindre geste de ses lèvres sur ses doigts j'en avais presque envie de bander à nouveau ! Je me suis secoué un peu la tête en voyant qu'il revenait m'embrasser passionément. Je ne regrette vraiment pas...cette félation était la meilleure que j'ai jamais connue ! Lorsque que j'entends soudainement sonner à la porte suivit de coup donner dedans.
- Vincent c'est Klay ! Ouvre je vais pas te laisser tout seul ! 
Quel boulet ce mec !! BORDEL DE MERDE ! Je regarde Raphaël se redresser me tendant mon boxer, je me suis rhabillé au plus vite pour ouvrir à cet imbécile qui ne cessait de défonser cette pauvre porte. 
- Quoi ? Je dis en ouvrant la porte agacer par sa venu non désiré
- J'ai apporté une pizza et des DVDs j'allais pas te laisser seul ! 
- Je suis pas seul, je dis tout sourire
- Ah c'est qui ?
Klay rentre sans même que je puisse dire quoi que ce soit il bloque quand il voit le prof assis naturellement sur le canapé où j'avais subit ce priliminaire trop vite interrompu, il pose les chips sur ma table de salon et se retourne étonné en me regardant. Je détourne le regard un peu honteux de les voirs comme ça tous les deux à me regarder bizarrement, j'y suis pour rien moi ! 
- Désolé de t'avoir déranger ! Tu discutais avec...monsieur Culigan
- Oui on parlait de mes grosses difficultés en maths ! 
Raphaël fume tranquillement puis se lève  et prend sa veste, je suis tenter de le supplier de rester mais ce conard de Klay est là planter comme un piquet avec sa pizza et ses DVDs. 
- Moi aussi j'y vais ! Dit il soudainement
- Au revoir Vincent, me dit mon professeur sans me lancer un regard
Est-ce qu'il m'en veut ? Klay part sans une réponse de ma part, je suis bien trop occupé par espérer de revoir Raphaël le plus vite possible ! J'ai peur qu'il m'en veut. Je m'avance vers ma fenêtre et le voit se diriger vers sa voiture, d'un pas léger et assurer. Il me rend dingue ce mec. Je souris béatemment en repensant à ce qui vient de se passer sur ce canapé lorsque je remarque des clés sur celui-ci. Merde ! Il a oublié ses clés ! Je les prends à la vitesse grand V et dévale les escaliers rapidement. J'oublie ma veste en haut et je me retrouve tremper à peine sortit du hall de mon immeuble, je cours vers le parking et l'aperçois enfin. 
- Monsieur Culigan vous avez...
Il est là, c'est bien lui, devant sa voiture noire, lui en train de parler avec Klay qui n'a pas l'air content jusqu'à ce qu'il l'embrasse fougueusement...comme il m'embrassait tout à l'heure,mon coeur se serre,la pluie fracassant le sol raisonne en moi,les clés tombent de mes mains et je n'ose même pas bouger. Le temps se fige ? Ou c'est moi qui sombre ? Ils me remarquent enfin, tous les deux. Ils me regardent bizarrement, Klay semble honteux et gêné, mon professeur lui...me regarde comme si je n'étais plus rien. Je ne suis plus rien...comment j'ai put être aussi con ?
- Vincent c'est pas ce que tu crois enfin...je veux dire que ! Enfin on s'aime tu sais même si c'est mon prof je l'aime tu comprends n'est-ce pas ?! Me dit Klay tout paniquer
Il croyait que mes épaules s'alourdissaient parce que je venais de surprendre un professeur avec son élève alors qu'en fait je venais de surprendre mon professeur avec un autre élève...mon professeur.
- Vous aviez oublié vos clés, dis je articulant à peine
Je jette les clés vers eux et fait demi tour, mes jambes avançaient toutes seules car je ne sais pas où j'étais exactement. Peut être étais je rester là sous la pluie à me ressasser la scène de notre ébat puis le baiser qui me brisa le coeur. Arriver dans l'entrée de mon hall je n'ai même pas pénétrer dans mon immeuble, j'ai continué tout droit, marchant sans savoir où aller, marchant sans savoir quand j'allais m'arrêter...j'étais brisé. Il se fichait éperdument de moi et moi comme un imbécile heureux j'ai cru être particulier alors qu'en fait, il doit se taper tous les petits jeunes du lycée, j'étais un imbécile heureux de plus. Comment j'ai put être aussi con ? Aimer un homme ! Quel idiotie ! Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que...je pleure ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 15:03

                          "BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPPPPPPPP" " BOUMMM"
Le premier bruit c'était mon réveil, le deuxième c'est que je dois en acheter un nouveau. Je me lève lourdement, j'ai l'impression de ne pas savoir où je suis mais je sais en tout cas c'est que je dois aller en cours. Doucement mais surement j'atteint ma douche et allume le jet pendant que je me déshabille, l'eau coulant sur mon corps frèle, une peau laiteuse, pas assez musclé ni trop maigre. On me disait souvent que j'avais un corps de fille, ma corbure de rein en faisait baver plus d'un aussi hétero soit il, je ne ressemblais pas non plus à la plus cliché des femme ! Mais j'avais comme ils disaient "un petit cul rebondit". Un frissons me parcourut bursquemment me rappelez de certains événements ne seraient pas une bonne idée, je coupe le jet et sors avec ma serviette autour de la taille. J'attaque mes habits, fait mon sac, retourne dans la salle de bain et avec la main j'enlève la buée de mon miroir. Mon visage aux traits fin, mes lèvres fines et légèrement rosés, mes yeux vert en forme d'amande ; vraiment je ne voyais rien de bien chez moi. Comment ce professeur à put m'embrasser ? 

Ma montre sonne ça sinifie que si je ne pars pas maintenant je vais être en retard pour mon cours de Géo ! Je sors à toute vitesse et prenant bien la peine de fermer à clés et courant presque pour attraper mon bus, c'est ce que j'appelle mon sprint du matin. 

Une fois arrivé devant le lycée si bien ronommé, j'ai senti quelqu'un me sauter sur le dos, me rappellant de la vieille je me retourne un grand sourire au lèvres mais qui s'éteint automatiquement.

- C'est toi Klay...

- Bah qui voulais tu que ça soit ? Rigole-t-il

Si tu savais Klay...si tu savais, ce conard de Culigan c'est barrer toute suite après avoir déposer le plus beau des baisers, il s'est barrer me laissant pétrifier sur place sans un mot. 

- Vincent il faut que je te présente une fille ! 
Klay me tire par la bras soudainement comme pour me sortir de ma rêverie, je devais avoir un visage assez mélancolique pour être aussi presser, cela dit ça ne m'étonne pas...je regrette vraiment ce qui c'est passer la vieille car j'en suis plus malheureux qu'heureux. 
- Je te présente Jena
- Salut, me dit la fameuse Jena
- 'lut, je dis à mon tour
Elle avait vraiment tout de la super belle fille, de long cheveux chatain bouclé, un sourire à faire chaviré la plus grosse des brutes, des yeux noisette absolument craquant. Puis un corps de rêve ! Les formes où il faut le style vestimentaire simple mais qui lui allait tellement bien. Seulement voilà...moi je restais de glace cette fille ne me faisait pas le moindre effet.
- Je suis contente de te rencontrer Vincent, dit elle en rougissant un peu, depuis peu je te voyais traîner avec les autres mais j'avais un peu peur de t'approcher je suis assez timide ! Rit elle de nervosité
- Hum.
Elle devra se contenter des petit bruit signifiant " Ah bon ?" ou encore " Oui", "Non" pour réponse, j'avais vraiment pas envie de lui parler. La sonnerie mis enfin fin à mon calvaire, j'ai put aller en cours tranquillement. C'est définitif je suis bien homosexuel rester de marbre face à un canon pareil n'est pas normal, je me dégoute presque. 
- Eh psst ! 
Je me retourne sur ma gauche, je voit Klay à quelques mètre de moi me faire des signes pour que je le remarque, je le regarde les sourcils levés l'air décomposé, je ne sais pas trop si j'ai encore envie de venir en cours (j'en ai jamais eut envie.). Il essaye de me mimer quelques chose et ce que je comprends c'est "Toi...soirée...ce soir". Il veut que je vienne à une soirée ? Mauvais plan j'aime pas les grosse fête où tout le monde ne me connait pas, parce que je sais que je vais me faire draguer par n'importe quoi y compris les mecs. "C'est HORS de question" je lui ai mimer à mon tour, il fait une mine boudeuse et me sourit pour rattaquer les cours passionnant du prof gras et laid. Aujourd'hui je n'ai pas maths et c'est presque une bénédiction de ne pas le voir, je suis trop déprimé pour lui faire face j'ai pas envie qu'il me pose des questions ou pire ! Qu'il m'ignore. C'est donc dans la même morosité que je fini mes cours de la journée arrivant maintenant bientôt à la fin, je suis pressé de rentrer chez moi et de m'affaler devant ma télé pour m'endormir devant et me reveillé avec un mal affreux à la nuque parce que j'aurait dormi la tête sur le accoudoire. Comme d'habitude je suis le premier à sortir de classe, le professeur ne dit rien lui, aucun ne se préoccuper de moi si je prends mes cours t'en mieux sinon t'en pis. Je cours dans les couloirs (je passe ma vie à courir) espérant dans mon fort intérieur de cogner mon beau professeur, mais rien y fait je suis arrivé devant mon arrêt de car à temps et en plus je n'ai bousculé personne j'ai juste entendu le cri lointain de Klay qui me souhaitait une bonne soirée. Bonne soirée mon cul ! Hop mon plateau télé, mon canapé design que ma mère à choisit, ma écran geant sur N.C.I.S. et voilà que je ressemble à une fille qui vient de se faire plaquer...c'est pathétique.
Tiens je vibre ? J'ai un message pour ceux qui connaisse pas cette expression. Je regarde avec attention c'est Klay "J'arrive". Mais quel abruti ! Je lui ai dit que je venais pas bordel de merde !! Je lui renvois un message pour le prévenir à nouveau et voilà maintenant je suis en rogne parce que j'ai encore espérer que ça soit ce connard de prof mais au fond je sais qu'il a même pas mon numéro ! 
Toc toc
- Bordel Klay je t'ai dis que je venais pas tu te fou de...
- Bonjour Vincent. 
Oh...mon dieu...il est là...il est bien là ! IL EST LA !! J'ai envie de lui sauter au coup mais ça serai suspect et puis il ne m'a embrassé qu'une fois et puis rien est officiel puis qu'est-ce qui me prend je sors pas avec des mec ! Oui mais lui c'est pas n'importe quel mec...enfin merde je suis perdu ! Je reste bouche baie devant l'encadrement de la porte et le laisse entrer tranquillement. Ses yeux font un tour d'horizon, ses yeux perçant parcour mon chez moi doucement avec un léger sourire. Je finis par fermer la porte et m'avancer doucement vers mon canapé, il regarde en ma direction en suivant mon trajet. 

- Vous voulez quelque chose à boire ? Je demande innocement en prenant mon plateau

Il ne me répond pas je pose mon plateau sur le comptoire de la cuisine et revient comme si j'attendais une réponse mais tout ce qu'il affiche c'est un petit sourire sur le coin des lèvres.

- Vous voulez autre chose ? Je demande moins innocemment

- Tu me provoque Vincent ? Dit il en avançant  vers moi

De reflexe j'ai recule brusquement pour m'écraser assis sur mon canapé regardant mon professeur. Il se place entre mes jambes sans me quitté des yeux toujours avec son sourire, il enlève sa veste noire longue pour la pose à côté et dévoile une chemise blanche sortant du pantalon, le noeux de cravate complètement défait, il ressemblait à un acharner du travail qui venait de finir un boulot épuisant. Je déglutis difficilement face à ce bel homme, ces long cheveux noire tombaient sur ses épaules comme une cascade, ses yeux marron/rouge me fascinaient, ses lèvres fines et humides m'attiraient de plus en plus. Et voilà il n'en fallut pas plus pour que je bande...mais je n'osais rien faire j'étais omnibuller par lui. Je remarqua qu'il eut comme un sourire satisfait et doucement il se posa sur moi en califourchon, encore une fois je ne bougeais pas je le laissais faire. Il était bien plus carré que moi, sans non plus trop l'être il avait la physionomie d'un homme moyen mais je ressemble quand même à un cur-dent. Avec une douceur incomparable il posa sa main sur ma joue remontant dans mes cheveux, il dessinait les formes de mon visage avec ses yeux et son sourire avait disparut laissant place à une simple analyse des courbes de ma figure. Il avait un regard doux et protecteur, quelque chose que je n'avais jamais connus, mon coeur battait la chamade chaque mouvement de sa main sur mon visage, j'ai fermé les yeux de bien être. Jamais je ne m'étais senti aussi bien, jamais je ne me suis senti aussi...aimer ? Quelque chose de chaud et humide s'est posé sur mes lèvres, je reconnus toute suite les siennes pour les avoir gouter la vieille, je reconnus toute suite la tendresse dont il faisait preuve...quelle béattitude. Comment pouvait il me rendre aussi heureux ? Je planais presque. Il s'est rettiré de notre baiser devenu trop fougueux mais sans me lacher des yeux il a retrouvé un sourire tendre pour enfin se retiré de sa position et se remettre debout. 
- Monsieur Culigan je suis un peu perdu..., dis je en reprenant mes esprits
- Comment ça ? 
- Mais voyons vous êtes professeur ! 
- Bonne déduction mais encore ?
- Je suis votre élève et je suis mineur vous n'avez pas peur d'avoir des problèmes ? 
- Tu as peur toi ? Il me demande avec un sourire réconfortant
- Oui, dis je tout doucement en baissant la tête
J'ai peur monsieur mais ce n'est pas des autres, c'est de vous ! Si jamais vous ne voulez plus jamais me voir j'ai peur de ne pas m'en remettre. 
- Peur de quoi Vincent ? Dit il en s'accroupissant devant moi
- Je...je sais pas...
- C'est vrai que je suis professeur et toi mon élève mais peu m'importe on fait rien de mal je t'ai juste embrassé je vois pas le problème.
Juste embrassé...
- Oui mais monsieur Culigan
Il se penche vers moi sans sourire mais en gardant un regard doux. 
- Appelle moi Raphaël quand nous sommes seul ça serai mieux non ? J'ai l'impression d'être vieux quand tu me parles comme ça après tout je n'ai que vingt sept ans.
- Raphaël ? 
- Oui il y a un problème ? 
Raphaël...ce prenom ne m'avait jamais sembler aussi beau que maintenant.
  

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 14:30

Merci pour vos commentaire :pp Je vous adore ^^ 

                 Il neige dehors, superbe j'ai gagné le droit de marcher à pied parce que cette merde téléphone n'a plus de batterie !! C'est quoi cette soirée de merde ?! Ils ont décidés de s'acharner sur moi ou quoi ? Bon allée on reste zen et on marche dans le calme laisse popole redescendre petit à petit, si tu ne penses pas à lui il va rejoindre très vite sa position initiale...MAIS JE PENSE A LUI ! Je me met à courir je ne sais pas pourquoi mais j'adore courir, je cours pour m'éloigner le plus possible de cet homme il m'a changé et je refuse de changé ! Je continu de courir sans m'arrêter j'ai pas le droit de m'arrêter ! Plus vite ! Toujours plus vite ! 
- Je te rammène ? 
Une voiture s'arrête à côté de moi, un homme ouvre la fenêtre du passager, il n'est surement pas bourré mais il ne m'inspire pas confiance du tout il a un regard qui me glace le sang, surtout que son regard s'attarde sur la bosse qui s'est formé sur mon jean (qu'on voit à peine). Mon coeur s'emballe c'est bien la première fois que j'ai peur de quelqu'un mais là je me sens vraiment en danger : il a la carrure d'un rugbyman ! Puis je connais pas les américaine le seul homme américain que je connaisse est responsable de cette bosse.
- Je peux m'occuper de ça aussi si tu veux..., dit il en passant sa langue sur sa bouche
Je me remet à courir à vive allure je dois essayer de le semer il me fout les chocottes ce gars ! J'entends la voiture qui redémarre rapidement mais qu'est-ce qu'il me veut bordel ? Tout le monde à décidé d'être gay ou quoi ?! Je continue de courir et reconnais un arrete de bus je regrde derrière moi et ne voit plus de voiture (AMEN) je marche en reprennant mon souffle. C'est une ville de dingue arriver chez moi je vais demander à mon père le déménagement immédiat de son fils chéri ! ...rectification je vais demander à maman. Je vis seul, mon père ayant juger que j'étais assez grand pour avoir mon petit studio n'a pas été contre quand je lui ai demandé. Je me souviens que ma mère avait pleurer mais je ne pouvais pas continuer à vivre avec eux avec l'indifférence de mon père, c'est le pire des cas je préférais encore qu'il hurle sur moi qu'il me frappe plutôt qu'il ne sache même pas que j'existe. Et voilà je me remet à penser à ça...je revois ma mère sourire quand elle apportait mon petit déjeuner je la revois heureuse avec un fils et un mari mais pas un père, non il ne méritait pas d'être père ! Il ne la mérite pas non plus ! Mais ils s'aiment et ils sont bien sans moi...j'ai pas besoin d'exister ils étaient bien sans moi...sans moi...
- T'as voulus me semer ! 
Merde la voiture noire de tout à l'heure ! Je commence à paniquer j'ai pas le temps de courir que le gars sort déjà de sa voiture, je dois faire quoi je commence à paniquer comme une fiote ! J'ai tous les symptôme de l'homosexuel type ça craint...
- Je ne te veux que du bien pourquoi t'as peur ? Il me demande un grand sourire pervers sur les lèvres
J'allais dire quelque chose quand je sens quelqu'un me sauter sur le dos je failli basculer en arrière étonné je me retourne et tombe nez à nez avec le sourire tendre de Mr.Culigan suivit d'un petit clin d'oeil. 
- Je t'ai fais attendre chéri je suis désolé, il dit d'un ton enjoué
Le gars de la voiture noire soupire et part dans sa voiture en trombe comme si ne rien était. Moi je reste bloqué j'aimerai remercier Mr.Culigan il vient de me sauver les miches et c'est pas une façon de parler. Attention : petit cerveau vient de faire une découverte !
* Quelqu'un est contre moi
* Me prend dans ses bras
* M'a appelé Chéri
* Mr Culigan
Il en faut pas plus pour que le caporale se mette en route à nouveau, bravo bravo monsieur...je n'ose même pas faire un mouvement pour me défaire de son étreinte tout simplement parce que j'en ai pas envie, j'ai l'impression qu'il attend qu'on ne voit plus la voiture pour me lâcher. La voiture avance toujours et tourne à la prochaine ruelle ça y est on la voit plus mon rêve va se terminer ici...ici...ICI ! Il me lâche pas ! La bosse commence vraiment à me faire mal j'ai interet de m'écarter de lui sinon je vais faire une émoragie. Je me sens au chaud dans ses bras pourquoi j'aurai envie de m'écarter ? Parce que tu vas faire une crise cardiaque ! 
- Monsieur..., mon cerveau à eut raison de moi je le rappelle à l'ordre
Il ne dit rien et ne me jette pas c'est surtout ça qui me perturbe, ses mains qui étaient sur mes épaules s'écartent pour rentrer dans ma veste et toucher mon torse par dessus le tissu. 
- Monsieur..., dis je d'une voix semblant s'échapper du plus profond de ma poitrine 
Il s'écarte doucement de moi, j'ose même pas me retourner pour le regarder j'ai peur qu'il remarque mon chamboulement mais j'ai surtout peur qu'il remarque mon troisième bras en détresse. Je m'assois lourdement sur un des banc de l'arrêt de bus et attend le prochaine qui ne devrait plus tarder, timidement je tourne mes yeux vers mon professeur il est debout les mains dans ses poches et me fixe sans émotions. Je baisse les yeux de nouveau je sais que mes joues sont en feu tout en moi et en feu quand je le vois lui ! Maintenant c'est sûr je peux pas le nier je suis à fond dans ce type...je suis devenu bi c'est une certitude mais de là à dire gay je ne pense pas...
- Si tu veux je peux te rammener chez toi tu vas avoir froid le bus n'arrive pas avant minuit, dit il en sortant une cigarette
Je vois la fumer s'échapper de sa bouche sensuellement, je me lève et prend la cigarette sous son air étonné je tire une longue taff et recrache comme je venait d'aspirer la plus grand bouffer d'oxygène jamais prise. Je remet sa cigarette entre ses lèvres perplexe restées entre ouverte, je fais bien expret de les effleurer à peine et affiche un sourire de soulagement. Oui une bouffé de nocotine ne m'a jamais rien fait de mal j'en suis heureux ! Je reste face à lui les mains dans les poches attendant qu'il se décide pour bouger, une mintute passé comme ça sans bouger c'est long mais il se décide finalement de me conduire chez moi. On rejoint sa voiture garer pas très loin, une grosse Benz grise métalliser, quel bijoux ! J'adore les voitures ! Celle ci n'est pas loin des trois cent chevaux, vous vous en fichez ? Ok je ferme ma gueule. Je pose donc mon cul sur ses sièges en cuir noire, il a encore la cigarette dans la bouche et démarre doucement. 
- Tu ferai bien de m'indiquer où tu habite, dit il d'un ton ironique
Je lui fait des signe pour tourner dans les route à suivre, enfin j'ai finit il a trouver l'immeuble dans la quelle je logeais. Je souris lui demande une cigarette mais il ne semble pas vouloir me donner un petit remontant, il ne me rend pas la tâche facile. Je soupir et approche ma main de son pantalon pour tater voir si le paquet était là, content de voir que je le destabilisais je ne me suis pas gêner pour être plus long. Je remonte les mains dans son veston je trouve enfin une poche avec l'objet désirer je sors une cigarette et la met dans ma bouche je sors de la voiture sans un "au revoir" ni un "merci". Je l'allume à quelque pas des marche qui montent dans mon immeuble, chaque nouvelle bouffé est un peu de stresse évacué. J'entends une portière claquer, Mr.Culigan arrive derrière moi avec sa cigarette dans la bouche, un air froid mais très calme ! J'admire son calme. Moi j'ai un sourire sournois sur les lèvres j'adore le provoquer, c'est à mon tour de le destabiliser il s'est assez joué de moi. J'ai remarqué tout à l'heure qu'il avait été beaucoup trop proche quand il me prennait dans ses bras se pourrait il que lui aussi soit attirer par mon corps trop frèle ?
- Il me semble ne pas avoir entendu un merci venant de ta bouche, dit il toujours aussi froid
- Vous êtes sourd monsieur alors, me moquais je 
Un courant d'air fit virvolté ses cheveux long j'en était éblouis par sa beauté incomparable, il regardait à sa droite jeta sa cigarette rapidemment il franchi les quelques mètres qui nous séparait pour être en face de moi, beaucoup trop pret à mon gout, son corps collait littéralement le mien. D'une voix sensuelle il s'approcha encore de ma bouche qui frémissait à l'idée que la sienne ne soit qu'à quelques centimètres.
- Je veux l'entendre encore une fois...
Sans que je puisse dire quoi que ce soit il s'empara de mes lèvres tremblantes pour m'embrasser tendrement. Je n'ai jamais ressenti autant de magie dans un baiser, sa main droite était sur mon visage touchant mes cheveux châtain qui volaient également sous le vent.


Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
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est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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