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Danouch's MAJ :
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  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

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Le contenu de ce blog peut être choquant avec des propos sexuels, injuriant, cru, violent, yaoi, incestueux, délirant, erroné sur des informations réelles, raciste, etc...



Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 13:39
thyociexp108.gif LINO THE WARRIOR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tu as compris
les phrase en gras et en italiques sont des références à son passé !
En conclusion David n'est pas le frère de Samuel !! OH lol

Mais c'est bien Julien son frère...


La suite dans le prochaine épisode
Par Danouch - Publié dans : Post it de Danouch =)
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 21:23

                                        455.jpg   " Je croyais que tu m'aimais et tu m'as tourné le dos pourquoi ? C'est mal d'aimer ? Tu regrettes ? Est-ce que c'était une erreur ? Suis je une erreur ? Réponds mon grand frère."

 

     Une fin de semaine épuisante pour le génie de la Genèse.Corp. Encore des clients gagnés et des négociations toujours plus fructueuse et pourtant Samuel n'avait pas le sourire.

Un verre de Scotch à la main comme à son habitude et les pensées loin de ce bureau au centre de Londre, le regard sérieux mais encore trop frivole pour être celui du grand Anderson il porta bientôt ses prunelles couleur charbon sur une magnifique tableau au dessus de son mini bar.

" Quel idiot..." Il pensa en se serrant les dents.

Les événements passés vinrent soudainement à l'esprit de Sam comme une boucle incessantes et obsédantes de mauvais souvenirs. Mauvais ?

Leur baiser était si profond. Non ils n'étaient pas mauvais mais trop court.

Il s'assit à nouveau sur son siège en cuir faisant couiner le tissu, le regard toujours dans le vide de verre en verre, il sentait déjà l'alcool lui atteindre les neurones et le rendre dingue.

David le rendait dingue ! Il n'avait fait que penser à lui de toute la semaine ! C'était une torture. Trop honteux pour aller le voir et bien trop timide ce qui est pourtant rare dans les défauts de Anderson. Il pencha sa tête en arrière et soupira un long moment, la tête lourde mais le corps chaud et reposant il s'imaginait déjà les pires horreurs que David lui aurait dit si jamais il s'était représenter penaud devant lui.

Quel honte.

Camille savait bien ce qui se passait dans la tête de son patron et ami, elle ne l'avait jamais vu aussi embarrasser mais elle ne pouvait pas cacher son enthousiasme à l'idée que Sam reprenne enfin goût à la vie ! Et croit à nouveau en une autre relation.

Dieu sait comme il ne croyait plus rien après le départ de Julien, elle même avait vu l'horreur que l'absence de celui qu'il aimait avait engendre. Sam était devenu un machine, sans sentiment, un monstre qui n'enlevait son masque que la nuit lorsqu'il pleurait à chaudes larmes sur les épaules frêle de la jeune maman. Samuel était plus important qu'un ami aux yeux de Camille, rien que d'y penser elle sentait son coeur se serrer dans sa poitrine et les larmes lui brûler les yeux.

Son regard se posa ensuite sur le combiner, aurait-elle l'audace de l'appeler sachant qu'il doit sûrement ce saouler ou bien méditer sur sa conduite ?

- Excusez moi, demanda une voix masculine face à elle

Elle redressa vivement le visage quand elle croisa les yeux cristallin, d'un bleu pénétrant elle rougit en voyant le doux sourire qu'affichait son interlocuteur. Finalement elle n'aurai pas à appeler son patron pour savoir comment il va.

- Je préviens monsieur de votre arriver ? Elle demanda un sourire accueillant sur le visage

- Non je veux lui faire la surprise.

Elle échangea un regard complice avec David qui malgré l'assurance qu'il montrait, tremblait à l'idée de revoir le visage délicat de Sam. Autant que lui, il n'avait pas cesser de penser à leur léger baiser, un simple baiser qui avait animé un véritable feu de forêt dans son esprit. Sachant très bien que Sam ne viendra jamais le voir il prendrai les devant ! Il ne pouvait pas rester là à l'attendre, non il ne pouvait c'était bien trop frustrant.

Il avait besoin de le revoir.

Il prit un grande inspiration et d'un geste simple et silencieux il ouvrit le porte du bureau, il cru à l'apparition de la beauté incarner quand il vit son visage si calme, si reposer, le teint laiteux et les cheveux contrastant avec ses lèvres légèrement rosés. Ses yeux fermés, Samuel se tenait sur son siège la tête en arrière, sa poitrine légèrement soulever par ses respirations régulières.

Hank n'avait jamais été aussi chambouler par quelqu'un de toute sa vie.

- On dort pendant le boulot ? Il dit d'une voix bien placé

Sam eut un sursaut à l'écoute de ce bourdonnement, il se redressa fixant de stupeur celui qui se tenait sous le pas de sa porte, les mains dans les poches d'un pantalon blanc à pince qui lui allait à ravir et une lèvre chemise blanche ouverte sur les trois premiers boutons.

- David..., il murmura à peine

Il regarda autour de lui, gênée et ne sachant plus trop quoi faire il se contenta de se lever doucement pour s'appuyer contre la grande vitre derrière lui.

- J'étais un peu fatigué.

- Ou perturbé.

Anderson se sentirai-t-il prit au dépourvu ? Sa venue surprise n'était pas non plus des plus normale mais malgré son étonnement et sa pudeur soudaine, il était heureux. Tellement heureux de le revoir, un léger sourire au coins des lèvres ce qui n'échappa pas à l'oeil de lynx de David.

Alors ça lui faisait plaisir, se disait il, Dieu merci. Soulager et maintenant le stresse évacuer David reprit son rôle d'ange providentiel, il s'approcha délicatement du corps qui réclamait le sien ! Un appel si puissant qu'il ne pouvait l'ignorer.

Samuel se sentait défaillir voyant très bien les flammes dans les yeux de son vis à vis, cette tension était palpable, ce désir l'un de l'autre était presque trop effrayant. L'attraction était une évidence mais Samuel en avait peur, son corps en tremblait entièrement et il ferma les yeux espérant de tout son coeur qu'on ne remarque pas sa gêne et ses joues prendre feu aussi vite d'un brasier de forêt.

- Tu m'as manqué...

La voix de David semblait lui chatouiller l'oreille alors qu'il était encore à quelques mètres, son coeur raisonna dans tout son être Sam devait reprendre le contrôle tout son corps se crispait. Il pinça ses lèvres fortement pour le faire redescendre sur terre, il ravala sa salive difficilement et c'est dans l'espoir de se contrôler qu'il ouvrit les yeux plongeant son regard noire dans le bleu abyssale de David. Une telle attraction devrait être interdite.

Alors que le corps de Hank se trouvait à quelques centimètres du sien les pupilles dilatés de Sam s'égarèrent sur le corps musclé s'approchant dans une lenteur calculé, ses épaules larges, ses lèvres douces, ses cheveux de soie, ses main fermes et pures, sa marche assuré et sa voix sensuel. Le plaisir l'envahissait peu à peu, sentant déjà ses picotements particuliers au bas du ventre.
Content de sa dominance, David n'arrêta pas son avancer pour autant. Le regard doux et calme il ne montrait que le simple envie de lui. Ni bestiale ni trop doux, ses pas était fluide et le temps s'arrêtait pour les deux. Très vite son corps se colla à celui de son aîné qui déglutissait tant bien que mal sentant les respirations de Hank.

L'anxiété se mélangeait au désir dans les yeux et David le savait bien, tellement fier de sa présence imposante il adorait voir Samuel perdre ses moyens lui qui était inébranlable en temps naturel. Il sentait déjà les formes musculaires fine à travers le chemise qui vint caresser de l'index. Le sang de Sam ne fit qu'un tour et rapidement il s'éloigna mettant fin à leur étreinte étrange.

- Tu as soif ? Il demanda stresser

David sourit. Il était tellement craquant quand il tentait de fuir, tellement attirant.

Il s'approcha d'un pas plus pressé et colla à nouveau son corps au dos de son ami, Il passa ses main doucement sur les hanches faisant frissonner Anderson. Il se sentait totalement livrer au bon vouloir du beau blond qui profitait de sa supériorité. Ses mains passèrent lentement vers le haut de son torse caressant le tissu fin, il déboutonna les premiers boutons passa simplement ses lèvres dans le coup du brun.

Pas de baiser, juste la pression de ses lèvres qui glissait sur sa peau de satin. Son odeur l'enivrait et le faisait quitter la terre ferme pour un monde de désir charnel. Il le retourna doucement et constata que Sam était également dans un état second. Les yeux fermés il appréciait à sa juste valeur les caresses de David. Son visage fermer et serein était si étrangement doux, couleur neige Hank se risqua à le toucher du bout des doigts redessinent la moindre de ses formes faciales.

Dans la tendresse David souleva Sam pour le faire s'asseoir sur le mini barre renversant l'un des verres, Il vint passer sa bouche à nouveau dans son coup suivit de ses doigts fins reniflant  la fraîcheur de son épiderme, profitant pleinement de se contact apaisant. Une vague de bonheur et de bien être l'envahissait et se laissa maintenant guider par son instinct fermant les paupières un sourire sur les lèvres.

Sam avait la tête légèrement pencher en arrière, les bras touchant sa taille, la bouche entre-ouverte laissant un souffle plus saccadé s'échapper. La bouche pulpeuse de son ami le couvrait d'une couche de plume, l'air ne lui avait jamais sembler aussi respirable, le temps ne s'était jamais autant ralentit. Les mains de David remontèrent jusqu'à sa nuque et tout en partageant un regard plongeant il descendit la chemise de Sam découvrant ses frêles épaules immaculés qu'il caressait sans lâcher des yeux le brun.

Samuel ne pouvait attendre plus longtemps ! Il attira le visage angélique de David pour prendre possession de ses lèvres et leur échange était passer à la vitesse supérieur. Sam enleva cette cravate du cou du blond la faisant tomber naturellement sur le côté, il entoura son bassin de ses jambes pour le serrer encore plus contre lui prit d'une fougue irrassasiable. Son torse maintenant mit à nu, Sam pouvait le contempler d'un regard dévorant, il toucha la démarcation de ses pectauraux* redescendant jusqu'à abdos et pressant sur le pantalon. Il caressa débord le tissu avant d'enlever la ceinture et la jeter plus loin.

Aucunes paroles n'étais nécessaires, ils se se comprennent par le dialogue de leur corps, tous les deux les bras l'un dans l'autre s'embrassant fougueusement, passionnement, langoureusement ! Sam en oubliait ses peines, son passé, il oubliait tout ! David était son ange et personne n'aurait put les arrêter à cet instant précis.

Sam se redressa, sans lâcher les lèvres de son vis à vis, il se faisait beaucoup plus entreprenant et dans un sourire malicieux il arrêta son baiser pour embrasser son corps. Reculant de plus en plus, David se cogna contre le bureau et se tenant fermement aux coins, il sentait déjà tout son être en ébullition et Sam l'avait bien senti. Le laissant faire il sentit très vite qu'il ne portait plus rien et que les mains de son ami lui caressait l'entre jambe.

Un petit rire se fit entendre jusqu'à ce qu'il sente une douce chaleur lui envelopper le sexe. Ses yeux s'écarquillèrent de bien être et surprise, il aurait put le crier  mais il se contenta de gémir et raidir ses jambes sous le plaisir. La bouche de Sam était si chaude, si électrisante qu'il cru d'abord à un rêve.

- OOOh Sam..., il n'arrivait plus à contenir ses mots, OOh putin...humm...


Samuel avait prit ses lourds gémissements pour des messages, il accéléra la cadence totalement aveugler par le désir et le plaisir ses craintes et son angoisse était cacher derrière son érection douloureuse.

- Sam je...

Samuel avala la semence de David avant de venir lui faire partager le fruit de son plaisir se collant encore plus fortement lui, Hank ne tarda à avoir une nouvelle érection. Les mains de Samuel étaient devenus omniprésente, douce et délicate, rapides et insistantes ! David n'avait jamais vécu une tel fusion ! La pièce elle même baignait dans leur échange bouillant, les gouttes de transpirations ne tardèrent pas à apparaître.

David sous la pression du corps insistant de Samuel finit par se coucher à même le sol emportant avec lui Anderson qui en voulait toujours plus ! Encore et encore, il était tellement doux avec lui.

Savait il que David ne l'avait jamais fait avec un homme ?

Les yeux humides de plaisir, Samuel lâcha la bouche du blond respirant tous les deux difficilement. Lui demandait-t-il la permission ? Pour toute réponse David serra encore plus son bassin nu à celui de Sam avec leur deux érections collées l'une à l'autre. Il pris possession à nouveau de ses lèvres caressant du pouce la courbe de son dos. Samuel introduisit un doigts dans l'orifice de son ami qui sous l'effet mordit la langue du brun.

Le sang se mélangea à son tour à ce baiser torride, remuant en lui Samuel ne pensait plus à rien mais il était certain que David Hank était puceau et qui plus est très étroit.

- Je vais y aller doucement....

Lâcha Sam d'un souffle récupérant de l'oxygène.

- Quel courtoisie, sourit David en caressant d'une main la raie de Sam qui s'en mordit la lèvre inférieur. Sans prévenir et sans attendre plus il pénétra doucement David qui cria de douleur, son visage déformer par le mal reprit une teinte un peu plus normale au bout de quelques seconde. Sam resta un instant sans bouger se sentant mal de l'avoir fait pleurer, il voyait bien une larme perler sur le bord de ses yeux océaniques.

David prit de grande bouffer et Sam commença ses vas et viens doux, au bout de quelques secondes Hank avait changer radicalement de visage pour des yeux crispés de jouissance et le souffle chaud caressant le torse élancer de Sam.

Il avait presque toujours été l'actif dans ses rapports et la pénétration était vraiment le sommet de l'extase ! Les fesses rebondit du beau blond le rendait dingue et la cadence ne faisait qu'augmenter arrachant aux deux des gémissements de plus en plus poussés finissant par jouir en coeur et se reposer l'un contre l'autre. Les deux torses collés et soulevés par une respiration coupée.

Samuel sentait déjà la réalité lui déchirer le coeur, qu'allait il advenir d'eux deux ?



Détestes moi Sam ! Détestes moi ! Notre amour est impossible. On a pas le droit; tu es mon frère.


* ON s'habitue à mon orthographe pourrit ! XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD 

Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 18:58

Sanzo_n_Gojyo_by_danny_boy.jpg Je vais vous faire une suite ce soir que j'avais déjà faite ! 
Malheureusement j'ai eut un probleme et ça a pas sauvegarder je peux vous dire que j'avais les nerfs ! 
J'avais mis tellement de temps à la faire ! Je suis carrement dégouter.
C'est pour ça que j'ai été un peu longue désolé.
Bisous

Par Danouch - Publié dans : Post it de Danouch =)
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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 02:46

thsimba.gif
Voilà je voulais remercier tous ceux qui lisent mes fictions !

Je sais que j'ai un peu de retard ! Même beaucoup mais je vais essayer d'être plus présente. 
Je vais donc répondre au quelques commentaires que j'ai réçu par de nombreuses personnes.

Aby : On peut dire que moi aussi j'aime pas ceux qui sont pas rancunier mais des fois je peux pas m'en empêcher ! LOL C'est vrai je suis peut être sadique avec mes personnages mais plus ils pardonnent vite et plus dure est la chute...è.é niarkkk

Jjk : héhé ! Te revoilà enfin ! T'as de nouveau donc ton ordinateur je suis contente ! Je vais passer lire ton nouveau chapitre j'ai pas encore eut le temps d'y faire un tour à bientôt.

Mahea : ç__ç une fan ! Enfin une fan !! AAAAah je suis trop émue !! Moi aussi je suis fan de tes écris surtout de tes lémons ! Moi j'ai encore un peu de mal je redoute de pas être à la hauteur. D'autant j'y arrive bien avec les couple hétéro d'autant les lemons yaoi demandent beaucoup de sensualité de HOT ambiance ! LOL C'est bien ce qu'on appel un lemon.
LOL

Ondine : Youpiii lol Je crois que j'avais commencer à lire tes histoires aussi et je les avais A-D-O-R-E-R ! Merci pour ton soutient. 
Biz

Gabi : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh *s'incline* j'adore ton histoire "entre deux monde" j'en suis carrement accro ! A tel point que je l'ai relu LOL J'en suis total FAN !!! AAAAAAA
Ta présence est honnorable ! 

Lino : Yo ma pochtrone !! Quand est-ce qu'on se fait une pendaison crémayère ?? XD 

Min : t'es passé où ma chérie ??? ç__ç tu me manque beaucoup..

Chizu : Bienvenu ! Merci de lire mes fiction ! Je suis vraiment contente qu'elles de plaisent ^^ 



Voilà ça fait pas beaucoup de lecteurs mais pour moi c'est ENORME ! Je vous aime fort !!! ^^

pix : parce que j'aime le Roi Lion, parce que j'aime mes souvenirs d'enfants, parce que je pleure tout le temps quand Mufasa il meurt ç__ç

Par Danouch - Publié dans : Post it de Danouch =)
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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 01:47

                         Je le repousse violemment et me redresse une colère noire me couvre petit à petit le coeur.
- Pour qui tu me prends hein !!? Je cri
- Quoi ? Dit il étonné par ma réaction
- Qu'est-ce que tu crois ? Que je vais te sauter dans les bras ? Que je vais tout effacer et recommencer avec toi ! 
- Oui.
Furieux je lui met un gifle pour son audace même si j'aurai voulus lui mettre mon poing dans la gueule, j'avoue qu'une gifle fait un peu femme effarouchée.
- JE ME SUIS JAMAIS SENTI SI MAL DE TOUTE MA VIE ! J'EN ETAIT REDUIT A VOMIR DANS DES CHIOTE POURRIT COMME UN DROGUE !!!
Il baisse la tête doucement gardant son aire têtu et bourru n'admettant pas que c'était de sa faute.
Il se lève brusquemment et me jette mes habits au visage en claquant la porte derrière lui. Je les enfile en fulminant l'injuriant de tous les noms au plus profond de mon égo blessé ! C'était pas à lui de faire la tête !!! C'est moi qu'il a abandonné et pas l'inverse ! Je l'ai pas laissé comme une merde dans un moment difficile, moi.
Bordel que j'aurai put l'étrangler si il était devant moi mais je préfère partir sans me retourner, je veux plus jamais le revoir, plus jamais lui parler, pas même le voir en peinture ! Impossible je brûlerait la toile jusqu'à ce que je vois dégouliner le liquide chaud effaçant son sourire sournois qu'il arborait avec tellement de fierté.
Je claque la porte de l'entrée et dévale les escaliers à toute allure, je me retrouve très vite dans la rue, le froid me poignarde brusquemment j'avais oublié ma veste au haut mais quel tâche ! 
Puis merde t'en pis.
J'enfonce mes mains dans les poches et retrousse les épaules comme pour me protéger les oreilles du vent, les passants ne font pas tellement attention à moi à New York voir un homme sortir avec un fin pull gris en cole rouler n'était pas très anodin certains trainaient même en t-shirt pour se faire remarquer.
Le ridicule ne tue pas, tout est bon à prendre pour se faire remarquer dans la ville où tout est possible.
Je presse le pas sentant que petit à petit mon corps se frigorifiait sous le vent froid, la buée qui sortait de ma bouche se faisait de plus en plus régulière j'étais presque en train de courir jusqu'au prochaine arrêt de bus. 
Raphaël n'habitait pas tout prêt de chez moi, il était presque à la sortie de la ville quelle idée d'emmenager si loin de son lieux de travail en plus ! 
Merde ! Je m'étais juré de ne pas repenser à lui pourtant j'ai l'impression que quelque chose change dans ma colère noire, une petite pointe de culpabilité me pince le coeur en revoyant son regard attristé, maladroit, têtu...blessé. Non ! T'as aucune raison de t'en vouloir Vincent ! Aucune vraiment aucune.
Le bus arrive enfin je rentre le plus vite possible à l'intérieur et paie le chauffeur avant de me placer au fond callé contre les parois du bus, m'entourant de mes bras. Je regardais les rues défilées jusqu'à ce que j'arrive enfin à mon arrêt il ne me manquait plus que quelques minutes de course pour arriver dans mon appartement au chaud, respirant le bonne odeur de la bougie à la vanille...
- Oh non...
LA BOUGIE !!!! 
Je cours comme un dératé à en perdre le souffle, je manque de tomber plusieurs fois, le coeur accélérant chaque seconde un peu plus, le souffle devenu roque et dur. Je cours sans m'arrêter.
La bougie, je l'ai pas éteinte ! Merde si jamais...oh non mon Dieu ne me faite pas ça !! Je vous en supplies ! Pas ça !! 
Tout mais pas ça.

- Monsieurs Mayon ! Vous ne pouvez pas entré dans votre appartement.

Je fais signe au receptioniste de se taire, paralysé, je vois les gens s'agiter, les lumières du camion des pompiers, des personnes qui se regroupaient petit à petit autour de l'immeuble crachant mes meubles hauts-gamme. Je voyais mon petit mobilier étendu par terre, carboniser, il est possible que ma bougie est attaqué le bois après conbustion, que la table ai pris feu mettant ainsi le canapé, le tapis...
Je suppose que ce sont des choses qui arrivent.
Tétaniser, je m'avance doucement, le pas lent et lourd, mes yeux perdu dans la vague.
J'étais maudit, il n'y avait pas d'autre explication.
Instinctivement je me suis dirigé vers un petit restaurant où je mangerai ce midi, mais où irai je ce soir ? Dans une chambre d'hôtel ? Mes cours, mes livres tout ça étaient maintenant dans les airs retombant bryamment sur le sol. Comme je tombais une fois de plus sur ce même sol écraser par le poids des mal chances accumlés.
A ce rythme là j'atteindrais des puits de pétroles d'ici une semaine.
- Je vous sers quoi ? 
- Le plat du jour s'il vous plait, dis je sans vie et sans ton
A peine articulé, la femme arque un sourcil puis s'en va hurlant au chef ma commande, le bruit des cuissons parvenaient à mes oreilles et l'odeur des steak grillés à mes narines. Très vite tous ses sens seront en contact avec un plat typiquement Américain : steak frites.
Tout mes biens viennent de partir en fumés j'essaye de me vider l'esprit mais très vite se sont les larmes qui viennent se vider de mes yeux, sans vraiment avoir de la peine la pression de tous ses évenements me faisaient perdre l'espoir d'un jour être tranquille. 
Quand tout ceci s'arrêtera ? Quand est-ce qu'enfin j'arrêterai de pleurer ? Saloperie de vie, tous mes rêves brûlent aussi à leurs tour. 
- On peut pas dire que t'ai la forme.
Je relève les yeux humides, j'avais vraiment touché le fond et voilà qu'il se rammène ! C'était vraiment pas le moment.
Je me lève pour partir sans même lui adresse un signe mais il m'aggripe le poignet me suppliant du regard de rester.
- Je m'excuse, lâcha-t-il
Je marqua un temps de pause, toujours fixant ses yeux vermillons puis je me suis rassis les bras croisés reniflant mon chagrin d'il y a quelques minutes.
- Je m'excuses, il répéta, ma dernière intention était que tu t'énerves je t'assure mais quand je t'ai vu sur ce sol, le regard vide...je. Il ravala sa salive, serrant les paupières puis me fixant brusquement. J'ai eu peur Vincent. Je sais que je ne suis pas pardonnable ! Je sais que je t'ai abandonné, je n'aurai pas du être aussi dur mais j'avais vraiment l'impression que tu partais loin de moi et que je n'arrivais pas à te retenir. 
Il s'arrêta comme attendant une réaction de ma part mais j'ai continué de le fixer de la même manière me rappelant de son visage avant qu'il ne me regarde plein d'assurance. Il semblait perdu dans des souvenirs lointain, pas assez lointain apparament. 
- Autant que toi je me suis senti abandonné et je pouvais pas l'accepter. Que cette dépression t'es volé à moi si facilement ma fait découvrir que je...
- Que tu..., dis je en insistant
Le coeur battant la chamade j'avais peur de ce qu'il allait dire mais j'étais tellement exciter au fond que je ne t'attendais plus qu'il dise ces deux petits mots. Allait il les dire ?
- Que je tenais beaucoup à toi !
J'ai regardé l'extérieur évitant son regard, j'étais déçu, finalement il ne ressent pas ce que je ressens pour lui.
- Ma maison à brûler ce matin, dis je ailleurs
- Quoi ? Il me  demande abasourdit
- J'ai laissé malencontreusement ma bougie allumer toute la nuit et voilà.
- Je...je comprends mieux pourquoi tu n'allais pas bien quand je suis arrivé. Il dit étonné
Un simple "hum" à suivit la discussion puis il a finit par rester à manger avec moi parlant de tout et de rien, j'étais malgré moi celui qui parlait le plus ! Même dans un état second, je me sentais bien prêt de lui en sécurité à ses côtés. Il m'écoutait vider mon sac sans broncher, disant une phrase de temps en temps mais pas plus, Raphaël restait quelqu'un de discret et moi je restais quelqu'un d'énergique même briser de l'intérieure. 
Avec lui c'était différent, même la peine empoisonnante ne pouvait rien contre mon amour pour lui. Il avait le code à mon mutisme.
Un simple regard.
Un simple sourire.
Et voila, ma bouche déceler.
- J'avoue que je me sens coupable de l'avoir laisser là bas hier...Il avait la gentillesse d'être avec moi j'aurai dut lui téléphoner m...
- Tu veux venir habiter à la maison ? 
Hein ? 
La fourchette à quelques centimètres de ma bouche avait arrêter son trajet, les mains tremblantes, la bouche toujours ouverte, le temps s'est figé. Son regard perdu vers l'extérieur il répéta sa question qui m'avait rendu si stoïque.
- Tu veux venir habiter chez moi ? 
Cette fois il me fit face, le visage neutre, une simple question exigeait surement une simple réponse.
- Hab..habiter ? Avec toi ? 
- Temporrérement le temps que tu trouves un nouvel appartement. Je vis avec personne de toute manière ! 
- D'accord, dis je ne avalant ma bouché de frites
- D'accord ? Dit il surpris
- Oui.
Il sourit tendrement et avança sa main vers la mienne posé sur la table, je suivait le trajet ralentit par mon subconscient, j'ai reculé ma main de reflexe ! Non c'était trop facile.
- Ca ne veut pas dire que je me remet avec toi.
- D'accord. Dit il en regardant à nouveau par la fenêtre
- D'accord ? 
- Oui.
- Ca t'amuse ? Dis je un grand sourire
- De quoi ? Dit il faignant l'innocence
- De reprendre mes mots ! 
- Tôt ou tard tu ne m'échappera plus. 
Le regard d'un prédateur, le sourire d'un vainqueur, il me fixait comme si j'étais une proie de qualité. Il passa sa langue machinalement sur ses lèvres avec une lenteur calculé, des frissons de plaisir me parcourut l'échine, je me sentais paralysé comme la souris face au serpent. Il m'envoûtait totalement à me rendre dingue ! Mais je céderai pas si facilement.
Etrangement cette colocation me paraissait vraiment excitante, lui résister n'allait qu'augementer deux fois plus notre envie mutelle du corps de l'autre. Rien de tel pour raviver les flammes de l'enfer et la fusion de deux corps en ébullition.
Que la chasse commence.

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 18:17
                                 Nous quittions l'hôpital en fin de soirée, finalement j'étais resté plus longtemps que prévu et Klay était resté avec moi jusqu'au bout. Au lieu d'aller révisé chez moi comme c'était prévu j'ai insister pour qu'on mange quelque chose mon estomac grômelait déjà. Arrivés devant une pizzeria j'ai stoppé net, comme une prémonition je ne pouvais pas aller ailleurs quelque chose m'obligeais à rentrer à l'intérieur. 
Peut être la bonne odeur de la patte dans le four avec la sauce tomate qui me venait au narine.
- T'es un estomac sur patte ! Me dit Klay amusé par ma tête de chien affamé
Je baisse la tête de honte.
- J'ai pas mangé depuis trois jours je suis un peu à l'agonie, dis je dans un rire gêné
Il s'arrêta net de rigoler en voyant que je ne mentais pas pour faire rire, il me regarde intensement comme si il me reprochait mon jeûne.
- Raph...Monsieur Culigan est au courant de ça ? Il me demande 
- Ohoh ! T'emporte pas ! Je suis pas anorexique ! C'est juste que j'ai un peu perdu l'appetit ces quelques jours ! 
Il fallait que je détourne le sujet, je ne voulais pas lui dire qu'avec Raphaël c'était finit. Je ne voulais pas voir son regard de pitié ou bien de victoire je ne sais pas trop comment il m'aurai regardé à vrai dire.
- Vincent réponds moi...
Comment mentir ? Il l'aurai sut tôt ou tard non ? Ne pas le dire voudrait dire que je n'ai pas envie de tourner la page. 
Même si il y a une part de vérité la dedans.
- Nous ne sommes plus ensemble Klay.
Il ne cie rien, pas un mouvement, rien, pas même surpris il me sourit chaleureusement et commande. 
Je suis un peu déconcerté à vrai dire, je m'attendais à tout sauf à ça bien sûr ! Mais c'est mieux ainsi. Je ne veux pas en parler, la blessure n'est pas encore fermer et j'ai besoin de temps pour passer le cap pour oublier ce fragment de ma vie. Ce fragment que j'aime tant. 
Je laisse tomber mon visage dans mes mains, je prends une grande inspiration poussée et sanglote en silence espérant que Klay soit trop occupé à chercher ce qu'il va commender.
- Tu vois quoi toi Vince' ? Il me demande
- Pareil.
Je n'ai même pas entendu ce qu'il voulait mais je ne voulais pas savoir, peu m'importait, c'était une très mauvaise idée de remué ainsi mes sentiments la seule envie que j'avais maintenant c'était de rentrer chez moi pour pleurer comme une adolescente.
Pathétique.

- Bon appétit messieurs, nous dit la serveuse
Je relève la tête, les yeux sombrés, le visage pâle. Magnifique n'est-ce pas ? 
- J'espère que cette pizza te rendra des couleurs tu me fais peur, il me dit en commençant à manger
- Si on révisait en même temps ? Je lui demande
Par tous les moyens je tentais de m'occuper l'esprit. Je ne voulais pas revoir tous mes souvenirs, je voulais tracer un long trait sur mon passé et recommencer à zéro ! Peut être même partir pour une autre ville. New York était bien trop grand pour moi, les gens ici ne m'aiment pas.
Tout en mangeant la pizza je lui refaisais un cours d'espagnol improvisé, il était assez maladroit sur les "s", le fait est qu'entre l'anglais et les langues latines il y a une assez grande différence mais vu que je suis français j'avais déjà commencé à apprendre l'espagnol là bas. 
C'est fou comme les choses peuvent être bizarre, comment une matière aussi ennuyeuse que l'espagnol pouvait me vider l'esprit pendant au moins vingt minute ?
Au moins jusqu'à son arriver. 
- Bonjour une table pour deux, dit cette voix suave
Les gros yeux de Klay m'ont toute suite mis la puce à l'oreille, je vis sa bouche frémir et faire des allées et retour entre mon visage et celui qui se tenait derrière moi. J'ai lâché mon couteau dans l'assiette car cette voix je ne la connaissais que trop bien, mon cadavre en tremblait, mes mains moites et l'estomac noué je ne pouvais plus rien avaler. 
- Bichon par là, dis une autre voix féminine derrière moi
Klay ne regardait que moi cette fois, sa mine déconfite et compatissante me donnait déjà les larmes yeux, ses prunelles humides de pitié confirmaient mes craintes.
Je me suis retourné doucement m'arrêtant en chemin en sentant la main de Klay sur la mienne et sa voix me murmurer un "non" à peine audible. J'ai retiré celle ci pour enfin faire face à Ra...Monsieur Culigan en compagnie d'une femme magnifique pendu à son coup.
La pizza est remonté d'un coup juste à l'entré de ma gorge, je sentais que je n'allais pas tarder à tout recracher. Les larmes m'enbuaient les yeux, la tête qui tourne par le manque d'oxygène. 
Comment pouvait il me faire ça ? Pourquoi est-ce qu'il a fallut que je tienne autant à lui ? Pourquoi tomber amoureux d'un quelqu'un qui ne vous aime pas ? 
Je me suis lévé rapidement, la nausé m'avait gagné j'ai bousculé Raphaël dans ma lancé mais sans faire attention, il fallait que j'aille aux toilettes.  Arriver à l'intérieur j'ai vomis toute la pizza que j'avais ingurgité, la nausé toujours aussi forte j'ai vomis jusqu'à en sortir la bil qui me brûlait la gorge et contractait mon estomac. La bouche dégoulinante de bave et les larmes troublant ma vue je ne voyais plus rien. Je serrais les yeux en me répentant sans cesse " pourquoi, pourquoi moi !! "
- Vincent..., la voix faible de Klay contre la porte m'a redonné une dernière nausé
- Vincent..., il répétait en plaquant sa tête contre la porte
Mes sanglots cette fois ont remplacé mes gémissements nauséabonds. J'en pleurais encore rien que de l'imaginer dans les bras de cette femme, de cette pouf ! Il m'avait complétement oublier alors que son absence à moi, me rendais malade. 
- Vincent...Rentrons, dit mon ami doucement
Je suis sorti des toilettes le visage ruisselant de larme, la bouche couverte de bave et je me suis essuyé d'un revers de main avec un mouchoir avant de me jeter dans ses bras en pleur. 
Pourquoi est-ce que notre premier amour nous fait tant souffrir ? Pourquoi est que je suis si mal à l'idée qu'il soit avec un ou une autre peu importe ? Pourquoi alors que c'est moi qui lui ai demandé de partir ? Suis je autodestructeur à ce point ?
Les nausés me reprennaient et je n'ai pas put m'empêcher de retourner vomir alors que plus rien ne remplissait mon estomac, arrivé devant la cuvette rien ne voulait sortir. Seulement des soubresauts, j'ai enfoncé mes doigts au plus profond de ma gorge pour déversé un liquide qui me vidait totalement.
Anesthésier, dans ce corps minable, mince et tout blanc, je me suis coller au mur, le bras le long du corps comme un drogué après sa piqûre je sentais que je planais. Mon esprit au fond de la cuvette mélanger à mon repas, je ne me souviens plus de ce qui s'est passé mais je sais que je ne suis pas resté dans les toillettes trop longtemps.

Je me réveil doucement, les yeux ouvert je remarque que je suis plongé dans une pièce sombre mais je paresse dans le lit. Le corps lourd j'ai pas du tout envie de me lever peu importe l'endroit tant que je suis dans une couverture et que je peux encore fermé les yeux pour fuir la réalité. 
- Il serai temps que tu te lève tu ne penses pas ? Me demande une voix sensuelle
Je sens un baiser sur le front, puis sur la tempe, la joue, se rapprochant des lèvres, sur le coup. Passant une langue chaude et humide dessus avant de déposé un chaste baiser. 
- Raphaël merci pour m'avoir héberger ce soir ! Bisous Bichon, dit une voix féminine
J'ouvre les yeux brusquement réalisant enfin où j'étais ! Crise de panique je ne bougeais plus les bras de Raphaël de chaque côté de mon corps son visage tourné vers la porte où se tenait la femme d'hier avec un sac sur le dos.
- Au revoir soeurette c'est quand tu veux ! Il dit avec le sourire
Elle lui lance un signe de la main et tourne les talents avant de fermé la porte de la chambre. Mon coeur bat la chamade tout se mélange dans mon esprit, je sais plus quoi penser.
- Tu vas mieux ? Il me demande me regardant dans les yeux
J'articule un faible oui et il m'embrasse à nouveau. " Je suis heureux..." il me murmure avant d'entamer des baisers dans le coup.
Je ne sais pas comment réagir concretement. Enfin moi pas mais un autre membre plus bas lui réagis plutôt bien...
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 09:27
                         Je sens mon corps bougé sur ce lit, j'ouvre les yeux, je me suis laissé porter par le sommeil. Je me retourne et remarque que Raphaël se lève alors qu'il n'est que cinq heures du matin, je le suis du regard mais n'intervient même pas. 
- Vincent... ça fait déjà une semaine que tu ne m'adresses plus un mot...
Comme toujours pour toute réponse je lui laisse le silence, le simple bruit de ma respiration régulière. 
Il soupire et se lève d'un pas lourd, ses épaules mises en valeur, ses muscles contractés il se dirige vers la salle de bain. 
J'attend sur ce lit je ne veux même pas en bouger, pas avant sept heures pour partir en cours puis le soir je vais voir ma mère qui semble se rétablir petit à petit. Mon père est toujours en prison il passe son procés bientôt, ce qui m'ennuie ! Moi qui avait envie de faire justice moi même derrière des barreaux je ne peux plus. Mes mains viennent se posés sur mon visage endormis, depuis une semaine je me sens si coupable à tel point que je ne vis plus ! Comment le pourrai je après une chose pareil ? Si ma mère venait à mourir par ma faute je ne pourrai jamais me pardonner ! Jamais ! Elle qui a toujours tout fait pour moi c'est fait battre par l'homme qu'elle aime et je ne sais même pas la raison ! Il risque de prendre de prison quelques mois ou trois ans au plus ! Mais il en sortirai et là...Je l'attendrai.
- Arrêtons là Vincent...
Hein ? Mon visage incrédule fixe Raphaël, je ne l'avais même pas remarquer sortir de la salle bain. Avant j'aurai tout fait pour voir son beau corps humide seulement entouré d'une serviette, je l'aurai même rejoint sous mes pulsions. 
- Séparons nous, dit il encore une fois
- Pourquoi ?! Je m'écri appeurer
- Je ne suis pas là pour m'occuper d'un mort ! Je ne suis pas ta mère c'est clair ! J'ai des envies et des besoins si tu n'es pas capable de t'en occuper et bien arrêtons là maintenant ! 
Je ne comprenais pas ! J'avais mal à en mourir et lui il me larguait ! J'étais ailleurs et il ne m'aidait même pas ! Alors qu'il avait l'air tellement énervé je pouvais voir dans son regard qu'il en était également attristé. Pourtant je n'ai trouvé que cette phrase stupide à lui dire.
- Alors va t'en...
J'aurai mieux fait de me pendre, j'aurai voulu m'étrangler pour ce que je venais de dire. Ma douleur était plus forte que mon amour pour lui, ce qui veut peut etre dire que je ne l'aime pas autant...
Les larmes me viennent rien que d'y penser ! Je ne peux pas m'avouer une telle horreur ! Je l'aime je l'aime ! Alors pourquoi est-ce que je ne ressens aucune compassion ? Pourquoi est-ce que je ne l'ai pas retenu ? Pourquoi est-ce que je l'ai simplement regarder partir prenant sa veste avec un léger au revoir comme dernier souvenir. 
Je n'ai pas verser une larme, j'en avais marre de pleurer depuis une semaine et une fois de plus je viens de perdre un être cher. Ma mère est sur un lit d'hôpital et l'homme que j'aime le plus au monde vient de partir et je ne le verrai sans doute plus jamais comme tel. 
Je me lève du lit et regarde par la fenêtre pour le voir une dernière fois marcher contre le vent jusqu'à sa voiture, ses cheveux vollant en arrière il regarde une dernière fois derrière lui puis ouvre la portière. Il hésite un moment jette un papier par terre et monte à l'intérieur pour démarrer calmemant. 
Je laise tomber le rideau fin, je regarde mon lit à nouveau, mon coeur bat la chamade mais je sens mes larmes presser contre ma poitrine, me piquant le nez espérant retrouver la sortie. 
Il est vraiment parti.
Je me sentais de nouveau seul, perdu, laissé pour mort dans un appartement vide. Perdu, toujours dans mon gouffre et je m'obstine à rester au plus profond. Vraiment seul, laissant partir la seule personne qui aurait put me sauver, je l'ai même pousser hors d'atteinte. 
C'est mieux ainsi.
Je ne l'embêterai plus avec mes problèmes, j'étais un poids et surement pas un bon petit-ami. Je n'avais aucune expérience ! Je ne faisais que pleurer comme un gamin et lui il en attendait beaucoup plus. Des choses que je ne pouvais pas lui offrir mais j'aurai tellement voulus. Je m'écroule sur mes matelas et regarde le plafond attendant que le sommeil me gagne de nouveau, le corps lourd, ce plafond avait décidé de faire de ma vie un enfer. Encore une fois je voyais défiler tant de bon souvenirs avec Raphaël comme un projecteur de cinéma l'image vieille et séquentiel. 
Des larmes coulèrent sans même que je cie un mouvement, mes yeux cligaient normalement, mon visage indifférent mais mes sentiments trahis par de fines goutes d'eau salés s'écrsant sur son oreiller.
Puis le noir, le sommeil et mes cauchemars.

Je me lève dans l'après-midi, je décide d'aller en cours malgré ça, je m'en veux de l'avoir laissé partir ainsi et cette séparation me semblait maintenant irréel, cela dit ça serai gonflé d'aller lui dire que je regrette. 
Cours de Maths, un calme plat, il ne m'a pas plus prêter attention qu'aux autres. Je sentais déjà la colère et la peine me brûler le gorge prenant mon estomac dans un étaux. La tête qui tourne et le fièvre montante j'en avais des haut le coeur. 
Sans mêm demander je suis sorti en courant de la salle pour partir vomir tout cette douleur ! Pour ne pas pleurer en cours, pour ne pas qu'il est pitié de moi, je ne veux pas qu'il voit que j'ai mal. 
Je ne veux pas qu'il se sente coupable.
Je sais ce que c'est d'être impuissant et je ne veux pas qu'il regrette d'être parti puisque c'est moi qu'il lui ai demandé. 
Pourtant j'aimerai tant qu'il revienne. Qu'il m'aime...
- Ca va Vincent ? Me demanda Klay derrière la porte
Mon visage collé contre la cuvette, la bouche ouverte dégouliante de bave, mon regard vide et mes mains tremblantes.
- Ca va.
Je me lève difficilement m'essuie la bouche puis ouvre la porte pour faire face à mon ami.
- Oh mon Dieu ! Vince' t'es tout blanc ! 
- Ah, je me regarde dans le miroire c'est vrai que je suis blanc, pas plus que d'habitude ! 
- Si si je t'assure ! Tu me fais peur !
- Ah, répétais je
Les yeux cernés et rouges, je ressemblais à un mort vivant. Je rince le bouche et le visage prêt à faire face à la classe je ne partirai pas d'ici pour une simple maladie ou petits malaises.
Je rentre en classe suivit de Klay, le professeur me regarde derrière ses lunettes d'un air indifférent et attend qu'on s'assoit pour continuer son cours. Une fois mon corps s'écrasant sur ma chaise il reprend ses explications aux quels je ne cromprends rien. 
Ce cours était un vrai calvaire, je ne me suis jamais senti aussi mal de toute ma vie, en voyant son indifférence je me rendais compte que je n'étais pas si neutre que ça ! Je me rendais compte que lui ne m'aimait pas. Comme toujours je me fais avoir, comme toujours les décisions qu'on prend pour stupide sont souvent les meilleurs.
Même si je risque d'en souffrir pendant un moment, finalement notre séparation est une bonne chose, il ne m'a jamais aimé ! Je n'ai rien à faire avec un prof. Cette relation n'avait aucun sens.
Enfin j'aimerai m'en convaincre.
- Vincent ! 
Je me retourne pret du portail Klay cour vers moi avec un grand sourire. 
- Tu veux que je t'accompagne voir ta mère ? Après on pourrai révisé ensemble pour le contrôle d'espagnole demain je suis nul et toi t'es trop fort  !
- Si tu veux.
Le sourir de Klay semble s'illuminer tout heureux il me suit jusqu'à l'hôpital. Son enthousiasme me fait du bien, ça efface peu à peu ma mauvaise humeur et une petite lumière dans mon gouffre brille doucement au dessus de ma tête.
  
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 21:58
                       Mon coeur se vide, mon âme s'en va accompagnant ma mère dans son agonie. Mon coeur hurle aussi fort qu'il le peut, ma voix porte au loin jusqu'à cieux injurant ainsi Dieu, mon géniteur et tous les saints ! J'aurai dut être là, j'aurai dut la protéger. Au lieu de ça je l'ai laissé avec cet enflure ! Je l'ai laissé pensant qu'entre eux tout irai bien mais au fond tout va mal...
Depuis quand mon père est-il devenu si violent avec ma mère ? Elle qui était son seul lien avec l'amour, la seule preuve qu'il soit humain ! 
Je ne comprends pas et je n'ai pas envie de comprendre, la seule chose que je veux faire : c'est le tué de mes mains ! Que pas même ma mère ne puisse revoir le visage de son bourreau, que l'assassin de le grande fente dans mon coeur soit décapité ! Que la mort s'abatte sur lui ! Que la folie me gagne encore un peu plus pour que je puisse commettre moi même mon remède ! 
Je me relève terriblement mal, mes yeux s'écarquillent de plus en plus, les pupilles dilatées je ne vois plus rien mais ce que je suis sûre c'est que mes larmes ne cessent de coulés ! Tel un torent se déversant, le sang qui aurait du s'écouler de mon coeur se transforme en un fleuve d'eau salé me sortant des prunelles. Je pose mes mains tremblante sur ma tête, fermant les yeux le plus fort possible, serrant les dents jusqu'à les faires grincés retenant mes hurlements je m'en arrache presque le cuir chevelure. Je n'entends que ce bip incessant me rappelant les aiguilles d'une montre, le temps qu'il me reste pour que je deviens fou. 
- Vincent ! 
Cette voix.
Elle me vient comme un énorme saut d'eau froide, je lâche mes cheveux doucement redresse ma tête toujours tremblant, totalement tétaniser. 
Ses bras m'entourent, je sens mon corps basculer contre le sien, ses baisers parsemés sur mon crâne son étreinte si chaleureuse et sa voix appaisante m'anesthésie peu à peu. 
- Je suis là Vincent calme toi je t'en prie..., il me chuchote
La bouche à moitié ouverte, je ne contrôle plus rien, mon désir de vengeance s'est calmé mais il semble que je ne sois pas encore pret à ce que mon cerveau daigne faire quoi que ce soit, pas même répondre à mon sauveur. 
Je lève la tête doucement comme un fou enfermer dans un asile venant à peine de se rendre compte qu'on le serrait fort. Ses yeux vermillons indifférent mais sa voix brisé trahis son inquiétude, ses longs cheveux ébènes entourant son visage froid me rechauffe le coeur martyre ; quelle paradoxe ! 
Je n'arrive pas à ouvrir la bouche, je ne sais même pas quoi dire. Je sais plus quoi faire ! Je me sens perdu à vrai dire sentant plus aucunes forces dans ton mon être je me demande ce que je fais debout alors que ma mère est sur un lit d'hôpital.
Qu'est-ce que je peux faire ? Mon corps se remait à trembler de plus belle, mes bras entoure ce qui me reste de ma lucidité, je le serre contre moi plantant mes ongles dans sa veste laissant encore une fois ma tristesse s'évader. Mes gémissements son étouffés contre sa poitrine, je n'entends plus ses mots réconfortant tout ce que je vois : c'est que je suis aussi coupable. 
- On va rentrer Vincent..., il me dit en me prenant ma main
Mon corps bouge seul, je ne me retourne qu'une fois pour regarder une dernière fois ma mère, je serre la main fortement de Raphaël, mes larmes continuent de déferlées.
Que faire ?

Une fois devant chez moi, Raphaël me fait m'assoir sur le canapé pendant qu'il part dans la cuisine, je regarde un point fixe je revois cet instant sans arrêt devant mes yeux. Je ne vois que ça.
Je ne vois rien d'autre. Pas même lui.
- Un café ? Il me demande naturellement
Je ne cie pas un seul mouvement, je ne tremble plus, je ne pleure plus, je me vide peu à peu et je ne sais pas comment remonté la pente. Je n'ai même pas envie de le voir. Je n'ai même pas envie de lui parler.
Je sens qu'il me soulève jusqu'à ma chambre où il m'y dépose doucement comme une chose fragile, il vient se coucher pret de moi me serrant contre lui murmurant une chanson que je ne connais pas. Je sombre dans un gouffre noire, un gouffre où j'entends les cris, les pleures, les gémissements, la terreur, l'enfer m'y attend. 
Je sombre sans même avoir le courage de me ratrapper car je ne veux pas la perdre, par ma faute elle souffre. Je suis coupable d'avoir été heureux, je suis coupable d'égoïsme. 
Je suis coupable de ses bleus.
Pardonnes moi Maman, pardonnes moi...
Rien ne peut combler se vide qui s'arrache de moi, aucun geste, aucun miracle, aucun mot ! Pas même ceux qui sortent de la bouche de mon beau professeur. Je suis seul dans ma peine.
- Je suis là..., il sussure, ne pars pas...
Je ne réponds pas.
Que faire ?
Personne ne peut m'aider. 
Personne ne peut comprendre. Pourtant j'aimerai tellement me sentir innocent, me dire que je n'y suis pour rien ! Me dire que je ne pouvais pas savoir. 
J'aimerai tellement que tout ça ne soit qu'un rêve ! Mais mes larmes, ses mots, toutes ces blessures sont vrais et je n'y peux rien. 
Que faire ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 21:37

                           Je sens un bras me secoué brutalemment, mes yeux s'ouvrent doucement remarquant que je suis dans une salle de classe et que mon professeur d'anglais me lance des éclairs. Je me contente de la regardé d'un air complètement à la masse, elle ne m'impressionne pas du tout. Finalement elle reprend son court sans perdre son temps avec moi, j'allais remercier celui qui m'a sortis d'un rêve super érotique avec Raphaël me ressassant la nuit que j'avais passé avec quand je me suis rendut compte que c'était Klay.
- Tu me reparle maintenant ? Je lui demande
- Je suis pas rancunié. Dit il en évitant mon regard
- Je ne peux pas te dire que je regrette ça serai te mentir...
- Je sais.
Il ne deigne toujours pas me regarder, je continu de le fixer jusqu'à ce qu'il pose les yeux sur moi enfin. Quand ce fut fait, il soupira longuement déjà agacer de voir que je gagnais cette manche, j'ai affiché un grand sourire de satisfaction et il ne put s'empêcher d'y répondre par un petit rire qui le trahissait. 
J'ai repris ma sieste toujours en regardant la buée se geler sur les vitre, les pigeons passant devant comme si pour eux l'hiver était un temps comme les autres.
Je deteste les oiseaux.
La sonnerie retentit, je sors de cours le premier, je cours presque dans les couloirs et freine en arrivant devant la salle de monsieur Culigan, celui ci ferme la porte derrière lui et me voit. J'affiche un grand sourire timide et lui lance un "bonjour" qu'il répond sur le même ton : c'est à dire doux et naturel.
Je sens sa main effleurer la mienne doucement, un frisson de bien être me parcours l'échine, on peut dire qu'il sait me faire tourner la tête. 
Je me retourne pour voir ses fesses remué au rythme de ses pas, je ne semble pas le seul à le regardé mais je sais que je suis le seul à qui il carresse la main au passage, ce qui me remplissait de fierté. J'affiche un sourire niais et reprend ma route plus heureux que jamais, que tout le monde voit enfin quel homme heureux je suis devenu ! 
- Monsieur Mayon, m'interpella le principale
- Oui ?
- Puis je vous voir en privé dans mon bureau ? Il demande l'air grave
Mon coeur rebondit dans ma poitrine, c'est-il passé quelque chose ? Est- il au courant pour moi et Raphaël ? 
Je rentre dans cette pièce étroite, entourer de casier, commode, tableau je me sentais ettouffer rien que son regard sur moi me rendait nerveux. Je ne me sens vraiment pas à la l'aise. Les mains moites je m'assois sur l'un des sièges tout en gardant un oeil sur ce qui m'entourait je priais stupidement pour pas que ses murs se referment sur moi. Je me sentais vraiment pris au piège.
- Nous avons un soucie Vincent..., dit il en joignant ses mains le regard plonger dans le mien
- Un soucie ? J'avalais difficilement ma salive 
- Oui.
- Qu'est-ce qui se passe ? Je demande inquiet
- Votre mère est à l'hôpital...
Mon souffle en était couper, je ne savais pas quoi faire, je n'entendais que le son qui sortait de sa bouche, j'avais l'impression de ne plus être en vie. Tout mon organisme c'est arrêter de fonctionner.
- Il semblerai qu'il y est eut une grosse dispute chez vous entre votre mère et votre père...il y a eut coup monsieur Mayon...
- C-coups...ma mère...
- Monsieur Mayon les policiers vont bientôt arriver pour vous interroger je vous demande de rester calme.
- Ca..calme...
Anesthésier, je ne faisais que répéter ce que mon cerveau arrivait à déchiffrer. J'étais déjà hors de cette pièce, mon âme courrait déjà dans l'hôpital cherchant ma mère l'appelant et hurlant son nom à travers les murs froid.
- Votre père est au commissariat actuellement vous n'aurez surement pas le droit de le voir et je pense que vous n'en avez pas envie. 
Je me lève sans même attendre qu'il me le demande, sans même attendre ses foutus flics je marche lentement, comme un cadavre qui serai revenu sur terre. 
Comme une personne à qui on avait annoncé la fin du monde. 
Les gens me regarde étrangement l'homme lobotomisé qui marchait à côtés semblait canalisé sa colère ou alors la chercher. 
- Vous êtes Vincent Mayon ? me demande un voix grave
Je relève les yeux et tombe nez à nez avec un agent de police, le regard perçant tel un robot répétant simplement ce qu'il a put apprendre en regardant miami vice. 
- Ne le brusquez pas monsieur l'agent il est encore en état de choc..., dit la voix de mon principale derrière moi
C'est le mot, je suis en état de choc. Je dirai même mieux ! Je viens littéralement de me prendre une balle en plein coeur et il ne me reste que quelques heures avant le râle d'agonie. Je me retrouvais dans une voiture noir et blanche, les autres élèves me regardaient comme un criminel ce demandant quelles conneries à put faire le nouveau.
Quelques minutes.
Ils ne branchèrent pas les sirènes mais ça ne les a pas empêcher d'essayer de me réveillé de mon coma. Jusqu'à ce que la voiture s'arrête devant l'hôpital.
Quelques secondes.
Le premier agent ouvre la porte du camion et me prend le bras comme un mourant m'emmenant à l'intérieur, demandant le chambre de Madame Mayon. 
Maintenant ? 
Je me retrouve face au corps meurtris de ma mère, mon pas n'a même pas ralentit devant la porte, mes mains ne se sont même pas mises à trembler et mes yeux ne pleurent pas encore. 
Maintenant ? 
J'attrappe le bord du lit de mes deux mains, examine le visage défiguré de ma chère et tendre mère, je ferme les yeux un moment. 
Non ce n'est pas possible.
Je les ouvre, cette image, ce spectacle m'explose en pleine figure ! Ma mère bander de partout, blessures, ématomes, contusions, fractures ! Ses lèvres violettes devenuent enflées sont à peine visible derrière tous ses pensements. Son bras droit cassé et trois de ses côtés cassés, ses yeux clos essayant d'extirper la douleur de ce corps hurlant déjà l'achèvement. 
Maintenant...
Je tombe des nus, mes genoux cèdent, je reste là planter, soufflant mon dernier souffle. La vision de son visage se rapproche...encore...encore...Mes yeux s'écarquillent, mes poings se serrent puis se desserent. Je fixe mes mains comme si j'étais l'assassin...
Une goûte. Deux goûtes. Trois goûtes.


- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!
 

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Vendredi 18 janvier 5 18 /01 /Jan 13:20

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                             " Je m'étais jurer de n'aimer que toi, de ne penser qu'à toi ! Je m'étais promis de ne jamais te laisser loin de moi, tu étais ma chair et mon sang...mon coeur et mon âme. Où es tu maintenant ? "

- Toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet..., Sam respira un grand coup
Il regarda encore une fois hésitant l'adresse qu'on lui avait donné. Non c'était pas un ministre. Il regarda à nouveau la propriété immense de Monsieur Hank et rangea le petit bout de papier dans sa poche, il hésita à sonner à l'interphone sur sa gauche. S'est il trompé ? Au moment où il allait se risqué à sonner il vit le porte en bois s'ouvrir à l'intérieur pour laisser apparaitre David. Celui ci remarqua toute que Samuel attendait devant la porte et l'ouvrit en cliquand sur le bouton pret du portail. 
Samuel ne put s'empêcher de le détaillé de la tête au pied, ce qu'il remarqua rapidemment s'était ses yeux entourer par de fines lunettes lui donnant encore plus l'air sage et adulte. Ses cheveux blond lui tombait un peu devant son visage pâle et fin. Il ressentit une étrange sensation que de le voir habillé d'un simple jean et d'un pull léger gris à col rouler, avec les manches retroussées derrière le coude. Quel élégence malgré ça, il dégeait toujours cette aura de sérénité, le frais de l'automne devenait doux autour de lui, sa pelouse verdoyante faisait ressortir son côté naturel et le parfum de l'été était encore là. 
Il rentra à l'intérieur de la maison, son style rustique mais tout de même très moderne était très chaleureux, Sam s'y plaisait toute suite, même si lui sa demeure était plutôt froide et très moderne dans les tons de noire et blanc. David avait l'air d'aimer le bois, le marron, le blanc crème pour très bien s'accoupler. 
- Tu veux boire quelque chose ? Lui demanda David
- Comme toi. Répondit Sam
David se retourna subitement étonné, il afficha un sourire heureux et satisfait. C'est vrai que c'était la première fois que Samuel le tutoiyais et même si ce n'était pas grand chose il savait que c'était très important. David sentait que son ami se sentait totalement en confiance. Il le regarda détaillé sa maison d'un regard ciruclaire s'attardant sur plusieurs tableau décorant les murs de se grand salon, David était vraiment heureux. Même si Sam était légèrement plus petit que lui on voyait sur son visage la sévérité et le strict ! Rien que son style était classe et organisé rien avoir avec lui qui avait un air un peu enfantin et se contentait de peu décontracté sans aucune gène. Son ami lui, dégeait l'assurance et la maîtrise, si l'on ne voyait pas son âge sur son corps son attitude montrait bien sa maturité. A côtés même avec ses vingt six ans, David se sentait "vieux". 
- Tiens un ricard j'espère que ça te vas ? Il lui demanda en déposant son verre
- Très bien. Répondit Sam en buvant une première gorger
- Je vois que tu sens plus à l'aise maintenant.., dit David sans quitter des yeux son invité
Sam rougissait légèrement, il ne comprennait pas trop la remarque mais il en était gêné. 
- Je suis content que tu me tutoie enfin ! Fit remarqué David
Samuel buvant une autre gorgé sans répondre directement. C'est bien la première personne qui lui faisait perdre ses moyens depuis bien des années. 
- Tu voulais me dire quelque chose ? Demanda Samuel pour en revenir à la raison de sa venue
- Oui ! En effet je voulais te montrer quelque chose. 
Hank se leva conduisant son invité dans une autre pièce à l'étage, on aurait cru un bureau mais ça ressemblait plus à un ateliers, des chevalets se tenaient le long du mur, un grand devant la fêntre qui ne se voyait presque plus d'ailleurs. David s'approcha de l'un des chevalet et souleva le drap poser dessus. Un magnifique tableau se dressa devant lui, un véritable Monet ! Il en bavait presque devant. Monet était le peintre le plus apprecié dans le coeur de Samuel ! Il rendait le paysage tellement beau ! Tel un poète il faisait ressortir la magnificience des choses à travers les couleurs et son pinceau. Il en avait vendu des tas mais aucun n'avait put atterir dans ses mains, pas même quand il était restaurateur au musé du Louvre à Paris.
- Je te l'offre..., sourit David
- QUOI ? Mais tu es fou !! S'exclama Sam 
- HAHA ! J'en ai encore plein tu sais certain que même le monde de l'art ne connait pas...
- Comment ça ? Demanda Sam intrigué
- Choukler ne t'as donc rien dit ? Je suis le déscendant direct de Claude Monet*. 
Samuel en resta bouche baie. Tout s'expliquait ! Pourquoi Choukler a-t-il voulu lui faire cette surprise, pourquoi David avait rit quand Sam n'avait pas réagis à son nom de famille. Seulement se trouvait en face du descendant de l'un des plus grand artiste que la terre n'ai connu lui donnait presque des vertiges ! C'était incroyable...
- Je me sens pas bien..., dit Sam en s'accoudant au mur
David rit légèrement, amusé par la situation il ne se doutait pas que le grand Anderson le prenne comme ça après tout. Ils restèrent à moment à se regarder dans les yeux l'un de l'autres, David avait cesser de rire et semblait de plus en plus sérieux louchant sur les lèvres de Sam. Samuel coupa net à cette instant en se poussant doucement. 
- Tu ne peux pas m'offrir une chose pareil ! S'écria-t-il 
- C'est ce que je viens de faire ! 
- Tu es complètement cingler ! 
- Je prend ça pour un compliment, sourit David
Samuel riait de la situation, et repartit dans le salon pour s'assoir sur l'un des grand canapé en daim doux, il regardait le plafond n'en revenant pas ! Il se trouvait dans la maison d'un ancêtre de Monet. C'est comme si il était en présence du Pape ! C'était encore mieux. Il releva la tête heureux comme jamais, mais il ne pouvait pas accepter une telle offre sans faire quelque chose pour David, certe il le voulait se tableau et l'enfermer chez lui mais pas sans compensation. 
- Que veux tu que je fasse ? Demanda Sam en regardant David à sa gauche
- Pardon ?
- Tu m'offre le plus beau des cadeaux et je ne l'accepterai pas tant que je te donnerai rien en retour ! Je n'ai pas les moyens pour un Monet de cette valeur mais je peux te payer au fur et à mesure.
David explosa de rire il n'avait jamais entendu un homme aussi dingue ! On lui offrait quelque chose et lui voulait payer ça n'avait aucun sens. Même si le fait qu'il soit si gentil l'attendrissait, derrière ses airs autoritaire il en était presque trop craquant. David replaça une mèche des cheveux noir de Sam derrière son oreille et s'approcha doucement du visage de celui ci, Samuel effrayé recula soudainement mais David de le stoppa et le regarda dans les yeux.
- Je veux un baiser.
Samuel avait le coeur qui battait la chamade, il ne savait pas quoi faire ! Bien sûr qu'il avait envie de l'embrasser, il en avait envie depuis le premier jour mais il ne pouvait pas se le permettre ! Il ne pouvait pas tromper celui qu'il aimait. Il se sentait malgré ça défaillir au fur et à mesure que David s'approchait de sa bouche, ses lèvres légèrement entrouvertes n'étaient plus qu'à quelques centimètres de ces petites parcelles de peau humides et frémissantes. C'est dans un contact doux et appaisant que Sam se laissa aller à un baiser langoureux et tendre. 
La main de David le fit approfondir son baiser jouant avec la langue de Anderson qui au départ était timide prenait maintenant part avec fougue à se baiser devenu intense en quelques secondes. 
Très vite David s'emporta et se laissa aller à des carresses sur le torse du beau brun, déboutonnant sa chémise blanche et passant sa main à l'intérieur pour jouer avec ses mamelons déjà durcit. 
Samuel se rendait compte ce de ce qu'il faisait et poussa soudainement David, tout ça allait trop vite, un frisson de dégout et de déception l'envahis, associé au désir intense qu'il avait en regardant les yeux de Hank. Jamais il n'aurait cru pouvoir embrasser un autre homme et à cette instant jamais il n'aurai cru avoir le courage de le repoussé mais les frissons d'écoeurement de lui même lui avaient pris brusquement toute envie et l'avait transformer en tristesse. Il se repellait maintenant du visage celui qui l'avait abandonné...
David resta perplexe ne comprenant pas la reaction soudaine de Samuel, il avait l'air d'apprecier avait il fait quelque chose de travers ?
- Au revoir monsieur Hank. 
Dit rapidemment Sam avant de partir vers la sortir sans laisser dire quoi que ce soit à son interlocuteur. David était sidérer, il sentait presque de la colère lui brûler la gorge mais surtout de la deception et de la douleur.

Samuel arriva chez lui presque essouflé par sa course poursuite (en voiture), il avait rouler tellement vite qu'il en retenait sa respiration à chaque tournant. Une fois dans son appartement il sentit une petite odeur de café survoler les airs il s'approcha de la cuisine et constata que Camille s'était très bien installer et habitué. Il sourit en la voyant, elle avait l'air si innocente et heureuse dans son modeste appartement. 
- Bonsoir ! Fit la petite blonde
- Bonsoir, dit simplement Sam
- Alors ce rendez vous ? Je ne m'attendais à ce que vous rentriez ce soir monsieur, elle fit d'un air coquin
Samuel lui baissa les yeux en repensant à l'affront qu'il avait fait à David, bizarrement il se sentait coupable maintenant sa pudeur et son attachement à de vieux souvenirs venaient de lui gâcher une belle opportunité de revivre enfin comme un homme comblé. 
- Monsieur  ? Que s'est il passé ? Elle demanda inquiète
- Il m'a offert un Monet...
- OUHA ! Quelle charité ! 
- Nous nous sommes embrassés...
- Oh... et ça n'a pas l'air d'être une bonne nouvelle...
Samuel sentit les larmes lui venir aux yeux, il avait été stupide de l'envoyer ainsi boulé ! Quel idiot !! 
Camille inquiète se précipita sur son patron pour le serrer dans ses bras maternel, elle lui carressa les cheveux accompagner de petit baiser sur la tête.
- Racontez moi ce qu'il s'est passé...
- Je l'ai rejeté Camille ! Je l'ai rejeté parce que Julien me manque...parce que je n'arrive pas à l'oublié et que j'avais l'impression de le trahir. 
Son regard peiné traduisait toute la compassion qu'elle avait pour Sam qui lui se sentait perdu, pris entre deux feux, honteux d'être aussi sentimentale mais il n'y a que devant son "petit rayon de soleil" qu'il pouvait laisser couler ses larmes sans gêne. 
- Monsieur Julien n'est plus là...oubliez le...et surtout ne laissez pas partir Monsieur Hank ! Je suis sûr que vous pouvez vivre une magnifique histoire avec lui ! 
- Je n'en suis pas si sûr Camille...

Ne nous renverrons sans doute jamais Sam, mais jamais je ne t'oublierai tu as mon visage après tout. N'est-ce pas petit frère ?



* : David Hank n'est pas le véritble descendant de Monet c'est une ficton :pp 

Merci Gabi j'avais pas vu la connerie que j'avais écrit !! ^^"
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
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est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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