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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
" C'était un jeudi ou un samedi je me souviens de son regard glaciale juste avant de
prendre ce train. Ce train qui l'emmenait loin de moi, ce train qui me laisse seul moi et mon désespoire jamais je ne le reverrai...pourquoi ? Est-ce si mal de s'aimer ? Est-ce si mal de vouloir
être heureux ? Pourquoi ?"
- C'est étonnant, dit l'un des homme
- C'est magistral ! Bravo ! Applaudit un autre
- Monsieur Anderson on peut dire que vous êtes l'homme de toute les situations ! Grâce à vous la société de Genèse.Corp reprend vie ! Lokart n'était pas un client facile portons un
toast ! S'écrie celui qui était en bout de table
- A la plus grande société de mis en enchère de tout le pays !
- Et à Monsieur Anderson, dit encore le vieille homme
- Merci, répondit le concerner en buvant son verre doucement
En plein centre de Londre siégeait l'une des grande sociétés de mise enchère, peut être la plus grande ! Diriger depuis des années par les hommes les plus influants artistiquement de ce pays. Le
petit Anderson était rentré dans la société depuis seulement quelques mois et voilà qu'il récupérait un grand milliardaire les accusants de s'être fait duper par sa dernière acquisition. Un
tableau du milieu dix septième représentait Vénus à peinture à huile faite en Italie. Anderson était quelqu'un de très convaincant, son caractère et ses propos pourraient venir à bout de
n'importe quel homme politique et séverement centré sur ses opinions : on disait que Samuel Anderson avait le don de la parole.
Cet homme de trente et un ans n'avait aucun autre but dans sa vie que son travail, refusant toute famille par peur de tout perdre du jour au lendemain. Un homme de conviction et valeur mais qui
ne vivait plus vraiment. Il avait été restaurateur dans un grand musé avant de passer directement chef d'une grande galerie d'art pour enfin arriver au sommet, les enchères. L'argent ne
l'intérèssait pas ! Mais il connaissait la langue des billets brillant dans les yeux de chaques hommes de pouvoir, une langue qui ne s'improvisait pas. Dans ce monde la
loi du plus fort est de vigueur et Sam était un véritable requin des affaires. Son travail était de convaincre le client, il participait aux enchères de temps à autres mais
rare tout de même. Il préférait recruter le nombre incroyable de client, voilà son vrai défis, toujours plus haut, être au sommet c'était sa véritable ambition.
- Je rentre monsieur Anderson, dit sa secrétaire
Il releva la tête de ses papiers et enleva ses lunettes rapidement pour adresser un sourire tendre à celle-ci. Elle fit un grand signe tenant son bas ventre, un petit bébé
l'attendait mais elle refusait de laisser cet homme travailler sans relâche seul, il avait tellement fait pour elle.
- Repose toi bien Camille, lança Samuel
- Essayez de faire de même, dit elle en fermant la porte
- Bonne nuit à vous.
Il répétait toujours la même phrase, elle répétait toujours la même chose depuis trois ans. Ils ne se quittaient pas ayant débutés ensemble il l'a toujours voulu à ses côtés. " Mon
petit rayon de soleil" il l'appelait et bon nombres de ses collègues croyaient qu'ils étaient ensemble au début, tellement proche l'un de l'autre Camille qualifirait cette relation de
fraternel plus qu'autre chose.
Un bourreau du boulot certes mais c'était un être très chaleureux et gentil. Il n'avait aucun ennemis jusqu'à présent pas même les concurrents qui au contraire faisait tout
pour l'avoir dans leurs rangs, croyez le ou non mais il fallait mieux être ami avec Samuel Anderson. Une règle d'or.
C'est seulement à vingt deux heures qu'il quitta son bureau, sa veste poser sur l'un des bras et l'attacher caisse dans l'autre. Le visage calme et serein il rentra chez lui
dans un calme plat, sa journée avait été brillée par se fabuleux poisson qu'il avait repêcher demain il passera à un riche entrepreneur qui hésitait à prendre une statue de la
renaissance ou un tableau de Van Gogh. Après un café vite ingurgité il se coucha toute suite ne voulant pas perdre ses huit heures de sommeil indispensable pour être au meilleur de sa
forme. Dans sa chambre au couleurs chaudes il s'endormis paisiblement repensant sans cesse à ce qu'il allait faire, ce qu'il devrait dire, ce qu'il devra recommencer.
- Bonne nuit. Se dit il à lui même
La lampe éteinte, les étoile allumées, plonger dans les ténêbre silencieux de la nuit il laissa aller sa tête sur son oreiller doux. Encore une larme juste une dernière.
Un matin ensolleillé pour un début d'automne, marchant dans la rue à grand pas il devra joindre le métro d'ici quelques minutes. Toujours une heure d'avance au boulot c'est mieux que deux minutes
de retard. Les londoniens n'étaient pas très matinaux, pas tellement de bousculade mais quelques uns peut être tout aussi préssés que lui se pressa d'entrer dans le train. Il s'assit
sur une chaise devant la porte attendant inlassablement que celui ci s'arrête à son arret habituel. Le grincement des railles le fit sortir de ses rêves, encore un peu endormis
mais très attentif il sortit avec quelques uns également. Un grand batîment luxueux lui ouvrait les bras il rentra à l'intérieur sans s'arrêté adressant un sourire rapide au
receptioniste puis dans l'ascenceur presque déjà plein. A nouveau il salua ses collègues de travail qui s'arrêtèrent à différents étages, il arriva au septième : le sien.
- Bonjours monsieur Anderson, dit Camille en essayant de se lever
- Reste assise Camille, dit il en se précipitant sur elle, ne te fatigue pas trop.
Il admirait ce petit bout de femme, à seulement vingt quatre ans enceinte de six mois, enceinte d'une infine partie du pouvoir de Dieu. Le pouvoir de crée. Il toucha doucement le ventre
déjà bien rond puis fit une bise énorme à la maman en prenant le dossier.
- Je t'ai déjà dit que tu pouvais prendre un congé, dit il inquiet
- Je serai toujours là pour vous aidez monsieur Anderson...je vous dois tellement, dit elle en baissant les yeux timidement
Attendrit par la douceur de cette futur maman il lui redressa le menton.
- Tu ne me dois rien c'est moi qui te dois tout, dit il sincèrement
- Allons ne dites pas n'importe quoi ! Monsieur Choukler vous attend dans votre bureau il est vraiment furieux !
- Pourquoi ça ?
- Vous n'êtes pas encore passer goûté la tarte de sa femme, dit elle amusé
Sam sourit à cette plaisanterie. Choukler était le patron d'une grande galerie d'art et un ami important de l'entreprise qui fournissait pas mal de ses oeuvres. Choukler était
également un grand fan du don de Sam, celui ci portant une admiration inégalé au prodige qu'avait recruter Genèse.Corp, un prodige qui mérite plus disait il sans cesse.
- Mon cher Samuel ! S'éxclame l'homme jeune sur son propre bureau
- Monsieur Choukler, dit il en fronçant les sourcils pour bien lui faire comprendre qu'il ne pouvait tout de même pas tout se permettre
- Pardon désolé je voulais savoir ce que ça faisait d'être sur le siège de l'homme le plus puissant du monde artistique.
- Aller vous assoir sur le siège de Spielberg alors, dit Sam en riant presque
Choukler se leva pour marcher un peu dans le bureau de celui ci.
- Ce n'est pas de l'art ! Le vrai art ne nait pas des mains aussi simple que celles de Spielberg...le cinéma ne devrait pas être un art !
- C'est pourtant le septième..., continua Sam
- Vous avez vraiment le mot à tout, sourit Choukler en regardant le prodige dans les yeux
- Je ne dis que la vérité, répondit Samuel en accentuant son regard
- Bien ! Je t'invite ce soir à une grande reception !
- Je n'ai pas le te...
- Viens, coupa soudainement Choukler
Samuel se tut un moment voulant comprendre ce revirement soudain presque agressif, y avait il quelque chose à cette soirée qu'il devait absolument voir, quelqu'un ? Quoi ? Intrigué il ne
pouvait pas refuser puis Choukler a toujours été d'une grande aide avec lui, il lui fait confiance malgré son tempérament parfoi lourd.
- Tu goûtera à la tarte de April ! Lança-t-il en fermant la porte derrière lui
Samuel sourit légèrement à sa plaisanterie et se remit au boulot immédiatement, il devait rencontrer encore un riche milliardaire il n'avait pas de temps à perdre.
- Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet, se dit il essayant de se rassuré
C'est presque comme un rituel, chaque fois qu'il devait convaincre un acheteur il répété cette phrase comme une formule magique pensant qu'elle lui portait vraiment bonheur. Cette
phrase n'était pourtant pas la sienne, cette phrase n'était pas de sa bouche, cette phrase était pour lui, cette phrase était un cadeau d'adieu qu'un fraguement de son coeur avait
laissé avant de s'en aller.
" Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet. Je t'aime Sam."
" Je m'étais jurer de n'aimer que toi, de ne penser qu'à toi ! Je m'étais promis de ne jamais te
laisser loin de moi, tu étais ma chair et mon sang...mon coeur et mon âme. Où es tu maintenant ? "
- Toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet..., Sam respira un grand coup
Il regarda encore une fois hésitant l'adresse qu'on lui avait donné. Non c'était pas un ministre. Il regarda à nouveau la propriété immense de Monsieur Hank et rangea le petit bout de papier dans
sa poche, il hésita à sonner à l'interphone sur sa gauche. S'est il trompé ? Au moment où il allait se risqué à sonner il vit le porte en bois s'ouvrir à l'intérieur pour laisser apparaitre
David. Celui ci remarqua toute que Samuel attendait devant la porte et l'ouvrit en cliquand sur le bouton pret du portail.
Samuel ne put s'empêcher de le détaillé de la tête au pied, ce qu'il remarqua rapidemment s'était ses yeux entourer par de fines lunettes lui donnant encore plus l'air sage et adulte. Ses cheveux
blond lui tombait un peu devant son visage pâle et fin. Il ressentit une étrange sensation que de le voir habillé d'un simple jean et d'un pull léger gris à col rouler, avec les manches
retroussées derrière le coude. Quel élégence malgré ça, il dégeait toujours cette aura de sérénité, le frais de l'automne devenait doux autour de lui, sa pelouse verdoyante faisait ressortir son
côté naturel et le parfum de l'été était encore là.
Il rentra à l'intérieur de la maison, son style rustique mais tout de même très moderne était très chaleureux, Sam s'y plaisait toute suite, même si lui sa demeure était plutôt froide et très
moderne dans les tons de noire et blanc. David avait l'air d'aimer le bois, le marron, le blanc crème pour très bien s'accoupler.
- Tu veux boire quelque chose ? Lui demanda David
- Comme toi. Répondit Sam
David se retourna subitement étonné, il afficha un sourire heureux et satisfait. C'est vrai que c'était la première fois que Samuel le tutoiyais et même si ce n'était pas grand chose il savait
que c'était très important. David sentait que son ami se sentait totalement en confiance. Il le regarda détaillé sa maison d'un regard ciruclaire s'attardant sur plusieurs tableau décorant les
murs de se grand salon, David était vraiment heureux. Même si Sam était légèrement plus petit que lui on voyait sur son visage la sévérité et le strict ! Rien que son style était classe et
organisé rien avoir avec lui qui avait un air un peu enfantin et se contentait de peu décontracté sans aucune gène. Son ami lui, dégeait l'assurance et la maîtrise, si l'on ne voyait pas son âge
sur son corps son attitude montrait bien sa maturité. A côtés même avec ses vingt six ans, David se sentait "vieux".
- Tiens un ricard j'espère que ça te vas ? Il lui demanda en déposant son verre
- Très bien. Répondit Sam en buvant une première gorger
- Je vois que tu sens plus à l'aise maintenant.., dit David sans quitter des yeux son invité
Sam rougissait légèrement, il ne comprennait pas trop la remarque mais il en était gêné.
- Je suis content que tu me tutoie enfin ! Fit remarqué David
Samuel buvant une autre gorgé sans répondre directement. C'est bien la première personne qui lui faisait perdre ses moyens depuis bien des années.
- Tu voulais me dire quelque chose ? Demanda Samuel pour en revenir à la raison de sa venue
- Oui ! En effet je voulais te montrer quelque chose.
Hank se leva conduisant son invité dans une autre pièce à l'étage, on aurait cru un bureau mais ça ressemblait plus à un ateliers, des chevalets se tenaient le long du mur, un grand devant la
fêntre qui ne se voyait presque plus d'ailleurs. David s'approcha de l'un des chevalet et souleva le drap poser dessus. Un magnifique tableau se dressa devant lui, un véritable Monet ! Il en
bavait presque devant. Monet était le peintre le plus apprecié dans le coeur de Samuel ! Il rendait le paysage tellement beau ! Tel un poète il faisait ressortir la magnificience des choses à
travers les couleurs et son pinceau. Il en avait vendu des tas mais aucun n'avait put atterir dans ses mains, pas même quand il était restaurateur au musé du Louvre à Paris.
- Je te l'offre..., sourit David
- QUOI ? Mais tu es fou !! S'exclama Sam
- HAHA ! J'en ai encore plein tu sais certain que même le monde de l'art ne connait pas...
- Comment ça ? Demanda Sam intrigué
- Choukler ne t'as donc rien dit ? Je suis le déscendant direct de Claude Monet*.
Samuel en resta bouche baie. Tout s'expliquait ! Pourquoi Choukler a-t-il voulu lui faire cette surprise, pourquoi David avait rit quand Sam n'avait pas réagis à son nom de famille. Seulement se
trouvait en face du descendant de l'un des plus grand artiste que la terre n'ai connu lui donnait presque des vertiges ! C'était incroyable...
- Je me sens pas bien..., dit Sam en s'accoudant au mur
David rit légèrement, amusé par la situation il ne se doutait pas que le grand Anderson le prenne comme ça après tout. Ils restèrent à moment à se regarder dans les yeux l'un de l'autres, David
avait cesser de rire et semblait de plus en plus sérieux louchant sur les lèvres de Sam. Samuel coupa net à cette instant en se poussant doucement.
- Tu ne peux pas m'offrir une chose pareil ! S'écria-t-il
- C'est ce que je viens de faire !
- Tu es complètement cingler !
- Je prend ça pour un compliment, sourit David
Samuel riait de la situation, et repartit dans le salon pour s'assoir sur l'un des grand canapé en daim doux, il regardait le plafond n'en revenant pas ! Il se trouvait dans la maison d'un
ancêtre de Monet. C'est comme si il était en présence du Pape ! C'était encore mieux. Il releva la tête heureux comme jamais, mais il ne pouvait pas accepter une telle offre sans faire quelque
chose pour David, certe il le voulait se tableau et l'enfermer chez lui mais pas sans compensation.
- Que veux tu que je fasse ? Demanda Sam en regardant David à sa gauche
- Pardon ?
- Tu m'offre le plus beau des cadeaux et je ne l'accepterai pas tant que je te donnerai rien en retour ! Je n'ai pas les moyens pour un Monet de cette valeur mais je peux te payer au fur et à
mesure.
David explosa de rire il n'avait jamais entendu un homme aussi dingue ! On lui offrait quelque chose et lui voulait payer ça n'avait aucun sens. Même si le fait qu'il soit si gentil
l'attendrissait, derrière ses airs autoritaire il en était presque trop craquant. David replaça une mèche des cheveux noir de Sam derrière son oreille et s'approcha doucement du visage de celui
ci, Samuel effrayé recula soudainement mais David de le stoppa et le regarda dans les yeux.
- Je veux un baiser.
Samuel avait le coeur qui battait la chamade, il ne savait pas quoi faire ! Bien sûr qu'il avait envie de l'embrasser, il en avait envie depuis le premier jour mais il ne pouvait pas se le
permettre ! Il ne pouvait pas tromper celui qu'il aimait. Il se sentait malgré ça défaillir au fur et à mesure que David s'approchait de sa bouche, ses lèvres légèrement entrouvertes n'étaient
plus qu'à quelques centimètres de ces petites parcelles de peau humides et frémissantes. C'est dans un contact doux et appaisant que Sam se laissa aller à un baiser langoureux et
tendre.
La main de David le fit approfondir son baiser jouant avec la langue de Anderson qui au départ était timide prenait maintenant part avec fougue à se baiser devenu intense en quelques
secondes.
Très vite David s'emporta et se laissa aller à des carresses sur le torse du beau brun, déboutonnant sa chémise blanche et passant sa main à l'intérieur pour jouer avec ses mamelons déjà
durcit.
Samuel se rendait compte ce de ce qu'il faisait et poussa soudainement David, tout ça allait trop vite, un frisson de dégout et de déception l'envahis, associé au désir intense qu'il avait en
regardant les yeux de Hank. Jamais il n'aurait cru pouvoir embrasser un autre homme et à cette instant jamais il n'aurai cru avoir le courage de le repoussé mais les frissons d'écoeurement de lui
même lui avaient pris brusquement toute envie et l'avait transformer en tristesse. Il se repellait maintenant du visage celui qui l'avait abandonné...
David resta perplexe ne comprenant pas la reaction soudaine de Samuel, il avait l'air d'apprecier avait il fait quelque chose de travers ?
- Au revoir monsieur Hank.
Dit rapidemment Sam avant de partir vers la sortir sans laisser dire quoi que ce soit à son interlocuteur. David était sidérer, il sentait presque de la colère lui brûler la gorge mais surtout de
la deception et de la douleur.
Samuel arriva chez lui presque essouflé par sa course poursuite (en voiture), il avait rouler tellement vite qu'il en retenait sa respiration à chaque tournant. Une fois dans son appartement il
sentit une petite odeur de café survoler les airs il s'approcha de la cuisine et constata que Camille s'était très bien installer et habitué. Il sourit en la voyant, elle avait l'air si innocente
et heureuse dans son modeste appartement.
- Bonsoir ! Fit la petite blonde
- Bonsoir, dit simplement Sam
- Alors ce rendez vous ? Je ne m'attendais à ce que vous rentriez ce soir monsieur, elle fit d'un air coquin
Samuel lui baissa les yeux en repensant à l'affront qu'il avait fait à David, bizarrement il se sentait coupable maintenant sa pudeur et son attachement à de vieux souvenirs venaient de lui
gâcher une belle opportunité de revivre enfin comme un homme comblé.
- Monsieur ? Que s'est il passé ? Elle demanda inquiète
- Il m'a offert un Monet...
- OUHA ! Quelle charité !
- Nous nous sommes embrassés...
- Oh... et ça n'a pas l'air d'être une bonne nouvelle...
Samuel sentit les larmes lui venir aux yeux, il avait été stupide de l'envoyer ainsi boulé ! Quel idiot !!
Camille inquiète se précipita sur son patron pour le serrer dans ses bras maternel, elle lui carressa les cheveux accompagner de petit baiser sur la tête.
- Racontez moi ce qu'il s'est passé...
- Je l'ai rejeté Camille ! Je l'ai rejeté parce que Julien me manque...parce que je n'arrive pas à l'oublié et que j'avais l'impression de le trahir.
Son regard peiné traduisait toute la compassion qu'elle avait pour Sam qui lui se sentait perdu, pris entre deux feux, honteux d'être aussi sentimentale mais il n'y a que devant son "petit
rayon de soleil" qu'il pouvait laisser couler ses larmes sans gêne.
- Monsieur Julien n'est plus là...oubliez le...et surtout ne laissez pas partir Monsieur Hank ! Je suis sûr que vous pouvez vivre une magnifique histoire avec lui !
- Je n'en suis pas si sûr Camille...
Ne nous renverrons sans doute jamais Sam, mais jamais je ne t'oublierai tu as mon visage après tout. N'est-ce pas petit frère
?
* : David Hank n'est pas le véritble descendant de Monet c'est une ficton :pp
" Je croyais que tu m'aimais et tu m'as tourné le dos pourquoi ? C'est mal d'aimer ? Tu regrettes ? Est-ce que c'était une erreur ? Suis je une erreur ? Réponds mon
grand frère."
Une fin de semaine épuisante pour le génie de la Genèse.Corp. Encore des clients gagnés et des négociations toujours plus fructueuse et pourtant Samuel n'avait pas le sourire.
Un verre de Scotch à la main comme à son habitude et les pensées loin de ce bureau au centre de Londre, le regard sérieux mais encore trop frivole pour être celui du grand Anderson il porta bientôt ses prunelles couleur charbon sur une magnifique tableau au dessus de son mini bar.
" Quel idiot..." Il pensa en se serrant les dents.
Les événements passés vinrent soudainement à l'esprit de Sam comme une boucle incessantes et obsédantes de mauvais souvenirs. Mauvais ?
Leur baiser était si profond. Non ils n'étaient pas mauvais mais trop court.
Il s'assit à nouveau sur son siège en cuir faisant couiner le tissu, le regard toujours dans le vide de verre en verre, il sentait déjà l'alcool lui atteindre les neurones et le rendre dingue.
David le rendait dingue ! Il n'avait fait que penser à lui de toute la semaine ! C'était une torture. Trop honteux pour aller le voir et bien trop timide ce qui est pourtant rare dans les défauts de Anderson. Il pencha sa tête en arrière et soupira un long moment, la tête lourde mais le corps chaud et reposant il s'imaginait déjà les pires horreurs que David lui aurait dit si jamais il s'était représenter penaud devant lui.
Quel honte.
Camille savait bien ce qui se passait dans la tête de son patron et ami, elle ne l'avait jamais vu aussi embarrasser mais elle ne pouvait pas cacher son enthousiasme à l'idée que Sam reprenne enfin goût à la vie ! Et croit à nouveau en une autre relation.
Dieu sait comme il ne croyait plus rien après le départ de Julien, elle même avait vu l'horreur que l'absence de celui qu'il aimait avait engendre. Sam était devenu un machine, sans sentiment, un monstre qui n'enlevait son masque que la nuit lorsqu'il pleurait à chaudes larmes sur les épaules frêle de la jeune maman. Samuel était plus important qu'un ami aux yeux de Camille, rien que d'y penser elle sentait son coeur se serrer dans sa poitrine et les larmes lui brûler les yeux.
Son regard se posa ensuite sur le combiner, aurait-elle l'audace de l'appeler sachant qu'il doit sûrement ce saouler ou bien méditer sur sa conduite ?
- Excusez moi, demanda une voix masculine face à elle
Elle redressa vivement le visage quand elle croisa les yeux cristallin, d'un bleu pénétrant elle rougit en voyant le doux sourire qu'affichait son interlocuteur. Finalement elle n'aurai pas à appeler son patron pour savoir comment il va.
- Je préviens monsieur de votre arriver ? Elle demanda un sourire accueillant sur le visage
- Non je veux lui faire la surprise.
Elle échangea un regard complice avec David qui malgré l'assurance qu'il montrait, tremblait à l'idée de revoir le visage délicat de Sam. Autant que lui, il n'avait pas cesser de penser à leur léger baiser, un simple baiser qui avait animé un véritable feu de forêt dans son esprit. Sachant très bien que Sam ne viendra jamais le voir il prendrai les devant ! Il ne pouvait pas rester là à l'attendre, non il ne pouvait c'était bien trop frustrant.
Il avait besoin de le revoir.
Il prit un grande inspiration et d'un geste simple et silencieux il ouvrit le porte du bureau, il cru à l'apparition de la beauté incarner quand il vit son visage si calme, si reposer, le teint laiteux et les cheveux contrastant avec ses lèvres légèrement rosés. Ses yeux fermés, Samuel se tenait sur son siège la tête en arrière, sa poitrine légèrement soulever par ses respirations régulières.
Hank n'avait jamais été aussi chambouler par quelqu'un de toute sa vie.
- On dort pendant le boulot ? Il dit d'une voix bien placé
Sam eut un sursaut à l'écoute de ce bourdonnement, il se redressa fixant de stupeur celui qui se tenait sous le pas de sa porte, les mains dans les poches d'un pantalon blanc à pince qui lui allait à ravir et une lèvre chemise blanche ouverte sur les trois premiers boutons.
- David..., il murmura à peine
Il regarda autour de lui, gênée et ne sachant plus trop quoi faire il se contenta de se lever doucement pour s'appuyer contre la grande vitre derrière lui.
- J'étais un peu fatigué.
- Ou perturbé.
Anderson se sentirai-t-il prit au dépourvu ? Sa venue surprise n'était pas non plus des plus normale mais malgré son étonnement et sa pudeur soudaine, il était heureux. Tellement heureux de le revoir, un léger sourire au coins des lèvres ce qui n'échappa pas à l'oeil de lynx de David.
Alors ça lui faisait plaisir, se disait il, Dieu merci. Soulager et maintenant le stresse évacuer David reprit son rôle d'ange providentiel, il s'approcha délicatement du corps qui réclamait le sien ! Un appel si puissant qu'il ne pouvait l'ignorer.
Samuel se sentait défaillir voyant très bien les flammes dans les yeux de son vis à vis, cette tension était palpable, ce désir l'un de l'autre était presque trop effrayant. L'attraction était une évidence mais Samuel en avait peur, son corps en tremblait entièrement et il ferma les yeux espérant de tout son coeur qu'on ne remarque pas sa gêne et ses joues prendre feu aussi vite d'un brasier de forêt.
- Tu m'as manqué...
La voix de David semblait lui chatouiller l'oreille alors qu'il était encore à quelques mètres, son coeur raisonna dans tout son être Sam devait reprendre le contrôle tout son corps se crispait. Il pinça ses lèvres fortement pour le faire redescendre sur terre, il ravala sa salive difficilement et c'est dans l'espoir de se contrôler qu'il ouvrit les yeux plongeant son regard noire dans le bleu abyssale de David. Une telle attraction devrait être interdite.
Alors que le corps de Hank se trouvait à quelques centimètres du sien les pupilles dilatés de Sam s'égarèrent sur le corps musclé
s'approchant dans une lenteur calculé, ses épaules larges, ses lèvres douces, ses cheveux de soie, ses main fermes et pures, sa marche assuré et sa voix sensuel. Le plaisir l'envahissait peu à
peu, sentant déjà ses picotements particuliers au bas du ventre.
Content de sa dominance, David n'arrêta pas son avancer pour autant. Le regard doux et calme il ne montrait que le simple envie de lui. Ni bestiale ni trop doux, ses pas était fluide et le temps
s'arrêtait pour les deux. Très vite son corps se colla à celui de son aîné qui déglutissait tant bien que mal sentant les respirations de Hank.
L'anxiété se mélangeait au désir dans les yeux et David le savait bien, tellement fier de sa présence imposante il adorait voir Samuel perdre ses moyens lui qui était inébranlable en temps naturel. Il sentait déjà les formes musculaires fine à travers le chemise qui vint caresser de l'index. Le sang de Sam ne fit qu'un tour et rapidement il s'éloigna mettant fin à leur étreinte étrange.
- Tu as soif ? Il demanda stresser
David sourit. Il était tellement craquant quand il tentait de fuir, tellement attirant.
Il s'approcha d'un pas plus pressé et colla à nouveau son corps au dos de son ami, Il passa ses main doucement sur les hanches faisant frissonner Anderson. Il se sentait totalement livrer au bon vouloir du beau blond qui profitait de sa supériorité. Ses mains passèrent lentement vers le haut de son torse caressant le tissu fin, il déboutonna les premiers boutons passa simplement ses lèvres dans le coup du brun.
Pas de baiser, juste la pression de ses lèvres qui glissait sur sa peau de satin. Son odeur l'enivrait et le faisait quitter la terre ferme pour un monde de désir charnel. Il le retourna doucement et constata que Sam était également dans un état second. Les yeux fermés il appréciait à sa juste valeur les caresses de David. Son visage fermer et serein était si étrangement doux, couleur neige Hank se risqua à le toucher du bout des doigts redessinent la moindre de ses formes faciales.
Dans la tendresse David souleva Sam pour le faire s'asseoir sur le mini barre renversant l'un des verres, Il vint passer sa bouche à
nouveau dans son coup suivit de ses doigts fins reniflant la fraîcheur de son épiderme, profitant pleinement de se contact apaisant. Une vague de bonheur et de bien être l'envahissait et se
laissa maintenant guider par son instinct fermant les paupières un sourire sur les lèvres.
Sam avait la tête légèrement pencher en arrière, les bras touchant sa taille, la bouche entre-ouverte laissant un souffle plus saccadé
s'échapper. La bouche pulpeuse de son ami le couvrait d'une couche de plume, l'air ne lui avait jamais sembler aussi respirable, le temps ne s'était jamais autant ralentit. Les mains de David
remontèrent jusqu'à sa nuque et tout en partageant un regard plongeant il descendit la chemise de Sam découvrant ses frêles épaules immaculés qu'il caressait sans lâcher des yeux le
brun.
Samuel ne pouvait attendre plus longtemps ! Il attira le visage angélique de David pour prendre possession de ses lèvres et leur échange était passer à la vitesse supérieur. Sam enleva cette cravate du cou du blond la faisant tomber naturellement sur le côté, il entoura son bassin de ses jambes pour le serrer encore plus contre lui prit d'une fougue irrassasiable. Son torse maintenant mit à nu, Sam pouvait le contempler d'un regard dévorant, il toucha la démarcation de ses pectauraux* redescendant jusqu'à abdos et pressant sur le pantalon. Il caressa débord le tissu avant d'enlever la ceinture et la jeter plus loin.
Aucunes paroles n'étais nécessaires, ils se se comprennent par le dialogue de leur corps, tous les deux les bras l'un dans l'autre s'embrassant fougueusement, passionnement, langoureusement ! Sam en oubliait ses peines, son passé, il oubliait tout ! David était son ange et personne n'aurait put les arrêter à cet instant précis.
Sam se redressa, sans lâcher les lèvres de son vis à vis, il se faisait beaucoup plus entreprenant et dans un sourire malicieux il arrêta son baiser pour embrasser son corps. Reculant de plus en plus, David se cogna contre le bureau et se tenant fermement aux coins, il sentait déjà tout son être en ébullition et Sam l'avait bien senti. Le laissant faire il sentit très vite qu'il ne portait plus rien et que les mains de son ami lui caressait l'entre jambe.
Un petit rire se fit entendre jusqu'à ce qu'il sente une douce chaleur lui envelopper le sexe. Ses yeux s'écarquillèrent de bien être
et surprise, il aurait put le crier mais il se contenta de gémir et raidir ses jambes sous le plaisir. La bouche de Sam était si chaude, si électrisante qu'il cru d'abord à un
rêve.
- OOOh Sam..., il n'arrivait plus à contenir ses mots, OOh putin...humm...
Samuel avait prit ses lourds gémissements pour des messages, il accéléra la cadence totalement aveugler par le désir et le plaisir ses
craintes et son angoisse était cacher derrière son érection douloureuse.
- Sam je...
Samuel avala la semence de David avant de venir lui faire partager le fruit de son plaisir se collant encore plus fortement lui, Hank ne tarda à avoir une nouvelle érection. Les mains de Samuel étaient devenus omniprésente, douce et délicate, rapides et insistantes ! David n'avait jamais vécu une tel fusion ! La pièce elle même baignait dans leur échange bouillant, les gouttes de transpirations ne tardèrent pas à apparaître.
David sous la pression du corps insistant de Samuel finit par se coucher à même le sol emportant avec lui Anderson qui en voulait toujours plus ! Encore et encore, il était tellement doux avec lui.
Savait il que David ne l'avait jamais fait avec un homme ?
Les yeux humides de plaisir, Samuel lâcha la bouche du blond respirant tous les deux difficilement. Lui demandait-t-il la permission ? Pour toute réponse David serra encore plus son bassin nu à celui de Sam avec leur deux érections collées l'une à l'autre. Il pris possession à nouveau de ses lèvres caressant du pouce la courbe de son dos. Samuel introduisit un doigts dans l'orifice de son ami qui sous l'effet mordit la langue du brun.
Le sang se mélangea à son tour à ce baiser torride, remuant en lui Samuel ne pensait plus à rien mais il était certain que David Hank
était puceau et qui plus est très étroit.
- Je vais y aller doucement....
Lâcha Sam d'un souffle récupérant de l'oxygène.
- Quel courtoisie, sourit David en caressant d'une main la raie de Sam qui s'en mordit la lèvre inférieur. Sans prévenir et sans attendre plus il pénétra doucement David qui cria de douleur, son visage déformer par le mal reprit une teinte un peu plus normale au bout de quelques seconde. Sam resta un instant sans bouger se sentant mal de l'avoir fait pleurer, il voyait bien une larme perler sur le bord de ses yeux océaniques.
David prit de grande bouffer et Sam commença ses vas et viens doux, au bout de quelques secondes Hank avait changer radicalement de visage pour des yeux crispés de jouissance et le souffle chaud caressant le torse élancer de Sam.
Il avait presque toujours été l'actif dans ses rapports et la pénétration était vraiment le sommet de l'extase ! Les fesses rebondit du beau blond le rendait dingue et la cadence ne faisait qu'augmenter arrachant aux deux des gémissements de plus en plus poussés finissant par jouir en coeur et se reposer l'un contre l'autre. Les deux torses collés et soulevés par une respiration coupée.
Samuel sentait déjà la réalité lui déchirer le coeur, qu'allait il advenir d'eux deux ?
Détestes moi Sam ! Détestes moi ! Notre amour est impossible. On a pas le droit; tu es mon frère.
* ON s'habitue à mon orthographe pourrit !
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