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/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

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toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet

Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 19:28

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                  " C'était un jeudi ou un samedi je me souviens de son regard glaciale juste avant de prendre ce train. Ce train qui l'emmenait loin de moi, ce train qui me laisse seul moi et mon désespoire jamais je ne le reverrai...pourquoi ? Est-ce si mal de s'aimer ? Est-ce si mal de vouloir être heureux ? Pourquoi ?" 

- C'est étonnant, dit l'un des homme 
- C'est magistral ! Bravo ! Applaudit un autre
- Monsieur Anderson on peut dire que vous êtes l'homme de toute les situations ! Grâce à vous la société de Genèse.Corp reprend vie ! Lokart n'était pas un client facile portons un toast ! S'écrie celui qui était en bout de table
- A la plus grande société de mis en enchère de tout le pays ! 
- Et à Monsieur Anderson, dit encore le vieille homme
- Merci, répondit le concerner en buvant son verre doucement
En plein centre de Londre siégeait l'une des grande sociétés de mise enchère, peut être la plus grande ! Diriger depuis des années par les hommes les plus influants artistiquement de ce pays. Le petit Anderson était rentré dans la société depuis seulement quelques mois et voilà qu'il récupérait un grand milliardaire les accusants de s'être fait duper par sa dernière acquisition. Un tableau du milieu dix septième représentait Vénus à peinture à huile faite en Italie. Anderson était quelqu'un de très convaincant, son caractère et ses propos pourraient venir à bout de n'importe quel homme politique et séverement centré sur ses opinions : on disait que Samuel Anderson avait le don de la parole. 
Cet homme de trente et un ans n'avait aucun autre but dans sa vie que son travail, refusant toute famille par peur de tout perdre du jour au lendemain. Un homme de conviction et valeur mais qui ne vivait plus vraiment. Il avait été restaurateur dans un grand musé avant de passer directement chef d'une grande galerie d'art pour enfin arriver au sommet, les enchères. L'argent ne l'intérèssait pas ! Mais il connaissait la langue des billets brillant dans les yeux de chaques hommes de pouvoir, une langue qui ne s'improvisait pas. Dans ce monde la loi du plus fort est de vigueur et Sam était un véritable requin des affaires. Son travail était de convaincre le client, il participait aux enchères de temps à autres mais rare tout de même. Il préférait recruter le nombre incroyable de client, voilà son vrai défis, toujours plus haut, être au sommet c'était sa véritable ambition. 
- Je rentre monsieur Anderson, dit sa secrétaire
Il releva la tête de ses papiers et enleva ses lunettes rapidement pour adresser un sourire tendre à celle-ci. Elle fit un grand signe tenant son bas ventre, un petit bébé l'attendait mais elle refusait de laisser cet homme travailler sans relâche seul, il avait tellement fait pour elle. 
- Repose toi bien Camille, lança Samuel 
- Essayez de faire de même, dit elle en fermant la porte
- Bonne nuit à vous. 
Il répétait toujours la même phrase, elle répétait toujours la même chose depuis trois ans. Ils ne se quittaient pas ayant débutés ensemble il l'a toujours voulu à ses côtés. " Mon petit rayon de soleil" il l'appelait et bon nombres de ses collègues croyaient qu'ils étaient ensemble au début, tellement proche l'un de l'autre Camille qualifirait cette relation de fraternel plus qu'autre chose. 
Un bourreau du boulot certes mais c'était un être très chaleureux et gentil. Il n'avait aucun ennemis jusqu'à présent pas même les concurrents qui au contraire faisait tout pour l'avoir dans leurs rangs, croyez le ou non mais il fallait mieux être ami avec Samuel Anderson. Une règle d'or.
C'est seulement à vingt deux heures qu'il quitta son bureau, sa veste poser sur l'un des bras et l'attacher caisse dans l'autre. Le visage calme et serein il rentra chez lui dans un calme plat, sa journée avait été brillée par se fabuleux poisson qu'il avait repêcher demain il passera à un riche entrepreneur qui hésitait à prendre une statue de la renaissance ou un tableau de Van Gogh. Après un café vite ingurgité il se coucha toute suite ne voulant pas perdre ses huit heures de sommeil indispensable pour être au meilleur de sa forme. Dans sa chambre au couleurs chaudes il s'endormis paisiblement repensant sans cesse à ce qu'il allait faire, ce qu'il devrait dire, ce qu'il devra recommencer. 
- Bonne nuit. Se dit il à lui même
La lampe éteinte, les étoile allumées, plonger dans les ténêbre silencieux de la nuit il laissa aller sa tête sur son oreiller doux. Encore une larme juste une dernière. 

Un matin ensolleillé pour un début d'automne, marchant dans la rue à grand pas il devra joindre le métro d'ici quelques minutes. Toujours une heure d'avance au boulot c'est mieux que deux minutes de retard. Les londoniens n'étaient pas très matinaux, pas tellement de bousculade mais quelques uns peut être tout aussi préssés que lui se pressa d'entrer dans le train. Il s'assit sur une chaise devant la porte attendant inlassablement que celui ci s'arrête à son arret habituel. Le grincement des railles le fit sortir de ses rêves, encore un peu endormis mais très attentif il sortit avec quelques uns également. Un grand batîment luxueux lui ouvrait les bras il rentra à l'intérieur sans s'arrêté adressant un sourire rapide au receptioniste puis dans l'ascenceur presque déjà plein. A nouveau il salua ses collègues de travail qui s'arrêtèrent à différents étages, il arriva au septième : le sien. 
- Bonjours monsieur Anderson, dit Camille en essayant de se lever
- Reste assise Camille, dit il en se précipitant sur elle, ne te fatigue pas trop. 
Il admirait ce petit bout de femme, à seulement vingt quatre ans enceinte de six mois, enceinte d'une infine partie du pouvoir de Dieu. Le pouvoir de crée. Il toucha doucement le ventre déjà bien rond puis fit une bise énorme à la maman en prenant le dossier.
- Je t'ai déjà dit que tu pouvais prendre un congé, dit il inquiet
- Je serai toujours là pour vous aidez monsieur Anderson...je vous dois tellement, dit elle en baissant les yeux timidement
Attendrit par la douceur de cette futur maman il lui redressa le menton. 
- Tu ne me dois rien c'est moi qui te dois tout, dit il sincèrement
- Allons ne dites pas n'importe quoi ! Monsieur Choukler vous attend dans votre bureau il est vraiment furieux ! 
- Pourquoi ça ? 
- Vous n'êtes pas encore passer goûté la tarte de sa femme, dit elle amusé
Sam sourit à cette plaisanterie. Choukler était le patron d'une grande galerie d'art et un ami important de l'entreprise qui fournissait pas mal de ses oeuvres. Choukler était également un grand fan du don de Sam, celui ci portant une admiration inégalé au prodige qu'avait recruter Genèse.Corp, un prodige qui mérite plus disait il sans cesse. 
- Mon cher Samuel ! S'éxclame l'homme jeune sur son propre bureau
- Monsieur Choukler, dit il en fronçant les sourcils pour bien lui faire comprendre qu'il ne pouvait tout de même pas tout se permettre
- Pardon désolé je voulais savoir ce que ça faisait d'être sur le siège de l'homme le plus puissant du monde artistique. 
- Aller vous assoir sur le siège de Spielberg alors, dit Sam en riant presque 
Choukler se leva pour marcher un peu dans le bureau de celui ci.
- Ce n'est pas de l'art ! Le vrai art ne nait pas des mains aussi simple que celles de Spielberg...le cinéma ne devrait pas être un art !
- C'est pourtant le septième..., continua Sam
- Vous avez vraiment le mot à tout, sourit Choukler en regardant le prodige dans les yeux
- Je ne dis que la vérité, répondit Samuel en accentuant son regard 
- Bien ! Je t'invite ce soir à une grande reception ! 
- Je n'ai pas le te...
- Viens, coupa soudainement Choukler
Samuel se tut un moment voulant comprendre ce revirement soudain presque agressif, y avait il quelque chose à cette soirée qu'il devait absolument voir, quelqu'un ? Quoi ? Intrigué il ne pouvait pas refuser puis Choukler a toujours été d'une grande aide avec lui, il lui fait confiance malgré son tempérament parfoi lourd.
- Tu goûtera à la tarte de April ! Lança-t-il en fermant la porte derrière lui
Samuel sourit légèrement à sa plaisanterie et se remit au boulot immédiatement, il devait rencontrer encore un riche milliardaire il n'avait pas de temps à perdre.  
- Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet, se dit il essayant de se rassuré
C'est presque comme un rituel, chaque fois qu'il devait convaincre un acheteur il répété cette phrase comme une formule magique pensant qu'elle lui portait vraiment bonheur. Cette phrase n'était pourtant pas la sienne, cette phrase n'était pas de sa bouche, cette phrase était pour lui, cette phrase était un cadeau d'adieu qu'un fraguement de son coeur avait laissé avant de s'en aller. 

" Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet. Je t'aime Sam."

 

Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 21:53
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                      " Tu me disais " regarde Sam c'est un aigle le roi du ciel, il ne connait pas de limite, il est au sommet de ses grandes ailes il impose sa prestance. Regardes Sam c'est un aigle...un jour tu sera comme cet aigle n'est-ce pas ? Tu volera de tes ailes impérial et tu gouvernera le ciel, tu vera le monde comme il est beau de là haut. Regardes Sam..." 

                  Il frappe à cette grande porte en bois, un homme calme sans même dire un mot lui ouvre la porte : un major d'homme. Il entre sans dire quoi que ce soit également, c'est ainsi dans la haute société remercier un domestique serai inutile, sa pourrait presque paraitre bizarre. Dés son arriver quelques invités le reconnaissent immédiatement, certain pour avoir déjà travaillé avec lui, d'autre par sa rumeur ou encore sa beauté. " Un homme de trante et un an ? Impossible il en fait à peine vingts."
- Monsieur Anderson heureux d'enfin vous rencontrez je suis Peter Levy, dit il en lui serrant la main
- Et moi son épouse Peny, dit la femme 
- Bonsoir madame, salua à son tour Sam
- Que de compliments à votre sujet ! Depuis quand travaillez vous pour Genèse.Corp ?
- Le mois de février, répond Sam en entrechocant son verre de champagne avec celui de l'homme et de son épouse
- Quelle chance vraiment ! En peu de temps vous êtes devenus incontournable dans toutes les discussions ! Dit l'homme en riant
- A vraiment, ris légèrement Sam par politesse
- Même dans celle des femmes, dit Levy en lui tapottant le coup suivit d'un rire gras correspondant perfaitement à son gabarie
- Ah ! Rit encore Sam en buvant sa coupe
- Alors monsieur Anderson on est venu accompagnez ? Demandez la femme avec un sourire ravageur sur les lèvres
Les femmes des riches hommes d'affaires étaient généralement des femmes dans la quarantaine bourrer de botox, jamais Sam n'aurait toucher à ça au grand Dieu JAMAIS ! Il déteste c'est mangeuse d'homme qui n'attendait que le plus offrant. Il se força à lui sourire pour paraître poli et finit son verre d'un seul trait. 
- Bien sûr, dit Samuel en posant son verre sur l'une des tables
- Ah bon ? Dit la femme semblant étonné, je ne la vois pas !
- Là bas.
Samuel se poussa légérement et pointa Camille dans une magnifique robe violette en soie qu'il lui avait payer. Une robe qui faisait ressortir son ventre mettant en avant la magnificience d'une femme enceinte. Elle souriait à pleine dent comme toujours, heureuse quoi qu'il arrive, une coupe de cheveux digne des plus grand coiffeur, ses long cheveux de bleu légerment onduler était attacher, des bouclettes tombaient de sa coupe comme de fins rubans. Elle était ravissante, pensait Sam en la voyant, ses yeux noire brillant sous les chandelles des lustres lui donnait des paillettes dans son sourire. Samuel sourit à cette vue magnifique, il était heureux de l'avoir pret de lui, il ne sait pas ce qu'il ferai sans son soutient, en tout cas il n'en serai pas là. 
- Ah je vois, dit doucement madame Levy
- Ravissante n'est-ce pas ? Demanda Sam en enfçant le couteau dans la plait
- Très, dit Levy d'un sourire amer
- Tiens je te cherchais partout ! S'exclama la bonne vieille voix de Choukler derrière lui
- Et bien je suis là, dit Sam en s'excusant auprès du couple 
Il se laissa diriger par Choukler, il lui présentait toute les plus grosses fortunes du monde de l'art il y avait même un ministre de la chambre des Lord. Il continua sa présentation par des hommes inconnus de la société artistique mais qui s'intéresse de plus en plus à cette matière devenu incontournable depuis quelques annés, acquisation d'une oeuvre devenait presque comme une obligation pour rentrer dans les reformes et principes de la fortune. Cependant Sam n'avait pas encore compris ce qu'il cherchait vraiment à le faire ammener ici, certes il venait de lui donner une large palette de clientèle mais ça m'étonnerai que ça soit la seule raison pour la quelle il a tellement tenue à sa venue. Samuel réussit à s'exclipser de toutes ses conventions et autres formalité pour se diriger vers le buffet, quelques petits fours et le voilà partit pour analyser les personnalités à l'oeil uniquement. Il avait déjà reperer ses porchains clients, finalement ce n'était pas une si mauvaise idée que de venir ici, en plus les petit fours sont délicieux ! 
- Au fromage..., dit un homme à sa gauche
- Pardon ? Demanda Anderson 
- Les meilleurs sont au fromage, dit le même homme avec un grand sourire
- Je préfère ceux à l'olive, dit Sam en degustant l'un d'eux
L'homme se mit à rire sans quitter des yeux Sam, son sourire avait quelque chose de chaleureux et appaisant. De lui semblait se dégager une sagesse et une paix reposante berceuse, enfin parfaite. Il était grand surement dans les un mètre quatre vingt-dix, une carrure d'athlète au visage d'ange quel contraste ! Ses yeux bleu couleur océans semblait briller comme la mer sous le soleil de l'été. Ses cheveux blond fin et court intensifiait ce côté angélique et un charisme fou l'envloppait. Etonnant que Sam en remarque autant, il ne regardait pas les hommes, pas les autres hommes. 
- Je m'appelle David, David Hank. Dit il en tendant sa main
- Samuel Anderson, répondit Sam en serrant sa main
- Je sais qui vous êtes, sourit de nouveau David
- Et vous ? Qui êtes vous ? Demanda Sam intrigué
David fit des gros yeux un instant puis il rit de bon coeur pour reprendre ses esprits quelques instant après. Cette question était si drôle ? Se demanda Samuel
- Je suis un ami de Choukler, dit il calmé
- Très bien.
- On vous a traînez de force ici n'est-ce pas ?
- En effet Choukler adore me chaproner mais je ne lui en veux pas il m'aide beaucoup à vrai dire, Dit sincèrement Sam
- Oui il aime rendre service. 
David se posa contre la table croisant les bras et faisant un tour de salle avec son éternel sourire sur les lèvres. Samuel n'arrivait pas à savoir ce qui l'intriguant tant chez cet homme tellement serein ! Ca en était presque effrayant. Il continua sa mission sur le buffet tout en écoutant parler le beau blond, ses paroles semblaient accompagner d'une douceur extrême comme si elle appaisait quiconque l'écoutait, une sensation éphémère mais qui mérite d'être connu au moins une fois dans sa vie. Il parlait de tout, des gens qu'ils connaissaient dans cette fête la façon dont la quelle Choukler la traîner également aussi mais surtout d'art. Peut être était il artiste ? En tout cas il semblait amoureux de l'art, un amour profond et sincère, un amour qui l'avait rendu si séduisant que femmes ou hommes ne regarderaient que lui. Comment Choukler pouvait il connaître un homme aussi intéressant sans en avoir parler à son prodige préferer ? Il en était subjuguer mais sans vraiment lui montrer il l'admirait secrètement, d'un oeil neutre et simple que le plus grand des experts n'aurait pas put détecté la moindre émotion. Si peut être l'indifférence alors qu'en fait il absorbait chaque paroles, chaque syllabe pronnonce de cette bouche. Il portait un costume blanc, un costume blanc avec la peau blanche faisait penser aux cieux, encore l'ange, oui c'est homme était un ange. 
- Oui on peut dire que j'aime l'art..., sourit David
- Je l'ai remarqué, sourit Sam
- Désolé je t'ennuie avec mes long discour mais je me sentais un peu seul à cette reception, ria David
- Il n'y a pas de mal vous n'êtes pas avec votre femme ? Demanda Samuel le coeur battant
- Ma femme ? Je ne suis pas marié.
- Et vous ? Vous êtes le futur papa ? 
- Non ! Dit précipitamment Sam, enfin...c'est ma secrétaire quelqu'un de très important pour moi mais pas ma petite amie...
- Oh...désolé je vous ai mis mal à l'aise ? 
- Vous l'êtes autant que moi, Sourit Samuel
- Comment ça ? 
- Une fois vous me vouvoier et l'autre vous me tutoier. 
David semblait pris sur le fait mais il ne semblait pas gêner, à moins que son petit rire soit nerveux. 
- Je remarque là l'un des plus grand, sourit David chaleureusement
Samuel partagea sa bonne humeur durant toute la fête à discuter de diverses choses. La compagnie de David lui était très agréable il était vraiment heureux d'enfin parler correctement avec quelqu'un sans surveiller ce qu'il doit dire par peur de ne pas être à la hauteur. Il se sentait plus libre de ses mots ce qui la rassurait énormément et bizarrement le fait qu'il soit seul le rendait plus joyeux que jamais.
Mai au fond, il se détestait de penser une chose pareil. 
La salle se vidait peu à peu de ses invités, les deux hommes étaient assis tranquillement toujours en train de discuter quand une ravissante jeune maman vint presque endormis poser une main fatigué sur l'épaule du beau brun. 
- Monsieur Anderson je dois rentrer, je vous souhaite une bonne nuit monsieur Choukler veut bien me rammener, dit elle avec le sourire même épuisé
- Non je viens attend moi Camille, dit Sam
Il ne pouvait pas la laisser rentrer seul, il ne pouvait pas la laisser tout court si lui qui avait insister pour qu'elle vienne et il allait l'abandonner dans son apparatement il était hors de question, même si pour cela il devrait arrêter la passionnante discussion avec le beau David. 
- Parodonnez moi je dois partir mais nous continuerons cette discussion une autre fois, dit Sam en tendant sa main
- Avec joie, sourit David
Serrant sa main sans le quitter des yeux, en un quart de seconde le temps s'était arrêter pour eux deux. Etaient-ils seuls au monde enfin ? Samuel avait une envie furieuse de l'embrasser. Avec fougue et passion il se voyait déjà lui sauter au coup et lui arracher cette cravatte bleu nuit s'accordant parfaitement à sa chemise, lui déchirer sa chémise avec une brutalité excitante, la chaleur grimper d'un seul coup, David l'embrassant de le coup, lui mordillant les mamelons...
- Monsieur Anderson ? Dit Camille
- Euh oui...pardon, Sam était revenu sur terre
Il n'avais pas quitter des yeux le beau blond qui semblait amuser par la situation, comme si il savait ce que venait de voir Samuel. Il en était presque mal à l'aise pour la première fois de sa vie, mais l'envie de lui sauter au coup était toujours là ! Quelle torture. Il finit par partir sans retourner s'injurant de tous les noms pour penser des choses pareils d'un homme qu'il connait que depuis quelques heures. D'un autre homme. 

Camille s'était endormis durant le trajet, Sam avait fait tout son possible pour réussir à la monter dans son petit appartement. Elle vivait seule depuis la grossesse, le père s'est défiler comme un lâche alors qu'ils étaient ensemble depuis déjà huit ans. Il a pris peur et la laisser seule avec sa peine et sa tristesse, tristesse qu'elle avait transformé en joie depuis se forçant d'aller de l'avant et de ne pas regretter. Pour elle cet enfant est une bénédiction et sans l'aide de Samuel elle ne l'aurait jamais compris. Le jour du départ du père elle s'est rendu à pied jusqu'à l'appartement de son patron, sous la neige glacé elle était tomber gravement malade et c'est Sam qui s'en est occupé. Il lui avait juré de l'aider pour l'enfant, que si il fallait de l'argent il en donnerai, il lui donnera autant d'amour qu'un père pourra lui donner. Jamais il ne laissera tomber celle qu'il considère comme son fil d'Ariane, sa petite soeur, sa raison de vivre, son petit rayon de soleil.
Car elle aussi a été là quand il le fallut, de cette dette Sam ne s'en defera jamais. 
Il l'a coucha dans son petit lit au couverture médiocre, il lui avait proposé d'habiter avec lui pendant la grossesse mais elle avait toujours refuser disant que cet appartement miteux était leur appartement. Pourquoi le monde est-il aussi cruel avec ceux qui le mérite le moins ? Pourquoi est-ce qu'il y a autant de larme couler ? Pourquoi ? 
Une réponse que tout le monde se pose mais que certains vivent vraiment. 
- Bonne nuit. Sourit Sam en couvrant sa princesse
Il lui déposa un baiser sur le front et alla se coucher à ses côtés pour la réchauffer la voyant grelotter. Mais le froid glaciale qui emprisonne son coeur dans des glaces éternel ne se réchauffera jamais...

Regardes Sam...regardes comme je t'aime.   
   
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 18:26
                           " Le vent soufflant contre ma peau, les cris venant de quelques étages en dessous. C'était il y a un an. Je supportais plus de vivre sans toi...aujourd'hui je ne suis peut être plus aussi seul..."


        
             L'odeur du café chatouille les narines de Sam, il se réveil doucement. Voilà bien des années qu'il n'a pas dormit autant heureusement pour lui que c'est un dimanche et qu'il ne travail pas il n'aurait pas supporter trop s'endormir mais ici, même si c'est un todi, il s'y sent mieux que dans son propre appartement. Il se frotte les yeux et remarque qu'un plateau petit déjeuner l'attend à sa gauche sur la table de chevet, doucement il s'en rapproche constate que Camille n'a pas perdu les bonnes vieilles habitudes : des tartines à la confiture de grenade comme il les aime. 
Il finit rapidement son petit déjeuner pour se lever et se diriger vers la salle de bain relié à la chambre, le miroire est fendu sur le haut mais ça ne le dérange pas il se regarde furtivement puis se rafraîchi le visage. Quel bien fait ! De l'eau fraîche ça réveille ! Il se regarde une dernière fois puis sort des deux  pièces pour entrer dans un petit salon et cuisine à la fois.
Camille est au fournaux frodonnant une musique douce et mélodieuse, Sam sourit en la voyant si active et heureuse. Elle sera vraiment une mère extraordinaire. Il s'approche d'elle et lui fait un gros bisous sur la joue pour lui dire bonjour, elle sourit et continue de faire à manger le saluant comme il se doit. 
- Tu nous fais quoi de bon ? Demande Sam enthousiate
- Spécialité de Camille ! Vous ne le saurez quand goutant, elle apporte une cuillère chaude vers la bouche gourmande de Anderson
Il s'en léchait les babine sentant la bonne odeur d'une sauce parfaitement bien reussit, il goutte et semble tomber des nus ! Il savait au combien la cuisine de sa secrétaire était superbe mais il ne pouvait pas s'empêcher d'être étonné à chaque fois : cette femme à vraiment tout pour plaire, comment un homme peut il laissé un trésor pareil ? Le monde lui ai vraiment un mystère totale,  même si la responsabilité d'être peur peut être effrayante l'amour doit tout surmonter !! Surtout un venu providentielle, c'est le plus cadeau que le monde n'est jamais offert à la femme. Un bébé c'est la vie ! C'est l'union de deux amour partager. 
Et bien non ! Il a fallut qu'il existe des gens aussi stupide pour refuser ce cadeau, pour l'abandonner tout bonnement. On devrait condamné l'abandon par la loi. Sam sourit à cette idée, un sourire triste se dessina sur son visage rayonnant il y a à peine quelques seconde mais le simple fait de penser à un abandon lui rappel des souvenirs...des souvenirs douloureux. 
- On passe à table ? Demande Camille
- Oui, dit il en suivant à peine la discussion
Il se lève comme un robot et se pose à une petite table dans un coin avec en face de lui la jeune mère. Anderson plonge ses yeux dans le dîner qu'il attend, mais sa tête n'est plus à l'appetit au lieu de lui ouvrir l'estomac c'est sa mémoire qui est touché. Ce n'est pourtant pas le moment de commencer à déprimé ! Pas devant elle. Il mange comme un automate mais son esprit était ailleurs, son esprit et son coeur est resté sur ce quai, il n'a pas quitté sa place et plus le temps passe plus la plaie s'ouvre comme ride que le temps creuserai. Camille lui parlait de diverse chose, il ne voulait pas tellement participer à la discussion sentant ses entrailles se serrer et ses yeux lui piqués. Il revoyait son visage, il voyait son sourire et sa petite serrer la sienne. Ils étaient inséparable unis comme les deux doigts de la main il aurait été impossible de les séparer, cet amour qu'ils avaient l'un pour l'autre était fort, beaucoup trop fort pour être accepter...alors il est partit. Il l'a laissé seul ce jour la sur le quai, lui adressant seulement un dernier regard vider d'émotion. Une dernier regard qui signifiait combien il était difficile de partir, de l'abandonner...de le quitter à tout jamais. 
Quand la vie sépare deux âmes faites pour rester ensemble, les déchirures et autres cicatrices ne se ferment jamais, elles restent ouverte attendant que la mort les frappe pour abréger leur souffrance. On ne repart pas une âme brisé comme on reparerai un pot casser, comme on ne peut ressucister d'une mort intérieur, le corps reste là mais plus rien ne compte, plus rien ne subsiste. Tout est superficiel et sans interet quand on peut pas voir à travers les yeux de celui qu'on aime. 
Il s'était jurer de ne plus jamais s'intéresser à qui que ce soit, pourtant ce David lui avait fait l'effet d'un calmant. C'est comme si à son simple contact il sentait son sac de brique se vider petit à petit, un peu plus vivant à chaque sourire qu'il lui envoyait plus fort, il avait l'impression de compter pour quelqu'un de ne pas être toujours en vie pour rien. David était un peu une sorte de corde au quelle il pouvait s'attacher pour tenir, un bras tendu qui l'aiderai à remonter la falaise mais ils ne se connaissaient pas ! Allait il vraiment remonter cette falaise où se laisser tomber ? 
Jamais il n'aurait cru regarder un autre moi, pour lui il n'en avait qu'un seul, le seul et l'unique mais une peur le rongeait. Il avait peur quand laissant David rentrer dans son coeur qu'il oublie celui pour qui il donnera sa vie, qu'il en oublie son visage et ses souvenirs ! Il ne veut surtout pas oublier l'amour qu'il lui porte toujours, il ne veut pas qu'on le remplace. Pourtant...Dieu sait que ce David l'intéresse il en revêrai nuit et jour si il ne fait rien. 
- Un café monsieur Anderson ? Demande Camille
- Pourquoi pas, dit il calme mais toujours pris dans ses pensés inquiétante
- Je vous appporte ça...
Elle se lève difficilement et s'en va faire les deux cafés avec sa beudeine. Samuel se rend enfin compte qu'il laisse une femme enceinte faire quelque chose ! Jamais il n'accepterai ! Il se lève dans la précipitation et prend les petits bras de sa secrétaire pour la conduire jusqu'au canapé. 
- Tu n'as pas à travaillé !! Couche toi je m'occupe des cafés ! Dit il honteux de ne pas avoir réagis plus tôt
- Mais...mais...
- Pas de mais ! Ce week end c'est repos ! Et j'y veillerai ! 
Samuel laissa Cmille perplexe sur le canapé pendant qu'il essayait de faire deux expresso. Il se demandait si le café n'était pas mauvais pour le bébé ? Il lui semble que oui, il boira donc la moitié de l'expresso de Camille, il ne voudrait pas faire de mal au petit alors qu'il n'est pas encore né. Il tend la petite tasse à le jeune mère pour enfin souffler au dessus du sien, sans sucre naturellement il déteste ça ! Ca enlève tout le gout du café. Il préfère entamer une discussion plutôt que de se remettre à penser au deux autres.
- Camille je vais devoir te donner un ordre..., dit il doucement
- Quoi donc ? Elle demande inquiète
- A partir de lundi tu viens habiter à la maison le temps de la grossesse, il dit fermement
- Nous en avons déjà parlé monsieur et ...
- Non Camille ! C'est l'enfant que tu met en danger là ! C'est un endroit mauvais pour lui, imagine que tu attrappe une malade durant la grossesse ! Il est hors de question que tu restes ici une semaine de plus. 
Il buvait tranquillement son café sans quitté des yeux Camille, il savait qu'elle cederait de cette façon, elle a toujours céder à ses caprices. 
- Très bien. 
Finit elle par dire en baissant la tête de gêne. Jamais une personne n'avait été aussi gentille avec elle, à vrai dire elle n'a pas vraiment été gaté non plus mais monsieur Anderson était vraiment charmant. Si il n'était pas homosexuel...
Elle leva les yeux vers son ange gardien, il sortit son téléphone et décrocha rapidement. Elle se demande qui c'était jusqu'à ce que son visage au trait devient rouge écarlate. Les yeux grand ouvert il machouillait ses mots ! Il en était presque ridicule mais très drôle. Camille compris toute suite de qui il s'agissait.
- Monsieur Hank vous appelez ? Elle demande espiègle
Samuel leva les yeux vers sa secrétaire avec un sourire niais sur le visage : bingo ! 
- Que vous demande-t-il ? 
- Tu es bien curieuse Camille il aimerai juste qu'on se voit très bien tôt...
- C'est à dire ?
- Ce soir, dit il doucement
- Je savais ! C'est un rencard monsieur foncez ! Dit elle brusquement toute heureuse
- On te changera pas ma puce.
Il s'approche doucement d'elle, pose sa main sur sa joue rougis par le regard tendre que lui lançait son patron, jamais elle n'avait été autant envoûter par un garçon, pas même son ex-petit-ami. Il était figer d'admiration quand il déposa un délicat baiser sur son front, un baiser chaud et humide, un baiser témoignant toute l'affection qu'il lui portait. Elle le savait bien, ce garçon à un trop plein d'amour il a besoin de l'exprimer pour que l'on l'aime également. 
Tellement craquant, se dit elle tout gaga ressentant déjà les sentiments du maman. 

J'aurai voulu que jamais on ne se sépare...j'aurai voulu que l'on s'aime pour toujours...mais on ne peut pas    
  
 
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 18 janvier 5 18 /01 /Jan 13:20

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                             " Je m'étais jurer de n'aimer que toi, de ne penser qu'à toi ! Je m'étais promis de ne jamais te laisser loin de moi, tu étais ma chair et mon sang...mon coeur et mon âme. Où es tu maintenant ? "

- Toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet..., Sam respira un grand coup
Il regarda encore une fois hésitant l'adresse qu'on lui avait donné. Non c'était pas un ministre. Il regarda à nouveau la propriété immense de Monsieur Hank et rangea le petit bout de papier dans sa poche, il hésita à sonner à l'interphone sur sa gauche. S'est il trompé ? Au moment où il allait se risqué à sonner il vit le porte en bois s'ouvrir à l'intérieur pour laisser apparaitre David. Celui ci remarqua toute que Samuel attendait devant la porte et l'ouvrit en cliquand sur le bouton pret du portail. 
Samuel ne put s'empêcher de le détaillé de la tête au pied, ce qu'il remarqua rapidemment s'était ses yeux entourer par de fines lunettes lui donnant encore plus l'air sage et adulte. Ses cheveux blond lui tombait un peu devant son visage pâle et fin. Il ressentit une étrange sensation que de le voir habillé d'un simple jean et d'un pull léger gris à col rouler, avec les manches retroussées derrière le coude. Quel élégence malgré ça, il dégeait toujours cette aura de sérénité, le frais de l'automne devenait doux autour de lui, sa pelouse verdoyante faisait ressortir son côté naturel et le parfum de l'été était encore là. 
Il rentra à l'intérieur de la maison, son style rustique mais tout de même très moderne était très chaleureux, Sam s'y plaisait toute suite, même si lui sa demeure était plutôt froide et très moderne dans les tons de noire et blanc. David avait l'air d'aimer le bois, le marron, le blanc crème pour très bien s'accoupler. 
- Tu veux boire quelque chose ? Lui demanda David
- Comme toi. Répondit Sam
David se retourna subitement étonné, il afficha un sourire heureux et satisfait. C'est vrai que c'était la première fois que Samuel le tutoiyais et même si ce n'était pas grand chose il savait que c'était très important. David sentait que son ami se sentait totalement en confiance. Il le regarda détaillé sa maison d'un regard ciruclaire s'attardant sur plusieurs tableau décorant les murs de se grand salon, David était vraiment heureux. Même si Sam était légèrement plus petit que lui on voyait sur son visage la sévérité et le strict ! Rien que son style était classe et organisé rien avoir avec lui qui avait un air un peu enfantin et se contentait de peu décontracté sans aucune gène. Son ami lui, dégeait l'assurance et la maîtrise, si l'on ne voyait pas son âge sur son corps son attitude montrait bien sa maturité. A côtés même avec ses vingt six ans, David se sentait "vieux". 
- Tiens un ricard j'espère que ça te vas ? Il lui demanda en déposant son verre
- Très bien. Répondit Sam en buvant une première gorger
- Je vois que tu sens plus à l'aise maintenant.., dit David sans quitter des yeux son invité
Sam rougissait légèrement, il ne comprennait pas trop la remarque mais il en était gêné. 
- Je suis content que tu me tutoie enfin ! Fit remarqué David
Samuel buvant une autre gorgé sans répondre directement. C'est bien la première personne qui lui faisait perdre ses moyens depuis bien des années. 
- Tu voulais me dire quelque chose ? Demanda Samuel pour en revenir à la raison de sa venue
- Oui ! En effet je voulais te montrer quelque chose. 
Hank se leva conduisant son invité dans une autre pièce à l'étage, on aurait cru un bureau mais ça ressemblait plus à un ateliers, des chevalets se tenaient le long du mur, un grand devant la fêntre qui ne se voyait presque plus d'ailleurs. David s'approcha de l'un des chevalet et souleva le drap poser dessus. Un magnifique tableau se dressa devant lui, un véritable Monet ! Il en bavait presque devant. Monet était le peintre le plus apprecié dans le coeur de Samuel ! Il rendait le paysage tellement beau ! Tel un poète il faisait ressortir la magnificience des choses à travers les couleurs et son pinceau. Il en avait vendu des tas mais aucun n'avait put atterir dans ses mains, pas même quand il était restaurateur au musé du Louvre à Paris.
- Je te l'offre..., sourit David
- QUOI ? Mais tu es fou !! S'exclama Sam 
- HAHA ! J'en ai encore plein tu sais certain que même le monde de l'art ne connait pas...
- Comment ça ? Demanda Sam intrigué
- Choukler ne t'as donc rien dit ? Je suis le déscendant direct de Claude Monet*. 
Samuel en resta bouche baie. Tout s'expliquait ! Pourquoi Choukler a-t-il voulu lui faire cette surprise, pourquoi David avait rit quand Sam n'avait pas réagis à son nom de famille. Seulement se trouvait en face du descendant de l'un des plus grand artiste que la terre n'ai connu lui donnait presque des vertiges ! C'était incroyable...
- Je me sens pas bien..., dit Sam en s'accoudant au mur
David rit légèrement, amusé par la situation il ne se doutait pas que le grand Anderson le prenne comme ça après tout. Ils restèrent à moment à se regarder dans les yeux l'un de l'autres, David avait cesser de rire et semblait de plus en plus sérieux louchant sur les lèvres de Sam. Samuel coupa net à cette instant en se poussant doucement. 
- Tu ne peux pas m'offrir une chose pareil ! S'écria-t-il 
- C'est ce que je viens de faire ! 
- Tu es complètement cingler ! 
- Je prend ça pour un compliment, sourit David
Samuel riait de la situation, et repartit dans le salon pour s'assoir sur l'un des grand canapé en daim doux, il regardait le plafond n'en revenant pas ! Il se trouvait dans la maison d'un ancêtre de Monet. C'est comme si il était en présence du Pape ! C'était encore mieux. Il releva la tête heureux comme jamais, mais il ne pouvait pas accepter une telle offre sans faire quelque chose pour David, certe il le voulait se tableau et l'enfermer chez lui mais pas sans compensation. 
- Que veux tu que je fasse ? Demanda Sam en regardant David à sa gauche
- Pardon ?
- Tu m'offre le plus beau des cadeaux et je ne l'accepterai pas tant que je te donnerai rien en retour ! Je n'ai pas les moyens pour un Monet de cette valeur mais je peux te payer au fur et à mesure.
David explosa de rire il n'avait jamais entendu un homme aussi dingue ! On lui offrait quelque chose et lui voulait payer ça n'avait aucun sens. Même si le fait qu'il soit si gentil l'attendrissait, derrière ses airs autoritaire il en était presque trop craquant. David replaça une mèche des cheveux noir de Sam derrière son oreille et s'approcha doucement du visage de celui ci, Samuel effrayé recula soudainement mais David de le stoppa et le regarda dans les yeux.
- Je veux un baiser.
Samuel avait le coeur qui battait la chamade, il ne savait pas quoi faire ! Bien sûr qu'il avait envie de l'embrasser, il en avait envie depuis le premier jour mais il ne pouvait pas se le permettre ! Il ne pouvait pas tromper celui qu'il aimait. Il se sentait malgré ça défaillir au fur et à mesure que David s'approchait de sa bouche, ses lèvres légèrement entrouvertes n'étaient plus qu'à quelques centimètres de ces petites parcelles de peau humides et frémissantes. C'est dans un contact doux et appaisant que Sam se laissa aller à un baiser langoureux et tendre. 
La main de David le fit approfondir son baiser jouant avec la langue de Anderson qui au départ était timide prenait maintenant part avec fougue à se baiser devenu intense en quelques secondes. 
Très vite David s'emporta et se laissa aller à des carresses sur le torse du beau brun, déboutonnant sa chémise blanche et passant sa main à l'intérieur pour jouer avec ses mamelons déjà durcit. 
Samuel se rendait compte ce de ce qu'il faisait et poussa soudainement David, tout ça allait trop vite, un frisson de dégout et de déception l'envahis, associé au désir intense qu'il avait en regardant les yeux de Hank. Jamais il n'aurait cru pouvoir embrasser un autre homme et à cette instant jamais il n'aurai cru avoir le courage de le repoussé mais les frissons d'écoeurement de lui même lui avaient pris brusquement toute envie et l'avait transformer en tristesse. Il se repellait maintenant du visage celui qui l'avait abandonné...
David resta perplexe ne comprenant pas la reaction soudaine de Samuel, il avait l'air d'apprecier avait il fait quelque chose de travers ?
- Au revoir monsieur Hank. 
Dit rapidemment Sam avant de partir vers la sortir sans laisser dire quoi que ce soit à son interlocuteur. David était sidérer, il sentait presque de la colère lui brûler la gorge mais surtout de la deception et de la douleur.

Samuel arriva chez lui presque essouflé par sa course poursuite (en voiture), il avait rouler tellement vite qu'il en retenait sa respiration à chaque tournant. Une fois dans son appartement il sentit une petite odeur de café survoler les airs il s'approcha de la cuisine et constata que Camille s'était très bien installer et habitué. Il sourit en la voyant, elle avait l'air si innocente et heureuse dans son modeste appartement. 
- Bonsoir ! Fit la petite blonde
- Bonsoir, dit simplement Sam
- Alors ce rendez vous ? Je ne m'attendais à ce que vous rentriez ce soir monsieur, elle fit d'un air coquin
Samuel lui baissa les yeux en repensant à l'affront qu'il avait fait à David, bizarrement il se sentait coupable maintenant sa pudeur et son attachement à de vieux souvenirs venaient de lui gâcher une belle opportunité de revivre enfin comme un homme comblé. 
- Monsieur  ? Que s'est il passé ? Elle demanda inquiète
- Il m'a offert un Monet...
- OUHA ! Quelle charité ! 
- Nous nous sommes embrassés...
- Oh... et ça n'a pas l'air d'être une bonne nouvelle...
Samuel sentit les larmes lui venir aux yeux, il avait été stupide de l'envoyer ainsi boulé ! Quel idiot !! 
Camille inquiète se précipita sur son patron pour le serrer dans ses bras maternel, elle lui carressa les cheveux accompagner de petit baiser sur la tête.
- Racontez moi ce qu'il s'est passé...
- Je l'ai rejeté Camille ! Je l'ai rejeté parce que Julien me manque...parce que je n'arrive pas à l'oublié et que j'avais l'impression de le trahir. 
Son regard peiné traduisait toute la compassion qu'elle avait pour Sam qui lui se sentait perdu, pris entre deux feux, honteux d'être aussi sentimentale mais il n'y a que devant son "petit rayon de soleil" qu'il pouvait laisser couler ses larmes sans gêne. 
- Monsieur Julien n'est plus là...oubliez le...et surtout ne laissez pas partir Monsieur Hank ! Je suis sûr que vous pouvez vivre une magnifique histoire avec lui ! 
- Je n'en suis pas si sûr Camille...

Ne nous renverrons sans doute jamais Sam, mais jamais je ne t'oublierai tu as mon visage après tout. N'est-ce pas petit frère ?



* : David Hank n'est pas le véritble descendant de Monet c'est une ficton :pp 

Merci Gabi j'avais pas vu la connerie que j'avais écrit !! ^^"
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 21:23

                                        455.jpg   " Je croyais que tu m'aimais et tu m'as tourné le dos pourquoi ? C'est mal d'aimer ? Tu regrettes ? Est-ce que c'était une erreur ? Suis je une erreur ? Réponds mon grand frère."

 

     Une fin de semaine épuisante pour le génie de la Genèse.Corp. Encore des clients gagnés et des négociations toujours plus fructueuse et pourtant Samuel n'avait pas le sourire.

Un verre de Scotch à la main comme à son habitude et les pensées loin de ce bureau au centre de Londre, le regard sérieux mais encore trop frivole pour être celui du grand Anderson il porta bientôt ses prunelles couleur charbon sur une magnifique tableau au dessus de son mini bar.

" Quel idiot..." Il pensa en se serrant les dents.

Les événements passés vinrent soudainement à l'esprit de Sam comme une boucle incessantes et obsédantes de mauvais souvenirs. Mauvais ?

Leur baiser était si profond. Non ils n'étaient pas mauvais mais trop court.

Il s'assit à nouveau sur son siège en cuir faisant couiner le tissu, le regard toujours dans le vide de verre en verre, il sentait déjà l'alcool lui atteindre les neurones et le rendre dingue.

David le rendait dingue ! Il n'avait fait que penser à lui de toute la semaine ! C'était une torture. Trop honteux pour aller le voir et bien trop timide ce qui est pourtant rare dans les défauts de Anderson. Il pencha sa tête en arrière et soupira un long moment, la tête lourde mais le corps chaud et reposant il s'imaginait déjà les pires horreurs que David lui aurait dit si jamais il s'était représenter penaud devant lui.

Quel honte.

Camille savait bien ce qui se passait dans la tête de son patron et ami, elle ne l'avait jamais vu aussi embarrasser mais elle ne pouvait pas cacher son enthousiasme à l'idée que Sam reprenne enfin goût à la vie ! Et croit à nouveau en une autre relation.

Dieu sait comme il ne croyait plus rien après le départ de Julien, elle même avait vu l'horreur que l'absence de celui qu'il aimait avait engendre. Sam était devenu un machine, sans sentiment, un monstre qui n'enlevait son masque que la nuit lorsqu'il pleurait à chaudes larmes sur les épaules frêle de la jeune maman. Samuel était plus important qu'un ami aux yeux de Camille, rien que d'y penser elle sentait son coeur se serrer dans sa poitrine et les larmes lui brûler les yeux.

Son regard se posa ensuite sur le combiner, aurait-elle l'audace de l'appeler sachant qu'il doit sûrement ce saouler ou bien méditer sur sa conduite ?

- Excusez moi, demanda une voix masculine face à elle

Elle redressa vivement le visage quand elle croisa les yeux cristallin, d'un bleu pénétrant elle rougit en voyant le doux sourire qu'affichait son interlocuteur. Finalement elle n'aurai pas à appeler son patron pour savoir comment il va.

- Je préviens monsieur de votre arriver ? Elle demanda un sourire accueillant sur le visage

- Non je veux lui faire la surprise.

Elle échangea un regard complice avec David qui malgré l'assurance qu'il montrait, tremblait à l'idée de revoir le visage délicat de Sam. Autant que lui, il n'avait pas cesser de penser à leur léger baiser, un simple baiser qui avait animé un véritable feu de forêt dans son esprit. Sachant très bien que Sam ne viendra jamais le voir il prendrai les devant ! Il ne pouvait pas rester là à l'attendre, non il ne pouvait c'était bien trop frustrant.

Il avait besoin de le revoir.

Il prit un grande inspiration et d'un geste simple et silencieux il ouvrit le porte du bureau, il cru à l'apparition de la beauté incarner quand il vit son visage si calme, si reposer, le teint laiteux et les cheveux contrastant avec ses lèvres légèrement rosés. Ses yeux fermés, Samuel se tenait sur son siège la tête en arrière, sa poitrine légèrement soulever par ses respirations régulières.

Hank n'avait jamais été aussi chambouler par quelqu'un de toute sa vie.

- On dort pendant le boulot ? Il dit d'une voix bien placé

Sam eut un sursaut à l'écoute de ce bourdonnement, il se redressa fixant de stupeur celui qui se tenait sous le pas de sa porte, les mains dans les poches d'un pantalon blanc à pince qui lui allait à ravir et une lèvre chemise blanche ouverte sur les trois premiers boutons.

- David..., il murmura à peine

Il regarda autour de lui, gênée et ne sachant plus trop quoi faire il se contenta de se lever doucement pour s'appuyer contre la grande vitre derrière lui.

- J'étais un peu fatigué.

- Ou perturbé.

Anderson se sentirai-t-il prit au dépourvu ? Sa venue surprise n'était pas non plus des plus normale mais malgré son étonnement et sa pudeur soudaine, il était heureux. Tellement heureux de le revoir, un léger sourire au coins des lèvres ce qui n'échappa pas à l'oeil de lynx de David.

Alors ça lui faisait plaisir, se disait il, Dieu merci. Soulager et maintenant le stresse évacuer David reprit son rôle d'ange providentiel, il s'approcha délicatement du corps qui réclamait le sien ! Un appel si puissant qu'il ne pouvait l'ignorer.

Samuel se sentait défaillir voyant très bien les flammes dans les yeux de son vis à vis, cette tension était palpable, ce désir l'un de l'autre était presque trop effrayant. L'attraction était une évidence mais Samuel en avait peur, son corps en tremblait entièrement et il ferma les yeux espérant de tout son coeur qu'on ne remarque pas sa gêne et ses joues prendre feu aussi vite d'un brasier de forêt.

- Tu m'as manqué...

La voix de David semblait lui chatouiller l'oreille alors qu'il était encore à quelques mètres, son coeur raisonna dans tout son être Sam devait reprendre le contrôle tout son corps se crispait. Il pinça ses lèvres fortement pour le faire redescendre sur terre, il ravala sa salive difficilement et c'est dans l'espoir de se contrôler qu'il ouvrit les yeux plongeant son regard noire dans le bleu abyssale de David. Une telle attraction devrait être interdite.

Alors que le corps de Hank se trouvait à quelques centimètres du sien les pupilles dilatés de Sam s'égarèrent sur le corps musclé s'approchant dans une lenteur calculé, ses épaules larges, ses lèvres douces, ses cheveux de soie, ses main fermes et pures, sa marche assuré et sa voix sensuel. Le plaisir l'envahissait peu à peu, sentant déjà ses picotements particuliers au bas du ventre.
Content de sa dominance, David n'arrêta pas son avancer pour autant. Le regard doux et calme il ne montrait que le simple envie de lui. Ni bestiale ni trop doux, ses pas était fluide et le temps s'arrêtait pour les deux. Très vite son corps se colla à celui de son aîné qui déglutissait tant bien que mal sentant les respirations de Hank.

L'anxiété se mélangeait au désir dans les yeux et David le savait bien, tellement fier de sa présence imposante il adorait voir Samuel perdre ses moyens lui qui était inébranlable en temps naturel. Il sentait déjà les formes musculaires fine à travers le chemise qui vint caresser de l'index. Le sang de Sam ne fit qu'un tour et rapidement il s'éloigna mettant fin à leur étreinte étrange.

- Tu as soif ? Il demanda stresser

David sourit. Il était tellement craquant quand il tentait de fuir, tellement attirant.

Il s'approcha d'un pas plus pressé et colla à nouveau son corps au dos de son ami, Il passa ses main doucement sur les hanches faisant frissonner Anderson. Il se sentait totalement livrer au bon vouloir du beau blond qui profitait de sa supériorité. Ses mains passèrent lentement vers le haut de son torse caressant le tissu fin, il déboutonna les premiers boutons passa simplement ses lèvres dans le coup du brun.

Pas de baiser, juste la pression de ses lèvres qui glissait sur sa peau de satin. Son odeur l'enivrait et le faisait quitter la terre ferme pour un monde de désir charnel. Il le retourna doucement et constata que Sam était également dans un état second. Les yeux fermés il appréciait à sa juste valeur les caresses de David. Son visage fermer et serein était si étrangement doux, couleur neige Hank se risqua à le toucher du bout des doigts redessinent la moindre de ses formes faciales.

Dans la tendresse David souleva Sam pour le faire s'asseoir sur le mini barre renversant l'un des verres, Il vint passer sa bouche à nouveau dans son coup suivit de ses doigts fins reniflant  la fraîcheur de son épiderme, profitant pleinement de se contact apaisant. Une vague de bonheur et de bien être l'envahissait et se laissa maintenant guider par son instinct fermant les paupières un sourire sur les lèvres.

Sam avait la tête légèrement pencher en arrière, les bras touchant sa taille, la bouche entre-ouverte laissant un souffle plus saccadé s'échapper. La bouche pulpeuse de son ami le couvrait d'une couche de plume, l'air ne lui avait jamais sembler aussi respirable, le temps ne s'était jamais autant ralentit. Les mains de David remontèrent jusqu'à sa nuque et tout en partageant un regard plongeant il descendit la chemise de Sam découvrant ses frêles épaules immaculés qu'il caressait sans lâcher des yeux le brun.

Samuel ne pouvait attendre plus longtemps ! Il attira le visage angélique de David pour prendre possession de ses lèvres et leur échange était passer à la vitesse supérieur. Sam enleva cette cravate du cou du blond la faisant tomber naturellement sur le côté, il entoura son bassin de ses jambes pour le serrer encore plus contre lui prit d'une fougue irrassasiable. Son torse maintenant mit à nu, Sam pouvait le contempler d'un regard dévorant, il toucha la démarcation de ses pectauraux* redescendant jusqu'à abdos et pressant sur le pantalon. Il caressa débord le tissu avant d'enlever la ceinture et la jeter plus loin.

Aucunes paroles n'étais nécessaires, ils se se comprennent par le dialogue de leur corps, tous les deux les bras l'un dans l'autre s'embrassant fougueusement, passionnement, langoureusement ! Sam en oubliait ses peines, son passé, il oubliait tout ! David était son ange et personne n'aurait put les arrêter à cet instant précis.

Sam se redressa, sans lâcher les lèvres de son vis à vis, il se faisait beaucoup plus entreprenant et dans un sourire malicieux il arrêta son baiser pour embrasser son corps. Reculant de plus en plus, David se cogna contre le bureau et se tenant fermement aux coins, il sentait déjà tout son être en ébullition et Sam l'avait bien senti. Le laissant faire il sentit très vite qu'il ne portait plus rien et que les mains de son ami lui caressait l'entre jambe.

Un petit rire se fit entendre jusqu'à ce qu'il sente une douce chaleur lui envelopper le sexe. Ses yeux s'écarquillèrent de bien être et surprise, il aurait put le crier  mais il se contenta de gémir et raidir ses jambes sous le plaisir. La bouche de Sam était si chaude, si électrisante qu'il cru d'abord à un rêve.

- OOOh Sam..., il n'arrivait plus à contenir ses mots, OOh putin...humm...


Samuel avait prit ses lourds gémissements pour des messages, il accéléra la cadence totalement aveugler par le désir et le plaisir ses craintes et son angoisse était cacher derrière son érection douloureuse.

- Sam je...

Samuel avala la semence de David avant de venir lui faire partager le fruit de son plaisir se collant encore plus fortement lui, Hank ne tarda à avoir une nouvelle érection. Les mains de Samuel étaient devenus omniprésente, douce et délicate, rapides et insistantes ! David n'avait jamais vécu une tel fusion ! La pièce elle même baignait dans leur échange bouillant, les gouttes de transpirations ne tardèrent pas à apparaître.

David sous la pression du corps insistant de Samuel finit par se coucher à même le sol emportant avec lui Anderson qui en voulait toujours plus ! Encore et encore, il était tellement doux avec lui.

Savait il que David ne l'avait jamais fait avec un homme ?

Les yeux humides de plaisir, Samuel lâcha la bouche du blond respirant tous les deux difficilement. Lui demandait-t-il la permission ? Pour toute réponse David serra encore plus son bassin nu à celui de Sam avec leur deux érections collées l'une à l'autre. Il pris possession à nouveau de ses lèvres caressant du pouce la courbe de son dos. Samuel introduisit un doigts dans l'orifice de son ami qui sous l'effet mordit la langue du brun.

Le sang se mélangea à son tour à ce baiser torride, remuant en lui Samuel ne pensait plus à rien mais il était certain que David Hank était puceau et qui plus est très étroit.

- Je vais y aller doucement....

Lâcha Sam d'un souffle récupérant de l'oxygène.

- Quel courtoisie, sourit David en caressant d'une main la raie de Sam qui s'en mordit la lèvre inférieur. Sans prévenir et sans attendre plus il pénétra doucement David qui cria de douleur, son visage déformer par le mal reprit une teinte un peu plus normale au bout de quelques seconde. Sam resta un instant sans bouger se sentant mal de l'avoir fait pleurer, il voyait bien une larme perler sur le bord de ses yeux océaniques.

David prit de grande bouffer et Sam commença ses vas et viens doux, au bout de quelques secondes Hank avait changer radicalement de visage pour des yeux crispés de jouissance et le souffle chaud caressant le torse élancer de Sam.

Il avait presque toujours été l'actif dans ses rapports et la pénétration était vraiment le sommet de l'extase ! Les fesses rebondit du beau blond le rendait dingue et la cadence ne faisait qu'augmenter arrachant aux deux des gémissements de plus en plus poussés finissant par jouir en coeur et se reposer l'un contre l'autre. Les deux torses collés et soulevés par une respiration coupée.

Samuel sentait déjà la réalité lui déchirer le coeur, qu'allait il advenir d'eux deux ?



Détestes moi Sam ! Détestes moi ! Notre amour est impossible. On a pas le droit; tu es mon frère.


* ON s'habitue à mon orthographe pourrit ! XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD 

Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 00:57
                                         0a465aaa.jpg        David portait juste son pantalon pas encore boutonné fumant une cigarette près de la baie vitré pendant  que Samuel s'était assoupis et dormait à même le sol. Hank sourit en imaginant déjà sa tête quand il se réveillera, la douleur au dos et les yeux à peine ouverts par une sacré partie de jambe en l'air.
Il aura été son premier.
David ne regrettait absolument rien et pourtant quelque chose lui disait que rien ne serai aussi facile du côté d'Anderson  mis à part un cadre sur le bureau du beau brun, une photos de lui et de sa copie conforme.
Son frère jumeaux sans doute,  pourtant il  était sûr que Samuel Anderson n'avait plus aucun lien avec sa famille et n'avait jamais parler d'un quelconque frère. A en juger par le regard de ses deux jeunes hommes ils devaient être très complice.
Cette partie caché de la vie de son amant allait il lui causé des ennuis ? Pourquoi se sentait il soudainement en compétition avec ce frère inexistant.
- David...
Une voix faible lui fit revenir sur terre, il jetta sa cigarette par la fenêtre et s'approcha de l'endroit où Sam s'était redresser une grimace de "mal réveiller" sur le visage. David sourit en le voyant si innocent, la bouille qui était si froide lui donnait un côté si enfantin qu'il l'aurait bien embrasser passionnément ; a croqué.
- Oui ? Il répondit d'une voix tendre
- Quel heure est-il ?
- Vingt et une heure. Ta secrétaire à laisser un message en disant qu'elle rentrait et qu'elle fermerai la porte à clés en riant.
Samuel émit un léger rire à son tour, sacré Camille ! Mais il s'en passerai jamais.
Il redressa son regard à l'intention de croiser celui de David qui était accroupi face à lui, il semblant anxieux, Sam le rassura d'un geste tendre en lui caressant la joue pour approcher son visage lentement et l'embrasser avec toute la volupté dont il était capable.
Il avait été drogué de désir en vers David c'est vrai, mais il avait réfléchi même dans le sommeil, il ne devait plus vivre dans le passé, David en méritait la peine.
Autant que Julien.
Il avait peur certes, peur de l'abandon, peur d'aimer à nouveau il ne pouvait pas ce permettre de souffrir comme il avait souffert.
Qui parlait d'amour ? David et lui n'en étaient pas encore là, il aimerai lui donner d'abord sa confiance et si la relation s'avérait être une réussite l'amour viendra seul ! Pour le moment tout ce qu'il souhaite c'est s'abandonner dans les bras du grand blond, le désiré autant qu'il le désir lui. C'est dans ses bras qu'il se sent bien, c'est dans ses bras qu'il a repris goût à l'avenir et malgré son refus d'aimer à nouveau il savait qu'il ressentait ce léger pincement au coeur à l'idée de perdre David comme il avait perdu Julien.
Il attrapa son amant par le pantalon encore ouvert et l'attira plus fortement à lui pour lui mordiller la lèvre inférieur, David frémit à cette sensation sentant déjà qu'il ne tarderai pas à calmer lui même son excitation.
- Tu veux me rendre fou..., il lâcha dans un ral profond
- Si ce n'est déjà fait.
Samuel pressa sur la légère bosse qui se manifestait sur ce même pantalon blanc, il reverrai de recommencer mais il rêvait également d'une bonne nuit de sommeil.
Voilà bientôt un an qu'il n'avait plus coucher avec un homme, surtout de cette endurance ! Il se faisait vieux pensait il.
- Que dirai tu d'aller chez moi ? Murmura David sans lâcher du regard les lèvres humidifié du beau brun
Il l'embrassa uns dernière fois rapidement et s'habilla tranquillement dos à son amant, il savait que Hank le reluquait de la tête au pied il sentait le regard d'un prédateur sur lui. Celui d'un affamé.
Il sourit ferma le dernier bouton de sa chemise pour récupérer sa veste plus long, attrapant les clés de son bureau il fit face à David et son sourire malicieux.
- Ne me regarde pas comme ça. Ria Sam en partant vers la sortie
- Attend moi mon chou, se moqua David en lui suivant comme une grande folle
- Arrête !
Samuel se vexa.
Il ne supportait ces préjugés sur les homosexuels et même si c'était simplement pour rire, ça l'irritait à un point ! Il fronça les sourcils faisant bien comprendre à David qu'il ne devrai plus jamais recommencer.
Hank semblait troubler il aimait s'amuser et rire mais le voir si sérieux lui fait assez peur, susceptible le garçon ? Jamais il n'avait vu un regard aussi noire dans ses yeux.
- Je plaisante..., il lâcha surpris
- Ne refait plus jamais ça.
Sam tourna les talons et appela l'ascenseur sans adresser un seul regard à son amant qui angoissait à l'idée de déjà se disputer en quelques minutes de relation.
Hank senti comme une tension pendant que Sam tapait nerveusement du pied dans la cabine métallique, il le pris par la hanche et l'oblige à coller son dos sur son torse, Samuel ne broncha pas il continuait de regarder les chiffre défiler sur la cadrant.
Une fois les portes ouvertes il s'avança d'un pas déterminé, le genre de pas strict et autoritaire qui laissait entendre que la pilule n'était pas passer. David avança derrière lui les mains dans les poches, comme un gamin qu'on venait d'engueuler il se sentait exclus de sa colère qui entourait tous les faits et gestes de son amant.
Une simple blague ! David commençait à son tour à s'énerver.
Il s'approcha d'une tentative de réconciliation pour lui prendre la main en arrivant devant sa voiture. Sam sentit les doigts fermes entourés les siens comme une plume il sentit comme un choc électrique et retira le sienne avant l'impact ! Il se retourna vivement le visage pétrifié et semblait terrorisé.
David sursauta d'étonnement et dévisageait son amant qui semblait être de plus en plus inquiet, il regardait à droite et à gauche nerveusement.
- On est ensemble oui ou non ? S'exclama David
- Oui mais...
Sam rougit subitement, baissant la tête de jeune il se frotta l'épaule et n'osait plus regarder le blond dans les yeux.
Comment dire à celui qui nous tend la main qu'on a peur, peur du regard des autres et des réprimandes, peur de perdre sa crédibilité pour sa voie sexuel ? Comment avouer qu'il a toujours porter cette étiquette et que cette peur le terrorise ? Annoncer à notre sauveur que le seul qui n'ai jamais atteint son coeur la abandonné à cause des regards accusateurs ?
- Tu me fatigue Sam, soupira David
- J'ai besoin de temps.
Hank prit soudainement peur, un coup de poignard en plein coeur allait il lui dire que ce n'était pas une bonne idée ? Qu'il regrettait leur ébat délicieux !
- Je veux être avec toi mais je ne veux le partager avec personne.
Soulager d'un poids, David soupira un grand coup. C'est déjà ça ! Il ne regrette pas mais ce côtés si effrayé cachait sûrement quelque chose. Cela dit il ne tentait pas à savoir, un jour l'autre il dira tout il en est certain mais pour le moment il a besoin de lui. David sourit et serra Sam dans ses bras avant de l'embrasser de force.
Samuel avait beau être plus âgé il était beaucoup plus frêle et petit que le beau blond, il se sentait pris au piège et à l'abri au creux de ses bras. Ce baiser brusque devenait si doux et goûteux qu'il ne témoignait plus aucun résistance. C'est sur-humain que de résister à une telle bouche.
David mit fin au baiser mais ne déserra pas son étreinte, souriant simplement d'un air réconfortant et coquin.
- Je suis tout à toi, sourit David, mais si tu as peur du regard des autres alors on essayera d'être discret.
- Merci.
Sam sentit son coeur se gonfler dans sa poitrine, il embrassa rapidement son amant avant d'entrer dans la voiture du beau blond qui en rigolait intérieurement. Il espérait sincèrement passer une nuit inoubliable avec Samuel Anderson. Ces simples baisers l'avait mis en appétit et jamais il ne pourrait résister de lui grimper littéralement dessus son corps semblant si frais et jeune il n'était que plus attirant ! Cette douce odeur de printemps se dégageait de lui et ce petit sourire au coin de ses lèvres le rendait fou de joie.
- Tu veux manger quelques chose de particulier ce soir ? Demanda le blond
- Toi.
David se bloqua et partit sur un fou rire que Sam accompagnait, le direct et son tact légendaire le faisait rire.
Il n'avait jamais autant rit depuis un an. Depuis son divorce.
Samuel riait aussi de bon coeur jusqu'à ce qu'il remarque la bague à l'annuaire gauche du conducteur, petit à petit l'euphorie retombait pour se mélanger à un silence inquiétant. De ses yeux de charbon il scrutait cette bague brillante à chaque lampadaire qui se reflétait dessus.
Hank était il marié ?
Non.
Il lui avait dit qu'il n'était pas marié.
Malgré tout un pointe d'incompréhension envahissait l'esprit de Sam, il doutait de ses dires pourtant il n'y avait vraiment pas de quoi s'inquiéter ! C'était peut être tout simplement une bague comme les autres. Anneaux d'argent incruster de fin diamant rouge, sur l'annuaire gauche. C'était une simple coïncidence !
Enfin il espérait.
- Tiens il commence à pleuvoir.
David sourit, il avait toujours aimer les soirs de pluie, celle ci l'endormait paisiblement et près de sa cheminé il voyait déjà le tableau. Enrouler seulement dans deux légères couvertures, ils feraient l'amour jusqu'à épuisement ! Sentant déjà la sueur lui faire frissonner le dos et les gémissements de Sam accrocher à ses épaules.
Ah merde ! Voilà que Popole se réveille !
- J'aime pas trop la pluie.
Samuel frissonna en voyant les grosses gouttes s'écrasées sur le pare-brise, chaque nuits de pluie avait toujours été en enfer pour lui !
Camille, Julien. Il n'avait jamais réussit à ne pas pleurer un jour de pluie, David serai-t-il lui faire oublier ses mauvais souvenirs ?


Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 23:58

" Une soirée de pluie, le bruit retentissant d'un martèlement de bois sur la chair puis le cri inhumain s'échappant de ta bouche humide de larme. Paralysé, il m'avait ordonné de ne pas bouger, qu'aurai je fait ? Pour toi j'aurai été capable de le tuer, pour toi j'aurai put commettre le pire mais d'une main tremblante tu m'avais supplier de ne rien faire et de fermer les yeux....c'est ce que j'ai fait."

       La question lui brûlait les lèvres mais il ne la posait pas. Peur d'être indiscret ? De paraître collant ? De le faire fuir ? Ou la peur simple d'une réponse qui ne lui plairait pas ? Samuel ne savait pas, comme si la question était muette il remuait les lèvres mais pas un son ne sortait et comme une réponse en suspens le coeur serrer il suivait David, tête baissée, les doigts se tortillant.

- Qu'est-ce qui va pas Sam ? Demande enfin le blond en déverrouillant la porte

Sam sursaute à l'entente de la voix de David qui l'avait extirper de ses pensées.

- Rien rien, il annonce calmement
- Rentres alors sinon tu vas tomber malade sous la pluie.

    Samuel senti un frisson lui parcourir l'échine, l'eau c'était infiltré dans sa chemise et l'avait fait sursauter. David quitta sa veste puis sa chemise suivit de son pantalon comme si il était seul, mais il ne l'étais pas et Sam était figé face à un tel spectacle. Tout à pudique il se sentait bouillir rien qu'en le regardant allant dans la cuisine sans se soucié une minute de l'état de son invité qui avait tout l'air d'être des plus comique. Piqué sur place, un arbre n'aurait pas fait mieux, sans bouger d'un cil la bouche légèrement ouverte il suivait les hanches félines du beau blond musclé allant préparer deux café chaud. Des yeux il partit de ses beau cheveux blond humides par la pluie, puis il descendit sur sa nuque douce et tentatrice, ses épaules carrés et musclé, un dos parfaitement bien dessiné, une peau lisse et pure, la rai d'une colonne parfaite, tombant sur ses reins avec des petit creux attirant. Comme si sa langue avait marqué le même trajet en même temps que ses yeux Sam passa cette langue sur ses lèvres d'un désir brûlant de le toucher, le caresser pour l'entendre gémir de sa voix suave et masculine.
    Le boxer moulait parfaitement les fesses bien rondes de David, Samuel dut se faire violence pour ne pas lui bondir dessus et le sauté sur le plan de travaille il ferma les yeux comme un enfant fasse une friandise qu'il ne devait pas toucher. Ce n'était même plus l'odeur du café qu'il sentait mais son parfum à lui, cette odeur si particulière et épicé cette même sensation que dans le bureau l'étrange impression de se retrouver au milieu d'un bazar au fin fond de l'Inde.

- Tu peux prendre une douche si tu as trop froid, dit David

    Sam sortit brutalement de sa rêverie et se donna la force d'en fin réagir, il n'avait pas vraiment envie de partir se doucher il voulait juste s'approcher de lui, sentir son corps musclé contre le sien si frêle. D'un pas hésitant il s'avança donc perdant le peu de contrôle qu'il avait sur ses hormones et s'approchait comme envoûter. Il continua de s'approcher doucement jusqu'à n'être plus qu'à quelques centimètre de lui.
    David le sentait de plus en plus, son souffle se posa sur son dos chaud et sentit quelque chose lui chatouiller les épaules, quelque d'humides, un pression se fit peu à peu autour de sa taille l'emprisonnant dans des bras fin mais robuste. Dans un sourire doux il donna un baiser sur la tête de Sam qui s'était posé sur son épaule puis continua de faire son café. Une fois terminer il se retourna sans se défaire de l'étreinte pour embrasser pleinement son compagnon si tendre tout à coup. Une fois un long baiser tendre et langoureux échanger David lui tendit sa tasse de café pour venir s'installer sur le canapé près de la cheminer. Sam l'avait suivit naturellement en sentant la bonne odeur sortir de la petite tasse, la fumé lui rentrer dans les narines et lui procurer une joie immense rien que d'en boire quelque gorgée chaude lui réchauffant le coeur.

- Je vais appeler quand même Camille ça m'inquiète de la savoir toute seule ! La connaissant elle est retourné chez elle, annonça Sam en prenant son téléphone
- C'est une grande fille tu sais, dit en rigolant David
- Oui mais tellement gentille parfois ! Ça la perdra...
- Tu ne devrai pas la couvé autant, continua le blond intrigué par cette relation
- Tu ne peux pas comprendre, se défendit Sam en composant le numéro
- Alors expliques moi, dit David
- Ca ne te regardes pas.

Sam avait employé un ton qui se voulait sans contestation, les sourcils froncé il apporta son téléphone à son oreille. David se sentit vexé par sa soudaine colère qui n'était pas du tout fondé et complètement immature !

- Je vois pas ce qu'il y a d'extraordinaire à me dire pourquoi tu l'aimes tant cette secrétaire !
- J'ai pas à me justifier ! Tu l'accepte c'est tout.
- Quoi ? Alors c'est ça ? J'accepte ? Naturellement ? Sans savoir pourquoi elle vit chez toi, pourquoi est-ce que tu l'emmène partout !
- Roh bordel...

Sam se leva et partit en direction de la baie vitré qui donnait sur un grand jardin, il sortit sur la terrasse couverte et attendait que la petite Camille décroche tout en jurant contre David qui l'avait effectivement énerver avec ses questions stupides !

" Je vois pas ce qu'il y a d'extraordinaire à me dire pourquoi tu l'aimes tant cette secrétaire."

- Allô ?
- Camille ! Tu es bien à la maison ?! S'inquiéta Sam
- Euh oui pourquoi cette question ? Vous avez besoin de quelque chose monsieur Anderson ?
- Euh non je m'inquiétais pour toi c'est tout. Tout se passe bien ?
- Parfaitement bien mais ca serai plutôt à moi de vous demandez ça, nan ?
- Oui tout va très bien, annonça Sam en regardant David près du feu de cheminé le regard dur
- Ça m'en a pas tout l'air...
- Ne t'en fais pas. Laisses la clé sous le paillasson, il est possibles que je rentre plus tôt que prévu.
- Jamais je vous oblige à vous arranger avec monsieur Hanz ! Ne faites pas l'enfant Monsieur Anderson je sais qu'il vous plaît. Bonne chance, dit elle joyeusement
- Attends Cam...

Elle avait raccroché.

    Samuel soupira de d'agacement, sa protégée avait un incroyable pouvoir sur lui ça en était presque effrayant. Il ouvrit la porte en double vitrage faisant rentrer un courant d'air frais dans la maison et faisant crépité le bois. David ne tourna ma le regard vers son ami, il était du genre rancunier et si il voulait jouer les enfants alors c'était gagné !
    Voyant la non-réaction du blond Sam soupira à nouveau sentant qu'il devait faire le premier pas pour engager la conversation, il s'approcha doucement quittant enfin son veston qui posa sur le rebord du grand canapé, il détacha la cravate et ouvrit quelque bouton pour se sentir plus à l'aise. En silence il vint s'asseoir sur le tapis à côtés de David face à la chaleur d'un feu de cheminé. Il mourrait d'envie de parler le premier mais sa fierté bloquait les mots et scellait sa bouche. Pourtant il devait le faire.

- Elle était là quand j'en eut le plus besoin, il dit finalement d'une voix assez triste

    Les images de cette soirée vint le frappé avec violence, comme si ces simples mots libérés l'avaient téléporté quelques années en arrières quand il l'avait rencontré. Il venait à peine de rentré dans le monde de la vente au enchère encore débutant il impressionnait cela dit quelques patrons mais sa froideur, son mutisme en dehors des réunion étaient frigorifiantes. Un regard éteint, dépourvu de vie, sans un sourire sans une seule once de sentiment mis à part le vide.    
     Rien.
    Il n'était qu'un corps sans âme, errant jusqu'à ce que la mort vienne le chercher mais il semblait qu'elle l'évitait. Samuel n'avait pas le souvenir d'avoir été heureux jusqu'à ces vingt-sept ans, il se souviendra toujours de son arrivé. Alors qu'il avait déjà vu plusieurs candidat pour l'assister il s'épuisa de n'avoir trouvé rien de bien grandiose ! Ils semblaient tous aussi hypocrite que lui lorsqu'il souriait à un client fortuné. Jusqu'à ce qu'une petite blonde se bousculant dans les couloirs, un colonne de feuille dans les bras répétant "pardon, désolé" pour se frayer, trébucha étalant plus d'une centaine de feuille par terre.
    Elle se méprisant en s'excusant eu près des autres qui n'y faisait pas attention, elle semblait gênée et tellement timide que sa maladresse avait touché Sam. Elle était apparut comme un petit ange dans son enfer.

- Vous avez besoin d'aide ? Avait il demander à la petite blonde
- Ah euh non ! Je ne veux pas vous déranger.
- J'insiste. S'accroupit Sam
- C'est gentil ! Sourit la jeune femme

    Il avait été non pas attiré physiquement mais plutôt cette chaleur qu'elle dégageait, cette lumière, cette simple douceur dans sa voix et ses sourires l'avait animé depuis qu'il avait décidé qu'elle resterai à ses côtés, qu'il l'a voulait comme une rappelle au monde des vivants. Jusqu'au à ce fameux jour, revenant d'une soirée qui l'avait marqué, une soirée qui s'était terminer dehors sous la pluie frappante et lourde il ne voulait même plus rentrer. Il se sentait épuisé de sa vie ! Épuisé de tout. Il avait reçu un lettre de Julien, un seule, après tant de lettre envoyer ! Après tant d'attente croyant qu'il valait mieux l'oublier, Julien avait répondu le quatre octobre matin ruinant sa soirée et sa journée. Trois simples mots : " Je suis marié ". Il lui demandait de le laisser partir, de vivre sa vie, de ne plus jamais chercher à le recontacter ! LUI CELUI QU'IL AIMAIT TANT ! CELUI QUI LUI AVAIT DECHIRE LE COEUR ET JETE SUR LES RAILS DU TRAIN !
    Il l'avait tué de ses mains.
    Doucement il s'était imbibé d'alcool, de solitude et de désespoir pour avoir le courage de mettre fin à son agonie. Il était déterminé, il n'avait qu'une envie : celle de partir dans un monde où les bras de Camille l'entoureraient, où Julien l'aimerait...où personne ne les séparerait.

- Ne faites pas ça...nan ne faites pas ça, chuchota une voix chevrotante

Là, sur le trottoir sous la pluie, des bras l'entouraient effectivement et telle des briques les larmes de cette voix si malheureuse s'écrasait sur son épaules déjà mouillé. Il tenait ce morceau de vitré brisé, endosser au mur d'une usine désinfecter dans la zone industrielle de Londre.

- Ne faites pas ça..., suppliait cette voix

Cette chaleur, était il enfin mort ? Avait il joint le paradis ? Il se sentait si bien tout à coup et se refusait d'ouvrir les yeux. Il serra cette personne qui le protégeait, lorsqu'il décida enfin d'ouvrir les yeux il savait. Il n'était pas mort et se sentait si détestable ! Si misérable. Il pleura.
    Il avait pleuré comme jamais dans ses bras, pleuré aussi fort qu'il le pouvait déversant cette douleur ancré dans son âme. Dans ses bras il savait qu'il ne pourra pas partir en paix, il savait qu'elle était là.

- Pourquoi..., sanglotais Samuel

    Elle l'avait ramené chez lui, avait prit soin de lui pendant plus d'une semaine, elle continuait ses sourires et ses rires ! Sans jamais ne montrer son inquiétude et sa détresse à elle qu'elle cachait très bien.

    Samuel soupira en se souvenant de tous ses souvenirs douloureux, toute cette douleur qu'elle avait réussi à penser tant bien que mal et qui maintenant cicatrisait à peine en sentant la douce chaleur du corps de David. Il l'avait prit dans ses bras pendant qu'il était parti dans sa mémoire, voyant cet air si perdu et vide le blond ne l'avait pas supporter ! Il l'avait étreint lentement le caressant les cheveux quand il le sentait de plus en plus loin.
    Il était revenu à lui mais resta là, dans ses bras fort et protecteur, la douleur était ouverte mais elle ne le marquait plus comme avant.

Julien...


" Fermes les yeux Samuel...ne regardes pas ce que la haine peut engendrer et laisse mon amour s'imprégnier en toi. Fermes les yeux..."




Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 20:39
 
  " Pendant que je sortais jouer avec les autres, toi tu me regardais à travers la fenêtre, j'ai profité autant que je pouvais de mon enfance. Pas toi. Tu n'avais pas le droit, tu étais un "monstre", aux yeux du père, tu étais un "monstre" mais à mes yeux tu as toujours été un "ange". "



    Avec le temps Sam avait apprit à mieux connaître David, les rendez vous à deux se multipliaient et mine de rien Samuel Anderson se dévoilait peu à peu à celui qu'il considérait comme son essentiel, son unique et le seul. David semblait être l'homme idéal. Il était patient, délicat, tendre, amusant, romantique et parfois quelque peu espiègle. Le temps passait donc pour tous les deux comme une douce brise en compagnie de ce qui s'avérait être leur âme soeur.
Leur idéal.
    Plus on les regardait et plus on se disait qu'ils se connaissaient mieux que personne, ils se regardaient parfois intensément un sourire tendre sur le visage partageant un instant rien qu'à eux. Comme si ils savaient très bien ce que pensait l'autre, ce qu'il ressentait. Cette alchimie que beaucoup enviait attendrissait leur entourage, tout aurait put être calme et paisible, Sam voyait déjà une longue vie dans la main du grand blond, David n'imaginait même plus un lendemain sans apercevoir le doux visage nacré de Samuel. L'imprevu existe dans toutes les situations, même les plus gênantes...

- David...oooh...hum...plus...
- Tu me rend fou Sam...
- Ah ! Hum...encore !
- Tu es...sublime aah...

    Cela devait faire la troisième fois qu'ils faisaient l'amour de la journée, de bon matin, avant et après le petit déjeuner, puis maintenant sur le bureau même de Anderson. Les papiers étendue sur le sol, quand David ouvrit la porte il la ferma automatiquement derrière lui et se jeta sur son amant qui transpirait déjà d'excitation. La tension était palpable, le désir paralysant, tous leurs sens étaient en alertes, leurs corps en ébullition ! Rien n'aurait put les arrêter, pas même la plus froide des douches. La porte était fermée, les mur insonore, David prenait Samuel à même la table en bois dans la brutalité la plus jouissive qui soit.

- Plus fort ! Cria presque Sam

    David en riait presque, l'endurance de Sam le laissait perplexe à chaque fois mais ne c'était pas pour le déplaire, lui qui se retenait par peur de lui faire mal n'attendait que le mot pour se donner encore plus ! Le prendre plus violemment accélérant la cadence à en faire rougir tous les saints du paradis !
    Samuel hurlait de plaisir, tous d'eux  déshabillé étrangement, la cravate de David pendait encore autour de son coup, sa chemise était complètement ouverte mais pas enlever, son pantalon descendu sa veste à même le sol. Quant à Sam, il ne possédait que sa chemise tenant par un sol bouton, le côtés droit dévoilait toute son épaule le rendant encore plus frêle et irresistible au goût de David qui s'en léchait les lèvres.
    D'une poigne ferme et surprenante il commença à masturber Samuel pour intensifié son plaisir, de long va et viens puis un rythme égale à ses pénétration puissante. Les cris de Samuel raisonnait dans la pièce, tout son corps s'arqua lorsque la main chaude de David s'était emparer de son intimité. Il se mordait intentionnellement le poing les yeux mis clos, brillant de plaisir il regardait le visage transpirant de David qui lui rendait son regard langoureux. Un nouveau un instant que seul eux pouvait comprendre, une discussion mentale, la cadence avait ralentit en même temps que le temps ralentissait pour eux.  

" Je crois que..."
" Qu'est-ce que tu crois David ? "
" Je crois que je..."
" Que tu ?..."
" Que je t'..."

    Pour mettre fin à cette seconde de calme ou leur souffle avait reprit en silence, David penetra fortement Samuel le faisait crier de plus belle, il se releva s'agrippant aux épaules carré de David le mordant jusqu'au sang comme punition pour l'avoir surpris ainsi.
    Le blond portait son amant contre lui, ne réduisant pas les vas et viens toujours plus forts sentant que l'orgasme n'était plus loin il se retira vivement de lui pour laisser Sam s'écraser de tout son long sur le bureau, pendant qu'il le regardait reprendre son souffle et se toucher de la pointe des doigts.

- Pourquoi tu t'arrêtes ? Il demanda exciter comme jamais, je te veux là ! Tu ne vois pas comme j'ai envie...prends moi jusqu'au bout...
- Retournes toi. Dit David un sourire malin sur les lèvres

    Samuel sourit à son tour et se mit sur le ventre remuant légèrement les fesses pour presser son amant, qui se mordait la lèvre inférieur face à cette vue, il s'écrasa sur Sam entrant en lui doucement pour qu'il sente toutes les étapes du départ.

- Je crois que...
- Qu'est-ce que tu crois David ?
- Je crois que je...
- Que tu ?
- Je crois que je vais te faire jouir comme jamais...

    David enferma a nouveau le sexe de Sam dans sa main et tout en commençant les coups de reins il entama un un va et vient sur celui ci, coupant Samuel de son repos temporaire. L'échange en était presque bestiale, les deux hommes ne disaient plus un mot, trop coupé par les gémissements et cris de plaisir, l'ultime cri n'était plus loin.

- MONSIEUR JE...AHHH...J'AI BESOIN DE VOUS !!! Cria une voix au téléphone

    Complètement hypnotisé quelques seconde furent nécessaire pour que Sam reconnaisse la voix de sa secrétaire.

- David pousses toi ! Arrêtes !

    David se retira donc doucement ne comprenant pas pourquoi Sam voulait arrêter, des questions fusèrent dans son esprit, prit dans son élan il n'avait pas entendu l'appel de Camille, totalement perdu maintenant il ne savait pas pourquoi Sam s'habillait à la hâte.

- Qu'est-ce qui ce passe ? Demanda celui ci stupéfait
- Tu n'as pas entendu ?! Paniqua Sam
- Nan de quoi tu parles ?

    Samuel s'habilla sans prendre le temps de s'expliquer et demanda à David d'en faire de même, il finit de mettre l'une de ses chaussures et se précipita dehors sans prendre le temps de voir si Hank était habillé. Heureusement pour lui il l'était presque.
    Le blond commençait à grommeler dans son coin, se demandant pourquoi diable il était parti si rapidement sans même finir leur ébat ! Alors qu'ils y étaient presque et tellement bien ! Son corps en transpirait encore et la bosse dans son pantalon montrait qu'il n'était pas satisfait...

- Putin ! Mais qu'est-ce qui...

    David se stoppa net quand il voyait Samuel essayant de porter la secrétaire enceinte apparemment dans la phase terminal de l'accouchement.

- Oh mon Dieu..., commença à paniquer David

    Il se précipita sur Sam pour l'aider à porter la femme qui grimaçait de douleur qui se recorquivait trop sur elle même pour marcher.

- Respires Camille, respires ! Dit Sam en imitant les souffles rapides

    La scène était vraiment à mourir de rire pour celui qui la regardait d'un air neutre.

- Respires !!
- AAAAAAAAAH ! Arrêtez de faire l'imbécile et emmener moi à l'hôpital !!
- On y va, dit David

Qui se précipita pour appeler l'ascenseur s'y engouffrer et appuyer rapidement sur le bouton les mains tremblantes, cette fois il ne transpirait plus de désir mais de panique ! Comment une situation pareil pouvait lui arriver il ne manquerait plus que cet ascenseur bloque comme dans les vieux film idiot qu'il regardait avec Sam.

- NON ! PITIE NE ME DITES PAS QUE CETTE MERDE D'ASCENSEUR EST BLOQUE !!!! HURLA SAM DE COLERE
- CRI PAS BORDEL !!!!! Cria à son tour Camille d'une voix étonnement grave elle agrippa le chemise de Sam pour approcher son visage du sien d'un air menaçant. Je ne veux pas accoucher dans un ascenseur !!!
- Il est pas bloqué nan..., désespéra David en appuyant sur tous les boutons

    Finalement la prochaine fois, il ne dira plus rien ! Son pessimisme venait de le mettre dans de beaux draps ! Se retrouver enfermer dans un ascenseur en compagnie de Samuel aurait put le donner des chaleurs incroyables mais tout à coup lorsque le cri strident de Camille raisonna dans la cabine, l'idée de se retrouver dans cet ascenseur lui donnait à lui aussi l'envie de crier : AU SECOUR !!!



La vie à voulu que je te protège et en te regardant à travers cette vitre je te voyais grandir même si pour ça j'ai dut me sacrifier. Je t'aime.

Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 22:14

  
     " Dormir à tes côtés chaque nuits, partager chacun de tes rêves étaient magique mais arrivé à l'adolescence c'est devenu un enfer, sentir la chaleur de ton corps, ton souffle doux sur ma nuque...Tout est de ma faute si je ne t'avais pas embrassé ce soir là..."


    David était à deux doigts de se fendre le crâne sur ses portes éternellement closes après le énièmes hurlements et jurons. Samuel tentait vainement de d'aider Camille à respirer correctement, il trouvait ca très marrant des le films et même touchant mais là, il n'y avait plus rien de drôle et plus rien de magique !

- Qu'est-ce que j'ai fait à Dieu pour mériter ça ? Chuchota David
- Aide moi au lieu de te morfondre ! Je crois qu'elle a bien plus mal que toi, s'exclama le beau brun
- Pas encore...

    Pas encore ??

- Les pompiers ne sont même pas encore arriver ! Quelle poisse !
- AAAAAAAAAAAAAHHHH !!
- Camille mon Dieu pas ici retiens toi ! Les secours ne vont plus tarder...

    Sam serra la main de sa secrétaire qui hurlait de plus belle, les contractions étaient toujours plus proches les unes des autres et son coeur palpitait.

- Tu crois que j'ai le choix ! Rageait Camille sous la douleur
- BAH FORCES TOI !
- On se calme ! S'écria David.

    Sous le regard étonné de son amant il retira sa veste d'un geste vif et regarda intensément la femme enceinte avant de soupirer, retrousser les manche de sa chemise et s'approcher rapidement face à elle coucher au sol. Soudainement Sam avait peur de comprendre ce que comptait faire Hank, tout ça ne lui disait rien de bon.

- Qu'est-ce que tu compte faire David ? Dit Sam terrifié
- As ton avis ?

    David regarda Samuel dans les yeux, encore un de ces instants où seuls eux pouvaient se comprendre, encore l'un de ces moments où la parole n'était plus utile et où les sentiments seuls s'exprimaient. Un instant long et tendu, aucun sourire n'était échangé, des question intérieures : vas-tu le faire ? Sais-tu le faire ? Comment ? Pourquoi ? Pourquoi est-ce que je sens le sentiment d'un instinct paternel soudain ? Dois je le craindre ? Et encore une fois ! Qu'est-ce que c'est que cette bague ? Et pourquoi tu le quittes jamais ?

- C'est pas le moment Sam, soupira David
- Ca sera jamais le moment David Hank, dit sèchement Sam
- Ne commence pas...
- Comme d'habitude et cette discussion sera encore reportée !
- Mais ouvres les yeux ! C'est ni le lieu ni le moment !
- Jusqu'à la prochaine fois où tu dira le même chose !

    Camille ne prêtait qu'une légère oreille à la dispute des deux amoureux et pour une raison qu'elle ignore ça l'agaçait au plus haut point ! Alors qu'elle souffrait le martyre que cet enfant semblait la vider de ses entrailles elle savait maintenant que donner la vie n'était pas une partie plaisir comme elle pouvait l'imaginer ! Accoucher dans un ascenseur avec deux abrutis qui préfère se bouffer le nez plutôt que de l'aider ! La péridural lui semble si miraculeuse dans ce genres de conditions.

- VOS GUEULES !!!!!! Hurla la jeune mère

    Les amants s'arrêtèrent soudainement, est-ce l'accouchement qui provoque en elle cette agressivité ? Excitant...

- SAM ! S'écria David
- Quoi ? Fit il innocent
- Tu ne m'as toujours pas dit non plus pourquoi elle était si importante...je commence à comprendre..
- Vous pouvez arrêter de vous...aah...prendre la tête j'ai horriblement mal ! Et vous entendre ne fait que m'angoisser un peu plus...
- Elle a raison, annonça David
- Il ne faudrait surtout pas déclencher la grossesse, continua Samuel
- Si !
- Comment ça si ? S'étonna Sam
- On doit l'aider à accoucher ! Les secours ne sont pas encore arrivés et ça doit faire une bonne demi heure qu'elle à perdu les eaux.
- David.
- Oui ?
- Tu as déjà fait ça ? Demanda gravement Samuel

    Camille elle même voulait une réponse à cette question mais pour les mêmes raisons.

- Je l'ai déjà vu en tout cas.
- AAAAAAAAAAAAAAAAHHHH !!!
- Vas y aide là ! S'exclama Sam, on en parlera plus tard...
- Très bien Camille tu vas m'écouter maintenant ! Tu vas respirer comme tu as fait tout à l'heure avec Sam par petit souffle sinon ton coeur va se mettre à palpiter ! Un trop plein d'oxygène le ferai s'emballer.
- Je suis la Camille tiens moi la main !
- Tu pousses à chaque contraction.

    David inspira profondément et se plaça face au jambe de Camille. Samuel regarda son homme examiner la situation avec beaucoup de sérieux mais des goûtes de sueurs sur son front prouvaient qu'il était plus qu'incertain de ce qu'il allait faire. Toutes ses émotions se mélangeaient, le peur de voir que David n'était pas celui qui lui fallait, le peur de comprendre qu'il ne lui était pas destiné ! Son coeur se serra, son sang bouillait, l'envie de pleurer le prenait à nouveau depuis des mois d'abstinence ! Le même schéma ne pouvait pas se reproduire, non, ça serai trop injuste. Sans s'en rendre compte il avait quitté cet ascenseur en panique pour se perdre dans ses pensées, ses yeux noires s'étaient voilés et son cheveux fin assombrissaient son visage. Seul les pleures d'un quatrième membre le fit sortir de sa rêverie. La vision d'un blond le tenant dans ses bras, la peau encore pleine de sang du nouveau né, les yeux brillant de David et les sourires de soulagement de la jeune maman.

- C'est un beau petit garçon, sourit David en sortant son couteau suisse
- Mon petit garçon..., sourit Camille
- Tu veux couper le cordon ? Demanda le blond à Sam perdu dans sa contemplation du bébé
- P-Pardon ?
- Le cordon. Tu veux le couper ?
- Pourquoi moi ?
- Parce que tu es un peu comme...son père non ?
- S'il vous plaît monsieur Anderson..., sourit Camille

    Tremblotant et surtout anxieux, la panique l'envahissait peu à peu, David serai-t-il mécontent ? Il avait sentit comme une pointe de peine dans sa phrase, le sensation qu'un malaise s'installait peu à peu entre eux, quelque chose se brisait d'un simple petit cailloux, un simple fragment de mensonge faisait craqueler toute cette relation fonder sur le doute et vouer à l'échec. La peur à nouveau, il était certain qu'il ne trouverai jamais plus parfaite personne que David Hank et pourtant l'avenir semblait si flou à ses côtés.

- Il y a quelqu'un !!?

    Une voix forte cria derrière les portes closes de la cabine, sans attendre les trois crièrent pour manifester leur présence, l'envie de sortir de ce four et de cet enfer était ardent ! Même si l'image d'une maman tenant son enfant les avaient conquit autant l'un que l'autre. Leur discussion laisser sur le carreaux allait certainement reprendre même si aucun des deux ne voulaient recommencer à se disputer sachant que cette fois personne ne pourra les calmer ou s'interposer.
    Une fois que les pompiers eurent récupérés la mère et l'enfant, Samuel attendait de voir les lumières de l'ambulance disparaître au loin pour monter dans sa voiture et rejoindre David chez lui même si l'envie de se cacher sous sa couette était très tentante. Il grimpa malgré tout dans sa jolie voiture pour prendre le chemin de la grande villa Hank. Un petit bruit, une sonnerie, Samuel récupéra son téléphone portable sur le siège passager.

- Samuel Anderson j'écoute ?
- Sam...

    Un coup de frein brusque, un nouveau fragment, le bruit d'un craquement au fond de son coeur.

- C'est moi. Julien. Ton frère.
- Julien...

    Les larmes, l'étonnement, la panique, la poitrine compressée, un flux de vieux souvenirs. L'image du premier baiser.



    Je me réveillais parfois le matin et je te regardais pendant des heures, ton doux visage endormis tes traits fin et irrésistibles. Cette nuit où tu m'as embrassé j'ai cru voir un véritable feux d'artifice dans tes yeux et dans mon coeur..





Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 18:22
  
" Les journées après ce baiser devenaient les moments les plus heureux, bien sûr il fallait garder le secret ! Personne ne devait savoir. Jusqu'au jours où les caresses et les baisers ne suffisaient plus. On été trop gourmand, on le savait autant l'un que l'autre tôt ou tard quelqu'un apprendrait pour notre amour seulement je ne pensais pas que ça serai lui..."


     Sa gorge devenait subitement sèche, il ne savait plus quoi dire, il semblerait que son interlocuteur restait muait également.

- Sam ? Tu es toujours là ?
- Eh...Euh...O-Oui, dit il une fois ses moyens retrouver
- Rejoins moi j'ai besoin de te parler. Je suis dans l'Hôtel Preston dans la huitième.

    Samuel garda la combiné sur l'oreille alors que Julien venait de raccrocher. Que faire ? Y aller ? Ne pas y aller ? Ignorer cet appel ! Il savait que si jamais il s'y rendait toute cette nouvelle vie était fichue, si jamais il revoyait son frère tout se détruira et il replongera dans les méandre de son ancienne dépression. Dans le passé ! Il ne voulait pas retrouver le passé, il voulait tout effacé et recommencer une nouvelle vie avec David même si cela impliquait renier tout ce qui fondait le Samuel Anderson que tout le monde connaissait. Pourtant une envie horrible de le rejoindre le faisait trembler, une voix puissante lui hurlait d'y aller ! De foncer ! De le prendre dans ses bras lui dire à quel point c'était dure, à quel point il avait souffert et à quel point il était heureux de le revoir.
    Non ! Il ne pouvait pas faire ça à David, il était heureux avec lui, c'était un homme intelligent, tendre et qui plus est une véritable bête de sexe. Son sourire le rassurait et rien que de se retrouver dans la même pièce que lui le faisait vibrer de désir. Un seul regard et il se sentait en sécurité, fondre sous ses mains délicates, ses doux cheveux, sa peau halé. Non, Julien faisait parti du passé, il était définitivement sorti de sa vie et il ne pouvait pas faire marche arrière tant pis pour lui ! Il faut avancer, aller de l'avant sans jamais se retourner ni regretter car la vie était trop courte pour regretter. Seul compte le présent et...dans le présent son frère semble avoir besoin de lui.
    Quel casse-tête ! Un véritable calvaire ! Il savait très bien qu'il retomberai fou amoureux de son jumeaux si jamais il faisait l'erreur de le rejoindre dans ce fichu Hôtel. D'un autre côtés il était avant tout son frère et il avait besoin de lui parler, il se devait quelque part de l'aider en tant que frère il ne pouvait le laisser tomber même si c'est précisément ce que Julien avait fait à une époque. Le choix semblait plus logique et pourtant toujours aussi douloureux, une impression qu'il courait sur place et n'arriverai jamais à oublier son premier amour. Sam attrapa son téléphone pour composer le numéro d'une seul et unique personne qui pourrai l'aider, en qui il avait confiance.

- Hôpital Luther King j'écoute ?
- Pourrai-je parler à Mademoiselle Feldis en maternité s'il vous plaît ?
- Je vous met en contact.

      Au bout de trois sonnerie quelqu'un répondit d'une voix fatigué.

- Oui ?
- Camille c'est Samuel !
- Oh Monsieur Anderson !
- Je vois que tu as retrouvez tes vieilles habitudes, s'amusa Sam
- Désolé de vous avoir tutoyer Monsieur.
- Au contraire j'en étais très heureux !

   Le simple fait d'entendre sa voix l'apaisait, il passerai la voir dés qu'il fera jours, son rayon de soleil lui manquait terriblement. A ce demander si un jours il pourrai se passer d'elle ?

- Que puis je faire pour vous ?
- Ecoutes Camille j'ai un problème enfin...comment dire ça...Il m'a appelé !
- Qui donc ?
- Julien...

    Un silence de mort s'en suivit, Camille ne connaissait que trop bien cet homme ! Julien Anderson le frère jumeaux de Samuel qui l'avait abandonner, mettant une distance infernal entre eux, ordonnant à Sam de l'oublier le faisant plonger dans une détresse terrible. Certainement que si elle l'avait connu ne l'aurai jamais aimer ! Faire souffrir ainsi une personne, surtout Sam, un homme si bon ne méritait de vivre un tel calvaire. Voilà que Julien faisait surface dans sa vie ? Que voulait il ? Encore plus le brisé alors qu'il reprenait enfin goût à la vie au côtés de David ?

- Camille il veut me voir ce soir...
- N'y allez pas ! Hurla-t-elle
- Je sais que je ne devrais pas y aller mais c'est tout de même mon frère...Il m'a dit qu'il avait besoin de moi...Je ne peux pas le laisser tomber.
- Pourtant Monsieur Julien ne c'est pas gêné lui ! Il va encore vous faire du mal Monsieur, dit elle la voix chevrotante, et je ne serai pas là pour vous consolez...

    Samuel fut toucher qu'elle le protège autant, elle était vraiment adorable avec lui. Pourtant il était inutile de l'avoir appeler depuis le début il savait qu'il allait rejoindre, il voulait certainement juste l'avertir elle.

- Je ne suis pas comme lui. C'est décider j'irai le voir !
- Faites attention Monsieur.
- Je te le promet si je ne te rappelle pas dans une heure appelle David et dit lui de venir me chercher à L'HôtelPreston.
- Très bien.
- Camille ?
- Oui ?
- Tu es un ange.
- Merci monsieur...
- Comment va le bébé ?
- Il est en pleine forme !! Il dort à côtés de moi ce soir si tu savais comme il est mignon avec ses petites mains refermés sur elle même, ses petits doigts, ses petits pieds !! Ahh ! Il est à croqué !
- Tu sera une maman formidable. Sourit tendrement Sam en imaginant sa petite Camille tout gaga du bébé
- J'espère bien !
- Comment vas tu l'appeler ?
- Daniel...oui je crois que je vais l'appeler Daniel.
- Il y a une raison particulière ou ça t'es venu comme ça ?
- Parce que ça me fait penser à David et Samuel, si on mélange on peut obtenir Daniel.
- C'est mignon...Ecoutes dés que j'ai finit ma conversation avec Julien je te rappelle d'accord ! Tu peux me donner le numéro de téléphone de ta chambre ?
- Je l'ai pas encore...
- Bah alors je viendrai te voir demain matin d'accord ?
- Faites attention à vous !
- Au revoir.
- Bisous !

    Samuel raccrocha, il inspira profondément se retrouvant seul garé dans une rue il remit le contact rapidement pour prendre la direction de la huitième avenue. Il ne pensait plus tellement à comment se passerai son entretien avec le fantôme de sa vie, il s'efforça de se concentrer sur la route ne réfléchissant en rien il sera déjà assez angoisser quand il s'arrêtera devant le grand bâtiment. Il ne tarda à arrivé d'ailleurs, un grand panneau au lumière rouge indiquait l'hôtel dans la nuit, c'était un petit hôtel de ressources moyennes, ni trop miteux, ni luxueux. Il se gara dans un parking à quelques mètres et sorti de sa voiture en allumant une cigarette. Trois mois qu'il n'y avait plus toucher. Finalement ça le détendra un peu, il s'adossa au mur du bâtiment pour fumer tranquillement se vidant l'esprit avant de rentrer et se retrouver nez à nez avec le passé. Le temps était passé tellement vite pour une fois il se retrouvait déjà devant la porte en bois, personne dans les couloirs ses membres ne lui obéissait plus. Il n'avait qu'une envie : partir !
    Pourtant sans même atteindre une seconde de plus, la porte s'ouvrit laissant sortir la lumière, ses yeux s'écarquillèrent pouvant encore moins bouger durant deux seconde il resta là. Face à son reflet, il l'aurait imaginer identique à lui mais au contraire, derrière la porte se tenait un homme plus mince, la peau légèrement plus coloré, les cheveux ébène plus long que les siens. Seul ses yeux étaient identiques, leur traits étaient quelque peu différent, ceux de Julien s'était durcit tandis que Samuel gardait cette apparence encore fraîche et jeune. Le temps s'était à nouveau arrêter, aucun des deux n'osaient dire quoi que ce soit et se fut Samuel qui reprit ses esprits ainsi que son masque d'indifférence pour ne pas craquer il entra poussant légèrement son frère qui lui ne savait pas caché ses émotions. Il avait toujours été émotif comme garçon même si Sam était le plus fragile des deux il semblerai les rôle ce soit inversé, l'expression simple et décontracté de Samuel cachait une véritable angoisse, excitation, joie, douleur ! Tant de sentiments qui se mélangeaient et pourtant rien dans son apparence marquait un tel trouble. Julien ferma la porte encore sous le choc de la rencontre, il regarda son frère s'adosser à la fenêtre les mains dans son costume, la chemise sorti du pantalon, la cravate dénoué il semblait avoir traversé une journée lourde.
    Trois parties de baises, une interrompu, un accouchement dans un ascenseur et maintenant Julien qui refait surface. Il y avait de quoi être secoué.

- Tu veux boire quelque chose ? Demanda simplement Julien
- Certainement pas.

    Cette fois une pointe de colère était sortit malgré lui, il mourrait d'envie de lui hurler dessus, de lui cracher à la figure tout ce qu'il avait endurer, toute la souffrance qu'il a subit par sa faute ! Il mourrait d'envie de le frapper jusqu'à épuisement, de déverser toute cette frustration qui lui faisait une boule dans l'estomac. Il releva un peu le visage voyant Julien se diriger tout de même vers un mini bar pour prendre un cognac, il l'avala d'une traite montrant qu'il était mal à l'aise également. Samuel fut vite attiré par son aspect, légèrement plus grand que lui, de fin cheveux noir, une pull noir en colle en V avec une chemise verte en dessous, un pantalon noir en tissu lui moulant ses fesses. Sa peau plus coloré qu'avant, les veines ressortant de ses avant bras découvert. Sa barbe de deux jours et ses long cheveux, il n'avait rien d'angélique comme Sam mais plutôt la virilité douce, un semblant de maturité, de sagesse imposante. Et pourtant ses expressions étaient plus enfantine adoucissant son côtés trentenaire. Trente et un, il les faisait sûr alors que Sam lui n'en faisait qu'une vingtaine.
    Le silence s'était installer entre eux ainsi qu'une distance considérable, Julien restait accouder à son mini bar n'osant même pas regarder son frère endosser à la fenêtre trois mètre plus loin. Pourtant il fallait qu'il lui parle...

- Samuel je...

    Sam releva la tête plantant ses yeux dans ceux de son frère, le regard autoritaire il remarqua que Julien se sentait couper comme poignarder par tant de reproche, le visage s'attristant le regard de culpabilité il restait la figé dans son élan.

- Ne me regardes pas comme ça Sam, sa voix aussi était différente

    Julien avait une voix plus douce que celle de Sam qui semblait plus autoritaire.

- Comment est-ce que je te regardes ? Dit Sam en croisant les bras
- Ce regard, Julien baissa la tête, ce regard plein de reproche...
- Comment veux tu que je te regarde après tant de temps ? Hein ? Sam se sentait craqué peu à peu
- Je suis désolé Sam...
- Désolé de quoi ? Parce que t'as le choix ! D'être partie du jours au lendemain ?! D'avoir couper les ponts ?! D'être revenu à l'improviste ?! De m'avoir dit que tu m'aimais ?! De t'être marié ?! De m'avoir ABANDONNER ! Je vois même pas ce que je fou là ! Je m'étais dis qu'en tant que frère je viendrai t'écouter mais je me rends compte que c'était une grosse erreur ! Pourquoi est-ce que j'écouterai un homme qui n'étais jamais là quand j'en avais besoin ! Qui ne déniait pas  même prendre de mes nouvelles ! Qui a ses yeux, j'étais mort !! Pourquoi  est-ce que je t'écouterai hein ? Dis moi ? Tu m'as écouter moi quand j'ai essayer de te retenir ! Tu étais là quand j'ai voulus me tuer ? Tu étais là quand ma vie c'est transformer en véritable cauchemar vivant !? NON ! Tu n'étais jamais là ! Tu ne m'as jamais aider ! Tu n'as fait que penser qu'à toi, qu'à ton propre bonheur ! Sans jamais te soucier de ce que j'ai put ressentir et vivre durant ces quelques années ! Comment oses tu revenir et me demander de venir te voir !! Comment peux tu me demander de ne rien te reprocher !! T'es qu'un salaud !! Un connard ! Tu ne mérites pas que je t'accorde une quelconque importance ! A MES YEUX T'ES MORT TU ENTENDS !!

    Samuel essouffler soutenait le regard de Julien qui semblait désemparé ne faisant  plus aucun geste, chaque mot était une flèche qu'il lui envoyait en plein coeur ! Il espérait l'avoir fait souffrir, il espérait bien l'avoir touché ! Il espérait bien qu'il se mette à pleurer, qu'il pleure autant qu'il a pleuré ! Qu'il est mal autant qu'il a eut mal. Il ne désirait qu'une chose qu'il se sente coupable de tout ce qu'il a fait, qu'il regrette par simple plaisir de le voir s'excuser, implorer son pardon.

- Je suis impardonnable je le sais Sam mais ne me juge pas trop vite tu ne sais pas pourquoi je suis parti.
- Et je veux pas savoir !
- Tu es sûr ?

    Samuel et Julien partagèrent un regard intrigué brusquement, le premier à le détourné fut Julien qui s'approcha du canapé pour s'asseoir, il passa ses mains sur son visage regarda les lumières des lampadaires de dehors sans regarder Sam qui suivait son regard.

- La nuit va être longue, annonça Julien.


" On aurait pas dut, non Sam on aurait jamais dut ! Et pourtant je ne regrettes absolument rien..."

 
Par Danouch - Publié dans : toujours plus haut, toujours plus loin : au sommet
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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