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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 17:09
                   Dire que j'y avais cru, dire que j'aurai été capable d'assumer cette homosexualité. Tu m'as brisé, je sais pas vraiment ce qui m'arrive mais j'ai l'impresion de sombrer, de ne plus être le même, j'ai l'impression que quelque chose en moi est parti ce soir là. 
- Merde il fait jour. 
Je  me réveille difficilement savourant mon petit week-end, dans mon lit. En fait ça doit faire quatre jours que je ne quitte plus cette pièce. Je paresse sur mon lit, le regard perdu dans le vide ne pensant à rien et rêvant à chaque fois à la même chose...lui. Mon corps ne répond même plus, le lendemain je ne me souviens pas de ce que j'ai fait la vieille car mes pensés sont emprisent de son regard, de cette trahison. Combien d'années cela fait il que je n'ai pas verser une larme ? Je m'étais forger un caractère à toute épreuve difficile, ayant eut un très bonne entrainement durant mon enfance j'ai cru que rien n'aurai put m'attendre. Croire, encore et encore, mais croire n'empêche pas mon coeur de saigner extirpant tous les sentiments les plus douleureux ; colère, tristesse, solitude, humiliation...l'amour. J'avais espérer encore une fois avoir ne serai ce qu'un peu de bonheur dans ma vie, j'avais espérer être particuliers pour une personne mais apparament tout ceux que je rencontre on le visage de mon père.  
Comment peut on être aussi naif ? Lequel de nous deux est vraiment en tord ? C'est ma faut d'être tomber amoureux d'un professeur dont je ne connais rien. Oui amoureux, j'aimais je n'aurai cur me l'avouer mais quoi d'autre peut il laissé une trace aussi infligente que l'amour ? Quoi d'autre peut il vous réduire à l'état d'un animal abattue ? Quoi d'autre peut il vous détruire à ce point ? Je ne vois rien d'autre que l'amour. Et le pire, c'est que je l'aime encore. 
Je décide enfin de me lever, ma mère va s'inquiété si je ne lui donne pas de mes nouvelles, je décroche le téléphone et l'appelle ilico-presto ! Elle a déjà dut recevoir les plaintes du lycée pour mes quatres jours d'abscences injustifiés. Je ne me souviens même plus si le téléphone à sonner. 
- Allo ? Dit elle d'une voix inquiète
- C'est Vincent...
- Vincent ! Chéri ! Tu te rends compte à quel point je suis inquiète impossible de te joindre et ta disparation soudaine ! Non vraiment là tu exagère Vincent !
- C'est rien je suis malade ça ira mieux Lundi, mentais je
Lundi, espérons le. 
- Bien mon coeur soigne toi bien et si tu as besoin de quoi que ce soit je viendrai sans hésité ! 
- Oui maman très bien bisous je t'aime.
Je raccroche brusquemment le fixe, ne voulant pas entendre ses derniers petits mots. Je ne supporte plus aucun mots doux sans que ca crée en moi une crise d'hystérie totale. Je me lève comme un mort et m'écrase sur mon matela, les bras écarter regardant le plafond d'un blanc cassé. Je suis vraiment pathétique, bon pour l'asile. Plongés dans mon blâme personnel et mentale je me laisse porter par une fatigue qui me gagne depuis quatre jours. Je me fais reveillé par la sonnerie de mon cellulaire, la tête qui tourne, je décroche avec amertume et me prépare à hurler sur le connard qui m'a sortit de mon sommeil. 
- Quoi ! Je m'écri
- Tu es chez toi ?
- QUI SAIT BORDEL ? 
- Ouvre la porte.
On se croirai dans un vieux film d'horreur débile ! Enervé je me lève brutalement. Petit malaise je me rassois le vertige me gagne, quel con ! Je me relève encore plus énerver et ouvre la porte à grande vollé. Mon regard se plante dans ses yeux rouges que j'ai toujours répugner de voir depuis quatre jours ! Sans même dire un mot je referme la porte mais Raphaël bloque avec son pied. Tant bien que mal je pousse pour pouvoir la fermer, sentant déjà les larmes me montés aux yeux. 
- Ouvres cette porte Vincent ! 
- Allez vous faire foutre ! Continuais je de pousser
Malheureusement avec la peau sur les os et lui son corps musclé il n'y a pas photos je m'écroule au sol, surpris par la force de sa poussé. Je me met les mains sur la tête d'agacement ! Il est vraiment le dernier homme au monde que je désir voir ! 
Il referme la porte calmemant de son regard frois il me regarde haut, puis il fait un tour d'horizon, comme la première fois...MERDE TA GUEULE ! 
- Qu'est-il arriver à ton beau salon ? Dit il sans aucune surprise dans sa voix
Je me relève et remarque le carnage, c'est vrai que le soir où j'ai reçu un couteau dans le dos je me suis assez bien défouler sur tout objet à porter de main. Pas la peine de rivalisé à ce que je vois de toute manière ça ne m'empêchera pas de resté muet. Plus énervé que jamais je chope mon dernier paquet de clopes et m'enferme dans mes chambre, là au moins je suis sûr qu'il ne viendra pas me faire chier ! Je ne veux pas le voir, je ne veux pas le voir. J'ouvre ma fenêtre un vent glacial me réveille totalement et j'allume ma petite dose de noctine de cette soirée qui risque d'être suivit de biens d'autres. 
Il faut oublier.
Il a allumer la télé, je vois qu'il prend ses aises en plus ! Je n'ai qu'à me dire qu'il est pas là, je n'ai qu'à me dire qu'il va partir. Je fume ma cigarette tremblant de rage et non de froid, ayant juste un t-shirt et un bas de pijama cella dit je doute un peu. Je referme la fenêtre et me dirige vers mon lit éteingnant la lumière, m'engoufrant dans mon lit espérant que tout ceci ne soit qu'un cauchemar...oui un mauvais rêves. 
- Vincent...ouvre la parte s'il te plait..., dit il d'une voix presque suppliante
Je m'efforce de ne rien entendre, mon coeur bat la chamade vais je resister longtemps ? Encore une fois j'en doute. 
- Vincent...il faut que je te parle...
- Moi je ne veux pas te parler tu comprends pas ?
- Ecoute je ne pensais pas que tu...enfin étais amoureux !
- JE NE SUIS PAS AMOUREUX ! 
- Alors pourquoi est-ce que tu pleures Vincent...
Comment...je ne veux même plus le voir ! Il me dégoute
- Retourne avec Klay lui il t'aime vraiment ! Pour moi t'étais qu'un plan cul j'en ai rien à foutre ! Et tu veux que je te dise tu me répugne toi et les autres sales tapettes dans ton genre ! Casses toi de chez moi. 
Je n'ai fait que dire tout le contraire de ce que je pensais...y compris la dernière phrase. Je ne l'entendais plus, l'ai je blessé ? Je me sens tout à coup coupable, je n'avais pas forcément envie de le blessé...enfin si je voulais ! Mais...roh je sais plus rien je suis perdu. 
- Je suis désolé de t'avoir fait souffrir...tu as raison je ne suis qu'un plan cul.
J'entends ses pas marteler mon parquet, une voix en moi me hurle de lui courir car sa voix sur sa dernière phrase semblait déchiré de l'intérieur. Que faire ? Non je ne peux pas ma fierté m'en empêche ! Pourtant...et merde ! Je me lève très rapidement pour ouvrir la porte de ma chambre en le voyant sur le pas de la porte et se retourne vers moi les yeux brillant sous la lumière du salon, je crois voir de la culpabilité dans son regard. J'ai l'impression qu'il s'écroule par terre je vais pour l'aider quand je réalise que c'est moi qui voit le sol incliner...
- Ne pars pas, je murmure en le voyant s'approcher
- Ca fait combien de jours que tu n'as pas manger ? Dit il inquiet
- Ne me laisse pas Raphaël...ne me laisse plus...
- Je m'en veux beaucoup Vincent pardonne moi ! 
Quel étrange garçon, il peut me paraitre si froid et si doux à la fois ! Je suis subjuguer par sa complexcité qui ressemble beaucoup à la mienne. Finalement on est deux gamins qui ne savent pas du tout ce qu'ils veulent. Enfin si moi je sais ce que je veux...c'est lui. Il me porte jusqu'à ma chambre et me pose sur le lit pendant qu'il disparait dans la cuisine, qu'est-il en train de faire ? A manger ? C'est vrai que je commence à avoir faim et me faire servir par mon cher professeur est une perpective très agréable. Voilà la première fois que je souris depuis quatre jours, la personne qui a le pouvoir de vous détruire et de vous rendre le sourire à la seconde, c'est ça l'âme-soeur ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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