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Danouch's MAJ :
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  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

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/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 20:17
                   La sonnerie retentit, la fin des cours de la journée et il a fallut qu'on divise nos deux heures de maths en un cours de dix à onze et ensuite de dix-sept à dix-huit heures ! Quelle poisse de retomber avec le tyran ce mec à le don de me mettre en rogne. Je range mes affaires le plus vite possible pour quitter cette école déjà épuisé par la première journée de cours alors que j'avais prévu de répouiller durant tous les cours mais avec Mr. Culigan impossible ! Il me surveillait comme si j'étais déjà dans la liste rouge. Je commence à courir pour partir quand soudainement je sens qu'on me tire en arrière et prie pour que ça soit Klay qui m'en demandant d'attendre malheureusement ce n'était pas lui, c'était le tyran au regard assassin. Je vois tout le monde défile devant moi ils me jettent des regards de compassion ; bande d'enflures ! Venez pas m'aider ! 
- Monsieur Mayon il faut qu'on parle..., dit il d'un ton calme mais glaciale
- Je suppose oui. 
- Assie toi ce que je vais te dire est très important. 
Maintenant il me tutoies ? Il est trop zarb' ce mec ! 
- Tu as des notes catastrophiques en maths je ne sais pas si tu te rends compte mais je t'assure que je ne te laisserai jamais passer avec ça ! 
- Les maths n'ont jamais été mon fort Monsieur Culigan, dis je d'un ton arrogant 
Il me regarde intensement et croise les bras se callant confortablement contre le dossier de son siège. 
- Tu es en ES Vincent tu ne pourra jamais avoir ton BAC si tu continues.
Vincent...bordel ! Qu'est-ce qu'il me prend ? Pourquoi j'ai des frissons quand il pronnonce mon prénom !! 
- Tout va bien ? Tu es tout pâle, dit il d'une voix plus douce 
- Ou-oui oui ! Très bien vous avez raison ! Je vais progresser au revoir monsieur 
Je me lève dans la précipitation mais malheureusement tellement rapidement que je tombe de ma chaise, je l'ai vu se lever pour venir m'aider en courant c'est limite si il a pas plongé pour me ratrapper. 
- Tu t'es fait mal ? Il me demande inquiet en touchant ma tête
Je ne bouge plus, je sais pas quoi faire, Mr.Culigan n'est plus le même, je suis chamboulé de le voir si inquiet pour moi alors qu'il y a peine quelques minutes il était un vrai tyran à mes yeux ! Il fronce les sourcils voyant que je ne réponds pas il tâte mon front tout en me fixant, je n'arrive pas à dire quoi que ce soit, il est penché au dessus de moi. Je remue les lèvres essayant de prononcer un mot mais pas même un son ne sort, la gorge sèche je déglutis difficilement. Je n'ai pas remarqué qu'il avait la mani de passer sa langue sur les siennes plusieurs fois, les petites rides qui se formaient sur son front l'embelissait encore plus...je n'avais plus qu'une envie c'était que mes lèvres rentrent en contact avec les siennes. 
OH !!! Je me relève soudainement étonné il fait un mouvement de récule et me regarde incrédule, moi je bafouille je ne sais pas quoi dire ! Mon Dieu je...je suis attirée par un mec !!! NON c'est pas possible pas par un mec non ! Je le fixe les yeux écarquillé de peur...son petit air d'incompréhansion total le rend encore plus craquant...OH MERDE BORDEL TA GUEULE !! 
- Désolé...,reussis je à dire entre deux grandes bouffés d'oxygène
Il hausse les sourcils secoue un peu la tête et souris tendrement.
- Tu m'as fait une peur bleu..., dit il souriant
ARG ! C'est comme si une flèche venait de me transpercer la poitrine non là il m'achève ! Je suis très impulsif alors s'il vous plait arrêtez ça je sens que je vais faire une crise cardiaque. Attirer par les hommes ? C'est fou comme mon coeur s'emballe rien que d'entendre sa voix je me sens bizarre, je ne me sens pas à l'aise et en même temps j'aimerai qu'il ne s'arrête jamais. Il se relève et me tend sa main pour m'aider à me lever, je la prend volontiers, sa peau douce me donne des frissons, je suis confu ! Je sais très bien ce que ça veut dire je ne fais pas l'innocent ne croyez pas que je suis con à ce point. Moi par les hommes ? Alors que j'étais un vrai coureur de jupons partout où j'allais je sautais toutes les bonnasses à disposition mais lui...comment peut il autant me faire cette effet là ? Je récupère mon sac par terre, je sens son regard surement d'instinct je me redresse automatiquement et lui fait un signe d'au revoir. Je ne tiens pas à rester avec lui une minute de plus ! Je réfuse d'être attiré par un mâle ! Il faut que je baise ouais c'est la seule solution je dois trouver mon coup de ce soir.
Et quel meilleur endroit pour pécho des filles que les boîtes de nuit ? Finalement à dieu les devoirs pourrit que je vais devoir me dépécher de faire dés que je rentrerai je dois calmer ma libido. J'appelle un taxi pour m'y rendre n'ayant pas encore le permis puis de toute manière c'est plus pratique comme ça je rentre en un seul morceau. La boîte, le seul endroit où je suis vraiment habillé comme il se doit mais toujours mon style à moi. Jean large avec des converse spécialement pour cette occasion, ma veste noire de mon costume, une chémise noir également et un débardeur moulant noir aussi. Franck, le videur me connait à vrai dire le patron de la boîte est un client à mon père et j'ai déjà vu la plus part de ses gardes du corps, il me sert la main et me laisse entrer. Le son électro m'explose dans les oreilles, je fonce au bar pour prendre mon premier verre de la soirée qui sera suivit d'une longue lignée, à peine mon cul poser qu'une fille s'approche me faisant la conversation. Un quart d'heure à suffit pour qu'elle soit littéralement collé à moi, j'enchâine les verres sans trop me souler il fallait rester sobre pour que popole fasse ses preuves, des années d'expériences ne sont pas inutiles. J'enfile rapidement mon dernier verre de tequila et la prend par le bras pour me diriger vers les toilettes, je ne pense ne pas avoir besoin de vous dire que j'y vais pas pour mon intestint mais bien pour le sexe. Je ferme la porte derrière nous, elle s'aggripe à coup brusquement emprisonnant mes lèvres je l'ai dirigé vers l'un des cabinet et j'ai fermé à clés sans même regarder ; l'habitude. Un baiser fougueux et passioné elle se donnait tellement de mal alors pourquoi le caporal reste coucher ? Je ne ressens pas la moindre excitation qu'est-ce qui va pas chez moi ? Peut être qui si je m'y met aussi j'aurai plus d'effet. Décidé je prends l'un de ses seins avec dextérité et le masse tout en titillant son téton je l'embrasse dans le coup et elle me plaque à son tour contre la porte sans aucune préparation elle descend mon pantalon facilement et s'attaque à mon boxer. Je me sens bizarre, j'ai envie qu'elle s'arrête finalement le caporal n'a pas du tout envie de se réveillé ni mes hormones ! Bordel ! Je la pousse et range le matos devant sa mine dubitative. Je sors des chiotes et me met devant le miroire les mains sur la tête d'enervement.
- Qu'est-ce qui va pas chez toi ? Je me casse...
Puis elle se barre vexée surement de s'être pris le plus gros vent de toute sa vie. Je donne un grand coup sur le lavabo ! Comment c'est possible bordel de merde ! Je suis un mec un mec ! J'aime les nichons de nana, la bouche des nana, les fesse de Culi...oh mon dieu. Je pose mes mains sur ma bouche comme si j'avais dit une connerie ou penser c'est pareil ! Encore plus paniquer je sors des toilettes et percute des tas de personnes peut être une de trop car je m'étale par terre en me cognant la tête sur le sol froid et tremblant par le son et les pas des danseurs. Qu'est-ce qu'il m'arrive...quand je ferme les yeux je ne pense qu'à lui, quand je réfléchis je pense qu'à lui, qu'est-ce que j'essaye de me prouver en faisant ça ? Je ne sais plus où j'en suis son regard, son sourire tout ça me hante. Je reste couché là par terre manquant à chaque fois de me faire écraser, je plane presque, les yeux perdus dans le vide je cherche peut être une lumière qui pourrait m'éclairer m'explique ce qui ce passe. La personne qui m'avait fait tomber s'abaisse doucement accroupi devant moi et me fixe, c'est drôle même quand j'ai les yeux ouvert je le vois partout.
- Hein ! Je me relève d'un seul coup, mon..mons...monsieur Culigan ! Mais que faites vous ici ?
- C'est public je pense non ? Tu aimes bien rester par terre à ce que je vois, dit il en rigolant
Oh la honte ! Je me suis vautré devant lui ! Je baisse les yeux et de gêne et regarde autour de moi, personne ne prête attention à nous c'est déjà ça je me sens tout con devant mon professeur. 
- Allé pour me faire pardonner je t'offre un verre, dit il avec un sourire irrésistible
Je n'ose pas refuser je le suis jusqu'au bar, je continu malgré moi de regarder autour de nous comme si j'avais peur qu'on me reconnaisse ça paraitrait suspect qu'on me voit en sa compagnie surtout quand il est gentil. Je laisse porter mon regard vers ses habits, il a une costume bleu foncé particulièrement séduisant, son corps athlétique et bien mis en valeur, ses long cheveux noir ébène tombe dans son dos lui donne un air comptemporain. Il me rapelle ces poetes perdu dans leur passé et leur monde, ces poetes que tout le monde oubli de nos jours, ses yeux rouge sintillent de mille feu et commande deux bière pendant que je le reluque de la tête au pied. Il a des fesses parfaites, rebondit, ronde, une forme superbe n'importe qu'elle femme craquerai pour lui alors pourquoi est-il seul ce soir ? Peut être ne l'est-il pas ? 
- Vous...enfin vous êtes venu seul ? Je demande en buvant à grande gorgé mon verre
- Oui je viens très rarement mais ce soir j'avais envie de sortir, dit il le sourir au lèvre, et toi tu n'as pas ta petite amie avec toi ? 
- Je n'ai pas de petite amie, je dit faiblement
J'aurai prier pour pas qu'il m'entende mais il avait parfaitement compris malgré tout mes efforts. J'ai suivit du regard une mèche de ses cheveux fin qui lui tombait sur la joue restant collé à sa bouche qu'il chassait d'un rapide geste de la main, des lèvres fines et rosés la peau laiteuse faisant ressortir son côté angélique. Il sourit encore une fois, des petits plis firent leur apparition dans le coup de ses joues ; quel bel homme. 
- Vincent ? 
Merde ! Je suis sûr qu'il a remarqué que je le mattais ! Putin je suis un boulet mon dieu qu'est-ce qu'il va penser de moi ? Que je suis un ados en manque ou quoi ? Olalalala mais qu'est-ce qui m'arrive j'ai des bouffé de chaleur, les gouttes de sueurs perle déjà mon front de stresse. 
- Pardon je vais vous laisser je pense que je vais rentrer, dis je en posant mon verre, merci pour ce verre. 
Je suis parti honteux de cette journée ! Je ne me suis jamais payer autant la honte de toute ma vie et je crois que le comble du comble c'est que même avec ce froid hivernal...je bande.
 
                     
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 15:59

              Je sors une cigarette de ma poche tout en continuant de marcher dans mes converses rouge sang, mon jean mal lavé et large traîne sous mes pieds, une fois ma cigarette finit je la jette et remonte la fermeture de ma veste jusqu'au coup rementant correctemet mon écharpe et rentrant mes mains dans mes poches. Une fois que j'ai pris la position d'une tortue en me recorquivant dans mon bout de laine, un tour d'horizon, je monte les yeux tout le long du bâtiment d'un air naturel. Je déteste déménager.

Mon père est un riche entrepreneur il est à la tête d'une grande société de contruction en bâtiment mais il se déplace souvent, ma mère elle est la digne héritière du bureau des plus grand avocat de New-York mais contrairement à mon paternel elle a tout d'une mère parfaite. Elle est présente douce et belle, tandis que mon géniteur est froid, distant et ne pense qu'au boulot je me demande si il se souvient qu'il à un fils qui va avoir dix huit dans dans deux semaines ? Faudrait déjà qu'il se souvient qu'il a un fils. Dut au déplacement de mon père on déménage souvent, ma mère le suit partout elle l'aime comme au premier jour et bizarrement il n'y a qu'elle à qui il sourit malgré la distance qu'il prend avec sa famille. Je n'ai jamais cesser de changer de ville, de pays, de continent ! A chaque fois il y a des nouveaux amis, des nouvelles rencontres mais qui ne durent jamais longtemps. Quand j'étais plus jeune j'en ai beaucoup souffert, enfin quand j'étais plus jeune...il y a de ça deux ans quoi c'est pas non plus trop lointain cela dit j'en souffre quand même moins. Règle numéro un quand on est riche et en déplacemment : ne jamais s'attacher. Règle qui m'a pris seize ans pour la comprendre et enfin la mettre en pratique, après avoir encaisser peine sur peine, rupture sur rupture, déception sur déception on se forge un caractère bien trempé ! Insociable, insolent, indifférent, sans sentiment un vrai coeur de pierre, une barrière infranchissable me protège. Alors voilà, nouvelle ville, nouvelle établissement, nouvelle vie avec duré indéterminer. New York, capitale de la nuit le siège des bureaux juridiques à ma mère sont ici et pourtant c'est la première fois que j'y viens habiter, enfin d'après mes souvenirs. Je vais frenquenté le lycée le plus calme, d'après le prospectuce, c'est ce que voulait mon père il en avait marre que je me batte tout le temps là au moins il est sûr que personne ne viendrait me chercher des noises. Tu parles...cet établissement ressemble à une fourmilière de cas sociaux, a-t-il oublié que le calme de New York n'est pas vraiment exact au calme qu'on emploie habituellement ? L'école me rappelle beaucoup celle de Tokyo, grand battisse à l'entrée avec une horloge tout en haut, je dirais environ quatre étage à cinq étages. Les autres bâtiements sont reliés comme des ailes et forme un enclos qui n'est autre que la court de récréation, magnifique au moins il y a une pause ! 
Finalement je me remet à marcher, la sonnerie a rententit et comme un automate je vais à la vie scolaire pour qu'un surveillant me montre ma nouvelle classe ça permet aussi de regarder autour de moi, les couloirs sentent la poussière je déteste cette odeur, les mur en beton d'une couleur orange peche sont affreux ! Quant au sol...mosaïque alternant marron et blanc. Comment peut on avoir autant mauvais goût ? Ils ont également des escalier en colimasson c'est déjà je trouve ça plutôt marrant. Je suis à le traîne derrière le surveillant et profite de détailler tout les recoins, je regarde par les grandes fenêtres on a une vue d'ensemble sur toute la cours orner d'abre par ci par là, des bancs et des petits carré de pelouse ; pelouse qui maintenant est couverte d'un voile blanc. 
- Tu m'écoutes ? Il m'interpèle alors que je regardais la vue
- Non, dis je naturellement en le regardant
Il soupir là et passe l'éponge.
- Je te fais entrer je dis vite à la classe que t'es nouveau et tu fous pas la merde ok ! 
Il n'attend pas ma réponse qu'il ouvre la porte avec un grand sourire sur les lèvres, je rentre après lui. Tout le monde à cesser de bosser à notre arriver la plus part me regardant d'un oeil intérogateur, curieux, parlent entre eux pour en savoir plus. Une classe en majorité masculine, comme toutes les classes que j'ai connus d'ailleurs je ne vois pas pourquoi je vous dis ça. Après les présentation le professeur me demande d'aller m'assoire tout au fond une petite table n'attendait que mon popotin geler pour enfin finir ma nuit. Je m'installe sans trop faire de bruit pourtant tout le monde me regarde comme une bête curieuse, un phénomène de foire en somme. Très vite je sens que ça m'enerve je jette un regard assasin à toute la classe et chacun son tour retournent à leurs activitées, satisfait je m'affale sur ma chaise en bois laisse mon sac sur la table et m 'endors la tête dans mes bras. Je sens quelques qui me chatouille le nez, quelque chose essaye de me réveiller j'espère qu'il a une bonne raison sinon je lui fait manger mon sac. J'ouvre les yeux et voit un des mecs de la classes rire avec son voisin, je me rends vite compte qu'en faite ce qui me chatouillait était mes cheveux châtain clair qui me tombait devant les yeux. Je me relève baille discrètement et secoue la tête pour enlever les cheveux qui me gênaient, n'ayant plus envie de dormir j'ai regardé les gens à l'opposé, du côté fenêtre. La neige qui tombait dans l'enclos de la récréation me faisait presque mal aux yeux, ils sont tellement clair que la moindre lumière trop forte ou les couleurs très vives et clair me fond mal. Un vert presque tranlucide, comme le couleur de l'eau turquoise des plages thaïlandaises, ma mère me disait souvent qu'elle y voyait beaucoup d'eau, elle disait que j'étais aussi fort que l'eau. Elle adore ce genre de conneries boudhiste.
Deux heures d'économies passées je suis le mouvement de groupe, des filles passent à côtés de moi en gloussant, l'une d'elle se retourne puis devient toute rouge, intérieurement je ris. Qu'elles sont pathétiques. Je sens un bras se poser lourdement sur mon épaule, étonné je regarde celui qui a osé. Une petit brun, enfin petit ce n'est pas très approprier c'est vrai disons que c'est moi qui suis grand. Je fais un mètre quatre vingt je suis dans la moyenne d'un homme normale non ? Le mètre qautre vingt c'est parfait ! Lui il ne doit pas être plus haut qu'un mètre soixante quinze, un grand sourire il me tend sa main.
- Je m'apelle Klay
- Vincent. Je sers sa main puis repousse son bras
- Alors parait que tu voyage souvent ? 
- Les rumeurs vont de bon train, dis je un petit sourire ironique
- Les surveillants sont souvent les plus grandes comères du lycée, il dit en riant
- Je vois.
- Allez viens avec moi je vais te présenter tes nouveaux potes ! 
Je le suis sans bronchés lorsqu'à mon plus grand étonnement une bonne vingtaine de gars et filles squattant un endroit à porter de tous les regards, je n'ai jamais vu un groupe d'amis aussi grand, dut moins pas dans un lycée. Klay me présente à tout le monde avec enthousiasme, ce mec respire la joie de vivre ! Moi qui suis un peu trop morose j'ai l'impression que je vais bien m'amuser durant ce séjour. 
- Putin le voilà..., murmure une fille le sourire aux lèvres 
Elle me parlait depuis tout à l'heure et à enfin changer de sujet, finalement c'est quelqu'un d'autre dans la cours qui l'intéresse, je suis son regard et tombe sur un mec d'une vingtaine d'année. 
- Qui sait ? Je demande innocement
- L'homme de ma vie, dit elle en riant, notre prof principale Mr. Culigan, prof de maths. 
- Maths ? Je regarde à nouveau le professeur
Il a une marche assurer et presser, sa veste longue noire ouverte virvolte sous le vent et laisse voir un pull bleu foncé avec un col roulé fin, un jean foncé et des chaussures noires également. De long cheveux noir coiffés en queue de cheval, il avance à travers la court faisant tourner tous les regards sur lui. Sa peau aussi blanche que la neige j'avais comme l'impression de voir un ange au milieu de toute cette pureté. Il nous lance un regard furtif dur et sans émotion et rentre dans un des bâtiment presque en courant. Ce mec avait reussit à rechauffer toute l'atmosphère je sentais comme un vent doux me carresser le visage, je le revoyais sans cesse avec sa marche élancé puis son regard transperçant qui avait suffit à me chambouler. 
- Vincent sa sonne tu viens ? S'exclame Klay en voyant que j'ai pas bougé
Je sors de mes rêveries, mon coeur s'est remis à battre et je suis me précipité vers mon collègue pour monter en cours. On est rentré dans le même bâtiment par la quelle le prof est passé serai ce possible qu'on aille cours ensemble ? A cette idée j'eu comme un sentiment de panique ! Je ne comprenais pas ce qui m'arrivais mais je ne voulais pas le revoir il m'avait complètement déconcerté, j'avais l'impression d'être perdu je ne comprenais plus rien ! 
- Entré, dit un professeur
Je suivais d'une oreille ce que me disait Klay en rentrant dans la salle j'étais trop occupé à essayer de comprendre mon comportement mais quoi que je fasse je revoyais cette démarche, ce regard, cette démarche, ce regard, cette...
- Monsieur Mayon
- Hein ? Pardon, dis je en levant les yeux 
Oh non...
- Peut être mon cours ne vous intéresse pas ? Peut être est-ce moi qui suis ennuyeux ? Peut être vous faut il une heure de colle pour faire ce qu'on vous demande en classe ? 
- N-non, béguyais je
Bordel de merde il a fallut que je tombe sur lui ! Il a des yeux marrons noisettes presque rouge ! Une étonnante couleur mais à l'heure qu'il est il me tuait du regard.
- Nouveau ou pas je m'en moque on se permet pas de ne pas écouter en cours c'est clair ? 
- Euh...oui, dis je en reprenant mes esprits
Il repart donc vers le tableau où il finissait son hypothèse sur je ne sais quel exercice ! Pour la deuxième fois en même pas une heure il me destabilise ! C'est incroyable. De plus il se permet de me parler de cette façon aucun professeur n'a encore osé me tenir tête. Finalement cette surprise et cette sensation d'étonnement se transforment petit à petit en colère, ma fierté en était blessée ! Jamais personne ne m'avait autant marqué et encore moins pris le dessus. 
- Calme toi Vince', me dit Klay à ma droite, il est comme ça avec tout le monde sous ses allures de brun tenêbreux c'est un vrai sadique
- Je sais pas si j'ai envie de l'étrangler ou de lui demander comment il fait pour attirer autant l'attention des gens, dis je à mon tour
- La première fois il fait un choc à tout le monde ! N'importe qui te dirai qu'il est canon même les mecs...
Je le regarde étonné, serait il homosexuel ? Je ne sais pas si il a compris le sens de mon étonnement mais il me fait un grand sourire et continu à prendre note. Encore une surprise il semblerai que le mec le plus populaire du lycée soit gay ! Je vais en avoir combien des comme ça ?  
   

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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