Texte Libre

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/!\ fautes d'orthographes classées dans le guiness des records /!\
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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
" C'était un jeudi ou un samedi je me souviens de son regard glaciale juste avant de
prendre ce train. Ce train qui l'emmenait loin de moi, ce train qui me laisse seul moi et mon désespoire jamais je ne le reverrai...pourquoi ? Est-ce si mal de s'aimer ? Est-ce si mal de vouloir
être heureux ? Pourquoi ?"
- C'est étonnant, dit l'un des homme
- C'est magistral ! Bravo ! Applaudit un autre
- Monsieur Anderson on peut dire que vous êtes l'homme de toute les situations ! Grâce à vous la société de Genèse.Corp reprend vie ! Lokart n'était pas un client facile portons un
toast ! S'écrie celui qui était en bout de table
- A la plus grande société de mis en enchère de tout le pays !
- Et à Monsieur Anderson, dit encore le vieille homme
- Merci, répondit le concerner en buvant son verre doucement
En plein centre de Londre siégeait l'une des grande sociétés de mise enchère, peut être la plus grande ! Diriger depuis des années par les hommes les plus influants artistiquement de ce pays. Le
petit Anderson était rentré dans la société depuis seulement quelques mois et voilà qu'il récupérait un grand milliardaire les accusants de s'être fait duper par sa dernière acquisition. Un
tableau du milieu dix septième représentait Vénus à peinture à huile faite en Italie. Anderson était quelqu'un de très convaincant, son caractère et ses propos pourraient venir à bout de
n'importe quel homme politique et séverement centré sur ses opinions : on disait que Samuel Anderson avait le don de la parole.
Cet homme de trente et un ans n'avait aucun autre but dans sa vie que son travail, refusant toute famille par peur de tout perdre du jour au lendemain. Un homme de conviction et valeur mais qui
ne vivait plus vraiment. Il avait été restaurateur dans un grand musé avant de passer directement chef d'une grande galerie d'art pour enfin arriver au sommet, les enchères. L'argent ne
l'intérèssait pas ! Mais il connaissait la langue des billets brillant dans les yeux de chaques hommes de pouvoir, une langue qui ne s'improvisait pas. Dans ce monde la
loi du plus fort est de vigueur et Sam était un véritable requin des affaires. Son travail était de convaincre le client, il participait aux enchères de temps à autres mais
rare tout de même. Il préférait recruter le nombre incroyable de client, voilà son vrai défis, toujours plus haut, être au sommet c'était sa véritable ambition.
- Je rentre monsieur Anderson, dit sa secrétaire
Il releva la tête de ses papiers et enleva ses lunettes rapidement pour adresser un sourire tendre à celle-ci. Elle fit un grand signe tenant son bas ventre, un petit bébé
l'attendait mais elle refusait de laisser cet homme travailler sans relâche seul, il avait tellement fait pour elle.
- Repose toi bien Camille, lança Samuel
- Essayez de faire de même, dit elle en fermant la porte
- Bonne nuit à vous.
Il répétait toujours la même phrase, elle répétait toujours la même chose depuis trois ans. Ils ne se quittaient pas ayant débutés ensemble il l'a toujours voulu à ses côtés. " Mon
petit rayon de soleil" il l'appelait et bon nombres de ses collègues croyaient qu'ils étaient ensemble au début, tellement proche l'un de l'autre Camille qualifirait cette relation de
fraternel plus qu'autre chose.
Un bourreau du boulot certes mais c'était un être très chaleureux et gentil. Il n'avait aucun ennemis jusqu'à présent pas même les concurrents qui au contraire faisait tout
pour l'avoir dans leurs rangs, croyez le ou non mais il fallait mieux être ami avec Samuel Anderson. Une règle d'or.
C'est seulement à vingt deux heures qu'il quitta son bureau, sa veste poser sur l'un des bras et l'attacher caisse dans l'autre. Le visage calme et serein il rentra chez lui
dans un calme plat, sa journée avait été brillée par se fabuleux poisson qu'il avait repêcher demain il passera à un riche entrepreneur qui hésitait à prendre une statue de la
renaissance ou un tableau de Van Gogh. Après un café vite ingurgité il se coucha toute suite ne voulant pas perdre ses huit heures de sommeil indispensable pour être au meilleur de sa
forme. Dans sa chambre au couleurs chaudes il s'endormis paisiblement repensant sans cesse à ce qu'il allait faire, ce qu'il devrait dire, ce qu'il devra recommencer.
- Bonne nuit. Se dit il à lui même
La lampe éteinte, les étoile allumées, plonger dans les ténêbre silencieux de la nuit il laissa aller sa tête sur son oreiller doux. Encore une larme juste une dernière.
Un matin ensolleillé pour un début d'automne, marchant dans la rue à grand pas il devra joindre le métro d'ici quelques minutes. Toujours une heure d'avance au boulot c'est mieux que deux minutes
de retard. Les londoniens n'étaient pas très matinaux, pas tellement de bousculade mais quelques uns peut être tout aussi préssés que lui se pressa d'entrer dans le train. Il s'assit
sur une chaise devant la porte attendant inlassablement que celui ci s'arrête à son arret habituel. Le grincement des railles le fit sortir de ses rêves, encore un peu endormis
mais très attentif il sortit avec quelques uns également. Un grand batîment luxueux lui ouvrait les bras il rentra à l'intérieur sans s'arrêté adressant un sourire rapide au
receptioniste puis dans l'ascenceur presque déjà plein. A nouveau il salua ses collègues de travail qui s'arrêtèrent à différents étages, il arriva au septième : le sien.
- Bonjours monsieur Anderson, dit Camille en essayant de se lever
- Reste assise Camille, dit il en se précipitant sur elle, ne te fatigue pas trop.
Il admirait ce petit bout de femme, à seulement vingt quatre ans enceinte de six mois, enceinte d'une infine partie du pouvoir de Dieu. Le pouvoir de crée. Il toucha doucement le ventre
déjà bien rond puis fit une bise énorme à la maman en prenant le dossier.
- Je t'ai déjà dit que tu pouvais prendre un congé, dit il inquiet
- Je serai toujours là pour vous aidez monsieur Anderson...je vous dois tellement, dit elle en baissant les yeux timidement
Attendrit par la douceur de cette futur maman il lui redressa le menton.
- Tu ne me dois rien c'est moi qui te dois tout, dit il sincèrement
- Allons ne dites pas n'importe quoi ! Monsieur Choukler vous attend dans votre bureau il est vraiment furieux !
- Pourquoi ça ?
- Vous n'êtes pas encore passer goûté la tarte de sa femme, dit elle amusé
Sam sourit à cette plaisanterie. Choukler était le patron d'une grande galerie d'art et un ami important de l'entreprise qui fournissait pas mal de ses oeuvres. Choukler était
également un grand fan du don de Sam, celui ci portant une admiration inégalé au prodige qu'avait recruter Genèse.Corp, un prodige qui mérite plus disait il sans cesse.
- Mon cher Samuel ! S'éxclame l'homme jeune sur son propre bureau
- Monsieur Choukler, dit il en fronçant les sourcils pour bien lui faire comprendre qu'il ne pouvait tout de même pas tout se permettre
- Pardon désolé je voulais savoir ce que ça faisait d'être sur le siège de l'homme le plus puissant du monde artistique.
- Aller vous assoir sur le siège de Spielberg alors, dit Sam en riant presque
Choukler se leva pour marcher un peu dans le bureau de celui ci.
- Ce n'est pas de l'art ! Le vrai art ne nait pas des mains aussi simple que celles de Spielberg...le cinéma ne devrait pas être un art !
- C'est pourtant le septième..., continua Sam
- Vous avez vraiment le mot à tout, sourit Choukler en regardant le prodige dans les yeux
- Je ne dis que la vérité, répondit Samuel en accentuant son regard
- Bien ! Je t'invite ce soir à une grande reception !
- Je n'ai pas le te...
- Viens, coupa soudainement Choukler
Samuel se tut un moment voulant comprendre ce revirement soudain presque agressif, y avait il quelque chose à cette soirée qu'il devait absolument voir, quelqu'un ? Quoi ? Intrigué il ne
pouvait pas refuser puis Choukler a toujours été d'une grande aide avec lui, il lui fait confiance malgré son tempérament parfoi lourd.
- Tu goûtera à la tarte de April ! Lança-t-il en fermant la porte derrière lui
Samuel sourit légèrement à sa plaisanterie et se remit au boulot immédiatement, il devait rencontrer encore un riche milliardaire il n'avait pas de temps à perdre.
- Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet, se dit il essayant de se rassuré
C'est presque comme un rituel, chaque fois qu'il devait convaincre un acheteur il répété cette phrase comme une formule magique pensant qu'elle lui portait vraiment bonheur. Cette
phrase n'était pourtant pas la sienne, cette phrase n'était pas de sa bouche, cette phrase était pour lui, cette phrase était un cadeau d'adieu qu'un fraguement de son coeur avait
laissé avant de s'en aller.
" Toujours plus haut, toujours plus loin : le sommet. Je t'aime Sam."