Texte Libre

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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
Je sors une cigarette de ma poche tout en continuant de marcher dans mes converses rouge sang, mon jean mal lavé et large traîne sous mes pieds, une fois ma cigarette finit je la jette et remonte la fermeture de ma veste jusqu'au coup rementant correctemet mon écharpe et rentrant mes mains dans mes poches. Une fois que j'ai pris la position d'une tortue en me recorquivant dans mon bout de laine, un tour d'horizon, je monte les yeux tout le long du bâtiment d'un air naturel. Je déteste déménager.
Mon père est un riche entrepreneur il est à la tête d'une grande société de contruction en bâtiment mais il se déplace souvent, ma mère elle est la digne
héritière du bureau des plus grand avocat de New-York mais contrairement à mon paternel elle a tout d'une mère parfaite. Elle est présente douce et belle, tandis que mon géniteur est froid,
distant et ne pense qu'au boulot je me demande si il se souvient qu'il à un fils qui va avoir dix huit dans dans deux semaines ? Faudrait déjà qu'il se souvient qu'il a un fils. Dut au
déplacement de mon père on déménage souvent, ma mère le suit partout elle l'aime comme au premier jour et bizarrement il n'y a qu'elle à qui il sourit malgré la distance qu'il prend avec sa
famille. Je n'ai jamais cesser de changer de ville, de pays, de continent ! A chaque fois il y a des nouveaux amis, des nouvelles rencontres mais qui ne durent jamais longtemps. Quand
j'étais plus jeune j'en ai beaucoup souffert, enfin quand j'étais plus jeune...il y a de ça deux ans quoi c'est pas non plus trop lointain cela dit j'en souffre quand même moins. Règle numéro un
quand on est riche et en déplacemment : ne jamais s'attacher. Règle qui m'a pris seize ans pour la comprendre et enfin la mettre en pratique, après avoir encaisser peine sur peine, rupture sur
rupture, déception sur déception on se forge un caractère bien trempé ! Insociable, insolent, indifférent, sans sentiment un vrai coeur de pierre, une barrière infranchissable me protège. Alors
voilà, nouvelle ville, nouvelle établissement, nouvelle vie avec duré indéterminer. New York, capitale de la nuit le siège des bureaux juridiques à ma mère sont ici et pourtant c'est la première
fois que j'y viens habiter, enfin d'après mes souvenirs. Je vais frenquenté le lycée le plus calme, d'après le prospectuce, c'est ce que voulait mon père il en avait marre que je me batte tout le
temps là au moins il est sûr que personne ne viendrait me chercher des noises. Tu parles...cet établissement ressemble à une fourmilière de cas sociaux, a-t-il oublié que le calme de New York
n'est pas vraiment exact au calme qu'on emploie habituellement ? L'école me rappelle beaucoup celle de Tokyo, grand battisse à l'entrée avec une horloge tout en haut, je dirais environ quatre
étage à cinq étages. Les autres bâtiements sont reliés comme des ailes et forme un enclos qui n'est autre que la court de récréation, magnifique au moins il y a une pause !
Finalement je me remet à marcher, la sonnerie a rententit et comme un automate je vais à la vie scolaire pour qu'un surveillant me montre ma nouvelle classe ça permet aussi de regarder
autour de moi, les couloirs sentent la poussière je déteste cette odeur, les mur en beton d'une couleur orange peche sont affreux ! Quant au sol...mosaïque alternant marron et blanc. Comment peut
on avoir autant mauvais goût ? Ils ont également des escalier en colimasson c'est déjà je trouve ça plutôt marrant. Je suis à le traîne derrière le surveillant et profite de détailler tout
les recoins, je regarde par les grandes fenêtres on a une vue d'ensemble sur toute la cours orner d'abre par ci par là, des bancs et des petits carré de pelouse ; pelouse qui maintenant est
couverte d'un voile blanc.
- Tu m'écoutes ? Il m'interpèle alors que je regardais la vue
- Non, dis je naturellement en le regardant
Il soupir là et passe l'éponge.
- Je te fais entrer je dis vite à la classe que t'es nouveau et tu fous pas la merde ok !
Il n'attend pas ma réponse qu'il ouvre la porte avec un grand sourire sur les lèvres, je rentre après lui. Tout le monde à cesser de bosser à notre arriver la plus part me regardant d'un oeil
intérogateur, curieux, parlent entre eux pour en savoir plus. Une classe en majorité masculine, comme toutes les classes que j'ai connus d'ailleurs je ne vois pas pourquoi je vous dis ça. Après
les présentation le professeur me demande d'aller m'assoire tout au fond une petite table n'attendait que mon popotin geler pour enfin finir ma nuit. Je m'installe sans trop faire de bruit
pourtant tout le monde me regarde comme une bête curieuse, un phénomène de foire en somme. Très vite je sens que ça m'enerve je jette un regard assasin à toute la classe et chacun son tour
retournent à leurs activitées, satisfait je m'affale sur ma chaise en bois laisse mon sac sur la table et m 'endors la tête dans mes bras. Je sens quelques qui me chatouille le nez, quelque chose
essaye de me réveiller j'espère qu'il a une bonne raison sinon je lui fait manger mon sac. J'ouvre les yeux et voit un des mecs de la classes rire avec son voisin, je me rends vite compte qu'en
faite ce qui me chatouillait était mes cheveux châtain clair qui me tombait devant les yeux. Je me relève baille discrètement et secoue la tête pour enlever les cheveux qui me
gênaient, n'ayant plus envie de dormir j'ai regardé les gens à l'opposé, du côté fenêtre. La neige qui tombait dans l'enclos de la récréation me faisait presque mal aux yeux, ils
sont tellement clair que la moindre lumière trop forte ou les couleurs très vives et clair me fond mal. Un vert presque tranlucide, comme le couleur de l'eau turquoise des
plages thaïlandaises, ma mère me disait souvent qu'elle y voyait beaucoup d'eau, elle disait que j'étais aussi fort que l'eau. Elle adore ce genre de conneries
boudhiste.
Deux heures d'économies passées je suis le mouvement de groupe, des filles passent à côtés de moi en gloussant, l'une d'elle se retourne puis devient toute rouge, intérieurement je ris.
Qu'elles sont pathétiques. Je sens un bras se poser lourdement sur mon épaule, étonné je regarde celui qui a osé. Une petit brun, enfin petit ce n'est pas très approprier c'est vrai disons
que c'est moi qui suis grand. Je fais un mètre quatre vingt je suis dans la moyenne d'un homme normale non ? Le mètre qautre vingt c'est parfait ! Lui il ne doit pas être plus haut
qu'un mètre soixante quinze, un grand sourire il me tend sa main.
- Je m'apelle Klay
- Vincent. Je sers sa main puis repousse son bras
- Alors parait que tu voyage souvent ?
- Les rumeurs vont de bon train, dis je un petit sourire ironique
- Les surveillants sont souvent les plus grandes comères du lycée, il dit en riant
- Je vois.
- Allez viens avec moi je vais te présenter tes nouveaux potes !
Je le suis sans bronchés lorsqu'à mon plus grand étonnement une bonne vingtaine de gars et filles squattant un endroit à porter de tous les regards, je n'ai jamais vu un groupe
d'amis aussi grand, dut moins pas dans un lycée. Klay me présente à tout le monde avec enthousiasme, ce mec respire la joie de vivre ! Moi qui suis un peu trop morose j'ai
l'impression que je vais bien m'amuser durant ce séjour.
- Putin le voilà..., murmure une fille le sourire aux lèvres
Elle me parlait depuis tout à l'heure et à enfin changer de sujet, finalement c'est quelqu'un d'autre dans la cours qui l'intéresse, je suis son regard et tombe sur un mec d'une
vingtaine d'année.
- Qui sait ? Je demande innocement
- L'homme de ma vie, dit elle en riant, notre prof principale Mr. Culigan, prof de maths.
- Maths ? Je regarde à nouveau le professeur
Il a une marche assurer et presser, sa veste longue noire ouverte virvolte sous le vent et laisse voir un pull bleu foncé avec un col roulé fin, un jean foncé et des chaussures
noires également. De long cheveux noir coiffés en queue de cheval, il avance à travers la court faisant tourner tous les regards sur lui. Sa peau aussi blanche que la neige
j'avais comme l'impression de voir un ange au milieu de toute cette pureté. Il nous lance un regard furtif dur et sans émotion et rentre dans un des bâtiment presque en courant. Ce mec avait
reussit à rechauffer toute l'atmosphère je sentais comme un vent doux me carresser le visage, je le revoyais sans cesse avec sa marche élancé puis son regard transperçant qui avait
suffit à me chambouler.
- Vincent sa sonne tu viens ? S'exclame Klay en voyant que j'ai pas bougé
Je sors de mes rêveries, mon coeur s'est remis à battre et je suis me précipité vers mon collègue pour monter en cours. On est rentré dans le même bâtiment par la quelle le prof est passé
serai ce possible qu'on aille cours ensemble ? A cette idée j'eu comme un sentiment de panique ! Je ne comprenais pas ce qui m'arrivais mais je ne voulais pas le revoir il m'avait
complètement déconcerté, j'avais l'impression d'être perdu je ne comprenais plus rien !
- Entré, dit un professeur
Je suivais d'une oreille ce que me disait Klay en rentrant dans la salle j'étais trop occupé à essayer de comprendre mon comportement mais quoi que je fasse je revoyais cette démarche, ce
regard, cette démarche, ce regard, cette...
- Monsieur Mayon
- Hein ? Pardon, dis je en levant les yeux
Oh non...
- Peut être mon cours ne vous intéresse pas ? Peut être est-ce moi qui suis ennuyeux ? Peut être vous faut il une heure de colle pour faire ce qu'on vous demande en classe ?
- N-non, béguyais je
Bordel de merde il a fallut que je tombe sur lui ! Il a des yeux marrons noisettes presque rouge ! Une étonnante couleur mais à l'heure qu'il est il me tuait du
regard.
- Nouveau ou pas je m'en moque on se permet pas de ne pas écouter en cours c'est clair ?
- Euh...oui, dis je en reprenant mes esprits
Il repart donc vers le tableau où il finissait son hypothèse sur je ne sais quel exercice ! Pour la deuxième fois en même pas une heure il me destabilise ! C'est incroyable. De plus il se
permet de me parler de cette façon aucun professeur n'a encore osé me tenir tête. Finalement cette surprise et cette sensation d'étonnement se transforment petit à petit en
colère, ma fierté en était blessée ! Jamais personne ne m'avait autant marqué et encore moins pris le dessus.
- Calme toi Vince', me dit Klay à ma droite, il est comme ça avec tout le monde sous ses allures de brun tenêbreux c'est un vrai sadique
- Je sais pas si j'ai envie de l'étrangler ou de lui demander comment il fait pour attirer autant l'attention des gens, dis je à mon tour
- La première fois il fait un choc à tout le monde ! N'importe qui te dirai qu'il est canon même les mecs...
Je le regarde étonné, serait il homosexuel ? Je ne sais pas si il a compris le sens de mon étonnement mais il me fait un grand sourire et continu à prendre note. Encore une
surprise il semblerai que le mec le plus populaire du lycée soit gay ! Je vais en avoir combien des comme ça ?
Merci pour vos commentaire :pp Je vous adore ^^
Il neige dehors, superbe j'ai gagné le droit de marcher à
pied parce que cette merde téléphone n'a plus de batterie !! C'est quoi cette soirée de merde ?! Ils ont décidés de s'acharner sur moi ou quoi ? Bon allée on reste zen et on marche dans le calme
laisse popole redescendre petit à petit, si tu ne penses pas à lui il va rejoindre très vite sa position initiale...MAIS JE PENSE A LUI ! Je me met à courir je ne sais pas pourquoi mais j'adore
courir, je cours pour m'éloigner le plus possible de cet homme il m'a changé et je refuse de changé ! Je continu de courir sans m'arrêter j'ai pas le droit de m'arrêter ! Plus vite ! Toujours
plus vite !
- Je te rammène ?
Une voiture s'arrête à côté de moi, un homme ouvre la fenêtre du passager, il n'est surement pas bourré mais il ne m'inspire pas confiance du tout il a un regard qui me glace le sang, surtout que
son regard s'attarde sur la bosse qui s'est formé sur mon jean (qu'on voit à peine). Mon coeur s'emballe c'est bien la première fois que j'ai peur de quelqu'un mais là je me sens vraiment en
danger : il a la carrure d'un rugbyman ! Puis je connais pas les américaine le seul homme américain que je connaisse est responsable de cette bosse.
- Je peux m'occuper de ça aussi si tu veux..., dit il en passant sa langue sur sa bouche
Je me remet à courir à vive allure je dois essayer de le semer il me fout les chocottes ce gars ! J'entends la voiture qui redémarre rapidement mais qu'est-ce qu'il me veut bordel ? Tout le monde
à décidé d'être gay ou quoi ?! Je continue de courir et reconnais un arrete de bus je regrde derrière moi et ne voit plus de voiture (AMEN) je marche en reprennant mon souffle. C'est une ville de
dingue arriver chez moi je vais demander à mon père le déménagement immédiat de son fils chéri ! ...rectification je vais demander à maman. Je vis seul, mon père ayant juger que j'étais
assez grand pour avoir mon petit studio n'a pas été contre quand je lui ai demandé. Je me souviens que ma mère avait pleurer mais je ne pouvais pas continuer à vivre avec eux avec
l'indifférence de mon père, c'est le pire des cas je préférais encore qu'il hurle sur moi qu'il me frappe plutôt qu'il ne sache même pas que j'existe. Et voilà je me remet à penser à ça...je
revois ma mère sourire quand elle apportait mon petit déjeuner je la revois heureuse avec un fils et un mari mais pas un père, non il ne méritait pas d'être père ! Il ne la mérite pas non plus !
Mais ils s'aiment et ils sont bien sans moi...j'ai pas besoin d'exister ils étaient bien sans moi...sans moi...
- T'as voulus me semer !
Merde la voiture noire de tout à l'heure ! Je commence à paniquer j'ai pas le temps de courir que le gars sort déjà de sa voiture, je dois faire quoi je commence à paniquer comme une fiote ! J'ai
tous les symptôme de l'homosexuel type ça craint...
- Je ne te veux que du bien pourquoi t'as peur ? Il me demande un grand sourire pervers sur les lèvres
J'allais dire quelque chose quand je sens quelqu'un me sauter sur le dos je failli basculer en arrière étonné je me retourne et tombe nez à nez avec le sourire tendre de Mr.Culigan suivit d'un
petit clin d'oeil.
- Je t'ai fais attendre chéri je suis désolé, il dit d'un ton enjoué
Le gars de la voiture noire soupire et part dans sa voiture en trombe comme si ne rien était. Moi je reste bloqué j'aimerai remercier Mr.Culigan il vient de me sauver les miches et c'est pas une
façon de parler. Attention : petit cerveau vient de faire une découverte !
* Quelqu'un est contre moi
* Me prend dans ses bras
* M'a appelé Chéri
* Mr Culigan
Il en faut pas plus pour que le caporale se mette en route à nouveau, bravo bravo monsieur...je n'ose même pas faire un mouvement pour me défaire de son étreinte tout simplement parce que j'en ai
pas envie, j'ai l'impression qu'il attend qu'on ne voit plus la voiture pour me lâcher. La voiture avance toujours et tourne à la prochaine ruelle ça y est on la voit plus mon rêve va se terminer
ici...ici...ICI ! Il me lâche pas ! La bosse commence vraiment à me faire mal j'ai interet de m'écarter de lui sinon je vais faire une émoragie. Je me sens au chaud dans ses bras pourquoi j'aurai
envie de m'écarter ? Parce que tu vas faire une crise cardiaque !
- Monsieur..., mon cerveau à eut raison de moi je le rappelle à l'ordre
Il ne dit rien et ne me jette pas c'est surtout ça qui me perturbe, ses mains qui étaient sur mes épaules s'écartent pour rentrer dans ma veste et toucher mon torse par dessus le
tissu.
- Monsieur..., dis je d'une voix semblant s'échapper du plus profond de ma poitrine
Il s'écarte doucement de moi, j'ose même pas me retourner pour le regarder j'ai peur qu'il remarque mon chamboulement mais j'ai surtout peur qu'il remarque mon troisième bras en détresse. Je
m'assois lourdement sur un des banc de l'arrêt de bus et attend le prochaine qui ne devrait plus tarder, timidement je tourne mes yeux vers mon professeur il est debout les mains dans ses poches
et me fixe sans émotions. Je baisse les yeux de nouveau je sais que mes joues sont en feu tout en moi et en feu quand je le vois lui ! Maintenant c'est sûr je peux pas le nier je suis à fond dans
ce type...je suis devenu bi c'est une certitude mais de là à dire gay je ne pense pas...
- Si tu veux je peux te rammener chez toi tu vas avoir froid le bus n'arrive pas avant minuit, dit il en sortant une cigarette
Je vois la fumer s'échapper de sa bouche sensuellement, je me lève et prend la cigarette sous son air étonné je tire une longue taff et recrache comme je venait d'aspirer la plus grand bouffer
d'oxygène jamais prise. Je remet sa cigarette entre ses lèvres perplexe restées entre ouverte, je fais bien expret de les effleurer à peine et affiche un sourire de soulagement. Oui une bouffé de
nocotine ne m'a jamais rien fait de mal j'en suis heureux ! Je reste face à lui les mains dans les poches attendant qu'il se décide pour bouger, une mintute passé comme ça sans bouger c'est long
mais il se décide finalement de me conduire chez moi. On rejoint sa voiture garer pas très loin, une grosse Benz grise métalliser, quel bijoux ! J'adore les voitures ! Celle ci n'est pas loin des
trois cent chevaux, vous vous en fichez ? Ok je ferme ma gueule. Je pose donc mon cul sur ses sièges en cuir noire, il a encore la cigarette dans la bouche et démarre doucement.
- Tu ferai bien de m'indiquer où tu habite, dit il d'un ton ironique
Je lui fait des signe pour tourner dans les route à suivre, enfin j'ai finit il a trouver l'immeuble dans la quelle je logeais. Je souris lui demande une cigarette mais il ne semble pas vouloir
me donner un petit remontant, il ne me rend pas la tâche facile. Je soupir et approche ma main de son pantalon pour tater voir si le paquet était là, content de voir que je le destabilisais je ne
me suis pas gêner pour être plus long. Je remonte les mains dans son veston je trouve enfin une poche avec l'objet désirer je sors une cigarette et la met dans ma bouche je sors de la voiture
sans un "au revoir" ni un "merci". Je l'allume à quelque pas des marche qui montent dans mon immeuble, chaque nouvelle bouffé est un peu de stresse évacué. J'entends une portière claquer,
Mr.Culigan arrive derrière moi avec sa cigarette dans la bouche, un air froid mais très calme ! J'admire son calme. Moi j'ai un sourire sournois sur les lèvres j'adore le provoquer, c'est à mon
tour de le destabiliser il s'est assez joué de moi. J'ai remarqué tout à l'heure qu'il avait été beaucoup trop proche quand il me prennait dans ses bras se pourrait il que lui aussi soit attirer
par mon corps trop frèle ?
- Il me semble ne pas avoir entendu un merci venant de ta bouche, dit il toujours aussi froid
- Vous êtes sourd monsieur alors, me moquais je
Un courant d'air fit virvolté ses cheveux long j'en était éblouis par sa beauté incomparable, il regardait à sa droite jeta sa cigarette rapidemment il franchi les quelques mètres qui nous
séparait pour être en face de moi, beaucoup trop pret à mon gout, son corps collait littéralement le mien. D'une voix sensuelle il s'approcha encore de ma bouche qui frémissait à l'idée que la
sienne ne soit qu'à quelques centimètres.
- Je veux l'entendre encore une fois...
Sans que je puisse dire quoi que ce soit il s'empara de mes lèvres tremblantes pour m'embrasser tendrement. Je n'ai jamais ressenti autant de magie dans un baiser, sa main droite était sur mon
visage touchant mes cheveux châtain qui volaient également sous le vent.
"BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPPPPPPPP" " BOUMMM"
Le premier bruit c'était mon réveil, le deuxième c'est que je dois en acheter un nouveau. Je me lève lourdement, j'ai l'impression de ne pas savoir où je suis mais je sais en tout cas c'est que
je dois aller en cours. Doucement mais surement j'atteint ma douche et allume le jet pendant que je me déshabille, l'eau coulant sur mon corps frèle, une peau laiteuse, pas assez musclé ni trop
maigre. On me disait souvent que j'avais un corps de fille, ma corbure de rein en faisait baver plus d'un aussi hétero soit il, je ne ressemblais pas non plus à la plus cliché des femme ! Mais
j'avais comme ils disaient "un petit cul rebondit". Un frissons me parcourut bursquemment me rappelez de certains événements ne seraient pas une bonne idée, je coupe le jet et sors avec ma
serviette autour de la taille. J'attaque mes habits, fait mon sac, retourne dans la salle de bain et avec la main j'enlève la buée de mon miroir. Mon visage aux traits fin, mes
lèvres fines et légèrement rosés, mes yeux vert en forme d'amande ; vraiment je ne voyais rien de bien chez moi. Comment ce professeur à put m'embrasser ?
Ma montre sonne ça sinifie que si je ne pars pas maintenant je vais être en retard pour mon cours de Géo ! Je sors à toute vitesse et prenant bien la peine de fermer à clés et courant presque pour attraper mon bus, c'est ce que j'appelle mon sprint du matin.
Une fois arrivé devant le lycée si bien ronommé, j'ai senti quelqu'un me sauter sur le dos, me rappellant de la vieille je me retourne un grand sourire au lèvres mais qui s'éteint automatiquement.
- C'est toi Klay...
- Bah qui voulais tu que ça soit ? Rigole-t-il
Si tu savais Klay...si tu savais, ce conard de Culigan c'est barrer toute suite après avoir déposer le plus beau des baisers, il s'est barrer me laissant pétrifier sur place sans un mot.
- Vincent il faut que je te présente une fille !
Klay me tire par la bras soudainement comme pour me sortir de ma rêverie, je devais avoir un visage assez mélancolique pour être aussi presser, cela dit ça ne
m'étonne pas...je regrette vraiment ce qui c'est passer la vieille car j'en suis plus malheureux qu'heureux.
- Je te présente Jena
- Salut, me dit la fameuse Jena
- 'lut, je dis à mon tour
Elle avait vraiment tout de la super belle fille, de long cheveux chatain bouclé, un sourire à faire chaviré la plus grosse des brutes, des yeux noisette absolument craquant. Puis un
corps de rêve ! Les formes où il faut le style vestimentaire simple mais qui lui allait tellement bien. Seulement voilà...moi je restais de glace cette fille ne me faisait pas le
moindre effet.
- Je suis contente de te rencontrer Vincent, dit elle en rougissant un peu, depuis peu je te voyais traîner avec les autres mais j'avais un peu peur de t'approcher je suis assez timide
! Rit elle de nervosité
- Hum.
Elle devra se contenter des petit bruit signifiant " Ah bon ?" ou encore " Oui", "Non" pour réponse, j'avais vraiment pas envie de lui parler. La sonnerie mis enfin fin à mon calvaire,
j'ai put aller en cours tranquillement. C'est définitif je suis bien homosexuel rester de marbre face à un canon pareil n'est pas normal, je me dégoute presque.
- Eh psst !
Je me retourne sur ma gauche, je voit Klay à quelques mètre de moi me faire des signes pour que je le remarque, je le regarde les sourcils levés l'air décomposé, je ne sais
pas trop si j'ai encore envie de venir en cours (j'en ai jamais eut envie.). Il essaye de me mimer quelques chose et ce que je comprends c'est "Toi...soirée...ce soir". Il veut que
je vienne à une soirée ? Mauvais plan j'aime pas les grosse fête où tout le monde ne me connait pas, parce que je sais que je vais me faire draguer par n'importe quoi y compris les
mecs. "C'est HORS de question" je lui ai mimer à mon tour, il fait une mine boudeuse et me sourit pour rattaquer les cours passionnant du prof gras et laid. Aujourd'hui je n'ai pas
maths et c'est presque une bénédiction de ne pas le voir, je suis trop déprimé pour lui faire face j'ai pas envie qu'il me pose des questions ou pire ! Qu'il m'ignore. C'est donc
dans la même morosité que je fini mes cours de la journée arrivant maintenant bientôt à la fin, je suis pressé de rentrer chez moi et de m'affaler devant ma télé pour
m'endormir devant et me reveillé avec un mal affreux à la nuque parce que j'aurait dormi la tête sur le accoudoire. Comme d'habitude je suis le premier à sortir de classe, le professeur ne
dit rien lui, aucun ne se préoccuper de moi si je prends mes cours t'en mieux sinon t'en pis. Je cours dans les couloirs (je passe ma vie à courir) espérant dans mon fort
intérieur de cogner mon beau professeur, mais rien y fait je suis arrivé devant mon arrêt de car à temps et en plus je n'ai bousculé personne j'ai juste entendu le cri
lointain de Klay qui me souhaitait une bonne soirée. Bonne soirée mon cul ! Hop mon plateau télé, mon canapé design que ma mère à choisit, ma écran geant sur N.C.I.S. et voilà que
je ressemble à une fille qui vient de se faire plaquer...c'est pathétique.
Tiens je vibre ? J'ai un message pour ceux qui connaisse pas cette expression. Je regarde avec attention c'est Klay "J'arrive". Mais quel abruti ! Je lui ai dit que je venais pas bordel de
merde !! Je lui renvois un message pour le prévenir à nouveau et voilà maintenant je suis en rogne parce que j'ai encore espérer que ça soit ce connard de prof mais au fond je sais
qu'il a même pas mon numéro !
Toc toc
- Bordel Klay je t'ai dis que je venais pas tu te fou de...
- Bonjour Vincent.
Oh...mon dieu...il est là...il est bien là ! IL EST LA !! J'ai envie de lui sauter au coup mais ça serai suspect et puis il ne m'a embrassé qu'une fois et puis rien est officiel puis
qu'est-ce qui me prend je sors pas avec des mec ! Oui mais lui c'est pas n'importe quel mec...enfin merde je suis perdu ! Je reste bouche baie devant l'encadrement de la porte et le
laisse entrer tranquillement. Ses yeux font un tour d'horizon, ses yeux perçant parcour mon chez moi doucement avec un léger sourire. Je finis par fermer la porte et m'avancer doucement
vers mon canapé, il regarde en ma direction en suivant mon trajet.
- Vous voulez quelque chose à boire ? Je demande innocement en prenant mon plateau
Il ne me répond pas je pose mon plateau sur le comptoire de la cuisine et revient comme si j'attendais une réponse mais tout ce qu'il affiche c'est un petit sourire sur le coin des lèvres.
- Vous voulez autre chose ? Je demande moins innocemment
- Tu me provoque Vincent ? Dit il en avançant vers moi
De reflexe j'ai recule brusquement pour m'écraser assis sur mon canapé regardant mon professeur. Il se place entre mes jambes sans me quitté des yeux
toujours avec son sourire, il enlève sa veste noire longue pour la pose à côté et dévoile une chemise blanche sortant du pantalon, le noeux de cravate complètement défait, il
ressemblait à un acharner du travail qui venait de finir un boulot épuisant. Je déglutis difficilement face à ce bel homme, ces long cheveux noire tombaient sur ses épaules comme une
cascade, ses yeux marron/rouge me fascinaient, ses lèvres fines et humides m'attiraient de plus en plus. Et voilà il n'en fallut pas plus pour que je bande...mais je n'osais rien faire
j'étais omnibuller par lui. Je remarqua qu'il eut comme un sourire satisfait et doucement il se posa sur moi en califourchon, encore une fois je ne bougeais pas je le laissais faire. Il
était bien plus carré que moi, sans non plus trop l'être il avait la physionomie d'un homme moyen mais je ressemble quand même à un cur-dent. Avec une douceur incomparable il posa sa main sur ma
joue remontant dans mes cheveux, il dessinait les formes de mon visage avec ses yeux et son sourire avait disparut laissant place à une simple analyse des courbes de ma figure. Il avait un
regard doux et protecteur, quelque chose que je n'avais jamais connus, mon coeur battait la chamade chaque mouvement de sa main sur mon visage, j'ai fermé les yeux de bien être. Jamais je ne
m'étais senti aussi bien, jamais je ne me suis senti aussi...aimer ? Quelque chose de chaud et humide s'est posé sur mes lèvres, je reconnus toute suite les siennes pour les
avoir gouter la vieille, je reconnus toute suite la tendresse dont il faisait preuve...quelle béattitude. Comment pouvait il me rendre aussi heureux ? Je planais presque. Il
s'est rettiré de notre baiser devenu trop fougueux mais sans me lacher des yeux il a retrouvé un sourire tendre pour enfin se retiré de sa position et se remettre debout.
- Monsieur Culigan je suis un peu perdu..., dis je en reprenant mes esprits
- Comment ça ?
- Mais voyons vous êtes professeur !
- Bonne déduction mais encore ?
- Je suis votre élève et je suis mineur vous n'avez pas peur d'avoir des problèmes ?
- Tu as peur toi ? Il me demande avec un sourire réconfortant
- Oui, dis je tout doucement en baissant la tête
J'ai peur monsieur mais ce n'est pas des autres, c'est de vous ! Si jamais vous ne voulez plus jamais me voir j'ai peur de ne pas m'en remettre.
- Peur de quoi Vincent ? Dit il en s'accroupissant devant moi
- Je...je sais pas...
- C'est vrai que je suis professeur et toi mon élève mais peu m'importe on fait rien de mal je t'ai juste embrassé je vois pas le problème.
Juste embrassé...
- Oui mais monsieur Culigan
Il se penche vers moi sans sourire mais en gardant un regard doux.
- Appelle moi Raphaël quand nous sommes seul ça serai mieux non ? J'ai l'impression d'être vieux quand tu me parles comme ça après tout je n'ai que vingt sept ans.
- Raphaël ?
- Oui il y a un problème ?
Raphaël...ce prenom ne m'avait jamais sembler aussi beau que maintenant.
Une suite que pas mal attendent ! HIHI la première fois que je fais un lemon soyez indulgent ^^"
je vous remercie pour tout vos commentaire ! ^^ merci énormément !!
JE VOUS ADORE
- Ooh Raphaël !! Je gémis plus fort
Sa félation est parfaite, je sens sa langue divagué sur mon penis durci par le plaisir, son regard désireux sur moi de temps à autres. Sa main vient me carresser la peau doucement jusqu'à mes
mamelons rouges de plaisir, mes joues en feu je n'arrive pas à m'empêcher de hurler mon plaisir. Alors que je sentais que j'allais éjaculer il se retira à temps, voulant surment me faire attendre
ou me frustrer un max pour que je sois encore plus entreprenant. Je me lève brusquement de mes draps blanc pour attiré son visage vers le mien et prendre sa bouche avec voracité ! Mes ardeurs ne
font qu'augmenter et ses mains sur ma nuque approfondissent notre baiser digne des plus grands. Je défait sa ceinture doucement tout en ne le lachant pas des lèvres, ses mains glissent dans mes
cheveux châtain qui s'écrasent devant mes yeux.
- Tu me rend dingue..., je soupir
Il sourit et m'embrasse par la suite dans le coup pendant que je descend son patalon noire, fin, j'en profite pour m'attarder sur ses fesses bien rebondit, rondes : parfaites ! Tout est
parfait chez lui ! Par dessus le tissu je frotte la rai je sens une réaction direct qui m'excite encore plus. Il me mord la peau légèrement de mon coup en gémissant doucement. Ses mains sur mon
torses qu'il continue de carresser avec tendresse et volupté. J'introduis une main dans son boxer délicatement faisant bien expret de le faire gémir, fier de moi je continu. L'entendre
murmurer mon prénom me donne des frissons jamais je n'ai connu une telle euphorie et béattitude ! C'est l'extase ! Je me sens pousser des ailes. J'aimerai le prendre immédiatement, ses
petites fesses me font rêver j'aimerai qu'il hurle mon nom pendant que nos deux corps se frottent à en devenir rouge.
Je renverse la vapeur et me retrouve au dessus de lui, je plaque ses mains au dessus de sa tête et l'embrasse tendrement cette fois, jouant au chat et à la souris avec sa langue humide et
chaude. Une langue experte et délicieuse.
Nos deux sexes collés l'un contre l'autre ne fait qu'accentuer l'intensité de la chaleur dans cette pièce c'est devenu un véritable magma qui émerge de nos corps, un volcan pret à
cracher flammes. Je carresse du bout des doigts sa clavicule pour descendre avec l'indexe traçant une ligne invisible qui délémiterai son corps musclé en deux.
- Vas y Vincent n'est pas peur..., dit il en gémissant
Ma main maintenant arrivées à son nombrile ralentissent pour faire durer le désir et la frustration, j'avance doucement mais surement, je carresse d'abord les contour pressant bien vers
l'intérieur. Il pousse une grimace de plaisir et se courbe rapprochant son sexe durci contre le mien qui allait exploser ! Ma respiration régulière était bruyante et érotique,
j'aurai jurer voir de la buer dans la pièce.
Je décolle ma langue de sa bouche et descend dans son lobe que je mordille avec délice, descends dans son coup, l'entré de son torse.
C'est comme découvrir un nouveau pays, on en apprecit les joies du paysage, on apprend à connaître. Raphaël m'aurait demandé la Lune que je serai allé la chercher même à pied si il le
fallait, je suis fou amoureux de lui ! Je ne sais pas ce qu'il arrivera si jamais il partait ! Je pourrai pas le supporter. Il est une partie conséquente de moi et je ne sais pas comment
l'expliquer. Il ne m'a rien apporté de particulier, il n'a pas vraiment fait quelque chose de miraculeux pour moi mais je l'aime c'est tout. Nous n'avons pas une histoire qui
s'inscrirait dans les tragédies de Racine ni dans les romans romantiques où le couple à des problèmes énormissime ! Je l'aime c'est tout, l'amour ne s'explique pas. Il se montre.
Je continu ma traversé sur sa peau chaude et douce, je bisouille l'entré de son boxer et attrape le tissu avec les dents que j'enlève doucement, suivit à la trace par mes
mains.
- Vincent...humm...ne fais pas croire que tu n'as jamais rien fait avec un homme ! Dit il étonné tout en sueur
- Je t'assure que c'est vrai...ça ne te vas pas ?
- Oh si c'est parfait ! Il attrape mon bras pour me rammener à lui et m'embrasse passant sa main dans la corbure de mon dos.
Une corbure bien trop imposante à mon gout. Mais mon petit cul à l'air de lui faire de l'effet en tout cas. Je souris et attrape sa langue avec mes dents de malice, pendant quelques secondes il
semble amusé également, je reprend possession de celle ci. C'était peut être ma façon à moi de dire qu'elle m'appartien, à moi et à moi seul.
Mes mains descendent vers son sexe, je passe dessus comme un coup de vent frôlant à peine la verge, refait le trajet dans l'autre sens en s'approchant un peu plus jusqu'à ce que ma
main carresse celui ci de son long,lentement, sadiquement je jouis intérieurement de voir qu'il n'en peut déjà plus, lui qui a beaucoup plus d'expérience que moi ! Ce n'est pas lui
qui ne tient pas longtemps, c'est moi qui m'y prend mieux que ce que je ne le pensais.
- Je t'en supplie je....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que j'engouffre l'engin dans ma bouche, un oquet de surprise l'empêche de parler et laisse place à des respirations saccadé, plus mes
vas et viens vont vite, plus il se arque. Sentir la verge d'un homme dans sa bouche est assez bizarre sur le coup, mais on y prend vite gout ! Rien que de l'entendre jouir me donne
de l'appetit, l'appetit de l'entendre crier encore plus fort. Comme jamais.
- VINCENT ARRETES...JE AAH ! Dit il dans un cri de jouissance
J'arrête ma félation n'étant pas pret à gouter à sa semence pour le moment je remonte dans la façon la plus sensuelle laissant ma languer vaqué à son gout. Raphaël ne semble pas aussi
patient, il me remonte brusquement et m'embrasse engouffrant sa langue au plus profond de ma bouche, me serrant contre lui, titillant mes mamelons. Je crois que je l'ai chauffé à mort ! Il
est si torride que mon érection commence à me faire mal ! J'aurai presque trop chaud, je sens mon coeur exploser dans ma poitrine, je n'arrive même plus à souffler.
Je retire ma bouche de la sienne restant à quelques centimètres quand même, retrouvant de l'oxygène, sa bouche humide essoufflé également ne semble pas rassasié car il attire ma tête vers
lui en me prenant par la nuque et m'embrasse le coup, mordillant la peau, léchant sensuellement l'épiderme en fusion.
L'atmosphère ne fait qu'augmenter c'est une chaleur étouffante, mais tellement bonne ! Je n'ai jamais ressenti ça ! C'est à en devenir dingue. Il me regarde dans les yeux pendant quelques
minutes, les goutes de sueur perlant déjà mon front mon souffle contre son visage, il prend ma main droite et lèche l'indexe sans me quitter des yeux. Je me sens tout gêner,
encore plus excité (si c'est possible), son sérieux me fait vibrer, il lèche avec abondence puis s'approche de mon oreille les lèvres mouillées de salive.
- Vas y...
Ne lui demandant même pas de quoi il parlait, j'ai écarté ses jambes doucement avec les miennes, carressant ses parcelles de peau. Il ferme les yeux attendant patiement, sa tête
bascule sur le côté quand je touche la rai. Je souris rouge de gêne mais tellement heureux d'enfin pouvoir assouvir mes envies avec l'homme que j'aime.
J'approche de la cavité et introduit un doigt d'abord, il arque de plaisir remuant un peu les hanches pour que j'enfile vite le deuxième qui ne se fait pas prier. Je remue un
peu l'intérieur pour bien dilaté il a l'air d'avoir l'habitude.
- Maintenant Vincent j'en peux plus...
Je me redresse doucement l'embrassant avec fougue, me préparant, soulève un peu ses hanches et le pénètre d'un coup sec et brusque.
Il cri de douleur d'abord, je reste à l'intérieur de lui pour qu'il s'y habitue d'abord. Comment vous dire ce que je ressens ? C'est mieux que n'importe qu'elle rapport, c'est le sommum
! Son étroitesse, me sentir à l'intérieur de lui me fait encore plus suée, me rend heureux à un point que je serai capable de le crier sur tous les toits. Je commence
quelques vas et viens doucement pour bien élargir, il continue de grimacer de douleur pendant quelques minutes, je commence à m'inquiéter est-ce si désagréable ?
- Ca va ? Je demande inquiet
- Continues surtout ne t'arrêtes pas..., dit il la voix cassé
Je continue alors, suivant ses conseils, je me sens un peu coupable d'être le seul à prendre du plaisir en sentant ses fesses serrés contre mon pénis.
Des vas et viens doux, il semble prendre de plus en plus de plaisir, je sens à nouveau ses hanches remuées demandant plus. Je met mes bras contre le lit positionne ses hanches comme il
faut pouvant ainsi l'embrasser avec tout le plaisir qu'on prend ensemble. Un coup de rein plus rapide il s'agrippe à mon dos, je continue, des coups de rein de plus en plus
violent qui fait grincer les lates de bois de mon lit mais vite remplacer par nos deux gémissements. Ensemble nous jouissons de l'instant, les corps se frottant de plus en plus
brutalement, ses mains griffant tout mon dos, mes lèvres proches des siennes je carresse avec ma langue sa petite bouche ouverte. Il ouvre les yeux plein de
désir et d'extase et m'embrasse avec avidité, ses mains se posent sur mes fesses accompagnant les allers et retour pressant contre elle à chaque pénétration. C'est dans un
dernier orgasme qu'on se vide ensemble à quelques secondes d'intervalle, moi plus jeune bien sûr.
Je m'écroule sur son corps épuisant sentant tout mes muscles brûlés par l'effort ou de désir je ne sais pas trop. La respiration courte et coupé, la sienne plus stable mais la tête
contre son torse humide je peux entendre son coeur battre la chamade.
J'en souris content d'avoir été à la hauteur, je sens ses bras m'entourer tout en me carressant le rai de la colonne du bout des doigts.
- Merci..., dis je dans un souffle
- Tu étais parfait...
Je t'aime Raphaël.
Je
sens un bras me secoué brutalemment, mes yeux s'ouvrent doucement remarquant que je suis dans une salle de classe et que mon professeur d'anglais me lance des éclairs. Je me contente de la
regardé d'un air complètement à la masse, elle ne m'impressionne pas du tout. Finalement elle reprend son court sans perdre son temps avec moi, j'allais remercier celui qui m'a sortis d'un rêve
super érotique avec Raphaël me ressassant la nuit que j'avais passé avec quand je me suis rendut compte que c'était Klay.
- Tu me reparle maintenant ? Je lui demande
- Je suis pas rancunié. Dit il en évitant mon regard
- Je ne peux pas te dire que je regrette ça serai te mentir...
- Je sais.
Il ne deigne toujours pas me regarder, je continu de le fixer jusqu'à ce qu'il pose les yeux sur moi enfin. Quand ce fut fait, il soupira longuement déjà agacer de voir que je gagnais cette
manche, j'ai affiché un grand sourire de satisfaction et il ne put s'empêcher d'y répondre par un petit rire qui le trahissait.
J'ai repris ma sieste toujours en regardant la buée se geler sur les vitre, les pigeons passant devant comme si pour eux l'hiver était un temps comme les autres.
Je deteste les oiseaux.
La sonnerie retentit, je sors de cours le premier, je cours presque dans les couloirs et freine en arrivant devant la salle de monsieur Culigan, celui ci ferme la porte derrière lui et me voit.
J'affiche un grand sourire timide et lui lance un "bonjour" qu'il répond sur le même ton : c'est à dire doux et naturel.
Je sens sa main effleurer la mienne doucement, un frisson de bien être me parcours l'échine, on peut dire qu'il sait me faire tourner la tête.
Je me retourne pour voir ses fesses remué au rythme de ses pas, je ne semble pas le seul à le regardé mais je sais que je suis le seul à qui il carresse la main au passage, ce qui me
remplissait de fierté. J'affiche un sourire niais et reprend ma route plus heureux que jamais, que tout le monde voit enfin quel homme heureux je suis devenu !
- Monsieur Mayon, m'interpella le principale
- Oui ?
- Puis je vous voir en privé dans mon
bureau ? Il demande l'air grave
Mon coeur rebondit dans ma poitrine, c'est-il passé quelque chose ? Est- il au courant pour moi et Raphaël
?
Je rentre dans cette pièce étroite, entourer de casier, commode, tableau je me sentais ettouffer rien que son regard sur moi me rendait nerveux. Je ne me sens vraiment pas à la l'aise.
Les mains moites je m'assois sur l'un des sièges tout en gardant un oeil sur ce qui m'entourait je priais stupidement pour pas que ses murs se referment sur moi. Je me sentais vraiment pris
au piège.
- Nous avons un soucie Vincent..., dit il en joignant ses mains le regard plonger dans le mien
- Un soucie ? J'avalais difficilement ma salive
- Oui.
- Qu'est-ce qui se passe ? Je demande inquiet
- Votre mère est à l'hôpital...
Mon souffle en était couper, je ne savais pas quoi faire, je n'entendais que le son qui sortait de sa bouche, j'avais l'impression de ne plus être en vie. Tout mon organisme c'est arrêter de
fonctionner.
- Il semblerai qu'il y est eut une grosse dispute chez vous entre votre mère et votre père...il y a eut coup monsieur Mayon...
- C-coups...ma mère...
- Monsieur Mayon les policiers vont bientôt arriver pour vous interroger je vous demande de rester calme.
- Ca..calme...
Anesthésier, je ne faisais que répéter ce que mon cerveau arrivait à déchiffrer. J'étais déjà hors de cette pièce, mon âme courrait déjà dans l'hôpital cherchant ma mère l'appelant et hurlant son
nom à travers les murs froid.
- Votre père est au commissariat actuellement vous n'aurez surement pas le droit de le voir et je pense que vous n'en avez pas envie.
Je me lève sans même attendre qu'il me le demande, sans même attendre ses foutus flics je marche lentement, comme un cadavre qui serai revenu sur terre.
Comme une personne à qui on avait annoncé la fin du monde.
Les gens me regarde étrangement l'homme lobotomisé qui marchait à côtés semblait canalisé sa colère ou alors la chercher.
- Vous êtes Vincent Mayon ? me demande un voix grave
Je relève les yeux et tombe nez à nez avec un agent de police, le regard perçant tel un robot répétant simplement ce qu'il a put apprendre en regardant miami vice.
- Ne le brusquez pas monsieur l'agent il est encore en état de choc..., dit la voix de mon principale derrière moi
C'est le mot, je suis en état de choc. Je dirai même mieux ! Je viens littéralement de me prendre une balle en plein coeur et il ne me reste que quelques heures avant le râle d'agonie. Je me
retrouvais dans une voiture noir et blanche, les autres élèves me regardaient comme un criminel ce demandant quelles conneries à put faire le nouveau.
Quelques minutes.
Ils ne branchèrent pas les sirènes mais ça ne les a pas empêcher d'essayer de me réveillé de mon coma. Jusqu'à ce que la voiture s'arrête devant l'hôpital.
Quelques secondes.
Le premier agent ouvre la porte du camion et me prend le bras comme un mourant m'emmenant à l'intérieur, demandant le chambre de Madame Mayon.
Maintenant ?
Je me retrouve face au corps meurtris de ma mère, mon pas n'a même pas ralentit devant la porte, mes mains ne se sont même pas mises à trembler et mes yeux ne pleurent pas
encore.
Maintenant ?
J'attrappe le bord du lit de mes deux mains, examine le visage défiguré de ma chère et tendre mère, je ferme les yeux un moment.
Non ce n'est pas possible.
Je les ouvre, cette image, ce spectacle m'explose en pleine figure ! Ma mère bander de partout, blessures, ématomes, contusions, fractures ! Ses lèvres violettes devenuent enflées sont à
peine visible derrière tous ses pensements. Son bras droit cassé et trois de ses côtés cassés, ses yeux clos essayant d'extirper la douleur de ce corps hurlant déjà
l'achèvement.
Maintenant...
Je tombe des nus, mes genoux cèdent, je reste là planter, soufflant mon dernier souffle. La vision de son visage se rapproche...encore...encore...Mes yeux s'écarquillent, mes poings se
serrent puis se desserent. Je fixe mes mains comme si j'étais l'assassin...
Une goûte. Deux goûtes. Trois goûtes.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!