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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 21:37

                           Je sens un bras me secoué brutalemment, mes yeux s'ouvrent doucement remarquant que je suis dans une salle de classe et que mon professeur d'anglais me lance des éclairs. Je me contente de la regardé d'un air complètement à la masse, elle ne m'impressionne pas du tout. Finalement elle reprend son court sans perdre son temps avec moi, j'allais remercier celui qui m'a sortis d'un rêve super érotique avec Raphaël me ressassant la nuit que j'avais passé avec quand je me suis rendut compte que c'était Klay.
- Tu me reparle maintenant ? Je lui demande
- Je suis pas rancunié. Dit il en évitant mon regard
- Je ne peux pas te dire que je regrette ça serai te mentir...
- Je sais.
Il ne deigne toujours pas me regarder, je continu de le fixer jusqu'à ce qu'il pose les yeux sur moi enfin. Quand ce fut fait, il soupira longuement déjà agacer de voir que je gagnais cette manche, j'ai affiché un grand sourire de satisfaction et il ne put s'empêcher d'y répondre par un petit rire qui le trahissait. 
J'ai repris ma sieste toujours en regardant la buée se geler sur les vitre, les pigeons passant devant comme si pour eux l'hiver était un temps comme les autres.
Je deteste les oiseaux.
La sonnerie retentit, je sors de cours le premier, je cours presque dans les couloirs et freine en arrivant devant la salle de monsieur Culigan, celui ci ferme la porte derrière lui et me voit. J'affiche un grand sourire timide et lui lance un "bonjour" qu'il répond sur le même ton : c'est à dire doux et naturel.
Je sens sa main effleurer la mienne doucement, un frisson de bien être me parcours l'échine, on peut dire qu'il sait me faire tourner la tête. 
Je me retourne pour voir ses fesses remué au rythme de ses pas, je ne semble pas le seul à le regardé mais je sais que je suis le seul à qui il carresse la main au passage, ce qui me remplissait de fierté. J'affiche un sourire niais et reprend ma route plus heureux que jamais, que tout le monde voit enfin quel homme heureux je suis devenu ! 
- Monsieur Mayon, m'interpella le principale
- Oui ?
- Puis je vous voir en privé dans mon bureau ? Il demande l'air grave
Mon coeur rebondit dans ma poitrine, c'est-il passé quelque chose ? Est- il au courant pour moi et Raphaël ? 
Je rentre dans cette pièce étroite, entourer de casier, commode, tableau je me sentais ettouffer rien que son regard sur moi me rendait nerveux. Je ne me sens vraiment pas à la l'aise. Les mains moites je m'assois sur l'un des sièges tout en gardant un oeil sur ce qui m'entourait je priais stupidement pour pas que ses murs se referment sur moi. Je me sentais vraiment pris au piège.
- Nous avons un soucie Vincent..., dit il en joignant ses mains le regard plonger dans le mien
- Un soucie ? J'avalais difficilement ma salive 
- Oui.
- Qu'est-ce qui se passe ? Je demande inquiet
- Votre mère est à l'hôpital...
Mon souffle en était couper, je ne savais pas quoi faire, je n'entendais que le son qui sortait de sa bouche, j'avais l'impression de ne plus être en vie. Tout mon organisme c'est arrêter de fonctionner.
- Il semblerai qu'il y est eut une grosse dispute chez vous entre votre mère et votre père...il y a eut coup monsieur Mayon...
- C-coups...ma mère...
- Monsieur Mayon les policiers vont bientôt arriver pour vous interroger je vous demande de rester calme.
- Ca..calme...
Anesthésier, je ne faisais que répéter ce que mon cerveau arrivait à déchiffrer. J'étais déjà hors de cette pièce, mon âme courrait déjà dans l'hôpital cherchant ma mère l'appelant et hurlant son nom à travers les murs froid.
- Votre père est au commissariat actuellement vous n'aurez surement pas le droit de le voir et je pense que vous n'en avez pas envie. 
Je me lève sans même attendre qu'il me le demande, sans même attendre ses foutus flics je marche lentement, comme un cadavre qui serai revenu sur terre. 
Comme une personne à qui on avait annoncé la fin du monde. 
Les gens me regarde étrangement l'homme lobotomisé qui marchait à côtés semblait canalisé sa colère ou alors la chercher. 
- Vous êtes Vincent Mayon ? me demande un voix grave
Je relève les yeux et tombe nez à nez avec un agent de police, le regard perçant tel un robot répétant simplement ce qu'il a put apprendre en regardant miami vice. 
- Ne le brusquez pas monsieur l'agent il est encore en état de choc..., dit la voix de mon principale derrière moi
C'est le mot, je suis en état de choc. Je dirai même mieux ! Je viens littéralement de me prendre une balle en plein coeur et il ne me reste que quelques heures avant le râle d'agonie. Je me retrouvais dans une voiture noir et blanche, les autres élèves me regardaient comme un criminel ce demandant quelles conneries à put faire le nouveau.
Quelques minutes.
Ils ne branchèrent pas les sirènes mais ça ne les a pas empêcher d'essayer de me réveillé de mon coma. Jusqu'à ce que la voiture s'arrête devant l'hôpital.
Quelques secondes.
Le premier agent ouvre la porte du camion et me prend le bras comme un mourant m'emmenant à l'intérieur, demandant le chambre de Madame Mayon. 
Maintenant ? 
Je me retrouve face au corps meurtris de ma mère, mon pas n'a même pas ralentit devant la porte, mes mains ne se sont même pas mises à trembler et mes yeux ne pleurent pas encore. 
Maintenant ? 
J'attrappe le bord du lit de mes deux mains, examine le visage défiguré de ma chère et tendre mère, je ferme les yeux un moment. 
Non ce n'est pas possible.
Je les ouvre, cette image, ce spectacle m'explose en pleine figure ! Ma mère bander de partout, blessures, ématomes, contusions, fractures ! Ses lèvres violettes devenuent enflées sont à peine visible derrière tous ses pensements. Son bras droit cassé et trois de ses côtés cassés, ses yeux clos essayant d'extirper la douleur de ce corps hurlant déjà l'achèvement. 
Maintenant...
Je tombe des nus, mes genoux cèdent, je reste là planter, soufflant mon dernier souffle. La vision de son visage se rapproche...encore...encore...Mes yeux s'écarquillent, mes poings se serrent puis se desserent. Je fixe mes mains comme si j'étais l'assassin...
Une goûte. Deux goûtes. Trois goûtes.


- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!
 

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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