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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
« Luciole est-ce que ça va ? » Me demanda Maria hésitante
« Je vous remercie » Dis je en retrouvant mes esprits
Lentement je quitta la pièce, des pas fluide, je me sentais léger et lourd à la fois. Mon
aura était amplis de haine et de désir de vengeance, ils le sentaient.
« Luciole…Où vas-tu ? » Demanda Maria inquiète
« Je ne sais pas…Je ne sais plus…J’aimerai faire quelque chose mais ce sentiment d’impuissance me ronge ! Je dois faire quelque chose. » Dis je les dents serrés
« Ta vengeance ne sera pas assouvis…Tu es incapable à l’heure qu’il est de tuer Gabriel. » Dit Sorine de sa voix grave qui n’attendait aucune protestation
« Vous n’avez aucun ordre à me donner Sorine Guild. Je sais pertinemment que je ne suis rien comparer à la puissance de Gabriel. »
« Alors que comptes tu faire ? »
« M’entrainer, maîtriser, exploiter entièrement la puissance que mes parents m’ont donnée ! »
« Tu oublie une chose cher petit vampire, du sang de Gabriel coule dans tes veines. »
« Et alors ? Je devrais le remercier ? » Dis je ironiquement
« Ce que Sorine veut dire c’est que tu seras incapable de tuer Gabriel. Comme un hybride ne serai capable de tuer son créateur. Il te faudra acquérir une force presque divine pour te défère
de tes gènes. » Continua Maria
« J’ai été crée dans le but de l’anéantir et je suis certain que mes parents intelligent comme ils étaient ont pensé à tout. »
Sorine et Maria restèrent silencieux. Je savais bien qu’ils
avaient du mal à croire que j’étais capable de détruire celui qui les tenait en laisse. Pourtant eux même me l’avaient dit, j’ai un puit de puissance en moi qui dépasse l’entendement de tous les
vampires, mon aura ne se sent même pas pour les petit Originel. En vérité elle était tellement grande qu’elle n’est visisble qu’aux plus puissants, peu importe qu’ils ne croient pas en moi, je me
vengerai même si je dois perdre l’éternité pour ça. Sorine eut un rectus, ses lèvres s’arqua en un léger sourire en me regardant, percevait il ma puissance, ma volonté, et ma détermination ? En
tout cas Maria le sentait et l’entendait ce qui l’inquiétait encore plus.
« J’accepte. » Dit il soudainement
« Quoi donc ? » Je demande innocemment
« De t’entrainer jusqu’à ce que tu découvres ta pleine puissance. En réalité j’ai hâte de voir jusqu’où tu es capable d’aller, j’étais témoin de l’ascension du plus puissant des immortels
je me dois d’être témoin de son successeur. » Dit il excité à l’idée de se mettre au travail
J’en fus enchanté. Sorine allait arrêté d’être gentil avec moi
et allait se décider à faire de moi une vrai machine à tuer. Un véritable vampire. Maria pris congé quelques heures plus tard après avoir tenté de nous dissuader de se lancé dans un tel périple
seulement nous étions décidés ! Nous étions aussi tétu l’un que l’autre et elle désespéra, elle accepta de garder le secret de notre projet même aux yeux de Gabriel. Elle me promis ensuite de
faire tout ce qu’elle pouvait pour m’aider à venger mes parents à sa manière. Je n’avais pas vraiment compris mais il semblerai que je ne sois pas le seul, Sorine restait silencieux et soucieux
de ce qu’elle était capable de faire. Elle nous quitta avec un bref au revoir et de grosses embrassades, je cru qu’elle allait me brouiller les os puis elle parti comme un courant d’air. Je
restais debout devant la porte attendant que son aura me soit invisible, je ferma la porte étant sûre qu’elle avait quitté la ville sans danger et sans alerte.
Epuisé moralement je vins m’assoir sur le grand canapé
de Sorine et penchait ma tête en arrière me rappelant que je n’étais plus un inconnu, j’étais maintenant un immortel avec son histoire. J’étais enfin quelqu’un. Je sentis tout à coup soixante dix
kilos m’écraser, j’ouvris brusquement les yeux et je croisais le regard doré de Sorine. Ces yeux n’étaient plus rouge ce qui restait un vrai mystère pour moi. Je sentis ses mains parcourir mon
torse, petit à petit je me sentais haletant, malgré mon sang froid je me sentais bouillir sous ses mains. Je le repoussa brusquement plaquant mes mains sur sa poitrine. Je fixais mes doigts
trouvant la force de ne pas lui céder.
« Arrêtez … » Dis je sans conviction
« Je ne suis pas ce que vous croyez…Je crois que c’est très mal ce que nous sommes entrain de faire »
« Ton amour pour Dante n’est-ce pas ? Cet amour qui t’attache à lui, c’est un lien qui ne cedera jamais… »
« Je suis désolé… »
« Je te comprends. C’est moi qui suis désolé. » Dit il avec un sourire tendre
Il disparut dans sa chambre. Je me sentais frustré et à la fois
soulagé, je n’ai pas eut à le convaincre trop longtemps de me laisser car je crois que je n’aurai pas résisté longtemps à ses avances. Je suis un immortel mais je suis fais de chair et je suis à
un stade où les hormones me travaillent énormément. Je décidai à mon tour de me retirer dans ma chambre pour le reste de la soirée, le temps était passé si vite en la présence de Maria qu’il
était déjà tard et je n’avais pas dîner. Je n’avais pas faim ce n’était pas bien grave. Je fermai la porte derrière moi et me dirigeait vers mon lit qui avait été la scène de ma crise
identitaire. J’espérais que maintenant que je connaissais toute la vérité je pouvais m’y reposer sans que je plonge dans les profondeur mysétérieuse de mon existence. Je m’y callait lentement
avec l’espoir de m’endormir comme un être humain par simple caprice de n’avoir conscience de rien autour du moi jusqu’à l’aube. Je m’endormie à nouveau sans aucun rêve pour troubler ma nuit.
De l’herbe frâiche à perte de vue pour que ton sourire y
sommeil…
L’odeur du sang me réveilla aussi tôt. Une panique incontrôler me
submergeais. Sorine ! Je me suis précipité hors de ma chamre et avant même d’y pensé j’étais dans sa chambre. Je fus soulagé de le trouver endormie au fond des ses draps, le visage serein. Une
seconde…Sorine ne dort jamais ! Je les secoué comme un prunier hurlant son nom avec le peur irrationnel qu’un vampire soit entré dans sa chambre est l’ai mordu alors qu’il avait le dos
tourné.
« Oh ! Luciole lâches moi ! »
« Idiot !! Tu m’as fait une peur bleu tu ne pas être insomniaque comme tout vampire normale ! »
Je criais furieux d’être ainsi si ridicule devant lui. Il resta un
instant sans parler, ses yeux étaient devenus aussi rond que des billes, je le regardais comme si il était fou.
« Quoi ? »
« Tu m’as tutoyé … » Dit il à deux doigts d’éclater de rire
« Et alors ? La n’est pas le problème ! Pourquoi étais tu en train de dormir ? »
« Parce que j’étais épuisé. Un vampire à le droit de dormir tu sais, ce n’est pas interdit. Cela va faire des mois que je n’ai laissé mon corps entier sombrer dans le sommeil. Ce n’est
pas une nécessité mais j’aime bien dormir, je suis un grand fainéant. » Dit il en se recouchant
« Quel cet odeur de sang alors… » Dis je septique
« Surement le cadavre d’une fillette dans la rue. » Dit il en se moquant « J’en sais rien moi ! En tout cas rassures toi je n’ai pas mangé dans ma chambre. » Se moquai-t-il à
nouveau
« Je vous dis qu’il y a une odeur de sang dans cette maison ! »
Je dis en le secouant pour ne pas qu’il se rendorme Il m’attira
brusquement par le coup, nos visage était si proche que ses lèvres chatouillaient les miennes, mon cœur battait la chamade alors que je retenais mon souffle fixant sa fine bouche.
« Si tu ne me laisses pas dormir tranquillement… » Dit il d’une voix suave
« Ca va Ca va ! Je te laisses ! » Dis je en m’écartant
Je quittais la pièce aussi tôt, reprenant mes esprits pour
effacer cette image tentatrice de mon esprit. J’en étais gêné rien que d’y penser ! Exciter comme jamais, cet homme était un véritable fantasme à lui tout seul. Puis brusquement je réagis au
spectacle dans laquel je m’étais trouvé propulsé, l’odeur du sang avait imprégné toute la maison pour une seule et unique raison. Des centaines de corps étaient épinglé au murs. Des corps dénudés
et vidés de leur sang, le visage déformé par la terreur, des enfants, des femmes, des hommes. J’en eux presque des hauts le cœur, celui qui avait fait ça avait transformé ce massacre en œuvre
d’art, il était fier de lui je ressentais toute sa jubilations dans chacune des morsures qui formait un dessins sur les cadavres en putréfaction. J’ouvris la porte de la chambre de Sorine à
reculons, j’étais sidéré par ce spectacle, je n’arrivais pas à me détacher de cette horreur.
« Dites moi que je rêve… » Je murmurais
« Luciole … » grogna Sorine
« Il faut que tu viennes voir ça…C’est…C’est indescriptible… »
« De quoi tu parles ! »
Il se leva enfin et se figea net lorsqu’il me poussa pour se
rendre compte de la situation Les yeux exorbités. Leurs nudité mis à la vue de tous, cette soumission évidente. Une ombre menaçante autour de nous. Ce n’était pas anodin ! Ce n’étais pas normale
! C’était un message, quelqu’un sait pour mon existence. Peut être Gabriel, cette mascarade est digne de lui.
« Seigneur…Il nous a retrouvé… » Dit il paralysé
« Où est il ? » Je demande d’une voix basse comme si il nous écoutait
« Pas en ville en tout cas. Nous l’aurions ressentis, ce que tu dois savoir sur Gabriel c’est qu’il déteste par-dessus tout qu’on se moque de lui… »
« Dante ! »Je réagis soudainement.
Si il était au courant de mon existence et qu’il était furieux il allait s’en
prendre à Dante, c’est lui qui m’a caché, qui m’a sauvé, c’est lui qui lui a promis que je ne serai plus de son monde. Il a monté une comédie macabre et à réussi à berner le grand Gabriel Faust.
Je sens tout le sentiment de trahison de Gabriel, cette haine qui rugissait en lui comme un troupeau de lion, elle imprégnier dans la moindre parcelle de ces murs.
Nous nous sommes regardez totalement pris au dépourvu mais notre regard était le
même. De suite nous sommes partis en direction du palais Faust. Nous mettions toute notre puissance et nos capacités ! Il fallait arriver près de Dante en quelques secondes car Gabriel y était
surement depuis longtemps. Mon cœur battait tellement vite que j’eus du mal à me mettre à la même allure, rien qu’à l’idée de penser qu’il était trop tard ma vitesse augmentait. Je sentais la
rage et la haine me donner de l’adrénaline. Je n’étais jamais aller aussi vite, ce qui nous entourait n’avait plus de forme, je dépassais pour ainsi dire le mur du son sans aucun problème.
« Pourvu qu’il ne soit pas trop tard.. » Murmurait Sorine
Je le regardais aussi tôt, il était inquiet, si inquiet que j’en fus
surpris. Je ne l’avais jamais vu exprimer autant ses sentiments. Le visage de Dante était la seule chose que je pouvais voir dans mon esprit et je me laissais porter sans faire attention où
j’allais, mon cœur dictait ma conduite et très bientôt je serai devant la démeure de ses dix années passées.
Le manoir n’avait pas changer, les arbres étaient fleuris, la peintures était la
même et le grande porte au dessus des escaliers était fermé. Je me concentrais pour sentir l’aura de Gabriel mais rien ne me vint, pas même le battement des cœurs de tous les mortels qui devaient
être présente dans cette maison. Je me précipitais pour m’assurer que tout allait bien quand j’ouvris la porte ce fut le choc. Du sang, du sang partout ! Des litres et des litres de sang qui
recouvrait tout ce qu’il avait dans le palais !
« DANTE !!! »
« Non Luciole attends ! »
Je me suis précipité à l’étage, j’ai ouvert brusquement la porte de sa chambre,
elle était bien rangé comme à son habitude. Propre et sans désordre. Les corps des serviteurs sonchaient le couloir, je suis rentré dans ma chambre qui n’avait pas changé. Je suis rentré dans
toute les pièces sans la moindre trace de Dante, je m’écroulais dans le grand halle désespérer à l’idée de le trouver vivant. J’imaginais que Gabriel avait d’abord tuer celui qui avait ouvert la
porte, il s’en était prit à tous les serviteurs en premier. J’imaginais Franz qui avait caché Dante comme un père l’aurait fait avec son enfant, il s’était ensuite livré en sacrifice refusant de
dire où il l’avait caché, sans doute dans un endroit imperméable à notre odorat où notre ouïe. Je reprenais petit à petit espoir.
« Calmes toi Luciole, Gabriel n’aurait pas tué si facilement Dante. Il a plus d’un tour dans son sac. »
« Il faut trouver le couloir où il y avait tous les tableaux ! »
« Comment ça ? »
« Je connais bien Franz quand il a vue Gabriel furieux il a avertis aussi tôt Dante qui s’est réfugié dans un endroit étanche à nos pouvoirs. Sans doute qu’il l’a obligé à se cacher, Franz à
dut se sacrifier comme tous les autres serviteurs pour donner du temps à leur maître. Dante est encore ainsi j’en suis sûr ! Sans doute dans le couloir sur l’aile gauche du palais ! Il me semble
que de là bas je n’entendais jamais rien. C’était comme ci nous étions transporter dans un autre monde. Je crois savoir que c’était l’endroit favoris du père de Dante lorsqu’il voulait prier,
ainsi Gabriel ne pouvait pas venir l’embêter lorsqu’il était tout petit. »
« Gabriel connaissait ce palais mieux que quiconque Luciole ! Si Dante s’y était caché il l’aurait retrouvé… » Dit il gravement
« Non ! Je refuse de croire ça ! »
Je fonçais aussi tôt à la rechercher de Dante, me répétant
sans cesse qu’il n’était pas mot, qu’il était bien vivant, je lui demandais de m’attendre, je lui demandais de ne pas paniquer. Je parcourais les pièces, les escaliers à la recherche de ce
couloir, je montais, descendais, pour enfin accedeur à un corrdor sombre, sans lumière, où des portraits me fixaient avec horreur. A nouveau l’odeur du sang, j’accourais au fond du couloir et
entrant dans l’unique porte à laquelle on accédait.
« Dante ? Tu es la dedans ? Réponds moi…réponds moi je t’en supplie… »
La pièce était plongé dans le noir mais je
distinguais tous les meubles et les recoins de cette pièce, l’odeur du sang était de plus en plus forte et très vite je percutais quelque chose étendue par terre. Le gorge serrés, les larmes me
piquant les yeux je me suis abaissée pour constaté qu’un corps était étendue là, j’ai retourné le corps en ravalant ma salive les larmes débordant déjà mes yeux.
Hihi alors enfin débarassé de Dante !
lol
Je remercie toutes celles qui continuent de lire ! Merci à toutes celles qui me soutiennent je vous adore =)
Prophétie.
Ma existence était tabout, ma vie était impensable, mon droit à l’éternité
était absurdité et mon image avait hanté les nuits du tout puissant. J’étais le portrait de la mort, mauvais présage ma naissance était funeste. Il me sentait ramper dans ses entrailles comme un
parasyte, un virus qui buvait son sang de l’intérieur. Je pouvais sentir toute la crainte que je lui inspirait, je pouvais me délecter de mon avantage.
Celui d’une prophétie.
Nous sommes partis à l’aube du palais Faust il y a de ça quelque heures,
Maria est toujours dans état critique et nul ne sait si elle s’en sortira. Sorine n’a pas parlé depuis, il regarde inlassablement le visage le paysage défiler devant sa fênetre. Le train arrivera
à Varsovie dans une heure environ. Je me souviens de chaque expression de Sorine lorsqu’il a pronnoncé « Russie », il a frémit, ses yeux sombres s’étaient plongés dans une mêlée de
souvenir mais il respirait la haine et la vengeance par tous les pores de sa peau. Il était déterminé à en finir avec l’immortel.
Qui aurait put prédir une telle destiné ? Qui aurait put
imaginer un jour qu’un combat décisive pour toute l’histoire des vampire allait avoir lieu ? Pauvre Hommes, naïfs et aveugles. Les grands choses se passent sous leur nez et sans même s’en rendre
compte leurs vies tombent sur des épaules vieilles de plusieurs siècles.
Mon existence est un fardeau et une libération, je suis
un poid et une clé à la fois. Je sais que nous n’arriverons pas à Moscou aussi facilement car je le sens depuis maintenant une heure.
Le wagon est imprégné de l’odeur des
immortels.
Ils semblent partout autour de moi, j’ai l’impression
d’être entrée dans une nid de bourdon. Tous plus menaçant les uns que les autres, tous plus forts, plus meurtrier et plus cruels. Je le sens comme une chaleur lourde et pesante, je le sens comme
enclume au dessus de ma tête prète à m’écraser à tout moment. Mon cœur commence à palpité, je sens leur empressement, leur envie, je sens leur soif et la perçois avec une clareté surnaturelle. La
dernière présence humaine change de wagon, je coupe ma respiration, Sorine les a sentit. Je sens leur assaut, leur hâte !
Le bruit d’une mouche bourdonnante…
Soudainement l’attaque était lancé ! Sentant l'un d'eux bondissant
j’ai moi-même changer de siège avec maladresse en m’écartant de mon siège. Un vampire les dents asserrées plante ses canines dans le siège, aussi tôt Sorine lui brise la nuque. Toujours assied
tel un félin sur le siège devant le notre j’observe nos ennemis, une vingtaine de vampire se sont levés, le regard ruisselant de soif, le sang leur sortait par les yeux, des pupilles aiguisées.
Je déglutis et plante mes griffes sur la tête du siège, Sorine ne bouge pas d’un millimètre et ne les quitte pas des yeux. Ses sourcils se froncent.
L’assaut est lancé ! Dans un cri bestial une vingtaine de vampire
tentent de nous encerclé ! Je cours vers la sortie donnant plusieurs coup de « pattes » à mes assaillants. J’entends le cri de l’agonie ! Sorine me suit en égorgeant quelques vampires
de ses longues ongles fins. Il les dénuque. Alors que je m’empressais d’atteindre la porte du prochain wagon la griffe asserré d’un vampire se plante dans mon épaule, je sens son souffle
dévastateur. Sans douleur je me retourne pour lui briser le bras et lui assené un coup de pied violent qui l’envoie s’écraser sur ses amis. L’un d’eux me regarde, un grondement sonore et puissant
sort de sa bouche faisant trembler les murs du train.
Je regarde Sorine qui tranche en deux un dernier vampire. Ses mains
ruissellent de sang, il conduit l’un de ses doigts à la bouche et le lèche avec érotisme mais aussi avec froideur tout en regardant nos ennemis. Ses yeux immortels se plantent dans le regard de
celui qui semble le plus fort d’entre eux. Celui qui a rugit.
« Vous allez le payer… » Grogne l’immortel
Il se lance immédiatement sur moi, il sort une sorte d’épée de son
fourreau, surpris je me baisse simplement pour éviter sa lame, Sorine est submergé de vampire et me regarde avec inquiétude. Il ne peut pas venir m’aider. Je cours de l’autre cotés du wagon, je
marche sur les vampires qui me barrent le chemin, ils s’écrasent par terre avec le fracas d’une montagne sur le métal. J’entends le rugissement de l’immortel derrière moi, je cours aussi vite que
possible atteignant enfin la porte, Sorine arrive enfin à me rejoindre, je sors du wagon et me rend compte qu’il n’y a plus rien après. Je m’agrippe au haut du wagon et me retourne pour finir sur
le toit du train. Je laisse la porte ouverte et tente de tenir debout sur le toit avec la puissance du vent contre moi. Alors je marche en direction de la tête du train pas à pas, une lame
transperce de le toit du wagon. Paniqué ! Je tombe en arrirèe surpris par l’épée, je me retrouve sur les fesses totalement déséquilibré. Le vent me frappe le visage et les cheveux, la vitesse où
va le train si je tombe je me ferai broyer sous les rails. Avec rage j’atrappe la lame avec les pieds et la plie de toute mes forces pour ne pas qu’il puisse la retirer. Je me redresse lentement
quand j’entends le bruit des pas derrière moi, je me retourne pour voir Sorine courir sur le toit du train.
« COURS ! »
Sans attendre je me lève et cours avant qu’il ne me ratrappe, je cours
aussi vite que je peux sautant de wagon en wagon, des bruits de pas plus fort, plus bruyant se font entendre. C’est l’autre immortel. Je cours encore plus vite, Sorine arrive à ma hauteur, il me
prend la main et me fait avancer de plus belle. Nous arrivons très vite sur le premier wagon mais Sorine ne s’arrête pas ! Que compte - il faire ? Il est fou !!
« Sorine !! » Je cri
« Ai confiance… » Dit il simplement
Nous nous retrouvons au bout, nous sautons
aussi haut que nos pouvoirs puissent nous le permettre, nous sautons dans le vide au milieu des arbres et du froid de Pologne. C’est comme si la vitesse avait ralentit l’espace d’une seconde pour
entamer une descente aux enfer. Dans l’atmosphère d’un grognement de désarrois, nous nous écrasons sur le sol roulant le long de la montagne. Je sens les roches, les arbres, la terres que nous
entrainons mais nous ne nous lâchons pas la main.
Le cri d’une bête fait fuir les oiseaux et le
silence revient après le passage du train. Nous avons enfin cesser de rouler, Sorine respire fortement pour enfin se redresser et me redresser ensuite.
« Tout va bien ? »
« Je crois. »
Je frotte mes vêtements pleins de feuilles et de terre.
Nous avons eu sacrément chaud.
« Qu’est-ce que c’était que cette armée de vampires ? » Je demande
« Division d’extermination. Des vampires surentrainer à tuer. Leur chef est un hybride. »
« Un hybride aussi fort ? »
« C’est un chef-d’œuvre de tes parents. »
Je reste silencieux pendant un moment. Mes parents ont fait
tant d’expérience génétique chez les vampires ? Au point de pouvoir transformer un hybride en terminator.
« Goliath. Gabriel l’a appelé, c’est lui qui l’a transformé par conséquent Goliath ne peut pas tuer son créateur. »
« Mes parents en ont fait combien d’hybrides puissants dans ce genre là ? »
« Des milliers. Ils n’étaient pas appelé scientifiques du mal pour rien. Gabriel exploitait leur talent. »
Nous avons commencé à marcher au milieu de la
forêt, nos habits étaient dans un sale état et toutes nos affaires étaient restées dans le train, je soupirais. Ma tête était mise à prix. Nous avons réussit à rejoindre une route, sans plus
tarder nous nous sommes mis à courir aussi vite que nous le pouvions pour atteindre une ville où acheter de nouveau vêtement. Sorine m’assurait que Varsovie n’était plus loin et que là bas nous
pourriont manger avant de repartir. Sorine m’avait parlé une fois de Varsovie avant de partir, c’est une ville étape dans le voyage jusqu’à la communauté, il existe quatre villes qui sont sièges
de grandes familles de vampire. Moscou, Vienne, Londres et Varsovie. Au XVIII, Paris était le siège de la communauté mais après les guerres il s’est déplacé à Moscou. Il m’a dit également
qu’à Varsovie on pouvait avoir ce qu’on voulait, il suffisait d’en avoir la réputation. Là bas les vampires étaient plus méfiant que nulle part ailleurs mais ce pliait à la force sans trop
d’effort. Contrairement à Moscou où la hierachie était le véritable pouvoir, la puissance ne ressentait à des kilomètres et les soubrettes étaient de rigueur.
« Accélères Luciole ! »
Finalement mon entrainement n’avait rien
avoir avec un cours, le but était de survivre jusqu’à Moscou.
Nous avons couru seulement pendant un quart
d’heure, nous étions au centre de Varsovie. Une grande place au se dressait un stelle immense avec des milliers de noms. Sorine et moi nous nous sommes dirigés vers l’extérieur de la ville, à
l’Est, là nous nous sommes arrêtés devant une villa immense. Des serviteurs à la peau clair mais aux visages ternes nous accueillèrent avec empressement. Tous s’agenouillèrent presque devant
nous, je me suis fait arracher mes vêtement plus vite que je n’aurai put le faire moi-même, Sorine les suivaient à l‘étage, je me suis fais presque bousculer pour entrer dans une baignoire
fumante, frotter laver comme un enfant, je n‘étais pas habituer à autant d‘assistance. Aussi tôt propre aussi tôt sorti. Dans une farandole organisé ils présentèrent à Sorine différent costume et
autres habits de grandes occasions. Il opta pour une chemise à col en dentelles et à longue manches d’époque avec un pantalon noir. Une veste avec des dorures, des moifs cousu à la main. Il
claqua des doigts et la troupes d’habillèrent s’activèrent autour de moi. Je ne pouvais rien faire, j’étais encerclé, ils semblaient habitués mais pas moi. Très vite je fus habiller d’un pantalon
fin d’un blanc imaculé et d’une chemise blanche avec un petit gilet mauve. J’avais l’impression d’être habiller comme un prince, c’était désagréable.
J’aimais avoir des habits amples au niveau du buste,
celle-ci me collait trop.
« Sorine ! »
Sorine s’en allait pendant que les serviteurs
s’activaient autour de moi, finissant les finitions des habits, j’étais un vampire à épingles.
« Sorine ! Dis leur d’arrêter ! »
« C’est leur travail et puis je ne parles pas Polonais. »
Il plaisante j’espère ? Une fois que j’étais enfin habillé ils
s’acartèrent tous, en révérance. J’ai accouru jusqu’à Sorine, il s’était assis sur un canapé de velours la main sur les tempes. Doucement je me suis assis près de lui, laissant mon cœur s’appuyer
contre le sien, il m’entourait de l’un de ses bras pendant que je profitais de cet instant de tendresse.
« Nous repartons après le dîner. Nous allons sans doute courrir toute la nuit tu sais. » Il me dit d’une voix douce
Doucement il avait relevé mon
visage en me prenant par le menton, nos bouches s’effleuraient.
« Ca ne me dérange pas… » Dis je dans un souffle
Il déposa alors délicatement ses lèvres
chaudes et humides, des lèvres frissonnantes qui faisait vibrer mon cœur entier. Brûler, je me laissais mourir dans ses bras. Il me serrait encore plus fort contre lui, la position devenant
inconvéniante, je me suis retourné totalement sur lui pour être au dessus et pouvoir profiter d’un sentiment de domination sur lui. J’avais l’impression que je le tenais entre mes mains et que je
pouvais faire ce que je voulais de lui. Il me regardait d’un air presque suppliant, je repris aussi tôt sa bouche, ses mains s’agrippèrent avec force autour de mon cou approfondissant nos baisers
jusqu’à nos entrailles, jusqu’à nos âmes.
La sonnette retentit. Sorine me repoussa comme une
vulgaire feuille de papier, je me suis redressé totalement détasbilisé reprenant conscience de la réalité. Il ne manquait pas d’audace !
« Sorine ! Cela fait bien des années qu’on ne t’as plus vue ici ! »
« Herald. Tu tombes très mal. » Dit il d’un air glacial
« Jamais Sorine. Souviens toi de ça. Je ne tombe jamais mal. »
Les deux immortels sont venus s’asseoir dans le
salon, Sorine tirait une tête d’enterrement quand au fameux Herald il avait l’âge de Matusalem. Ils discutaient avec Sorine, je leur trouvais une ressemblance, ils avaient ce même air nonchalent,
cette même façon de regarder les gens avec dédain, cette ironie sur le visage mais la méfiance dans les yeux. Sorine m’avait prévenu que les vampires de Varsovie était méfiant mais de fidèle
serviteur face à la force. Il me semblait qu’Herald respectait profondément Sorine mais qu’il s’en méfiait comme la peste. L’ambiance avait une apparence de discussion amicale et pourtant la
tension régnait dans la pièce.
« C’est donc toi Luciole. » Herald se tourne vers moi « Tu ressembles tellement à Gabriel dans son enfance…c’est troublant. »
« Herald je te prierai de partir. Car nous allons partir à notre tour. »
« Pour Moscou ? Je sais. Je tiens d’ailleurs à vous prévenir qu’une dizaines de division d’exterminations sont en villes. Ne faites confiance à aucun immortel d’ailleurs, ils pourraient
être complice. Vous connaissez les polonais, ils ne s’intéressent qu’à l’argent ici. Qu’au prestige. »
« Aider Gabriel c’est leur assurer une place à Moscou. » grommèle Sorine
« Les vampires de Varsovie sont les plus influençables Sorine, les plus pauvres par conséquent, les plus fidèles. Ils sont du côté du plus offrant. »
« Vous n’êtes pas d’ici ? » Je demande
« Non. Je suis de Paris. Une vieille relique de Paris. Il ne reste que très peu de vampire français, Sorine avait un père français tu sais, un père de la vieille époque aussi. Nous sommes
les plus anciens vampires qui soit. »
« Herald est un débris en quelque sorte. » Ironise Sorine
« Seulement à force de vivre ici on apprend à ne faire confiance à personne. Pas même aux plus vieux amis. »
« Herald prend congé. Je te conseille de ne dire à personne que tu nous as vu. Pas même à ta femme. »
« Tu tiens tant à te débarasser de moi ? » Froncent les sourcils le vieillard
« Je t'assures que nous n'avons pas le temps de nous attarder. »
« Je comprends. »
Après quelques minutes de débat sur la manière dont Herald pouvait se venger, il partit.
Juste avant de partir il se retourna une fois vers moi et m’offra un tendre sourire.
« Je n’ai pas donné mon sang pour rien. Tu devra tenir la promesse que tes parents m’ont faites gamin. »
« Une promesse ? »
« Si tu arrives à tuer Gabriel, tu devras venir me tuer aussi. »
C’était donc lui le deuxième donneur de sang, j’avais le sang de la famille la
plus puissante et celle de la plus vieille. Mes parents ont promis à Herald qu’aucun des deux ne resterons en vie si l’un doit mourir sie je comprends bien.
« C’est absurde ! » Dis je stupéfait
« C’est dans l’ordre des choses. Une fois Gabriel mort je ne servirai plus rien. J’ai trop vécu si tu veux mon avis. »
Herald disparut aussi tôt. Alors que je nageais dans mes réflexions sombre sur
ma tragique destiné, Sorine revint vers moi et me prit dans ses bras. J’étouffais mon visage au creux de son cou respirant son parfum si voluptueux, l’odeur de sa peau si parfaite.
« Allons chasser. » Dit il doucement
« Hum. »
Ma route avait l'odeur de la Mort...Vieille et éternelle compagne d'un
vampire. La plus fidèle et la plus désirée...
Kayaaa !!!! J'adore cette suite
Oui je m'aime toute seule et alors! !!! Qui le fera pour moi ? Vous ? Vous m'aimez ? LoL
J'arrête avec mes délires !
Voilà la suite de Libera me ! Pas très longue je l'avoue mais je suis fier de moi parce que je me suis relu rapidement (rapidement !!! )
Alors en ce qui concerne CCM mélo à trouver la fin pas très compréhensible, ce que je comprends ! (trop forte
danouch !) c'est fait expret pas de panique ! Il faudra lire WSH pour comprendre car Link fait pas mal
d'apparition de cette histoire
Pour tous ceux qui n'ont pas lu WSC, il est tout à fait possible de lire WSH, puisque je resume un peu à
chaque fois l'histoire de Sanzo, pour ceux qui ont des questions je veux bien les éclairé
Bon maintenant je vous laisse lire ! J'espère que vous apprécirez
JE VOUS AIME !
BISOUS !!
Ps : Désolé si mes suites sont un peu longue à venir ! ^^" j'essaye de commencer une histoire avec des images sims mais c'est pas facile ! lol
Ps(2) : J'adore ma belle image
Danouch
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