Jeudi 9 juillet
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14:56
YEAHH =)
Un chapitre sur Libera me dont je ne suis pas très très fiere m'enfin bon...
J'ai un peu du mal à écrire et j'ai vraiment envie d'écrire vous trouvez pas ca bizarre ? C'est pas l'inspiration qui manque c'est coup de crayon (de touches) j'ai vraiment du mal à prendre un
style plus...beau !
Bon pas grave je fais des efforts et c'est ce qui importe !
J'ai écris le premier chapitre de Kendri et Milan mais vu que je vais mettre énormément d'espoir dans cette histoire j'essaye d'en faire un super chapitre ! Donc vous ne l'aurez pas de si tôt !
HAHA Puis je veux d'abord finir Libera me avant d'en commencer une autre sinon je vais être débordé !
Bon je vous luuv
BISOUS a toutes !!!
Cindy, lilly, Youn, Stephy et Coki !!! Mes choupinettes =)
et vous fantômes aussi ! ^^
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« Incroyable…on croirait voir mon propre fils… » Sourit le carnacier
« Vous devriez être … »
« Mort ? » Il eut un rire faux « Encore un exploit de tes parents ! »
« Seigneur… »
« Il ne t’est d’aucun secour ! »
« Qu’avez vous fait de Sorine ? » Dis je en serrant les poings
« Je suis là ! » Me dit cette voix douce juste derrière Frédéric
Sorine sortie de l’ombre du puissant Originel, sans doute plus puissant que son
propre fils, je vis le regard de mon immortel fuir, il me regardait avec une indifférence douloureuse, je me sentais poignardé en plein cœur comme une bête qu’on tentait d’achevé. Je restais
quelque peu septique, je me rendais compte au fur et à mesure que le silence s’installait que j’avais perdu le Sorine que j’amais, il était mort, enterré. Il n’avait été qu’un beau rêve. Cet pâle
copie de mon Sorine restait droit, ne détournait nullement mon regard mais le fuyait tout aussi bien, mon Sorine n’était plus là. Frédéric Faust se leva d’un geste presque royal et posa sa patte
lourde sur l’épaule de son ancien ami, il eut un sourire de vainqueur pendant que le bel immortel restait stoîque sous l’autorité du puissant Faust.
« Dites moi que je rêve…Sorine tu… »
« C’est finit Luciole. »
« Pardonne le, il ne nous a jamais vraiment quitter. Sorine est et restera mon plus fidèle ami, jamais il ne me trahira. » Sourit Frédéric
« Non je ne vous crois pas. » Dis je convaincu que Sorine était contraint !
« C’est pourtant la réalité. Croyais tu vraiment que Sorine se batterai contre moi ? Celui qui a été un père pour lui ? Ce n’est pas un vulgaire petit vampire qui lui fera oublier son
passé. »
« Mensonge ! »
« Ne t’obstine pas. » Répond Sorine « Va t’en »
Cette dernière phrase sonnait comme une supplication mais un l’intérieur de moi
c’était le bruit de la cloche funèbre, j’avais l’impression qu’il me condamnait pour un crime que je n’ai pas commis m’éloigner de ma seule raison de vivre. M’éloigner de l’amour qui faisait de moi
presque un homme comme les autres. J’aimais cette sensation qu’était l’amour, j’aimais la sensation de dépendance mais aujourd’hui elle me tue plus que jamais, j’aurai préféré que Frédéric Faust me
suce le sang jusqu’à la dernière goutte ! Sorine restait impassible, son regard plongeait dans le mien sans une once d’hésitation, il semblait si ferme, si déterminer. Il semblait tellement sincère
que je dus accepter la vérité. Sorine n’était plus à moi.
« Ne pleures pas Luciole, j’ai réussi à convaincre mon fils de te laisser en vie car tu n’étais qu’une mouche face à notre puissance. Va rejoindre cet idiot de Dante et embrasses le de ma part
je te prie. » me dit Frédéric d’un ton neutre « Ce n’est pas possible… »
Je preferai la mort à une telle trahison ! Sorine regardes moi nom de Dieu et dis moi
que c’est faux ! Dis moi qu’on te force !
« A dieu petit vampire » Il finit par me dire avant de s’envoler avec son mentor
La force s’échappait de moi comme le sable d’un sablier, j’avais l’impression que la vie qui
m’animait s’envolait dans les airs avec mélancolie, mon corps entier devenait une pâte à modeler et mes jambes cédèrent. Je me suis écroulé comme un pantin désarticulé, le visage de Sorine me
hantait. Ce visage si tranquille, ce visage sans expression, ce visage à qui on avait retiré toutes émotions ! Il ne me ressemblait pas à mon Sorine c’est comme si il était devenu quelqu’un
d’autre, comme si tout ce qui c’était passsé n’était qu’un rêve, qu’un doux et beau rêve. Je ne comprends pas, je n’arrive pas à comprendre ! Il ne pouvait pas avoir fait semblant aussi longtemps !
Ce n’est pas possible !! Non c’est impossible ! Pitié dites moi que ce n’est pas vrai, dites moi qu’il est prisonié des griffes de Gabriel, ne me dites pas qu’il m’a abandonné !! Je vous en supplie
!!
Les larmes s’échappèrent de mes yeux vermeilles sans que je puisse les contrôler, je pleurais
en silence le dos secoué de spasme il n’y avait plus personne autour de moi, seul au monde je pleurais à me meurtrir les joues.
« Sorine reviens… » sanglotais je
Le souvenir d’un baisé, le souvenir d’un regard sur le ciel étoilé, un léger sourire
éphémère sur une peau de lait, des lèvres violacé, des cheveux ébènes, des mains blanches comme la neige, la bouche tendre, le souffle de l’immortel, son corps nu dans la pénombre, ses
gémissements, sa colère, sa tristesse. L’homme que j’aime, ce si merveilleux rêve que j’ai à peine gouté avant de me le retiré violemment. Un film en noir et blanc et déjà notre histoire avait le
goût de la poussière du passé, je respirais profondément tentant de calmer mes pleures, je regardais la moindre parcelle de ciel que je pouvais admirer, les nuages étaient trop épais. Non je ne
peux croire qu’il faisait semblant…Pourquoi m’a-t-il abandonné ? Pourquoi m’a-t-il dit de m’en aller ?
La douce odeur de Sorine m’enveloppait encore, ce n’était pas un rêve, il m’aimait ! Il
m’aimait plus que sa propre vie ! Plus que sa propre mort ! Il m’aimait comme il est interdit d’aimer. Pourquoi ? Son regard, ce vide profond, cette tristesse abyssale, ses lèvres légèrement
pincées, son cœur battant. Sacrifice ? Cela sonnait comme un sacrifice, se serait il sacrifié ? Pour moi ? Pour qu’on me laisse en paix ? Ca serai stupide. Il me répétait sans cesse que j’étais né
pour tuer Gabriel, il me répétait sans cesse que j’avais le sang de la faucheuse, je devais lui donner la mort. La résurrection de Frédéric Faust changeait la donne, Gabriel avait maintenant un
allié de taille ! Son propre père, le légendaire Frédéric Faust un vampire aussi puissant qu‘aimé, me disait Sorine. C’était un immortel hors du commun, serai-je en mesure de le tuer ? Il
semblerait que Sorine en doute fort, je ne serai pas capable de tuer les deux Faust pourtant je me devais d’essayer ! Je préfère mourir plutôt que de laisser Sorine se sacrifier pour moi. Si il
n’est pas avec moi l’éternité n’a aucun sens.
Ce n’est pas finit. Je me redresse décider, remonter ! Je n’hésite pas une seconde et préfère
ne pas penser une seule seconde à l’éventualité que Sorine m’ai effectivement trahis pour de bon. Je préferai qu’il me tue, oui si il ne m’a jamais aimé alors je veux mourir de sa main. Mon destin
n’est pas encore accomplit. Sans plus attendre je pars à la chasse, je tente de suivre la trace des deux immortels mais leur odeur c’est presque dissipé ! Je ne perds pas espoir, il me suffit
d’aller jusqu’à Moscou, là bas les immortels y vivent par millier je n’aurai qu’à suivre l’un d’eux pour me mener au nid de la communauté.
« Pathétique… »
« Eh ! Toi ! A l’intérieur de moi ! »
Oui, en effet je me trouve extrêment ridicule à essayer de me parler à moi-même. Enfin bon !
« On va faire un marché, si Sorine revient vers moi qu’il est effectivement « forcé » de les suivre tu la ferme pour toujours ! Dans le cas contraire t’aurai le droit de faire
un carnage et je te donnerai tout le contrôle sur mon corps. » « Un vampire ne revient jamais sur sa parole tu es au courant ? »
« Je ne reviendrais pas sur ma parole. »
« Marché conclu. »
Pour les fleurs le jardinier est immortel…
Lentement je tendais mon papier à la douane, l’homme scrutait ma photos à plusieurs
reprise, la pluie continuait de frapper le sol, l’imperméable complètement trempé, les cheveux plaqué sur le visage, je gardais mon sang froid - si je puis dire - tout en attendant que le douanier
me redonne mon passport. Les montagnes étaient rare en Lettonie, les forêts en revanches étaient denses et le plus souvent traversé par une rivière ou de grand lacs. La couleur qui me venait par le
fenêtre du poste des douaniers était plus grise que le ciel de Grande Bretagne, la pluie tombait en rafale sur la vitre les épineux étaient rois, leur vert foncé donnait une touche de sombre de
plus, j’étais dans un paysage inquiétant mais à la fois beau par son naturel.
« Вы можете идти туда. » (vous pouvez y aller.)
« Спасибо. » (Merci)
Je récupéra mes papiers pour enfin rentrer en terre russe. La pluie me frappa à nouveau sur le
visage mon imperméable dégoulinait, mes énormes rangers empêchaient mes pied de prendre l’eau mais pour courir ce n’était vraiment pas pratique. J’ai marché jusqu’à la gare qui n’était pas très
loin et j’ai pris un billet pour Tver, une ville industrielle non loin de Moscou. L’homme de la caisse me regardait d’un air étrange, il me tendit mon billet avec hésitation je sentais une pointe
de frayeur dans son regard ce qui me fit presque rire. J’eus un sourire carnacié en sa direction en lui disant un « merci » en russe, mes mots sifflaient comme si j’avais une langue de
serpent et mes yeux noir rougissaient légèrement lorsque je prenais plaisir à effrayer les gens ce qui les terrorisaient d’autant plus.
Je me suis assis sur l’un des banc en bois à l’intérieur attendant ce foutu train, je soupirai de
fatigue. Voilà une semaine que je n’avais cessé de vadrouiller jusqu’à la frontière, mon objectif restait le même et j’étais plus déterminé que jamais. L'expérience en solitaire était difficile, je
pensais sans cesse à Sorine, j'imaginais sans cesse son corps près du mien et lorsque je me réveillais qu'il n'était pas là c'était la déception, l'amer douleur qui m'accompagnait.
J'étais plus seul que jamais, parfois je doutais encore de mes intentions, étais ce vraiment nécessaire ?
En route je n’ai croisé aucun immortel, Frédéric Faust disait donc vrai, plus aucun d’entre
eux n’étaient à ma trousse car il aurait été facile de tuer un vampire en solitaire qui était encore en apprentissage. Je soupirai de fatigue, j’avais forcé sur tous mes muscles pour venir ici par
les voies les plus complexe possible, c’était mon petit entraînement personnel, faute d’hybride je me contentais de dépasser mes limites. Il n’y a quand Lituanie où je me suis arrêté en ville pour
m’acheter de nouveau vêtement et jeté les anciens, j’avais l’allure d’un sauvage qui avait vécu trop longtemps dans les montagnes. Je n’avais pas prévenu Dante pour la « trahison » de
Sorine, je l’ai appelé une fois juste pour prendre des nouvelles de Maria, il semblerait qu’elle était dans un état critique même si son métabolisme hors du commun tentait tant bien que mal de la
remettre sur pied, cela prendrait énormément de temps. Qu’est-ce que le temps pour un vampire ? Une punition sans doute. Le train arriva enfin, je me suis empressé de rentrer à l’intérieur pour me
reposer sur une banquette tranquillement, je quittais mon imper’ et mes rangers, j’ai soupiré une dernière fois en voyant le paysage gris et vert défilé sur ma vitre, nous approcherons bientôt des
villes industrielles et les arbres seront remplacés par des fumées épaisses dans le ciel, des tas de bâtiment dont l’odeur me répugnerait. J’ai baillé comme un gamin et tout en m’étirant je me suis
accoudé avant de m’endormir essayant de reprendre un peu de force.
Je fus réveiller par l’odeur horrible de la pollution, un mélange de cendre, d’essence, de plastique qu’on
brûlait, l’odeur de l’huile chauffée dans les usines, une odeur épouventable qui aurait fait gémir un chien. Je me suis donc redressé un peu de mauvaise humeur, les paupières qui papillonaient en
tentant de voir plus clair, la bouche pateuse je n’avais chassé que du gibier pendant cette semaine et j’avoue qu’un russe ne serai pas de refus. J’observais mon reflet dans la vitre du train,
j’avais les cheveux en pagailles ce qui aurait sans doute fait rager Dante, je souriais en l’imaginant me dire « ce n’est pas très élégant ! » Il était maniaque, il lui arrivait de
déprimer toute une journée parce que sa chemise avait une tâche de café.
Mes yeux avaient prit une teinte très sombre, je n’en voyais plus l’iris, d’un noir profond je
croyais voir Gabriel en plus jeune, ce qui était un compliment. J’ai baillé une nouvelle fois, il n’y avait que deux autres hommes dans le wagon, un dormait encore avec son chapeau sur le visage et
l’autre fixait inlassablement le paysage. Une heure plus tard nous sommes arrivé à Tver, je suis descendu seul, ce petit village entouré d’arbres mort n’avait rien d’accueillant, essayant de ne pas
me faire remarquer j’avais adopté des habits plutôt sobre et dans les tons gris. J’ai pris une grande inspiration, l’odeur des quelques habitants me venaient au fur à mesure dans mes sinus, je
tremblais de faim, mon esprit avait été transporté dans les moindres recoins du village et j’apercevais très bien le visage de mes potentiels victimes, ma vue de vampire était encadré d’un flou
artistique, je pouvais entendre battre leurs cœurs d’humains.
Mon esprit s’arrêta sur une jeune femme, de longues nattes blondes et la peau halé, j’ai
couru immédiatement en sa direction, elle se promenait seule au bord d’un lac non loin. Je soupirais de soulagement m’imaginant déjà planter mes crocs dans sa chair tendre et chaude. Pas un cri,
pas de surprise, elle me fixa avec un sourire mélancolique, des larmes de douleurs s ‘échappaient de ses yeux elle semblait soulager comme si la mort la recouvrait avec bienveillance. J’ai
laissé le corps de la morte au bord du lac, elle avait gardé les yeux ouvert et le sang coulait le long de sa gorge, je pouvais entendre le bruit du sang sortant de sa peau pour imbibé le sol
atteignant maintenant le lac tout en tachant les quelques brindilles d’herbes. La vision de son cadavre était magnifique, on aurait put en faire un tableau. De ses longues nattes s‘échappaient
quelques mèches de cheveux qui se colorait dans l’élixir de vie. J’ai repris la route avant qu’on ne me découvre sur le scène de crime, j’ai rejoins la gare pour prendre un billet pour Moscou,
j’étais prêt à venir chercher Sorine, j’étais prêt à affronter les Faust peut importe si ça m’en coûte, je ne vivais que pour cet instant. En l’honneur de mes parents, en l’honneur de Sorine, en
mon honneur.
Le visage de la blonde le bras ballant jusqu’à l’eau qui se colorait d’une flaque bordeaux, la vie
qui s’écoulait sur une terre humide, les quelques brindilles d’herbes qui entouraient le lac prenaient le couleur de la mort, son corps vidé, son sourire gravé, ses yeux noyés de larmes de
bonheur.
Par Danouch
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Publié dans : Libera me
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alors je suis entre deux envies et j'arrive pas à savoir laquelle est plus forte !!
1 : Sorine est forcé et Lulu est soulagé, mais il va crever xD
2 : Sorine se foutait vraiment de sa gueule et Lulu pète tout sur son passage !!!
Herm !!!! Ché pas .. de toute façon quoi que tu fasse ça me réjouira !! =D
Chu~~~~ et merci pour ce chapitre !!
Bisous la fin approche mes amis la fin approche...hahahahaha
merci pour ton commentaire je t'adoooooore
tu verra bien héhé ^^
et oui toute les bonne choses ont une fin... lol
=)
mercii bisousss