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¤Sommaire¤

Lundi 8 juin 1 08 /06 /Juin 17:49
                              

                       Je bondit sur mon lit, les lèvres retroussés les dents en évidence. Je fus réveiller brusquement par l’odeur d’un Originel dans ma chambre, Maria me regardait moqueuse prête à rire.

« Tu devrais te détendre Luciole. » Me dit Maria le grand sourire aux lèvres
« Ne me dis pas ce que je dois faire. » Dis je sèchement
« Oh très bien ..Ne te vexe pas. Ce que tu es susceptible. » Elle se retourna pleine de dignité « Je voulais te dire que Dante était rentré. »

                              Elle quitta ensuite la pièce. Je pris enfin conscience de la nouvelle et me précipitait au rez-de-chaussée, Dante était bel et bien là avec quelques bandage et un bras platré. Il avait le visage joyeux mais je ressentais la peine qui l’affligeait à chaque seconde, chaque regard qu’il posait sur sa demeure il sentait la présence des âmes tourmenter mortes dans la souffrance. Il revoyait le massacre en boucle.

« Luciole ! »

                          Dit il en me voyant immobile sur les marches Il avança avec difficulté jusqu’à moi, j’entends le bruit effrayant de ses os fracturés, la blessures encore douloureuses et son cœur était aussi perceptible qu’un soleil au milieu de la nuit. Sa chaleur, l’odeur du sang frais, son désespoir qui le rendait si alléchant. Je serrai la barrière des escaliers pour contenir ma faim, l’espace d’une fraction de seconde j’avais fermé les yeux pour me concentré et maîtriser mon appétit.

« Dante écartes toi… » Dit Sorine en bas
« Pourquoi ? »
« Luciole a faim… »
« Je croyais qu’il pourrait se contrôler facilement » Dit Dante effrayé
« C’est étrange depuis ce matin il est à cran…Tu crois que c’est la faim ? » Demanda Maria septique

                               Je les écoutais attentivement, le sang battait dans mes tempes et même si j’avais envie de répondre je me concentrais avec toute mes forces sur cette soif insasdiables.

« Sorine ragardes ses yeux… » Dit Maria en reculant
« Tu crois que… »
« J’en suis certaine ! »
« Qu’est-ce qu’il lui arrive !? » S’énerva Dante
« Ses yeux sont sombres, aussi sombre que le mal. Aussi sombre que ceux de Gabriel… »
« Et alors ? Les yeux de Luciole étaient noirs à la base. »
« Il n’a même plus de pupille Dante ! Gabriel est entrain de prendre possession de lui. » Reprend Maria
«  Comment ? »
« Ils ont le même sang, ils sont presque les mêmes. Gabriel a réussi à trouver un passage dans son psychisme qui était relié au sien. » Conclu Sorine

                                 Ma vue s’assombrissait mais je pressentais avec plus de détails que jamais le sang des personnes présentes, je les sentais comme si elles faisaient partis de moi. Puis ce fut le trou noir. Mes paupières se sont ouvertes presque immédiatement après, Sorine était au dessus de moi et me secouait avec force je l’entendais hurler mon nom.

« Arrêtes de me secouer comme un prunier… » Dis je faiblement
« Tu es vivant petit vampire ! » S’écria Sorine en me serrant contre lui

                      Dante vint à son tour me prendre dans ses bras suite à Maria qui me gifla aussi tôt.

«  Ne nous fait plus jamais ça ! »

                      Je n’avais jamais vu un vampire pleurer et pourtant ses petites perles chaudes coulaient le long de son visage et la rendait si belle que j’en essuyais une gouttes avec le sourire. Elle me le rendit et me serra contre elle à m’en étouffer, j’entendis les deux autres se moquer de moi. Un peu gêner je l’ai repoussé gentiment.

« Que s’est il passé ? » J’ai demandé en retrouvant mes esprits
« Gabriel a tenté de prendre possession de ton corps. » Me dit Dante le visage désolé
« Et tant donner que ton humanité est très présente il n’a pas put te dominer, tu t’es évanouie. Bien sûre Maria a paniqué et a cru que tu étais mort… » Me dit Sorine les bras croisés
« Oh le menteur ! C’est lui qui était le plus paniquer ! Tu aurai dut le voir voler à ton secour tel un chevalier servant ! » Se moqua Maria
« C’est vrai que je ne l’avais jamais vu aussi inquiet. » En rajoutait Dante
« Arrêtez ! Ne lui faites pas croire n’importe quoi !! » S’énerva Sorine
« Pff…Haha ! HAHA ! »

                          Je n’arrivais pas à m’empêcher de rire, c’était sans doute nerveux mais la situation me donna un fou rire. J’avais l’impression d’évacuer toute les tensions et je ne cessais de rire aux éclats. Je fus très vite accompagner de ceux de Maria et Dante alors que Sorine boudait dans son coin. Qu’est-ce que c’était bon.
                            Dante a été informé que Franz avait été enterré sur la colline. Il y alla aussi tôt, désireux d’y aller seul nous l’avons laissé sans surveillance l’espace d’un instant il était tout de même perceptible et si son cœur n’avait ne serai ce qu’une tension plus rapide nous aurions accouru vers lui, Maria était allé chasser pour nous et nous avait apporté des sangs de choix. De toute la journée j’ai lu dans le salon allongé sur le canapé, sans me soucier ce que les autres pouvaient faire j’avais envie de me vider l’esprit. Jusqu’à ce que Sorine vienne me déranger dans ma lecture, il passa à peine devant moi pour récupérer sa veste qu’il avait laissé sur un fauteuil et parti sans même me prêter un regard. Il avait de la rancœur envers moi, je la sentais me pincer, je fermais le livre sachant très bien qu’il allait m’obsédé tant que je ne me serai pas excuser pour notre dernière dispute.

« Sorine attends ! »

                                Il ne s’arrêta pas pour autant, je dus lui courir après et l’attraper par le bras pour l’arrêter et même ainsi il ne se retourna pas, il fixa ma poigne le regard mauvais près à me casser le bras si je ne le lâchais pas. Pourtant je tenais ma prise.

«  Je te présente mes excuses…Je ne pensais pas ce que je t’ai dis l’autre soir. Je ne crois pas que tu sois égoïste. J’étais simplement énervé que Gabriel s’en est pris à Dante, je m’inquiétait pour lui. »
« Ecoutes moi bien Luciole. » Il se retourna enfin « Peu m’importe ce que tu penses de moi, tu as raison je ne pense qu’à moi et je serai capable de tous vous sacrifier pour arrêter Gabriel. Je me fiche de tes bons sentiments je suis un vampire pas une fille à qui tu dois faire la cours. Je t’ai enseigné ce que tu dois savoir et je ne ferai bientôt plus partie de ta vie. » Dit il sèchement

                                D’un geste vif il se libéra de mon emprise, j’étais sous le choc de sa colère, j’avais l’impression encore une fois qu’il m’abandonnait, je sentais la panique m’envahir ! Je ne voulais pas revivre le même cinéma. Il ne pouvait pas me quitter comme ça ! Il n’en avait pas le droit.

« Non ! Tu n’as pas le droit de partir comme un courant d’air ! Que tu le veuille ou non tu fais déjà partie de ma vie…Tu n’as pas le droit de m’abandonner ! Je te l’interdis ! » Dis je complètement paniquer

                            Il s’arrêta net et se retourna le sourire sadique sur les lèvres, il avait revêtu son masque plein d’agressivité et d’insolance.

« Tu es ridicule Luciole. »

                             Il eut un rire sonore, un rire qui sonnait faux, je me postais rapidement devant lui l’empêchant de passer. Il eut un regard surpris puis il fronça les sourcils.

« Pousses toi… » Il marmonna entre ses dents
« Pourquoi ? Pour fuir comme tu le fais toujours ? Tu ne fais que fuir de toute façon. Tu as fuis ta famille, tu as fuis Gabriel, tu as fuis Dante, tu m’as fuis. Tu veux fuir à nouveau parce que tu n’es qu’un lâche Sorine… »
« Qui est le lâche ? Est-ce moi ? Ou est-ce toi qui te voile sans cesse la face, qui se défile à chaque fois que la situation est perilleuse ? Est-ce moi qui refuse la vérité ou toi qui te cache sans cesse derrière un amour fané pour te protégé de tes pulsions, de tes envies, de tes sentiments ! »
« Je ne me cache pas derrière un amour fané ! J’aime Dante ! »
« Tu l’aimes tellement que tu murmure mon prénom lorsque tu dors, tu l’aimes tellement que la jalousie de te rend dingue lorsque je le touche, tu l’aimes tellement que ton cœur ne bat plus aussi vite qu’avant lorsque tu le vois…Tu l’aimes tellement que tu m’embrasse avec passion sous une douche…Tu l’aimes tellement que tu ne fais que penser à moi à chaque fois que je ne suis pas là… »
« Arrêtes tu délires là… » Dis je en reculant voyant qu’il s’avançait à chaque phrase

                            La chaleur montait en moi et je ne pouvais pas contrôler la course de mon palpitant.

« Si tu ne m’aimais pas pourquoi me demander de rester ? Pourquoi m’empêcher de partir ? Qu’est-ce qui me retiens ici ? Rien. Je te l’ai déjà dit, je n’ai jamais aimer rester au même endroit et si il n’y a aucune raison que je reste pourquoi m’imposerai-je ? »

                            Sa voix tremblait trahissant toute son émotion, ses craintes, sa peine, j’en eus des frissons. Je n’avais jamais vu Sorine aussi sensible, j’en fus troublé. Je tentais malgré tout de trouver une parade car il commençait à se retourner, je l’ai retenu aussi tôt.

« Tu m’avais promis de m’entrainer ! Tu m’avais promis que tu m’aiderai à trouver toute ma force et surtout tu disais que tu devais être le témoin de l’ascencion de ma puissance. » Dis je en serrant son bras
« Tu disais que tu étais né à mes yeux uniquement pour tuer Gabriel, à tes yeux je ne suis que ton maître de combat. Tu ne vaux pas mieux que moi petit vampire…» Dit il en souriant

                                Un sourire douloureux, un sourire qui me transperçait le cœur. Je n’avais plus d’argument pour le retenir, mon bras tomba le long de mon corps alors qu’il quittait la pièce avec le ferme intention de s’éloigner de moi. De partir pour de bon me laissant me débrouiller seul. Je le rattrapais malgré tout, je n’arrivais à le laisser partir, je sentais les larmes brûlantes me monter aux yeux.

« Restes ! J’ai besoin de toi ! »
« Pas moi. »
«  Tu n’es qu’un enfoiré ! C’est de ta faute ce qui arrive ! Tout est de ta faute ! Je ne me reconnais pas ! Avant j’étais sûre de moi et aujourd’hui tout va de travers à cause de toi ! Je ne sais pas ce qui me prend ! Je ne contrôle plus rien ! Tout est de ta faute !! »

                         J’avais craqué. Je bafouillais la voix coupé par les sanglots et j’avais honte ! Honte d’être faible, j’avais honte mais j’étais capable de me mettre à genoux pour ne pas le voir partir. Je le reconnais, oui, je l’aimais ! Je l’aimais plus que tout ! Je l’aimais comme je n’avais jamais aimer. J’aimais son sourire, sa force, ses cheveux fins, ses yeux d’or, sa voix fluide, son corps divin. Son teint de statu, j’aimais sa façon de regarder la Lune, j’aimais son excentricité, j’aimais la souffrance dans ses yeux. J’aimais ses lèvres douces et délicates, j’aimais ses mains sans défaut et ses doigts fins. J’aimais sa nuque, s on dos, son torse. J’aimais sa subtilité, j’aimais le mystère qui planais autour de lui. J’aimais son visage sous les premiers rayons du jour, sa tête posée sur sa main contemplant l’horizon. J’aimais Sorine, plus que je n’ai aimé Dante. J’aimais la manière dont il fronçait les sourcils lorsqu’il était contrarié. Il m’avait ensorcelé, dés le premier jour, dés la première fois que j’ai sentis son parfum, que je l’ai entendu, dés la première seconde. J’étais enchaîne à lui, complètement à sa merci et c’est bien ce qui m’effrayais, j’étais faible et vulnérable. J’étais soumis à son charme et totalement dépendant. Il était ma soif, ma faim et ma nuit.

« C’est bon fait ce que tu veux après tout…Que tu restes ou que tu partes ça ne me guérira pas… » Dis je à bout

                          J’allais monter dans ma chambre, j’y étais avant que Sorine n’est put répondre je m’enfermais à l’intérieur désireux de pleurer encore toute la nuit si il le fallait. De pleurer pour panser mon cœur. Je voulais être un vampire, un vampire insensible, intouchable et me voilà pire qu’une adolescente. Ridicule, j’étais ridicule, Sorine n’était pas un vampire qui s’attachait il me l’avait dit lui-même. Il avait pour principe de ne jamais aimer, c’était une faiblesse à ses yeux alors pourquoi espérer ! Il a fallut que je tombe amoureux de Sorine ! Je suis stupide.
                           La nuit arriva rapidement, je fixais ce plafond indéfiniment. Regardant tous mes souvenirs défilés sur du béton, ma vie était remplis de larme, d’amour utopique et de rêves brisés. J’avais besoin d’une étreinte, d’une présence, j’avais besoin de l’amour d’une mère j’avais besoin de ne pas me sentir seul. J’avais besoin qu’on me dise que tout irait bien et que ça allait passer.

« Luciole. Je peux rentrer ? » Demanda Dante derrière la porte
« Si l’autre sangsue est avec toi tu peux faire demi tour ! » Je m’écrie
« Tu parles de Sorine ? Non il n’est pas là. Il est dans ma chambre. »
«  Dans ta chambre ? » Je me suis redressé aussi tôt.
« Il voulait se reposé je lui ai laissé ma chambre. » Me dit Dante innocemment
« Va t’en ! Je ne veux pas te voir… »
« Arrêtes de faire l’enfant Luciole ! Laisses moi rentrer. »

                            Je me suis levé pour lui ouvrir la porte, le regard noir il rentra avec un sourire timide. Il ferma la porte derrière lui pendant que je sautais sur mon lit. Je fixais à nouveau le plafond fasciné par une poussière.

« Écoutes Luciole. Je sais ce que tu ressens. » Dit il en s’essayant à côtés de moi
« Je ne crois pas Dante… »
« Tu grandis Luciole. Je sais parfaitement ce que tu peux ressentir. Ca m’ai déjà arriver tu sais… »
« Je ne pense pas que ça soit la même chose. »
« Je suis tombé fou amoureux d’une femme une fois. Avant de m’intéresser aux hommes j’étais dingue d’un vampire femelle. »
« C’est vrai ? » Je demande intrigué en le regardant cette fois
« Oui. Comme ma mère était tombé amoureuse de mon père. Je suis tombé amoureux d’une immortelle, une magnifique immortelle. Elle avait des boucles blondes, les yeux d’un vert étonnant, c’était un vampire bien sûre mais lorsqu’elle me regardait ses yeux étaient aussi vert que les feuilles d’un chaîne. Elle m’aimait également. Elle a été obligé de partir, l’union d’un homme et d’un vampire était très rare et encore prohiber, sa famille la menaçait si elle ne me quittait pas. Elle m’a donc quitté. Je me suis senti trahis, j’avais l’impression que son amour n’était pas aussi fort que le mien et j’en ai voulus à tous les vampires du monde. Même à mon père. Je sais ce que c’est d’en vouloir à tout le monde, de se sentir trahis, d’avoir l’impression d’être seul. Tu n’es pas seul Luciole je suis là…Crois moi ça ira mieux et si ça peu te soulager Maria est à l’heure qu’il est en train de faire la morale à cet idiot de Sorine. »

                              Dante réussit à m’arracher un sourire, j’imaginais Maria crier sur Sorine comme une furie, si je me concentrais bien je pouvais entendre toute la discussion mais je préférais ne rien écouter. Par peur des conséquences, je n’avais plus envie de pleurer.

« Dante laisses moi s’il te plaît… »
« Je suis heureux que tu me tutoie enfin. » Dit il en déposant un baiser sur mon front

                            Il eut un dernier de compassion avant de fermer la porte. Je me retrouvais à nouveau seul, je me suis quelques heures plus tard. Il était très tard et le palais était encore allumé, je suis descendu dans le salon pour récupérer mon bouquin, j’ai attrapé un coussin et je suis parti m’assoire près de la cheminé avec le roman. J’ai lu jusqu’au petit matin, Maria fut le première à partir chassé ce matin, Dante se réveilla plus tard dans la matiné je l’entendais gémir en descendant les escaliers puis la présence de Sorine me pinçait le cœur. Il soutenait Dante et l’aidait à descendre avec autant de délicatesse qu’avec un nouveau né. Il l’aidait à regagner la cuisine et vint à ma rencontre, mes sens étaient en alertes je me suis dépêcher d’aller poser mon livre lui tournant le dos. Je suis très vite installer devant le piano cherchant un moyen d’éviter la conversation.

« Luciole…Il faudrait qu’on parle. »
« Je suis désolé Sorine on a rien à se dire. Pardon pour la crise d’hier j’étais pas dans mon assiette… »
« Nous sommes insensible aux maladies Luciole. Ne cherche pas d’excuse… »

                           J’ai donc arrêter la piano mais je restais dos à lui attendant ses moqueries, ses phrases terribles, attendant le verdict.

« Je n’ai pas l’habitude de m’excuser. Désolé d’avoir été aussi dur avec toi hier…La raison c’est que… »
« Je ne veux pas savoir Sorine ! » Dis je aussi tôt pour ne pas entendre la vérité « Oublions tout ça. Les évenements récent nous ont chamboulés. »
« Je ne supporte pas qu’on se moque de moi Luciole ! Retournes toi s’il te plaît ! »

                           Je me suis retourné la tête dans les épaules. Il se tenait droit, le visage assombri, il me regardait de haut, de fine cernes renforçaient son teint maladif et ses yeux étaient à nouveau doré. Le coup mis en évidence par une chemise noir et fine. Je ne l’avais jamais vu habiller sans ses longues vestes pleine de couture, de dentelles, sans ses longues chemises blanches. Il était époustoufflant, l’immortel dans toute sa splendeur, un jean sombre et des chaussures vernis noir également. Les cheveux quelque peu ébouriffé et le regard voilé. Il s’était sans doute habiller rapidement, je n’avais jamais remarqué qu’il portait du verni à ongle. Il avait les ongles noir et sur son cou un long collier en argent avec au bout le Christ sur sa croix. C’était tellement cliché du vampire moderne et pourtant ça lui allait si bien, j’étais bouhe baie.

« Tu gâches tout comme d’habitude ! Je tenais à te faire mes excuses mais je crois que ça ne tu n’as rien compris ! Il est temps d’être honnête c’est l’un des plus grand défaut pour un vampire. » Dit il se recoiffant mes ses cheveux tombaient à nouveau devant ses yeux
« Tu veux que je sois honnête ? Très bien. Je refuse d’être sentimentale par ta faute, j’en ai assez d’être prisonnier de ton visage pure et si parfait ! Je décide de laisser ces idioties de côtés pour me concentrer sur le plus important. Gabriel. »
« On peut très bien faire les deux non ? » Dit il d’une voix plus agicheuse que jamais

                         Il s’accroupi face à moi de ses doigts fins il caressait mon menton et rapprochait mon visage du sien.

« Je ne veux pas être ton jouet… » Dis je avec le peu de voix qu’il me restait
« Tu seras mon petit vampire… » Il murmura
Par Danouch - Publié dans : Libera me
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Commentaires

Je me répète mais j'adore Sorine, il est tellement sensuel. Luciole se l'avoue enfin, il aime Sorine, ils vont faire un sacré couple ! Je veux la suite...euh...s'il te plaît ?
commentaire n° :1 posté par : Coki le: 08/06/2009 à 19h42
LE BAISER ... LA BAISER ... LE BAISER ...
WOOOOOOOOOOOOOOOOO OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOUH!!! =D
commentaire n° :2 posté par : Cindy le: 08/06/2009 à 21h56
YEEEEEEEAAAH!!!!
le baiser, le baiser!! (je sais bien qu'il y en a déjà eu un, mais là ça ne sera pas paril..!!)
merci encore pour ces suites extras rapides!!!
bisoux bisoux
bravoOoOOoo!
=D
commentaire n° :3 posté par : V le: 09/06/2009 à 18h05
uhuhuhu... Ils sont trop mignons...

Par contre, il est coriace, ce Dante !
commentaire n° :4 posté par : Lilly le: 13/06/2009 à 16h26
Un petit lemon pour la route?
commentaire n° :5 posté par : LentilleVerte le: 25/10/2009 à 14h56

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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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