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¤Sommaire¤

Samedi 6 juin 6 06 /06 /Juin 13:24



« Luciole est-ce que ça va ? » Me demanda Maria hésitante
« Je vous remercie » Dis je en retrouvant mes esprits

                  Lentement je quitta la pièce, des pas fluide, je me sentais léger et lourd à la fois. Mon aura était amplis de haine et de désir de vengeance, ils le sentaient.

« Luciole…Où vas-tu ? » Demanda Maria inquiète
« Je ne sais pas…Je ne sais plus…J’aimerai faire quelque chose mais ce sentiment d’impuissance me ronge ! Je dois faire quelque chose. » Dis je les dents serrés
« Ta vengeance ne sera pas assouvis…Tu es incapable à l’heure qu’il est de tuer Gabriel. » Dit Sorine de sa voix grave qui n’attendait aucune protestation
« Vous n’avez aucun ordre à me donner Sorine Guild. Je sais pertinemment que je ne suis rien comparer à la puissance de Gabriel. »
« Alors que comptes tu faire ? »
« M’entrainer, maîtriser, exploiter entièrement la puissance que mes parents m’ont donnée ! »
« Tu oublie une chose cher petit vampire, du sang de Gabriel coule dans tes veines. »
«  Et alors ? Je devrais le remercier ? » Dis je ironiquement
« Ce que Sorine veut dire c’est que tu seras incapable de tuer Gabriel. Comme un hybride ne serai capable de tuer son créateur. Il te faudra acquérir une force presque divine pour te défère de tes gènes. » Continua Maria
«  J’ai été crée dans le but de l’anéantir et je suis certain que mes parents intelligent comme ils étaient ont pensé à tout. »

                       Sorine et Maria restèrent silencieux. Je savais bien qu’ils avaient du mal à croire que j’étais capable de détruire celui qui les tenait en laisse. Pourtant eux même me l’avaient dit, j’ai un puit de puissance en moi qui dépasse l’entendement de tous les vampires, mon aura ne se sent même pas pour les petit Originel. En vérité elle était tellement grande qu’elle n’est visisble qu’aux plus puissants, peu importe qu’ils ne croient pas en moi, je me vengerai même si je dois perdre l’éternité pour ça. Sorine eut un rectus, ses lèvres s’arqua en un léger sourire en me regardant, percevait il ma puissance, ma volonté, et ma détermination ? En tout cas Maria le sentait et l’entendait ce qui l’inquiétait encore plus.

« J’accepte. » Dit il soudainement
« Quoi donc ? » Je demande innocemment
«  De t’entrainer jusqu’à ce que tu découvres ta pleine puissance. En réalité j’ai hâte de voir jusqu’où tu es capable d’aller, j’étais témoin de l’ascension du plus puissant des immortels je me dois d’être témoin de son successeur. » Dit il excité à l’idée de se mettre au travail

                       J’en fus enchanté. Sorine allait arrêté d’être gentil avec moi et allait se décider à faire de moi une vrai machine à tuer. Un véritable vampire. Maria pris congé quelques heures plus tard après avoir tenté de nous dissuader de se lancé dans un tel périple seulement nous étions décidés ! Nous étions aussi tétu l’un que l’autre et elle désespéra, elle accepta de garder le secret de notre projet même aux yeux de Gabriel. Elle me promis ensuite de faire tout ce qu’elle pouvait pour m’aider à venger mes parents à sa manière. Je n’avais pas vraiment compris mais il semblerai que je ne sois pas le seul, Sorine restait silencieux et soucieux de ce qu’elle était capable de faire. Elle nous quitta avec un bref au revoir et de grosses embrassades, je cru qu’elle allait me brouiller les os puis elle parti comme un courant d’air. Je restais debout devant la porte attendant que son aura me soit invisible, je ferma la porte étant sûre qu’elle avait quitté la ville sans danger et sans alerte.
                        Epuisé moralement je vins m’assoir sur le grand canapé de Sorine et penchait ma tête en arrière me rappelant que je n’étais plus un inconnu, j’étais maintenant un immortel avec son histoire. J’étais enfin quelqu’un. Je sentis tout à coup soixante dix kilos m’écraser, j’ouvris brusquement les yeux et je croisais le regard doré de Sorine. Ces yeux n’étaient plus rouge ce qui restait un vrai mystère pour moi. Je sentis ses mains parcourir mon torse, petit à petit je me sentais haletant, malgré mon sang froid je me sentais bouillir sous ses mains. Je le repoussa brusquement plaquant mes mains sur sa poitrine. Je fixais mes doigts trouvant la force de ne pas lui céder.

«  Arrêtez … » Dis je sans conviction
« Je ne suis pas ce que vous croyez…Je crois que c’est très mal ce que nous sommes entrain de faire »
«  Ton amour pour Dante n’est-ce pas ? Cet amour qui t’attache à lui, c’est un lien qui ne cedera jamais… »
« Je suis désolé… »
« Je te comprends. C’est moi qui suis désolé. » Dit il avec un sourire tendre

                      Il disparut dans sa chambre. Je me sentais frustré et à la fois soulagé, je n’ai pas eut à le convaincre trop longtemps de me laisser car je crois que je n’aurai pas résisté longtemps à ses avances. Je suis un immortel mais je suis fais de chair et je suis à un stade où les hormones me travaillent énormément. Je décidai à mon tour de me retirer dans ma chambre pour le reste de la soirée, le temps était passé si vite en la présence de Maria qu’il était déjà tard et je n’avais pas dîner. Je n’avais pas faim ce n’était pas bien grave. Je fermai la porte derrière moi et me dirigeait vers mon lit qui avait été la scène de ma crise identitaire. J’espérais que maintenant que je connaissais toute la vérité je pouvais m’y reposer sans que je plonge dans les profondeur mysétérieuse de mon existence. Je m’y callait lentement avec l’espoir de m’endormir comme un être humain par simple caprice de n’avoir conscience de rien autour du moi jusqu’à l’aube. Je m’endormie à nouveau sans aucun rêve pour troubler ma nuit.

                      De l’herbe frâiche à perte de vue pour que ton sourire y sommeil…
                      L’odeur du sang me réveilla aussi tôt. Une panique incontrôler me submergeais. Sorine ! Je me suis précipité hors de ma chamre et avant même d’y pensé j’étais dans sa chambre. Je fus soulagé de le trouver endormie au fond des ses draps, le visage serein. Une seconde…Sorine ne dort jamais ! Je les secoué comme un prunier hurlant son nom avec le peur irrationnel qu’un vampire soit entré dans sa chambre est l’ai mordu alors qu’il avait le dos tourné.

«  Oh ! Luciole lâches moi ! »
« Idiot !! Tu m’as fait une peur bleu tu ne pas être insomniaque comme tout vampire normale ! »

                      Je criais furieux d’être ainsi si ridicule devant lui. Il resta un instant sans parler, ses yeux étaient devenus aussi rond que des billes, je le regardais comme si il était fou.

«  Quoi ? »
« Tu m’as tutoyé … » Dit il à deux doigts d’éclater de rire
« Et alors ? La n’est pas le problème ! Pourquoi étais tu en train de dormir ? »
« Parce que j’étais épuisé. Un vampire à le droit de dormir tu sais, ce n’est pas interdit. Cela va faire des mois que je n’ai laissé mon corps entier sombrer dans le sommeil. Ce n’est pas une nécessité mais j’aime bien dormir, je suis un grand fainéant. » Dit il en se recouchant
« Quel cet odeur de sang alors… » Dis je septique
« Surement le cadavre d’une fillette dans la rue. » Dit il en se moquant «  J’en sais rien moi ! En tout cas rassures toi je n’ai pas mangé dans ma chambre. » Se moquai-t-il à nouveau
« Je vous dis qu’il y a une odeur de sang dans cette maison ! »

                      Je dis en le secouant pour ne pas qu’il se rendorme Il m’attira brusquement par le coup, nos visage était si proche que ses lèvres chatouillaient les miennes, mon cœur battait la chamade alors que je retenais mon souffle fixant sa fine bouche.

« Si tu ne me laisses pas dormir tranquillement… » Dit il d’une voix suave
«  Ca va Ca va ! Je te laisses ! » Dis je en m’écartant

                       Je quittais la pièce aussi tôt, reprenant mes esprits pour effacer cette image tentatrice de mon esprit. J’en étais gêné rien que d’y penser ! Exciter comme jamais, cet homme était un véritable fantasme à lui tout seul. Puis brusquement je réagis au spectacle dans laquel je m’étais trouvé propulsé, l’odeur du sang avait imprégné toute la maison pour une seule et unique raison. Des centaines de corps étaient épinglé au murs. Des corps dénudés et vidés de leur sang, le visage déformé par la terreur, des enfants, des femmes, des hommes. J’en eux presque des hauts le cœur, celui qui avait fait ça avait transformé ce massacre en œuvre d’art, il était fier de lui je ressentais toute sa jubilations dans chacune des morsures qui formait un dessins sur les cadavres en putréfaction. J’ouvris la porte de la chambre de Sorine à reculons, j’étais sidéré par ce spectacle, je n’arrivais pas à me détacher de cette horreur.

«  Dites moi que je rêve… » Je murmurais
«  Luciole … » grogna Sorine
«  Il faut que tu viennes voir ça…C’est…C’est indescriptible… »
«  De quoi tu parles ! »

                       Il se leva enfin et se figea net lorsqu’il me poussa pour se rendre compte de la situation Les yeux exorbités. Leurs nudité mis à la vue de tous, cette soumission évidente. Une ombre menaçante autour de nous. Ce n’était pas anodin ! Ce n’étais pas normale ! C’était un message, quelqu’un sait pour mon existence. Peut être Gabriel, cette mascarade est digne de lui.

«  Seigneur…Il nous a retrouvé… » Dit il paralysé
«  Où est il ? » Je demande d’une voix basse comme si il nous écoutait
«  Pas en ville en tout cas. Nous l’aurions ressentis, ce que tu dois savoir sur Gabriel c’est qu’il déteste par-dessus tout qu’on se moque de lui… »
«  Dante ! »Je réagis soudainement.

                    Si il était au courant de mon existence et qu’il était furieux il allait s’en prendre à Dante, c’est lui qui m’a caché, qui m’a sauvé, c’est lui qui lui a promis que je ne serai plus de son monde. Il a monté une comédie macabre et à réussi à berner le grand Gabriel Faust. Je sens tout le sentiment de trahison de Gabriel, cette haine qui rugissait en lui comme un troupeau de lion, elle imprégnier dans la moindre parcelle de ces murs.
                    Nous nous sommes regardez totalement pris au dépourvu mais notre regard était le même. De suite nous sommes partis en direction du palais Faust. Nous mettions toute notre puissance et nos capacités ! Il fallait arriver près de Dante en quelques secondes car Gabriel y était surement depuis longtemps. Mon cœur battait tellement vite que j’eus du mal à me mettre à la même allure, rien qu’à l’idée de penser qu’il était trop tard ma vitesse augmentait. Je sentais la rage et la haine me donner de l’adrénaline. Je n’étais jamais aller aussi vite, ce qui nous entourait n’avait plus de forme, je dépassais pour ainsi dire le mur du son sans aucun problème.

« Pourvu qu’il ne soit pas trop tard.. » Murmurait Sorine

                      Je le regardais aussi tôt, il était inquiet, si inquiet que j’en fus surpris. Je ne l’avais jamais vu exprimer autant ses sentiments. Le visage de Dante était la seule chose que je pouvais voir dans mon esprit et je me laissais porter sans faire attention où j’allais, mon cœur dictait ma conduite et très bientôt je serai devant la démeure de ses dix années passées.
                    Le manoir n’avait pas changer, les arbres étaient fleuris, la peintures était la même et le grande porte au dessus des escaliers était fermé. Je me concentrais pour sentir l’aura de Gabriel mais rien ne me vint, pas même le battement des cœurs de tous les mortels qui devaient être présente dans cette maison. Je me précipitais pour m’assurer que tout allait bien quand j’ouvris la porte ce fut le choc. Du sang, du sang partout ! Des litres et des litres de sang qui recouvrait tout ce qu’il avait dans le palais !

«  DANTE !!! »
«  Non Luciole attends ! »

                    Je me suis précipité à l’étage, j’ai ouvert brusquement la porte de sa chambre, elle était bien rangé comme à son habitude. Propre et sans désordre. Les corps des serviteurs sonchaient le couloir, je suis rentré dans ma chambre qui n’avait pas changé. Je suis rentré dans toute les pièces sans la moindre trace de Dante, je m’écroulais dans le grand halle désespérer à l’idée de le trouver vivant. J’imaginais que Gabriel avait d’abord tuer celui qui avait ouvert la porte, il s’en était prit à tous les serviteurs en premier. J’imaginais Franz qui avait caché Dante comme un père l’aurait fait avec son enfant, il s’était ensuite livré en sacrifice refusant de dire où il l’avait caché, sans doute dans un endroit imperméable à notre odorat où notre ouïe. Je reprenais petit à petit espoir.

«  Calmes toi Luciole, Gabriel n’aurait pas tué si facilement Dante. Il a plus d’un tour dans son sac. »
«  Il faut trouver le couloir où il y avait tous les tableaux ! »
« Comment ça ? »
« Je connais bien Franz quand il a vue Gabriel furieux il a avertis aussi tôt Dante qui s’est réfugié dans un endroit étanche à nos pouvoirs. Sans doute qu’il l’a obligé à se cacher, Franz à dut se sacrifier comme tous les autres serviteurs pour donner du temps à leur maître. Dante est encore ainsi j’en suis sûr ! Sans doute dans le couloir sur l’aile gauche du palais ! Il me semble que de là bas je n’entendais jamais rien. C’était comme ci nous étions transporter dans un autre monde. Je crois savoir que c’était l’endroit favoris du père de Dante lorsqu’il voulait prier, ainsi Gabriel ne pouvait pas venir l’embêter lorsqu’il était tout petit. »
« Gabriel connaissait ce palais mieux que quiconque Luciole ! Si Dante s’y était caché il l’aurait retrouvé… » Dit il gravement
«  Non ! Je refuse de croire ça ! »

                       Je fonçais aussi tôt à la rechercher de Dante, me répétant sans cesse qu’il n’était pas mot, qu’il était bien vivant, je lui demandais de m’attendre, je lui demandais de ne pas paniquer. Je parcourais les pièces, les escaliers à la recherche de ce couloir, je montais, descendais, pour enfin accedeur à un corrdor sombre, sans lumière, où des portraits me fixaient avec horreur. A nouveau l’odeur du sang, j’accourais au fond du couloir et entrant dans l’unique porte à laquelle on accédait.

« Dante ? Tu es la dedans ? Réponds moi…réponds moi je t’en supplie… » 

                        La pièce était plongé dans le noir mais je distinguais tous les meubles et les recoins de cette pièce, l’odeur du sang était de plus en plus forte et très vite je percutais quelque chose étendue par terre. Le gorge serrés, les larmes me piquant les yeux je me suis abaissée pour constaté qu’un corps était étendue là, j’ai retourné le corps en ravalant ma salive les larmes débordant déjà mes yeux.


Hihi alors enfin débarassé de Dante !
lol
Je remercie toutes celles qui continuent de lire ! Merci à toutes celles qui me soutiennent je vous adore =)

Par Danouch - Publié dans : Libera me
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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