Jeudi 2 juillet
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15:49
Kayaaa !!!! J'adore cette suite
Oui je m'aime toute seule et alors! !!! Qui le fera pour moi ? Vous ? Vous m'aimez ? LoL
J'arrête avec mes délires !
Voilà la suite de Libera me ! Pas très longue je l'avoue mais je suis fier de moi parce que je me suis relu rapidement (rapidement !!! )
Alors en ce qui concerne CCM mélo à trouver la fin pas très compréhensible, ce que je comprends ! (trop forte
danouch !) c'est fait expret pas de panique ! Il faudra lire WSH pour comprendre car Link fait pas mal
d'apparition de cette histoire
Pour tous ceux qui n'ont pas lu WSC, il est tout à fait possible de lire WSH, puisque je resume un peu à
chaque fois l'histoire de Sanzo, pour ceux qui ont des questions je veux bien les éclairé
Bon maintenant je vous laisse lire ! J'espère que vous apprécirez
JE VOUS AIME !
BISOUS !!
Ps : Désolé si mes suites sont un peu longue à venir ! ^^" j'essaye de commencer une histoire avec des images sims mais c'est pas facile ! lol
Ps(2) : J'adore ma belle image
Danouch
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J’entends une
orde de vampires se diriger vers moi et se fut dans le sang et les cris que leurs yeux rouges s’éteignaient sous les faibles rayons du soleil qui traversaient les feuilles des épineux, l’odeur de
leur chair étendu sur le sol me fit frisonner les narines, mes canines chatouillaient mes lèvres violacées de désir. Je tentais de raisonner mon esprit enivré pour me diriger vers l’extrêmité de la
forêt, aussi rapidement que possible j’essayais de ressentir la présence de Sorine mais aucune odeur d’Originel me vint, celle du sang était trop forte et s’accrochait à moi comme une brume
grandissante. D’arbres en arbres, il me fallait me poster en hauteur pour respirer un air moins sale, je grimpais dans un des grands épineux pour me percher comme un aigle gaitant sa proie. J’ai
fermé les yeux pour me concentré sur toutes les sensations possibles, toutes mes impressions, toutes les odeurs, le moindre bruit…Sorine était introuvable, il ne me restait plus qu’à espérer qu’il
me trouve par son expérience de la chasse.
Le
bruit d’un arbres brisé ! A quelques kilomètres derrières le bruit fracassant d’un arbre qui tombe à terre faisant vibrer les entrailles de la planète, les cris d’oiseaux comme un souffle qui
balayait mon visage. J’ai fronçés mes prunelles sanguine, une aura meurtrière se dirigeait vers moi, un aura différente de celle des hybrides, c’était une aura puissante et agressive. Mes dents
régissaient à l’odeur de l’immortel approchant, il était rapide, il avait la délicatesse d’un chat mais la férocité d’un lion ! J’ai bondit de mon arbre retombant au sol avec la légèreté d’une
plume, je gardais le regard dans le sens de l’immortel, il approchait plus vite que je ne le pensais. Je sentais sa hâte, sa joie, sa faim. Sans plus attendre j’ai couru pour fuir l’immortel, son
odeur couvrait presque l’odeur du sang, ce n’était vraiment pas un hybride.
L’Originel était
sur ma trace je le sentais renifler la moindre odeur qui était suceptible de le guider. Je continuais de le fuir, je tentais de faire des détours pour lui brouiller les pistes mais il était plus
futé que moi, il savait très bien ce que je pensais, il était plus rusé que Aaron. J’avais à mes trousses un assassin, un Originel qui ne vit que pour tuer ça seule passion était de détruire des
êtres aussi puissant que lui ! Il ne tuait que les Originel à sa hauteur, il jouissait de l’incertitude de la fin de ses combats. Se battre sans être sûre de l’issu, se donner encore plus. Je
ressentais toute sa fierté. Sans vraiment savoir pourquoi j’ai décidé de m’arrêter, après tout, les vampires sont tous des êtres fier, ne suis-je pas là pour m’entraîner ? Si je ne suis pas capable
de tuer un chien de Gabriel je ne serai pas capable de le tuer. Je brûlerais les ailes de ce rapace.
Un courant d’air balaya mes cheveux, la
puissance de son arrêt face à moi avait fait trembler les arbres. Des cheveux aussi sombre que la nuit, d’un ébène presque parfait, une couleur de peau bleuté, des yeux cernés rouge comme le sang,
des lèvres fines retroussé arqué formant un sourire de satisfaction, je pouvais entendre son cœur battre plus vite à chaque seconde, il était impatient. Sa fine chevelure, couvrait à peine son
crâne, de long habits noirs et des gants en cuir que j’entendais couiner au moindre mouvement.
" C’est donc toi Luciole…il n’y a pas de doute. Je me présente, Zeke. "
" A quoi bon continuer les politesses, dis je en fixant son regard "
" Je pensais que ça te ferais plaisir de connaître le nom de la main qui t’achevera. "
Le dénomé Zeke me fit une réverence
gracieuse avant d’appraître juste devant mon visage, sa vitesse était impressionante seulement il m’en fallait plus pour me faire peur. Le combat pouvait commencer. Nous étions deux corps léger qui
flottaient dans l’air et à chacun de ses coups qui découpaient le vent j’avais la parade plus puissante que le roc. Chaque mouvement était calculé, nos auras avaient pris la pleine mesure de leur
puissance destructrice. Le parfait petit paysage qui nous entourait allait ressembler au champ de bataille d’une guerre mondiale. Mon corps se brisait sur des troncs fendu, j’enterrai le sien dans
le sol formant des cratère, lorsqu’il se relevait il emportait avec lui pierre, terre, racines. Son corps était aussi résistant que du diamant. Percher sur mon tronc décapité il vint à nouveau à
l’attaque, notre combat dégageait un parfum de poudre explosive, nous étions si rapide qu’un œil humain ne pouvait nous voir, les ondes de choc de chaque coup paré faisaient trembler la montagne et
le bruit d’un grondement venu des entrailles de l’enfer. Zeke riait à s’en déformer le visage, mes yeux me piquaient d’autant plus, chaque poing, chaque chute était une douleur qui réveillait en
moi une agressivité infinie. J’avais la sensation d’un liquide froid qui me coulait dans les veines et qui me brûlait la peau. D’un cri de rage démesuré j’ai tenté de frapper Zeke, il réussit à
esquiver à temps et ce fut le sol qui se brisa, un cratère d’une dizaine de mètres de diamètre se forma. J’arrachais ma main à la roche que j’avais détruite, je regardais la poussière se lever, des
ondes sismiques traversaient toute la vallée. Zeke restait en retrait m’observant avec moins d’enthousiasme. Je me suis déplacé à la vitesse de la lumière pour me poster face à Zeke un sourire
satanique qui déchirait mon visage, mes pupilles n’était plus qu’une masse noire informe coulant dans ma rétine, la liquide froid me brûlait les yeux et ma vision était plus pricise, je pouvais
voir son aura, je pouvais entendre son cœur palpité juste à côté de mon oreille, je sentais mes ongles grandir comme des lames aiguisées. Un visage terrifié, Zeke avait trouvé son maître.
D’un geste rapide j’ai attrapper sa
gorge, je l’ai obligé à s’agenouiller, un rire roque sortait de ma bouche. Je ne me contrôlais plus, j’avais cette envie horrible de l’ouvrir comme un lapin, j’avais ce désir brûlant de le voir
pleurer et me supplier, j’avais l’âme aussi meurtrière que celle de Gabriel. Une douleur horrible me rendait fou, une douleur à la tête qui me martelait le crâne, dans un dernier râle j’ai plongé
ma main dans la bouche de Zeke qui avait hurlé comme une proie déjà tuée. Je plongeais mon bras dans son entre, le sang jaillissait de sa bouche comme une fontaine, la sensation de ses organes me
faisait frémir jusqu’à ce que j’attaigne son cœur encore chaud et battant je l’ai retiré de son corps comme on dépouille une poule. Je l’ai écrasé comme une vulgaire miette de pain laissant le
corps de l’immortel mourir sur la roche froide.
J’ai repris ma course mes jambes me faisaient
presque voler, mes yeux gardaient leurs couleurs noirs, je parvenais à distinguer plus d’odeur sous cette nouvelle « apparence ». La douleur me frappa à nouveau je fus obliger de
m’arrêter me tenant le crâne comme fou allié ! J’aurai aimé me l’écraser contre un tronc pour que la douleur cesse mais je me contentais de grincer des dents en espérant que ca s’apaise.
« Tu n’as toujours pas compris… »
« Qui …êtes vous…? »
« Celui qui te donne autant de puissance, je suis ta seule chance de battre Gabriel, je suis ta seule solution pour couler des jours heureux en compagnie de ton cher et tendre
Sorine… »
« Je deviens fou… » Grinçais je en me tenant la tête
A nouveau cette voix faisait écho dans
ma tête, une voix envoûtante. La voix que je n’avais plus entendu depuis mon éveil à ma véritable nature.
« Sorine et Dante se trompait. Il croyait que j’étais ton côté vampire alors qu’en vérité je ne suis rien d’autre que Luciole…Je suis le véritable Luciole, celui qui t’es parents on crée
et que tu as enfermé dans ton âme. »
« Aah ! Mais ta gueule !! » La douleur était si vive qu’on devait me verser de l’acide dans le cerveau
« Tu n‘as rien compris mon pauvre ! Toi seul t‘infliger une telle douleur, tu t‘acharne à devenir un être que tu n‘es pas ! Deviens enfin l‘être que tes parents ont voulus crée ! Tu dois
devenir Luciole ! »
« Je perds la boule ! Ah ! SORINE !!! »
« Il ne viendra plus… Tu crois que Zeke était le seul Originel puissant présent dans cette forêt, Gabriel n’est pas fou… » « Sorine … »
Sans me soucier de mon mal de tête je me suis relevé me forçant à
courir, avec toute la force dont je disposais j’ai tenté de retrouver son odeur, son parfum ! Un bruit de combat ou de même sang coulant sur la terre. Me cœur fit un bon lorsque qu’un léger bruit
vint à mes oreilles, le bruit d’une voix faible et mourrante.
« Luciole… »
J’ai couru si vite que le paysage se déformait ne formant plus
que des traits passant à vive allure, j’arrivais à la sortie de la forêt. La vision fut horrifique, des corps sonchaient les pavés de la route qui traversait la vallée, des corps entassés formant
un montagne de chair avec au sommet un Originel dégageant une aura aussi sombre que les plantes au mourraient autour de lui. Des yeux d’un bleus sibérien, des cheveux noirs tombant en cascade sur
ses épaules, un sourire fin et appaisant. Un regard à vous glacer le sang, le fantôme du château, l’éternité sur un visage tel un tableau dans un musé.
« Frédéric Faust. » j'ai murmuré
Par Danouch
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Publié dans : Libera me
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