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Mardi 18 mai 2 18 /05 /Mai 19:50

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              Le futur n'était pas quelque chose au quel j'aimais penser, le futur était comme une oeuvre d'art abstraite, hideuse et ennuyeuse. Pas la peine de vous dire que pour mon frère le mot "futur" n'était même pas dans son vocabulaire, il avait déjà assez à faire avec le présent pourquoi s'emmerder avec le futur ? Les gens pensent trop à l'avenir, c'est du temps perdu pour profiter du présent.

              C'est le genre de discours que je tenais habituellement devant tout le monde, enfin lorsqu'on me posait la question. Heureusement que je suis un bon comédien.

 

- Tu pourrai lui garantir un futur encore plus beau si tu lui achetais ce violon maman. Dis je

Elle était assise face à moi. Les bras croisés sur son tailleur.

- Tu te rends compte du prix d'un violon ?

- Imagine que Angelo soit réellement doué ! Tu te rends compte du retour sur investissement !

- Matteus, tu crois vraiment qu'Angelo, notre Angelo sera capable d'apprendre à jouer du violon. Ce n'est pas pour rien si c'est l'instrument le plus difficile à jouer.

- Bon écoutes. Tu vas lui acheter ce violon, j'en ai marre de jouer les diplomates.

- Pardon ? S'offusque ma mère

- Tu lui dois bien ça.

- Devoir quelque chose à mon fils ?

- Tu as quand même oublié qu'il était allergique aux haricots.

- Ça arrive à tout le monde.

- C'est ça, cherches des excuses. Je suis sûr que tu ne le savais même pas, tu préfères acheter des papiers peint hors de prix plutôt que d'offrir un cadeau à ton fils qui reste cloîtrer dans cette maison toute la journée. Pas étonnant qu'il devienne dingue avec une mère pareil, si je devais te supporter H24 je me suiciderai aussi tiens ! Il ne t'a jamais rien réclamer et pour une fois qu'il exprime enfin ses sentiments tu t'obstines à rester stupide. Ouvres les yeux merde ! Si t'en a rien à foutre de lui achètes lui au moins ce qu'il veut, il te fichera la paix comme ça ! Et on aura plus à parler de ça. Ca me fout déjà la nausée de supporter ton hypocrisie à chaque fois que je te vois alors si en plus je dois négocier pendant dix ans ca va vite me rendre malade. Craches ta carte gold, une parmi les dix que tu planques dans ton coffre qui te sert de sac à main.

 

                 Je me lève et tend la main, ma mère bouche bée, devient plus livide que le blanc de ses escarpins, ses boucles d'oreilles à un million brillent pendant qu'elle cherche son portefeuille dans son sac. Au bord de l'évanouissement elle me tend la carte, tremblante, sans dire mot, encore sous anesthésie. J'avais frappé un grand coup cette fois, elle l'oubliera vite. C'est une faculté assez étonnante chez elle, elle ne cherche pas seulement à se faire passer pour une blonde profondément creuse, c'est une blonde profondément creuse, en fouillant on pourrait y trouver du pétrole.

 

- Gracie.

Je vérifie la validité de la carte et montes les escaliers quatre à quatre.

- Angelo prend ton manteau on part en ballade.

 

              Il s'éjecte du lit à vitesse grand V et se rue sur sa veste pour se poster devant moi comme un bon petit soldat. Je lui ébouriffe les cheveux avant de récupérer ma veste dans ma chambre.

 

- Au revoir maman ! Lui lance Angelo

 

              Encore sous le choc elle ne répond pas, j'ouvre la porte sans regarder derrière et attend dehors pour qu'Angelo puisse me suivre. Il ferme la porte, de ses petits pas empotés il me rejoint et nous partons en direction du centre.

 

- On va où ? Il demande

- On va chercher Alec. Après on ira dans un magasin de musique.

- Musique ? C'est cool.

 

               Je remonte le col de ma veste et me cache du petit vent qui se lever depuis le début du week-end, l'été ma parait bien loin alors que nous sommes à la mi-juin. Je jette un coup d'oeil vers Angelo qui me suit à la trace, distrait par ce qui l'entoure. Nous arrivons rapidement devant chez Alec qui nous attendait dehors, en t-shirt. Je reste stoïque à le regarder.

 

- T'es au courant qu'on a perdu dix degré.

- Possible. Il me répond en crachant la fumée de son join.

- Salut Alec ! Lui dit joyeusement Angelo

- Salut.

 

                Il ne pourra pas faire mieux. Je soupire et m'avance suivit par les deux autres, Alec arrivent à ma hauteur, il jette son marocain dans les feuillages du voisin. Les mains dans les poches, le regard vitreux, j'en déduis qu'il n'était pas à son premier join. Il n'est jamais à son premier join, à croire qu'il a prévu de s'en rouler un la veille pour se défoncer le matin même. Nous, commun des mortels, nous buvons du café à la place.

 

- On est bientôt arrivé ? Demande Angelo

- Ouais bientôt. 

- Où est-ce qu'on va au juste ? Il me demande naturellement

- Chez Gried.

- Woua...

- Quoi ? 

- Je me suis jamais rendu compte à quel point il avait un nom à coucher dehors.

- Quand t'es défoncé t'as des sacré éclair de génie, ironisais je.

 

               Après cette longue conversation, le trajet fut plus silencieux puisqu'il a sorti une cigarette, Angelo murmurait une musique qu'il avait sûrement entendu à la télé, il ne fait que regarder Mezzo depuis qu'Alec lui apprit l'existence du classique. La petite boutique en coin de Gried passe inaperçue, une fenêtre minuscule, l'intérieur l'est tout autant. Rien d'accueillant en somme mais lorsqu'on descends dans la cave, c'est la caserne d'alibaba. Les instruments se suivent, s'en est presque époustouflant. Des grattes les plus rare aux piano les plus grand.  

 

- En violon j'ai un large panel aussi, des classiques violoncelles, des violon noir au reflet vert typiquement celtes ! Des violons customisés et enfin les trois Stradi'. Pour un débutant il voudrait mieux un classique en cas où ça ne lui plairait pas. Ca éviterait de dépenser des grosses sommes.

- Choisis Angelo. Dis je en me tournant vers mon frère.

 

              Instinctivement il tend son indexe vers un Stradivarius, il le caresse le long des fentes et touches, les cordes tendus. A nouveau emporté dans son monde un sourire s'étire sur son visage, toutes dents dehors il retire ses mains de l'objet sans le lâcher du regard. Je me penche pour voir le prix.

 

- Je ne peux pas te faire de prix Matt, même si c'est toi. C'est un modèle beaucoup trop cher.

- Pas grave. Pas besoin de papier cadeau, je lui tends la carte de ma mère.

 

             Gried affiche un grand sourire, son appareil dentaire brille sous les projecteur de la cave, nous remontons à la surface. Angelo semble plus agiter ne comprenant pas trop pourquoi nous partions si vite, Gried ne tape même pas le prix sur sa machine, il m'offre le caisson en revanche et me rend la carte.

 

- Reviens quand tu veux ! 

- Merci ciao Gried.

- Faites gaffes ciao !

 

            Nous rentrons chez moi, le violon sous la main, Angelo manque de trébucher plusieur fois trop obnubilé par l'étrange valise que je porte, je suis cruel de le faire attendre mais c'est tellement bon de le voir plus excité que jamais. Il se pose énormément de questions intérieurement et ne veut pas les exprimer, je le fais patienter encore plus longtemps. Une fois dans la maison nous montons les escaliers calmement sous le regard intrigué de ma mère. J'ouvre la porte de ma chambre, Alec se jette sur le lit et ouvre la fenêtre pour fumer tranquillement sa cigarette, faisant prolonger le suspens je prends le temps de quitter ma veste et pose l'instrument sur mon bureau. Je le reprends et me dirige normalement vers mon frère qui est au bord de l'explosion.

 

- Tiens. Je lui tend le caisson. Il est à toi maintenant.

 

          Angelo n'arrive pas à articuler un mot. Ses petites lèvres rétrécissent, ses yeux se plissent, il tente tant bien que mal de s'empêcher de pleurer. Une grimace de frustration transforme son visage comme celui d'un enfant qui s'apprête à éclater en sanglots. Quelques secondes plus tard ce fut l'émotion de trop, il lâche tout et ne retiens même pas ses cris de joies. Il se jette contre moi me serrant dans ses bras à me broyer les os, ses larmes tachent mon sweat mais je m'en fou. Je m'en fou royalement car je suis heureux, je suis putain d'heureux !

 

- Je peux le montrer à maman ? Il demande le visage ruisselant de larme.

 

           Il renifle grossièrement et s'essuie les joues avec sa manche avant de partir en courant pour montrer son nouveau cadeau à ma mère. Elle va l'ignorer poliment avec un banal " C'est bien mon chéri montes dans ta chambre t'amuser avec. " . Angelo est un grand rêveur, c'est dans son caractère d'espérer sans relâche, au fond il n'arrivera jamais à l'idée que sa famille parfaite n'est qu'un tas de cailloux. Que du vent.

 

- Moi aussi je veux un violon, me susure Alec à l'oreille.

 

            Il était si proche que je put sentir le souffle chaud me caresser la nuque, une vague de frisson me sorti de ma torpeur. Je sens ses mains descendre jusqu'à mes fesses qu'il épouse parfaitement avec ses paumes, il se délecte de la vue je peux entendre son souffle déjà haletant. Je fonds littéralement, un pantin entre ses mains je ne proteste pas et profite de ses mains baladeuses de moins en moins timides.

 

- Matt ! Hurle mon frère

 

            Je repousse violemment Alec qui s'en va tomber sur le lit contre le mur, surpris il me regarde incrédule alors que Angelo déboule dans la chambre ne se doutant pas une seconde qu'il a failli nous surprendre.

 

- Matt ! Matt ! Maman a dit que j'allais avoir un professeur pour apprendre à jouer ! C'est bien hein !

- Oui géniale, dis je difficilement enthousiaste.

Il sort de la chambre le caisson à la main.

 

             Je ferme la porte, respire un grand coup, j'ai bien cru qu'il allait nous trouver l'un contre l'autre, Alec la main dans mon pantalon et moi gémissant comme une pénitente. En y réfléchissant l'image que je viens de m'auto-inspiré m'excite vraiment, rien que de voir le visage sérieux d'Alec me donne des frissons. Je me retourne un spasme me parcours mais je fais abstraction, le regard mauvais d'Alec refroidi toutes mes ardeurs.

 

- Quoi ?

- Rien. Il sort un join de son paquet.

- Te fou pas de moi ! Pourquoi tu tire cette gueule ?

- Rien putain !

- T'as tes règles ou quoi ? T'es vexé parce que je t'ai repoussé ? Mon frère aller rentrer dans la chambre c'est normal !

- Je m'en branle.

 

             Exacerbé par son comportement je me jette sur ma veste, je vais aller faire un tour ca va m'aère les neurones. Je claque la porte de ma chambre sans vraiment le faire exprès et descends les marches pour prendre une violente douche. Je n'avais pas remarquer qu'il s'était mis à pleuvoir et c'est pas une légère averse, ni quelques gouttes. C'est de la bonne grosse pluie d'été qui te trempe de la tête aux pieds en dix secondes. Je rentre chez encore plus énervé, il en fallait pas plus pour me faire bouillir le cerveau. Je serre les dents pour ne pas craquer et remontes les marches marquant chaque pas à chaque marches. J'ai vraiment la poisse.

            

- Tu sens le chien mouillé.

- LA FERME ! Je hurle

 

              Alec reste stoïque, je crois qu'au fond il jubile, le join au bec il recrache la fumée avec nonchalance. Je reprends mon souffle au bord de l'implosion, son visage si insensible me rend dingue ! Cette nonchalance ! Cette insolence ! Tout lui passe au dessus de la tête ! Les rares coups de colère ne sont que des pures caprices de gamins et ces sourires je ne les aperçois que lorsque je le baise ! PUTAIN DE BORDEL DE MERDE IL M'ÉNERVE ! IL...Il...il...

              Je lui saute dessus sans attendre une seconde de plus, lui arrache les lèvres dans un profond baiser, engouffre ma langue de sa bouche pour chercher la sienne, la caresse, l'enroule lui fait vivre un véritable tourbillon de saveur. Je plonge dans une chaleur intense et ne m'étonne pas de la buée qui recouvre déjà la vitre de ma chambre. Je lui déchire son t-shirt sauvagement ne lui laissant pas un instant pour respirer, je parcours son torse de baiser, je formes des cercles avec ma langue autour de ses mamelons dressés. Mes mains épousent ses formes parfaites, chaque courbe de son corps, chaque parcelle de peau. Je marque sa chair, je lui mordille le lobe de l'oreille joue avec ses lèvres, descends jusqu'à la clavicule que j'embrasse remontant jusqu'à sa pomme d'adam. Je déboutonne en même temps son pantalon, je plonge ma main dans son boxer le masturbant avec fougue. Il serre les dents et penche sa tête en arrière pendant que mordille sa peau. Ses mains plongent dans mes cheveux, se contact me fait frémir, il descends dans ma nuque et retire ma veste avec plus de sensualité et moins de brutalité.

            La tension redescend, je perds de ma voracité, Alec devient plus tendre que jamais, je ne le connaissais pas si tendre. Il enlève mon t-shirt et en profite pour embrasser mon torse, ses mains se planquent sur mon corps dénudé, remontent jusqu'à mon cou, s'engouffre dans mes cheveux. Il se redresse, les lèvres tendues, je m'approche pour l'embrasser langoureusement. 

            Assit en califourchon sur lui je laisse parler mon désir, nous retirons nos derniers habits, je le pousse contre le lit sans violence ni hâte. Ma fougue avait disparu et je me délectait de ces instant de pure plaisir et de passion. Je reviens sur lui l'embrassant à nouveau, le goût de ses lèvres me paraît nouveau à chaque baiser, je ne pourrai jamais le connaître par coeur alors logiquement je ne pourrai pas m'en lasser non plus. Je redresse son bassin dans la même foulée pour le plaquer contre mon érection. Il arque un sourire sournois et se déhanche sur moi pour m'enflammer d'avantage. Ses mains parcours mon torse et remonte jusqu'à mes lèvres, je lèche ses doigts avec sensualité, mimant une parfaite félation et capturant ainsi le regard envoûté d'Alec qui ne cie plus un battement de cils. Il se redresse pour se mettre au dessus de moi et se prépare lui même. Le voir se donner du plaisir seul est si plaisant que je commence à en avoir mal. Ca tardait trop, j'allais renverser la situation mais il me maintient contre le lit. Il se place au dessus de mon sexe tendu et s'empale lui même, les yeux fermés il fait face à la douceur et laisse  malgré lui échapper quelques gémissement. J'ai cessé de le fixe lorsque sa cavité si étroite englobe mon intimité, la sensation étroite est si jouissive. J'en perds presque mon orientation, c'est comme si je venais de fumer un gros join et que les effets m'apparaissent brutalement. Je plane c'est le mot. Un sourire de bien être s'étire sur mon visage alors qu'il entame des vas et viens d'abord sensuel et lent. J'approche mes mains de son bassin et accompagne ses vas et viens ne pouvant m'empêcher de le griffer sur ses fesses.

             Ses petits cris, le bruit de la chair contre la chair, son corps finement musclé et ses cheveux qui remuent au rythme de ses mouvements. Les joues rougies par la chaleur qui nous consume je profite de cet instant où des expressions de toute sorte traverse son visage. Je tend une main contre sa joue il vient plaquer la sienne contre la mienne et l'apporte jusqu'à sa bouche pour y déposer un simple baiser. En une fraction de seconde j'ai cru apercevoir de la tristesse mais elle s'évapore aussi tôt car il augmente la cadence et me fait cambrer l'échine sous le plaisir qu'il me donne. Il ne s'arrête plus, je me redresse jusqu'à lui le serrant contre moi. Nos cris se mêlent, nos timbres de voix ne se distinguent quasiment plus tant nous faisons qu'un, je ne pense plus à rien et jouis en lui dans un dernier râle.

           Je reprend difficilement mon souffle restant en lui quelques minutes, il a lâché la totalité de son poids sur mon épaule et ne bouge plus mise à part son dos qui se soulève au rythme de ses profondes respirations. La sueur goutte sur tout mon corps, rien n'est plus physique que de faire l'amour enfin...Je crois. J'ouvre les yeux, Alec reste contre moi alors que son souffle a repris une cadence normale, j'encercle ses épaules de mes bras pour le garder ainsi encore quelques micro-secondes avant qu'il ne se détache définitivement.

 

- J'ai une bosse sur la tête, souffle-t-il contre mon épaule

- Une bosse ?

- Je me suis taper la tête contre le mur tout à l'heure.

- Quand ?

- Quand tu m'as éjecté.

- Oh...Ne dis pas que c'est pour ça que tu boudais...

- Ok, je te le dirais pas.

 

               Je retiens un juron et un fou rire à la fois, j'arque un sourire sachant qu'il ne le verra pas et viens le caresser les cheveux lentement. C'est vraiment un sale gosse ce mec. Cinq minutes plus tard il se retire et laisses ma semence un peu partout sur mes draps, je soupire et jette mes draps par terre pour les changer. Je me retourne vers la porte fermée J'espère qu'Angelo ne nous a pas entendu, ce qui serai improbable vu ne nous nous retenions pas vraiment. Au pire il pensera que nous étions entrain de nous disputer...Mouais c'est ça, continuer de rêver mon petit Matt.

 

- C'est qui ça ? Demande Alec en regardant par la fenêtre

 

             Une voiture noire, berline, de marque étrangère était garée devant la maison. J'arque un sourcil.

 

- Je crois que c'est le docteur d'Angelo.

- Il a un problème.

- Non. C'est ma mère qui doit avoir besoin d'un check up si tu vois ce que je veux dire.

- Ah, gore.

- Comme tu dis.

- Je vais rentrer moi, on se retrouve ce soir. Dit il en enfilant ses fringues

- Au pub ?

- Ouais au pub. Pour commencer...

 

               Il s'approche rapidement m'attire par le cou pour m'embrasser avec voracité, il récupère ses chaussures et file comme un voleur. Je l'entends dire au revoir à ma mère qui doit se faire prendre dans la cuisine puisqu'elle ne lui répond pas. Je le regarde s'enfuir sous la pluie alors qu'il n'a qu'un t-shirt, j'ai presque envie de me foutre de sa gueule. Je le ferai ce soir.

              Je me dépêche de changer mes draps, je pars sous la douche et m'assoit dans un coin de la cabine, le dos plaqué contre le carrelage froid, laissant couler l'eau chaude sur mon corps.

____________________________________________________________________________________________

 

Suite sympathique j'ai pas trop eut envie de me relire cette fois ! Je suis fatiguée donc je vous poste ca pour l'instant.

Ce soir je dois écrire la suite d'Agora avant que Lilly ne m'embroche ! xD

 

Je vous fais à tout plein de bisous et espère que mes histoires continuent de vous plaire =)

BISOUS 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

Par Danouch - Publié dans : Down Syndrome - Communauté : Auteurs Sadiques
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Commentaires

matt et alec il von continuer ou t a prevude les faire se trompee avant vite la suite.

commentaire n° :1 posté par : stephy le: 18/05/2010 à 22h11

ah tu verra bien Stephy ^^

De toute manière on peut pas trop dire qu'ils sont ensemble puisqu'ils ne se considèrent pas comme un couple ! Quoi qu'il en soit...Question pertinente !

Bisous Merci ^^

réponse de : Danouch le: 18/05/2010 à 23h51

Je viens de lire les deux premiers chapitres et franchement j'adore cette histoire !!

Je me demande ce qu'il vas ce passer par la suite...

J'ai hâte de lire le prochain chapitre !!

Bisous et merci :)

commentaire n° :2 posté par : Elolo89 le: 20/05/2010 à 19h36

merci beaucoup à toi je suis contente que c'est histoire te plaise !!

A bientot

gros bisous

réponse de : Danouch le: 21/05/2010 à 13h55

J'adore cette histoire!! Toutes leurs relations respectives m'intriguent!! Merci! 

commentaire n° :3 posté par : Itoshiki le: 20/05/2010 à 23h40

hihi merci beaucoup ^^

réponse de : Danouch le: 21/05/2010 à 13h56

Ah bon ? Alec et Matteus ne se considèrent pas comme un couple ? Des sex friends alors ? Moi, j'aime bien pourtant leur relation justement même si, en ne voulant pas se parler pour éviter les conflits, ils finissent par se prendre la tête et le moindre truc les fait déraper et ça va finir par péter et sa mère n'est pas là pour l'aider ! Vont-ils essayer de se racoler ou considérer que c'est pas plus mal ? Ou rester ensembles malgré tous les obstacles ?

 

commentaire n° :4 posté par : Lilly le: 24/05/2010 à 23h58

Ah ce sont des bonnes questions mais tu verra bien hi ! =)

réponse de : Danouch le: 25/05/2010 à 00h08

merci et tkt elle este trop genial ta fic

commentaire n° :5 posté par : kaname le: 03/05/2011 à 01h43

merci beaucoup pour ton commentaire =)

réponse de : Danouch le: 23/03/2012 à 09h11

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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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