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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Jeudi 8 octobre 4 08 /10 /Oct 10:58




Salut à tous ! Voilà la suite de notre superbe histoier en colaboration. Cette fois c'est qui écrit ! Donc vous l'aurez enfin compris Lilly écrira le point de vue de Zach et moi celui de...bah vous allez le découvrir ! =)
Mon texte a été ratifié par Lilly, elle m'a tout corrigé ! Mais si ça vous empête pas quand il y a des fautes faites le savoir ! Comme ça elle sera pas obliger de corriger. 
Voilà bonne lecteur je vous adore !! 

Ps : Pour ceux qui on toujours pas commencer je vous conseil de le lire parce que je ferai des MAJ principalement là dessus lol

_____________________________________________________________________________________________



           Je cours. Ma petite valise rouge tape dans le pied et manque de me faire tomber devant le contrôleur, agacé. A la limite de l’hystérie, je pousse un soupire expressif.

 

-       C’est bien le train pour Paris ?

-       C’est bien lui.

-       Merci.

 

         Je baisse la poignée noire de la valise et l’attrape avec le peu de force qu’il me reste. Je monte dans le train juste à temps, plus bondé que le périphérique en pleine heure de pointe. Je vous laisse imaginer mon expression. Je ferme les yeux quelques secondes pour me calmer. Cette journée commence décidément vraiment mais alors vraiment bien.

         D’une ! Je me suis réveillé en retard ! Je n’avais plus d’eau chaude pour me doucher, j’ai renversé mon café sur la seule chemise que j’arrivais à supporter, je ne retrouvais plus mes clés et à la moitié du chemin, je me suis rendu compte que j’avais oublié mon téléphone chez moi. Après l’avoir récupéré, j’ai loupé le premier train pour Paris ! Et j’ai dû attendre une heure pour le prochain !! Si je loupais celui-là je crois que je me serai jeté sous les rails.

            Pas de place. Je vais de wagon en wagon sans trouver une malheureuse petite place. Finalement, je fais comme tous les cons qui prennent toujours le train à la dernière minute : je m’assois vers les toilettes à même le sol. Je ne prendrai plus jamais le train. J’ouvre ma sacoche et sors mon PC portable, tout moment est bon à prendre pour écrire encore un peu des éléments de ma thèse le risque d’un magistrat : est il préférable d’enfermer un innocent ou libérer un coupable ?

            Vous l’aurez compris je suis en doctorat de droit pénal, plus précisément en criminologie. J’ai toujours rêvé faire du droit jusqu’à ce que je me rende compte qu’il ne servait qu’à acquitter ceux qui ne le méritent pas. Si vous voulez, le droit n’est plus fait pour défendre l’innocent mais le présumé innocent par conséquent un présumé coupable également enfin je m’entends, je n’ai pas de jugement objectif à ce propos et c’est sans doute pour ça que j’ai toujours du mal à me faire à l’idée que la justice de nos jours rime plus avec un système de proportionnalité qu’avec un système moral. Grand partisan du droit idéologique.

            Je suis secoué dans le train, un vent froid me gèle les fesses parce que je suis assis à côtés de la porte, finalement je laisse tomber. J’éteins le portable. Plus que trois heures avant mon entrée dans la capitale. Et j’y vais à reculons car j’ai des obligations, je suis le nouveau chargé de TD d’une fac de droit pour des étudiants en master. C’est pas plus mal, j’aurais pas à désigner les gamins pour qu’ils participent. Inconsciemment, je me mets à sourire, quand je repense à mes années fac, je me dis que j’ai bien raté des choses. J’étais un garçon totalement refermé sur ses études, je passais toutes mes heures de libre dans les bibliothèques universitaires, plongé dans des bouquins pendant que les autres allaient se bourrer la gueule et venaient en cours presque dans le coma.

            J’étais le genre d’élève qui était devant et qui ne parlait jamais trop occupé à écrire le moindre mot du prof. Parfois je regrette, je n’ai pas tellement connu d’enfance, je n’en ai presque aucun souvenir, je n’ai pas profité de mon adolescence, c’était un véritable désastre et c’était aussi et surtout les années de la découverte de mon homosexualité. Une révélation douloureuse, personne n’était là pour me dire si c’était bien ou mal, personne n’était là pour m’orienter, pour m’engueuler quand je dépassais les limites. Je dus apprendre la valeur des choses par moi-même, j’ai forgé mes principes par l’expérience. J’ai construit petit à petit l’homme que j’allais devenir sur la crainte et la fierté, les seules protections qui me permettaient d’affronter les autres. Le monde.

            Je suis mort, je regarde les paysages défilés, je quitte ma campagne pour la ville. Je quitte ma solitude – qui commençait à me plaire – pour vivre avec ma sœur qui pour la première fois depuis vingt six ans ressent mon manque, elle avait un argument de taille de toute façon je ne pouvais pas refuser.

            Le train arrive à destination, la gare est immense, ça change des deux petites voies de ma petite gare en province, je regarde ma montre, cinq heure huit. Je cherche des yeux Ely jusqu’à que je sente quelqu’un qui me saute sur le dos.

 

-       Nolan !!

-       Ely…

-       Je suis tellement contente de te voir !!

-       Moi de même…, dis je avec beaucoup moins d’enthousiasme.

 

Ma sœur me ressemble énormément, elle a simplement les cheveux beaucoup plus longs. De longs cheveux noirs ondulés, un regard azur pénétrant et un sourire d’enfant. Elle a tellement changé, la dernière fois que je l’avais vue, j’avais dix huit ans, la fameuse année de mes dix huit ans. Les dernières images que j’ai d’elle ne sont pas très joyeuses, à cette époque elle souriait beaucoup moins. Aujourd’hui elle a trouvé l’amour, sa voie, le bonheur.

 

-       Dépêches-toi, je dois te présenter « Tom » !

-       Quelle chance, dis je faussement joyeux.

 

Je déteste son petit ami, monsieur je sais tout, monsieur parfait ! Un sourire Colgate et avec un brillant avenir devant lui. Pas une tâche, pas un pet de travers et dés que je n’aime pas quelqu’un, je le fais assez bien ressentir. Je suis pas du genre à faire des courbettes et à sourire pour qu’on m’apprécie, malheureusement, on dit que je suis trop franc. Un ex petit ami me disait souvent «  Tu es froid Nolan, encore plus froid que tes yeux ». Bizarrement cette phrase me revenait souvent à l’esprit.

            Après avoir adressé un bref «  salut » à Colgate, nous sommes allés chez ma sœur, un petit appartement tout ce qu’il y a de plus charmant, éloigné du centre de Paris. Tranquille pas vraiment d’histoire dans le quartier, des voisins charmants. La petite maison dans la prairie quoi.

 

-       Bon je vais me coucher, je suis mort, dis-je en déposant un baiser sur le front de ma sœur

 

Je m’enferme dans la chambre qui me sera destinée pour un moment, un petit six mètres carré, un lit, un bureau, une commode. Basic. Classique. Je pose la pile de feuilles sur ledit bureau et mon PC, je m’effondre dans mon lit.

            La nuit. Etrange que ce moment de la journée. Etrange car tout nous revient la nuit, tout ce qu’on oublie, des choses auxquelles on ne pense plus nous écrasent. Les souvenirs, les inquiétudes, les angoisses. Les espoirs. Si vous étiez encore de ce monde, seriez-vous fier de l’enfant que vous avez laissé derrière vous ? 

            Je me réveille à six heures, essoufflé, le front humide, les yeux écarquillés de terreur. Je me redresse lentement, mon corps entier transpire. Je prends bien conscience de la réalité et allume la lumière au dessus de la tête de lit. Je ne suis plus dans ma campagne. Je respire profondément, si je n’avais pas déménagé, je n’aurai sans doute jamais fait se rêve. Je me lève. Je cours presque pour prendre ma douche même si je suis le seul debout. J’ouvre le jet d’eau froide et, comme avant de plonger, je prend une grande inspiration et laisse l’eau glacé détendre tous mes muscles. J’en sors au bout de cinq minutes, une serviette autour de la taille, des gouttes froides tombent de mes cheveux et s’écrasent dans mon dos pour mourir sur mes reins. J’ai un début de barbe, je devrais raser tout ça. J’ouvre ma trousse.

 

-       Putain…J’ai oublié mon rasoir.

 

            Je referme la sacoche, je soupire et frotte mes cheveux avec une autre petite serviette. Je ne prends pas de petit déjeuner, je retourne dans ma chambre.

            Je réfléchis à ce que je vais faire pendant la journée : soit je reste ici pour stresser comme un malade pour mon premier TD à 17h soit je sors au risque de me paumer et d’arriver en retard. Je choisis la deuxième option. Sans hésiter, je décide d’aller sur les Champs-Elysées. Tant qu’à faire, foutu pour foutu, autant en profiter et si je ne vais pas sur les Champs-Elysées à Paris, c’est comme si j’étais pas sorti de ma cambrousse.

            Ely habitant sur la ligne 1, je mets moins de vingt minutes pour arriver sur place et je me sens tout chose de fouler cette avenue si célèbre. Le temps passe vite à flâner dans les boutiques, tirer des yeux exorbitants à la vue du prix et manger au Mcdo. Tellement vite qu’il est plus que l’heure de partir.

 

            Je ne peux pas me permettre d’être en retard, surtout pas pour la rentrée. Je me dépêche pour réussir à trouver le bon métro, miraculeusement j’arrive à l’avoir. Une fois devant l’université, je la détaille du regard. Je me dirige vers l’administration, fais mes photocopies, adresse un bonjour cordial à Mme. Verchex, mes cartons en mains, je cours presque jusqu’à la salle. J’entends les voix s’élever, la porte est ouverte, je rentre et la ferme assez fortement pour me faire manifester. Ils me regardent tous intrigués, attentifs. Bien. Je sors mes petites fiches de présentation. Je les donne à l’élève le plus proche du moi. J’observe chaque étudiant. Une petite vingtaine. Plus de garçons que de filles.

            Autant annoncer la couleur directement, je leur explique ce que j’attends d’eux et ce que tout le monde est censé attendre de moi. Un petit tour d’horizon pour voir si tout le monde a comprit, je ne préfère même pas décrire leurs visages dépressifs à l’idée de reprendre le boulot. Je continue mon petit discours de rentrée pour enfin passer au moment que je hais le plus. L’appel. J’écorche quinze noms au passage, je me fais même reprendre par un étudiant presque étalé sur sa table, serait-il en train de se demander ce qu’il fout là ? Encore un déprimé, qui se dit surement qu’il a une vie misérable, le genre de mec qui se plaint tout le temps. Le genre de mec que je peux pas comprendre. Pourtant, ce garçon ne paraît pas si égoïste, je me sens tombé dans ses yeux profondément vides de toute motivation. Delavert …Ca me dit quelque chose. Mon petit silence devenait trop long, pour ne pas avoir à subir les regards interrogatifs des autres étudiants et surtout de celui-ci, je me secoue un peu. Je passe outre et continue l’appel. J’ai vraiment hâte de finir cette journée qui commence aussi bien que les précédentes. On me rend les fiches que je range dans mon sac, je commence le cours de TD. Les étudiants sont attentifs, réceptifs, le cour est interactif mais je ne suis pas ici pour faire ami-ami avec, je fais mon boulot tout simplement. Ils me trouveront sans doute distant, froid presque insensible mais leur vie m’importait peu.

            Le TD terminé, les élèves sortent un à un bruyamment, je range mes fiches dans mon sac et me prépare à suivre le même chemin alors que j’allais rentrer chez moi pour reprendre ma thèse un garçon du TD m’interpelle.

 

-       Excusez-moi !

-       Oui ?

-       Vous êtes nouveau ici, n’est-ce pas ? Me demande le garçon

 

Les cheveux couleur de miel, les yeux verts, les joues légèrement rougies il se frotte l’arrière de la tête nerveusement.

 

-       Et alors ? Je réponds ne voyant pas où il veut en venir

-       Je peux vous faire visiter la fac si vous voulez ! Vous conseiller les bons endroits, il répond en marchant avec moi

-       J’ai pas le temps, je réponds en marchant plus vite.

 

Collant. Je sens son regard dans mon dos, je marche un peu plus vite. Je monte dans le métro les portes se referment presque sur moi, je reprends mon souffle.

 

Le trajet est calme, j’arrive enfin devant l’immeuble de ma sœur, je me dépêche de poser mes affaires dans ma chambre. J’en sors tranquillement, je me dirige en direction du salon très chaleureux, gros tapis à poil de je ne sais quel bestiole morte, les poils blanc bien sûr ! Un canapé en cuir rouge, un écran plasma et bien d’autre meubles modernes. Une petite étagère de verre avec une plante verte en bout et quelques photos au cadre métallique. Une photos de couple, une photos de chacun et au centre une photo de mes parents.

J’observe plus attentivement cette photos, ma mère avait un sourire si tendre, j’avais presque oublié à quel point elle était belle. Les même cheveux qu’Ely mais des yeux plus sombres que la nuit, mon père en revanche était robuste, une carrure d’athlète ! Il adorait le sport en général, j’ai quelques fragments de la période des J.O, on y avait le droit à chaque fois. J’eus un petit rire amusé, nous avions les mêmes yeux presque trop bleus, un peu trop clair. Ses cheveux étaient châtain, un français de souche, ma mère avait, quant à elle, des origines asiatiques. Je me perds dans mes souvenirs lorsque je sens une main se poser sur mon épaule, puis une tête y prendre appui.

 

-       Tu te souviens de cette journée ? Cette journée qu’on avait passée au lac. Papa et maman étaient tous les deux tombés amoureux du grand saule derrière eux, me dit ma sœur nostalgique.

-       J’ai du mal à retrouver le peu de souvenir que j’ai d’eux, je murmure

-       Tu n’avais que cinq ans à cette époque…

-       Hum… 

 

Le silence s’installe entre nous, nous fixons la photo essayant de restituer cette journée, mes souvenirs de la chaleur de mes parents, le plus désolant c’est que je ne me souviens presque plus. Je sens Ely se retenir de pleurer, elle cache son visage dans mon cou et me serre un peu plus contre elle.

 

-       Salut !  

Colgate gâche tout. Thomas vient de rentrer avec les bras chargés de courses, ma sœur se précipite sur lui pour l’aider, je vois ses yeux brillants de larmes mais elle ne cède pas, elle embrasse amoureusement son petit ami avant de poser les sacs sur le comptoir de la cuisine qui donne sur le salon et la salle à manger. Je me secoue un peu et m’approche à pas lent. Tom se retourne vers moi un grand sourire et me jette quelque chose. Je le rattrape au vol. 

-       Je suis allé faire des clés. Ca te donne plus d’indépendance dans cette maison, dit-il fier de lui

-       Oh Tom ! Tu es trop bon, dis je ironiquement

-       Nolan ! S’offusque ma sœur

-       Laisses Ely, sourit Colgate

 Il m’agace avec ces airs de maître zen. Malgré tout, sous le regard oppressant de ma sœur, je remercie Tom pour son geste généreux, je range les clés dans ma poche et m’en vais allumer la télévision en attendant que le dîner soit prêt.

 

Tom vient s’asseoir à mes côtés. 

-       Alors qu’est-ce que tu as prévu comme costume pour ce week-end ? Il me demande

-       Aucun, dis-je en zappant

-       On ne vient pas à un mariage sans costume !

-       Je supporte pas les chemises, les pantalons à pince, tout ce qui s’apparente à un quelconque vêtement de bourgeois coincé du cul.

-       C’est une énorme faute de goût ! Comment est-ce que tu vas venir alors ? En costume d’indien ?

-       Qu’est-ce que t’insinue ? Que parce que je suis gay, je vais forcément venir en indien ? Pourquoi pas en flic et en marin aussi ! 

Voyant ma réaction assez expressive, Tom se rend compte de son sous entendus, il se pince les lèvres.  

-       Désolé je ne voulais pas. Dit-il assez faiblement

-       Non, je ne viendrai pas en costume.

-       Oh que si ! Intervient ma sœur les bras sur la taille se voulant autoritaire, on ira demain matin te trouver un costard classe ! Et bien sûr, Tom se fera une joie de t’accompagner, précise-t-elle sous nos regards ahuris. Elle va pas me faire ça ? !

-       C’est ça ! Je préfère encore y aller en bunny, je murmure agacé

-       Crois-le ou non mais tu iras à ce mariage en costume ! Tu n’as pas le droit de me le refuser…

 C’est vrai je n’avais pas le droit. C’est son mariage après tout, je peux bien supporter une cravate toute une journée de toute manière, on est entre famille, personne du boulot ne me verra alors tout va bien.

 

-       Au fait combien serons-nous à cette sauterie ? Je me dirige vers ma sœur.

-       Je ne sais pas. Papi et Mami seront là, Tata se déplace spécialement avec ton cher cousin, se moque Ely, quelques amis et bien sûre la famille de Tom. Ton père et ton frère, c’est ça chéri ?

-       On verra, répond simplement Tom. 

Je l’ai connu plus bavard Colgate, il ne nous regarde même plus.  

-       Tu verras son père est un petit plaisantin, il est très charmant, j’aurai aimé rencontrer sa maman mais elle est décédée depuis longtemps, son père à le moral miné à cause de ça, me dit Ely.

-       Et son frère ?

-       Je ne le connais pas, dit-elle en haussant les épaules.

-       Bah tu le rencontreras ce week-end ! Répond agressivement Tom.

-       Je ne savais même pas qu’il avait un frère jusqu’au mariage, rit Ely, Tom est timide.

-       J’appelle pas ça de la timidité mais de l’intention. Tu ne t’entends pas avec ton frère, Tomi ? Je demande espièglement 

Il me regarde attentivement. 

-       Mais non ! On se voyait plus trop c’est tout ! Quand est-ce qu’on mange ? fit-il innocemment même si j’avais bien compris que c’était pour changer de sujet.

-       C’est prêt !  

 

Le dîner se fait dans le silence, je finis mon plat, le mets dans le lave vaisselle, je me dirige vers ma chambre pour récupérer une petite veste. Je compte pas rester ici ce soir, Paris est encore plus belle dans la nuit. Je lance un petit bonne nuit au couple, je cours dans les escaliers. Je regarde la rue qui s’offre à moi. Prendre l’air pour s’évacuer l’esprit. Une autre journée qui s’achève les nuits sont fraîches ici, nous sommes déjà en septembre et on sent l’hiver s’approcher. Mes pas décident tout seuls de la direction à prendre, je me prends pas la tête. Ce n’est que bien trop tard que je me rends compte que je me suis perdu comme un idiot ! Et évidemment, Ely ne répond pas. Comment ça, elle a mieux à faire la veille de son mariage que de s’occuper de son frère ?! Tu parles, elle doit bien prendre son pied avec Colgate en ce moment…

 

-       Tiens, c’est pas le prof de TD ?

Par Danouch - Publié dans : Jamais un sans deux(coprod Lilly) - Communauté : Auteurs Sadiques
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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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