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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 13:36

                      
                   Il porta la tasse café jusqu'à sa bouche, lentement le liquide brûlant traversait la barrière de ses lèvres qui frémissaient au contact du café, il finit par boire une petite gorgé qui lui brûlait la langue au passage. Sanzo grimaça, décidement la journée commençait mal, il posa sa tasse de café sur la table en essayant de faire le moins de bruit possible, il ne tenait pas à réveiller ses amis qui roupillaient comme des marmottes. Il regarda l'heure pour la énième fois et avait vraiment l'impression que cette fichue aiguille ne bougeait pas ! Pour la énième fois également il vérifia qu'elle n'était pas en panne cette horloge en la retournant dans tous les sens.
                       Un bruit dans le couloir le fit sursauter ! Il laissa tomber l'horloge qui se brisa dans un bruit fracassant, il pesta en voyant que maintenant elle était définitivement immobile cette saloperie d'aiguille ! Bougonnant dans son coin il ne prêtait même pas attention à l'arriver de Link dans la cuisine, les yeux mis clos, les cheveux en pagaille, un vulgaire bas de pijama gris et surement de mauvaise humeur puisqu'il était debout à cinq heure du matin.

 

- Qu'est-ce que tu fou merde ? Grommela Link en se grattant la tête

 

                     Le bel asiatique posa les yeux sur les deux masses sombres au pied de son ami aux cheveux rouge, deux grosses valises bondées et garnis. Prêtes. Finalement sa question lui paraissait bien stupide, il continua de fixer les deux valises se rendant bien compte que Sanzo comptait les quitter très bientôt, imméditament à vrai dire et ça ! Sans rien dire à personne. Sanzo s'était redressé et la gêne lui coupait la parole, que pouvait il dire ? Les faits étaient plus explicites que la moindre des phrases.
                     Sans plus attendre, Link s'empara des valises, Sanzo totalement stupéfait suivait son ami avec hâte tentant de récupérer ses bagages en bafouillant le prénom de son ami, pourtant le grand brun ne s'arrêtait pas. Il continuait d'avancer avec les valises jusqu'à la chambre de Sanzo. Il ouvrit la porte avec une violence inouïe, Sanzo se rendait bien compte que Link était de mauvaise humeur pour ainsi dire totalement incontrôlable ! Il venait presque de défonser la porte avec le pied dans un mutisme le plus totale et l'expression la plus indifférente qui soit. Link lança les valises dans la chambre et les ouvrit sans plus attendre, il entreprit de ranger son linge à la place où il était précédemment, dans les grandes armoires, sans un mot. Le calme avant la tempête.

- Link arrêtes ... Link ! Li-Link s'il te plaît écoutes moi...Link ! Tenta de s'approcher Sanzo

                      Malheureusement Link semblait ne pas l'écouter, il rangeait tout en ignorant la voix de Sanzo, celui ci tentait de l'arrêter de reprendre ses habits mais impossible de le calmer.

- Link ! Arrêtes ça !

                     Le garçon continuait de ranger alors que Sanzo perdait patience ! Il prit les habits brusquemment des mains de Link pour les jeter par terre comme de vulgaire chiffon ! Il faisait face à l'asiatique en pijama qui fixait maintenant Sanzo dans les yeux, d'un air menaçant et hautain Link ne clignait même plus des yeux. Sa bouche était scellée par la colère. La carrure et le magnétisme que Link dégageait avait soudain calmer l'ardeur de Sanzo qui était piquer à vif face à l'immaturité de son ami, il restait tout de même droit, les sourcils froncés agacer par un comportement aussi puérile !

- Qu'est-ce qui te prends ? S'énerve Sanzo, je suis majeur je te signale ! Autant dans ce pays qu'au Japon ! Je fais ce que je veux t'as compris ! Si j'ai envie de me casser et bien je me casse et ce n'est pas un petit merdeux dans ton genre qui va me dire ce que je dois faire !!!

                     Sanzo reprit son souffle, Link eut un petit rire sarcastique et fixa Sanzo avec plus de hargne tout en s'approchant dangereusement.

- Je déteste les lâches comme toi, ceux qui finissent par abandonner parce que c'est trop dure, ceux qui tournent le dos parce qu'ils ont eut une déception. Je hais les mecs qui espèrent quelque chose alors qu'ils ne pensent qu'à eux ! 

                Qui tentait il de toucher en disant cela ? Sanzo ? Etais ce vraiment Sanzo qui lui brisait le coeur à l'heure qu'il est ? Ou était ce plutôt ce sentiment d'éternel recommencement ? Encore ce sentiment d'abandon. Encore un Costia. Chaque pas, chaque paroles, chaque mot, la moindre pensée était dirigé vers Costia, à chaqu'une de ses piques Link ne pouvait s'empêcher de voir le visage de Costia face à lui, Sanzo n'existait plus, ne restait plus que son beau russe, que son connard de russe qui l'a abandonné ! Ce connard qu'il aimait trop, qu'il aimait plus que tout au monde au point d'en perdre la tête !

- Que tu te casses c'est une chose mais sans jamais rien dire ! Sans une explication ! Ni un au revoir ! Je ne sais même pas où tu vas ! Pas un coup de fil rien ! J'ai l'impression que je n'existe plus ! Moi je me tue chaque seconde de ma putain de vie à penser à toi ! Je me tue à t'imaginer au détour d'une ruelle ! Dans un magazin ! Sur une place ou dans un café !!
- Link....tu..., Sanzo comprenait qu'il ne s'agissait plus de lui

              Link avait perdu l'esprit, il hurlait sur Sanzo comme si il parlait à une autre personne, il hurlait sa haine et sa douleur. Le problème de Sanzo avait disparut en une seule seconde, il espérait seulement que Link allait se calmer et reprendre ses esprits car il était partit dans les méandres de son âmes torturée. Doucement sa colère s'était effacé pour tenter un geste tendre envers l'asiatique qui continuait de crier. Petit à petit Link craquait, les larmes lui vennaient aux yeux et le visage de Costia restait lointain et inexpressif.

 

- Je veux oublier !!! TU ENTENDS ?!! Je veux plus jamais penser à toi !! Je veux tout oublier parce que sinon je sens que je perdre la tête, je sens que je vais devenir fou !!! J'arriverai pas à vivre comme ça avec ton putain de sourire dans ma tête !!! JE PEUX PAS !! LAISSES MOI !! LAISSES MOI POUR DE BON !! Laisses moi croire que tu es mort ! Laisses moi faire mon deuil nom de Dieu !!

 

              La pièce était plongé dans une atmosphère de tristesse profonde, Link se tenait la tête comme un fou, Sanzo sentait son coeur se serré en le voyant si désespéré si mal ! Il tentait des gestes affectueux vers lui pour appaiser sa crise, pour appaiser son mal être mais la voix tremblante de Link le fendait le coeur. Les larmes finirent pas couler et les cris étaient remplacés par des sanglots, le dos de l'asiatique étaient secoué de spasmes et comme un bébé il pleurait à ne plus pouvoir respirer. Les faibles lueur de la ville ne révelait que deux ombres dont l'une totalement écraser par un souvenir trop lourd, l'autre debout, dans le silence assassin, il n'y avait que les larmes de Link qui s'écrasait sur la moquette. Cette peine, cette trahison était plus forte que n'importe la quelle.
               Sentir qu'on est fait l'un pour l'autre mais savoir que rien ne sera possible, se souvenir des moments si beaux, des épreuves traversées, se souvenir du goût de chaque baiser, de la mélodie de chaque mot. Se souvenir des "je t'aime" et des promesses, se souvenirs de tant de détail et sentir au plus profond de son existence que c'était le bon ! Qu'il était l'unique ! Sentir qu'il nous était destiné. Savoir qu'on a pas le droit, savoir qu'il est parti, savoir que ce bonheur ne sera jamais retrouvé. C'est pire que tous les coups ! Pire que toutes les douleurs physiques ! Que toutes les trahisons ! Que toutes les décéptions ! Vivre dans l'idée que cette amour n'est pas mort, qu'il peut revenir mais savoir que fatalement il ne reviendra jamais pour une raison que vous ignorer, pour une erreur inconnue. Link aurait préféré mille fois que Costia soit mort car c'était au dessus de tout espoir et de tout rêve. On ne récussite pas les morts. Du fait que Costia soit toujours en vie empêche le deuil, empêche l'extinction de tout espoir. Empêche même d'imaginer vivre aux côtés d'un autre.
                Totalement dépasser, voyant que la folie de Link ne se calma pas Sanzo prit les choses en mains, sans vraiment le prévoir ni le contrôler il l'attira brutalemment contre lui son ami en larme et le serra aussi fort que possible, il le serra presque à en étouffer ses pleures. L'un contre l'autre tentant de se comprendre mais imaginant une tout autre personne dans leurs bras.
                 Adam, Costia.

- Je ne partirai plus. Murmura Sanzo

                En réponse Link serra à son tour Sanzo, nicher dans le creux de ses bras il entoura ses épaules de siens. Finalement le calme avait regagné ce petit appartement de New York, on n'entendait plus que le silence s'imposer peu à peu. Le corps à moitié dénudé, les bras croisé adosser contre le mur habillé d'une tapesserie blanche avec des fleur de lys en relief, Ashley avait tout entendu, il avait tout écouté réligieusement. Ses poings c'étaient tellement serrés que ses articulations étaient devenus toutes blanches. Il s'était mordu la langue pour s'empêcher de rentrer, entendre son meilleur ami pleurer encore et toujours pour le même le rendait fou de rage et...de jalousie. Finalement ce fameux Sanzo avait réussi à le calmer il savait maintenant ce qui lui restait à faire. 
                 Le lendemain fut difficile pour Sanzo et Link qui s'étaient endormit à même le sol, les fins cheveux rouges chatouillait les narines de Sanzo et le réveilla il était midi passé. Il avait raté son avion mais maintenant ça n'avait plus d'importance. Il regarda l'asiatique dormir paisiblement sur la moquette, il eut un sourire voyant déjà Link se réveiller en gueulant parce qu'il avait mal au dos.

                  Sanzo sortit de la chambre en baillant, il s'étira une fois dans la cuisine, sa tasse de café n'avait pas bougé, il jeta le liquide maintenant froid, il jeta également les morceux de l'horloge brisé et partit s'asseoir sur le canapé. Il passa une main lasse sur son visage pour faire surface pour de bon, Ash n'était toujours pas réveillé ce qui n'avait rien d'étonnant. Qu'allait il faire maintenant ? Les joyeuses camaraderies ce n'était pas vraiment son truc, que devait il faire ? Il ne pouvait pas partir, il ne se sentait pas prêt à rester proche de Adam et pourtant il n'avait pas le choix. Il fera finalement de son mieux pour s'en sortir, Link et Ash allaient monter leur groupe pour devenir "célèbre" et lui continuera sa faculté de journalisme ici. Il refuse d'être héberger gratuitement et trouvera un petit travail pour donner une part à Ash en remerciement. Ce qu'il refusera sans doute mais qu'il mettera discrétement dans sa poche sans que Ash s'en rende compte. Il se rassassa la soirée mouvementer qu'il avait passé, cette souffrance que cachait Link commençait sérieusement à l'effrayer, ça le rongeait de l'intérieur comme une maladie incurable, un virus encore inconnu mais qui pouvait changer un homme. Ce genre de maladie que Sanzo a toujours redouté et qu'il a tenté d'éviter en ne voulant pas tomber dans l'obsession, dans la culpabilité ou encore le regret. Après la rupture avec Adam tout ce qu'il a tenté de faire c'est s'occuper pour ne pas y penser, s'occuper jour et nuit.

- OH BORDEL DE MERDE !

                   Sanzo commençait à croire que c'était les mots favoris de Link (et de l'auteur hum..), la belle au bois dormant avait traversé le salon avec un visage à faire peur aux monstres, il tirait une si mauvaise tête que ces yeux semblaient habités par des flammes et lancés des éclairs ! Un véritable cliché d'un mangas nippon. Dans son petit bas de pijama délavé il fonça directement dans sa chambre en claquant la porte, le calme était revenu, il réouvrit sa porte soudainement.

- QU'ON ME FASSE PAS CHIER JE DORS !

                  La porte claqua à nouveau. Etrangement ce sale caractère amusa énormément Sanzo, Link ressemblait à un petit gamin rebel ce qui le rendait sans doute aussi craquant. Il se redressa dans un "alala" très expressif pour se faire un autre café bien brûlant. Au point où il en est il décide même de descendre chercher les croissants pour tout le monde, Ashley n'allait plus tarder à se réveiller et après tout il devait parler avec lui pour les "frais" d'hebergement. Rapidement et dans la bonne humeur il partit se doucher, un simple sweet noir et un jean clair il regarda son réveil.

- midi vingt*...

                  Il attrappa sa veste en vol et regarda attentivement les étages sur le cadran dans l'ascenseur. Le bruit de la fameuse petite cloche et l'ascenseur ouvrit ses portes dans une immense entrée avec un lustre majestueux et un sol en marbre beige. Il fixa un petit moment le sol et remarqua qu'on voyait mieux que dans un miroir, ce qui le sauta aux yeux c'était ces fameuses petites cernes qui cadraient ses yeux et lui donnaient le teint d'un zombie, ses cheveux en pagaille il avait l'air d'un mort vivant réveiller brusquemment. Il soupira un petit moment avant de sortir de l'immeuble. Le bruit des voitures et l'odeur du hot dog lui vint immédiatement aux narines. Finalement il avait peut être envie d'un hot dog...humm dégoulinant de ketchup une saucisse bien chaude...hum ! Finalement des croissants sont préférables !!

- Churos ! Churos bien chaud ! 

                  Des churos ? Il s'approcha du latino à la moustache qui criait "churos" sans arrêt, le chariot matallique et fumant, il observa la machine qui faisait sortir une longue pâte en forme d'étoile. Sanzo n'avait mangé de churos. Quelques passants s'arrêtaient pour acheter les fameux churos dégoulinant de sucre et de graisse. Sanzo ravalait sa salive sentant son estomac frapper des poings avec un couteau et une fourchette ! " CHUROS ! CHUROS ! CHUROS ! ".

- Bonjours j'aimera goûter un de vos churos avant d'en acheter je peux ? Demanda Sanzo
- Vous ne connaissez pas les churos ? S'étonna le vendeur dans un accent du sud

                 Sanzo désapprouva de la tête et l'homme à la moustache frémissante eut un petit rire moqueur.

- Alors vous devez absolument goûter les churos de Fredo ! Ce sont les meilleurs churos de la ville ! Vous n'en trouverez jamais de plus bueno !

                Sanzo eut un petit sourire à l'idée de gôuter aux churos, le fameux Fredo à la moustache lui tendit la pâtisserie dans une serviette en papier. Sanzo regarda un instant la fumée qui se dégageait de son étoile, il souffla dessus comme sur un café et mordit dans la pâte. Ce fut une explosion de saveur, son ventre devenait silencieux appréciant le goût sucré du churos croustillant.

- J'en prends une douzaine ! Dit il aussi tôt
- Ah parfait Monsieur !
- Finalement New York est bien petit !

                L'histoire se répète sans arrêt.
                Sanzo tourna la tête lentement, les yeux grands ouvert et la bouche pleine. Le beau sourire de Adam avait sans doute illuminer sa journée et fait battre son coeur plus vite qu'un compteur de F1.

- Arfdam ? Bafouilla Sanzo
- Moi aussi j'adore ces churos, souria Adam, une douzaine Fredo s'il te plaît ! Ma femme aussi adore ces churos...

                Sanzo avala sa bouché difficilement.

- C'est pas encore ta femme hein ! C'est pas la peine de me le mettre dans la gueule encore une fois...
- Je suis désolé je voulais pas...
- Si tu voulais. Enfin bon ! Sanzo s'essuyait les mains un peu blessé par la délicatesse de Adam, je te laisse.

              Il récupéra son sac plein de churos et voulus partir mais son ami lui barrait la route.

- On ne peut pas être ami Sanzo ? Il demanda d'une moue irréstistible
- Non..., finit il par dire le coeur serré
- Tu as été mon premier amour Sanzo et aussi mon meilleur ami...
- Où veux tu en venir ?
- J'aimerai t'inviter à mon mariage. Pour enterrer le passé ! Qu'on soit ami !

              C'était un couteau qu'il recevait en plein coeur, on lui enfonçait avec force par peur de ne pas faire assez mal, on tournait la lame à plusieurs reprises presque en rythme ! Droite, gauche, droite, gauche. L'annonce de Adam lui faisait si mal qui lui aurait bien jeter les churos à la tête, il n'y avait plus aucun espoir finalement pour eux, l'amour était éteind depuis un certain temps, Adam était maintenant amoureux de la pinbèche rousse et Sanzo n'était plus que du passé...Sauf que pour Sanzo on enterre pas le passé on vit avec ! Seulement ce visage blond qui semble être heureux...il ne peut pas refuser une "amitié"...ca serai avoué ses sentiments, ca serai espéré...Il ne veut pas finir comme Link.

- J'accepte.
- Super !! Je suis vraiment heureux ! Sautilla Adam

              Cette image de lui fut encore plus douleureuse, à nouveau il avait remonté le temps et l'impression que finalement son photographe n'avait totalement changer lui réchauffait le coeur au point de le rendre nostalgique. Il était toujours aussi enthousiaste. Malgré lui Sanzo eut un sourire tendre envers son ancien amant. Ils se quittèrent peu après, Sanzo avait rejoint l'appartement entourer d'une brume étrange, pas de nuage noir, pas de petit nuage blanc de bonheur, un brouillard épais qui lui obstruait la vue ! Au point qu'il se cogna contre la porte sans l'avoir ouverte.

- Oh merde ! Pesta Sanzo

               Il entra dans l'appartement et posa le sachet de churos sur le plan de travail de la cuisine, il soupira en se frottant le front, qu'il pouvait être ridicule des fois ! L'odeur des churos encore chaud avait attiré une bête curieuse, une bête grande d'un mètre quatre vingt, encore un peu endormis, cette bête ne vivait pas vraiment en société et se manifestait par des sautes d'humeur assez impressionnantes. Link s'attaqua donc au sachet avant même que Sanzo ne peut en prendre un. Il regarda Link dévorer avec une étrange sensulatié le churos tout en léchant ses doigts, il était toujours dans son bas de pijama tout moche, Sanzo eut soudainement une idée.

- Ca te dis de m'accompagner à un mariage ?


*faute réparé ! Merci =)

Par Danouch - Publié dans : World so Hard - Communauté : Auteurs Sadiques
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a meilleure façon de remercier un auteur
 
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est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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