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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Vendredi 11 février 5 11 /02 /Fév 08:00

          Il est étonnant comme le paysage qui défile derrière la vitre semble en rythme avec la musique qui tonne dans ses oreilles. Les arbres qui se mélangent au son brute de la batterie, les yeux qui suivent les courbes des câbles électriques en rythme avec la guitare et puis il suffit de regarder un buse tourner en rond dans le ciel pour que toutes la chanson prenne tout son souffle.

           La technologie moderne va cependant réveiller brutalement Kendrian de sa contemplation, la chanson se coupe brutalement. Plus de batterie. Il soupire mais heureusement pour lui il est arrivé à destination.

 

- Je suis là imbécile !

Stan était là effectivement.

- Tu es bruyant de bon matin, grommèle Kendrian.

- Ca fait deux heures que je t’attends !

- Pas entendu mon réveil, se défend Kendrian.

- Comme si t’avais un réveil, se moque Stan.

 

            Ils commandent leurs petites boissons chaudes même si il fait déjà bien chaud même à neuf heure du matin. Stan a finalement décide d’abandonner définitivement ses piercings, il a juste garder sa longue séries d’anneaux sur l’oreille droite comme petit souvenir, Hugo lui mène la vie dur, constate Kendrian. Ca ne manque pas de le faire sourire.

 

- Alors ? Comment ça va ? Demande Stan en attendant son café.

- Bien. Avec Milan aussi. Anticipe Kendrian. Et toi ?

- Hugo va rentrer en doctorat en septembre, je cherche du boulot mais ça va.

- Ok.

 

           Les boissons arrivent enfin, le silence est justifié par leur concentration à touiller. Concentration fortement perturbé pour Stan qui se sent de plus en plus mal l’aise, depuis quelques temps il a l’impression que Kendrian a changé de comportement vis-à-vis de lui. Il a l’impression que Kendrian tente d’être plus proche de lui, chose qui le déstabilise assez. Il était habitué à sa discrétion, à sa timidité mais aussi à sa froideur. Depuis peu Kendrian s’ouvre, sourit plus souvent pour ne pas dire naturellement, il semble plus heureux.

 

- Tu as l’air plus joyeux depuis quelque temps. Lâche Stan.

- Peut être parce que je le suis. Je pense pas que ça soit vraiment le bonheur le plus absolu mais je suis content.

- Tant mieux alors. Milan y est sans doute pour beaucoup…

 

          Kendrian relève les yeux sur Stan qui a boit tranquillement en regardant autour de lui. Ce qui le gène c’est qu’il n’a pas d’émotion particulière en disant ça.

 

- On va partir, avoue brutalement Kendrian.

- Hein ? Tu veux pas finir ton café d’abord ?

- Moi et Milan. Nous allons quitter la région.

- Quoi ? Mais…mais où ça ?

Stan est sous le choc.

- On ne sait pas tellement encore mais je penche pour la capital, j’aimerai bien y aller.

- Tu te fous de moi ? Tu vas tout quitter sur un coup de tête ?

- Milan a besoin de partir.

- Milan ! Milan ! Milan ! Je te demande pas ce que veux Milan, je te demande ce que tu veux, toi.

- Je veux Milan, répond franchement Kendrian. Je ne veux que lui. Je veux vivre dans une maison tranquille, travailler, créer mon lieu à moi. Le lieu où je me sentirai bien et si Milan n’y pas je ne m’y sentirait jamais bien.

 

             Stan est écœuré. Il ne sait pas quoi répondre parce qu’il sait déjà la réponse à sa question, il sait déjà qu’il ne gagnera jamais contre ça et c’est normal ! Kendrian a attendu si longtemps que Milan daigne enfin le regarder que maintenant il ne le lassera pas partir. Quitte à oublier ceux qui étaient là quand il ne faisait encore que rêver de cet instant.

 

- Vous partez quand ? Demande Stan une fois calmer.

- Dans un mois tout au plus. Le temps de réunir un peu d’argent et de trouver un appartement sur place.

Stan prend une grande inspiration avant de pousser son café en avant.

- Je comprends. Je sais ce que tu ressens. Tu l’aimes du plus profond de ton cœur, tu ne faisais que le regarder de loin et maintenant qu’il est près de toi tu veux le garder aussi longtemps que possible. Quitte à laisser tes propres envies de côtés, tu es prêt à laisser tes sentiments juste pour qu’il soit heureux. Après tout tant qu’il est heureux tu l’es aussi.

Kendrian fronce les sourcils. Pourquoi Stan en parle comme si c’était un drame ?

- Tu parles de Hugo et toi ? Demande Kendrian.

Stan met un certain temps avant de répondre.

- Je serai prêt à suivre Hugo n’importe où alors je te comprends.

 

            Sur le chemin du retour Kendrian n’est pas satisfait. Il a quitté Stan sur une mauvaise note il le sent bien mais il n’a pas l’impression que ça vient de cette amitié longue distance future. C’est autre chose, quelque chose que Stan lui cache. Peut être la raison pour laquelle il a brusquement changé. Quoi qu’il en soit, c’est un poids un moins même si ça ne le soulage pas, il part quand même et ne plus voir Stan le touche plus que ce qu’il voudrait.

             Il a toujours pensé qu’Eileen serait la seule à compter autant pour lui, la seule amie qu’il aurait mais Stan avait réussi à son tour. Ils étaient très proches, il allait lui manquer, peut être plus que ce qu’il pense.

             C’est pensif que Kendrian se promène dans les rues, il arrive aux abords du canal, petit à petit le monde s’amasse et la ville s’éveille. Le bruit de la ville lui fait mal à la tête, il attend le bus impatiemment pour rentrer chez lui. C’est une journée bien déprimante qui s’annonce malgré le soleil et l’absence de nuage.

            Une fois chez lui il se jette sur le canapé, une envie irrésistible de dormir jusqu’au jour J, de ne voir aucun visage connus, de ne voir personne et d’être vite à l’heure du départ.

 

- Stan l’a mal prit ? Demande Milan.

- Il comprend. Il est seulement un peu inquiet.

- C’est normal. C’est ton meilleur ami.

Kendrian pose sa tête sur les genoux de Milan.

- Masses moi le crâne s’il te plaît.

 

            Milan sourit et s’exécute ce qui semble faire énormément de bien à Kendrian, il ferme les yeux. Des frissons de la nuque le long de sa colonne vertébrale, les doigts malaxant son crâne polissant ses pensées confuses, le trouble qui lui semé dans son esprit par quelques paroles prévenantes de son ami. Que veut il vraiment ? Que désire-t-il au fond de lui ? Quand finira-t-il par penser par lui-même une bonne fois pour toute.

            Kendrian ouvre lentement ses yeux et repousse les grandes mains de Milan pour se redresser, le regard vitreux et l’air hagard il redresse son visage pour planter ses yeux gris dans ceux de son amant. Ces mots avaient fait plus de dégâts qu’ils ne devaient, ils avaient semés le doute dans son cœur. Cet amour pour Milan a toujours été d’une force anormale, une admiration poussée à l’excès. Était-il amoureux au point d’occulter ses propres envies ?

 

- Qu’est-ce qu’il y a ? Lui demande Milan inquiet

 

            Le comportement de Kendrian était étrange depuis qu’il avait parlé à Stan, il n’était pas dans son état normal, il n’a jamais ressembler au commun des mortels mais de là à devenir aussi silencieux, aussi renfermé même pour Kendrian se n’est pas normal. Quoi qu’il puisse dire, quoi qu’il puisse penser, Milan le connait. A force de l’observer de loin, même avec une certaine retenue, il n’ a jamais réussi à s’empêcher de le scruter dans les moindre détails. Depuis ce jour sous la neige, depuis ce jour où il l’a vu pleuré comme un enfant, ce garçon était devenu un véritable mystère si attirant. Un mystère qui avait sut atteindre son cœur de pierre.

 

- Je ne sais pas ce que je veux et ça me fait peur, avoue Kendrian. Jusqu’à aujourd’hui c’était toi…Juste toi. Maintenant je ne suis plus sûr de rien…

Milan fronce les sourcils. Le visage espiègle de Stan lui vient immédiatement à l’esprit.

- Tu parles du départ ?

- Je crois…

- Tu veux plus de temps pour réfléchir ? Je te force pas Kendrian ! Ce n’est pas parce que je pars que tu dois me suivre.

- Tu veux dire que si je venais à décider de rester, tu partirai quand même ?

Milan arque un sourcil.

- Qu’est-ce que…

- Ce que tu veux dire ! L’interrompt Kendrian, que tu ne renonceras pas au départ pour moi ? Ca ne te viendrai même pas l’esprit ? Tu partirai pour Paris sans même hésiter.

- Arrêtes ça Kendrian ! Tu veux me faire passer pour quoi ?

- C’est pas le problème ! S’écrie Kendrian.

La douleur vive en son cœur s’exprime durement sur son visage. La déception.

- Le problème, Milan, c’est moi. Je suis prêt à te suivre partout, sans jamais me demander ce que je veux. Cet amour est malsain…C’est pas ce que je veux. Je veux pas continuer à être ton jouet, je sais que ce n’est pas ce que tu désires mais la peur de te perdre est tellement forte, tellement puissante qu’elle m’empêche de penser par moi-même…Je ne veux pas rester comme ça. Je ne veux pas.

- Alors que veux tu faire ? Que veux tu que je fasse ? Qu’est-ce que je peux faire pour ne plus que tu ressentes ça ?

 

             Milan se sentait désarmer, dépourvu d’argument. Impuissant face à Kendrian, il n’y avait pas de comportement qui puisse faire en sorte que tout ceci s’efface. Ils ne vont quand même pas se quitter ! Après tout le chemin qu’ils ont fait pour en arriver là ! Après tout le chemin qu’ils ont fait pour se trouver enfin ! Ils ne peuvent pas se quitter ! Ca serai tellement stupide. Il l’aime nom de Dieu ! Il l’aime au point de renier sa famille ! Au point de vivre au jour le jour avec lui ! Il l’aime au point de faire ce qu’il veut mais il sait que ça ne le soulagera pas. Kendrian n’a toujours pas confiance en cet amour encore fleurissant, encore trop frais pour pouvoir se reposer sur lui.

             Peut être trop frais pour qu’ils puissent partir sans aucune certitude…

             A son tour, la peur le submerge, une pointe de désespoir lui presse le cœur dans un étaux, Milan se sent tellement inutile. La détresse de son amant devenu plus blanc que neige n’échappe pas à Kendrian qui se sent coupable de lui faire mal, il ne peut cependant pas ignorer ce doute qui le ronge. Il ne peut pas revenir sur ses mots. Ca ne ferai que l’enfoncer dans sa situation.

 

- J’ai besoin de réfléchir.

Kendrian se lève brusquement du canapé.

- Où est-ce que tu vas ? Lui demande Milan en le suivant du regard.

- Peu importe.

- Dis moi Kendrian, à quoi est-ce que tu dois réfléchir ?

 

             Kendrian reste un instant sur le pas de la porte, la main sur la poignet, immobile alors que Milan connaissait déjà la réponse à la question. Réponse qu’il n’entendra pas de vive voix puisque Kendrian s’empresse de fermer la porte derrière lui avant de frapper à la porte voisine mais celui qui lui ouvre la porte n’était la personne qu’il voulait voir.

 

- Kendrian ?

- Salut Hugo. Stan est là ?

- Euh oui rentres.

 

             L’appartement de Hugo n’avait rien de luxuriant, le papier peint était d’époque, une vieille couleur crème qui avait terni, des motifs roses répétitifs. Un canapé central, en cuir beige, la grande télé écran plat qui défilait les images synthétique d’un jeu vidéo à la mode. Le mur derrière la télé séparait la cuisine qui n’avait pas de porte mais juste deux battant en bois comme dans les western. Le parquet était usé, griffés, des traces de déplacement de meubles. Rien de luxuriant mais vivant.

              En face de cette télé, assit sur le canapé, Stan absorbé par le jeu vidéo n’a même pas fait attention à Kendrian jusqu’à ce que Hugo éteigne la console, Stan râle instantanément. Hugo le fait taire en désignant l’invité du menton, Stan se retourne soudainement intrigué, son regard courroucé disparaît à l’instant même où ses yeux marrons ont croisés ceux de Kendrian.

 

- Qu’est-ce qu’y ne va pas ? S’inquiète Stan. Il s’est passée quelque chose avec Milan ?

- Je vais chercher le pain.

Hugo s’éclipse aussi tôt.

 

              Les deux amis restent immobile, attendant une réaction quelconque. De l’un ou de l’autre. L’atmosphère de douceur qui régnait dans la pièce a totalement disparu, il ne reste plus que le silence pesant d’un non-dit, la gêne et la timidité de Kendrian suspendu dans les airs. Des mots qu’ils n’arrivent pas à formuler, il ne sait pas par où commencer ni vraiment ce qu’il doit dire. Il est venu chez Stan instinctivement, il n’a pas même réfléchi à ce qu’il devait faire. Son corps s’est dirigée automatiquement chez Stan. Il était loin de la vérité quant il pensait que Stan était important à ses yeux.

 

- Je te hais Stan. Je te hais d’avoir semé le doute en moi.

- De quoi tu parles ?

- De Milan !

- Quoi ? De Milan ? Comment ça de Milan ?

- Je me suis posé la question à cause de toi. Qu’est-ce que je désire vraiment ? Avant j’en étais certain, il n’existait qu’une seule réponse valable. Seulement petit à petit je me suis rendu compte de l’absurdité de cette certitude…Milan. C’est tout ce que je réponds depuis que je le connais. Comme un fou, comme un robot, comme quelqu’un à qui on a lavé le cerveau. Milan. J’ai l’impression de ne pas exister sans Milan, de ne pas avoir de but ni d’avenir. Avant j’aurai pu croire que ce n’était pas si anormal que ça mais plus j’y pense…Et plus j’ai peur.

La voix de Kendrian se brise brusquement, la colère mêlée à la haine se lit dans son regard.

 

« Comment puis je aisément me dire que je n’existe pas ? Comment puis je facilement me dire que je ne vis pas sans lui ? Ai-je si peu d’estime pour moi ? Ai-je si peu d’amour pour lui ? Car n’est plus de l’amour là ! C’est de la connerie ! De l’admiration à la limite mais pas de l’amour ! Je ne veux pas le chérir comme on peut chérir Dieu ! Un amour aussi malsain n’a aucun sens !! Je veux me sentir sur un pieds d’égalité avec lui ! Je veux sentir que j’ai mon mot à dire ! Que j’ai des envies ! Que ma voix compte ! Que j’ai le droit d’être égoïste et de lui demander quelque chose sans craindre qu’il me quitte !! »

 

             Kendrian serre les poings et les dents, sa gorge devient sèche et voilà qu’il en perd son self-control. Stan fait le tour du canapé pour s’approcher du corps rigide de Kendrian qui tremble sur place, secouer par une multitude d’émotion différente. Il tend lentement sa main et caresse la peau laiteuse du visage de son meilleur ami, une peau si étrangement chaude, plus chaude qu’il y paraît mais aussi plus douce. Une larme traîtresse s’échappe de ses yeux gris pâle et s’écrase sur le pouce de Stan.

              De sa main libre il attire le corps de Kendrian prit par des soubresaut de colère, de colère contre lui-même et contre le monde entier. Stan le serre contre lui, enroule ses bras autour de son corps fin, le serre jusqu’à l’en étouffe, jusqu’à ce qu’il sente la chaleur que cette étreinte devrai lui procurer. Kendrian se laisse aller, il ne résiste pas, ce poids sur ces épaules il le partage avec lui sans hésitation. Après tout c’était un peu de sa faute si il se sentait aussi perdu, sans lui, il n’aurai jamais réalisé son conditionnement ou alors trop tard. Il avait besoin de lui, il en aura toujours besoin, que va-t-il devenir sans Stan maintenant que Eileen l’a laissé tomber ?

 

              Lui qui se croyait si indépendant, si seul, au fond Kendrian n’a jamais été seul. Eileen, Stan ou encore Milan. Ce besoin vital de trouver une branche pour pouvoir se reposer. Kendrian repousse Stan lentement et se détache de ses bras sans violence. Sa crise est passée. Stan ne cesse pour autant de le fixer avec insistance, le regard mélancolique, la séparation est proche. Kendrian ne laissera jamais s'en aller Milan, il le sait. Jamais il ne restera ici alors que l’amour de sa vie est à des centaines de kilomètres même pour tout l’or du monde. Il a trop souffert pour l’oublier. Peu importe les biens, les amis, il aime son Milan.

             Stan déglutit, cette vérité était plus douloureuse que jamais. Il n’aurai jamais cru sentir son cœur à ce point se rompre à l’idée que cette étreinte était sans doute la dernière, qu’il ne touchera plus jamais cette belle et douce peau.

 

- Je ne voulais pas te faire autant de mal Kendrian, souffle Stan.

- C’est un mal pour un bien. J’en avais besoin pour continuer à l’aimer. Sans ça notre histoire aurai finit par s’autodétruire.

- En tout cas, je ne t’ai jamais entendu parler autant ! Rit Stan.

 

                Sa petite remarque détend l’atmosphère, Kendrian hausse les épaule et prend une profonde inspiration. Il remercie Stan du regard et fait demi-tour pour aller prendre l‘air, ne pas rentrer tout de suite car même si il se sent plus calme il a peur de ne pas réussir à lui faire face. C’est donc l’esprit vidé de toutes pensées qu’il s’en va marcher en plein rue, sans se soucier de sa destination.

 

                  Quelques heures plus tard, une fois qu’il est totalement détendu il décide de rentrer, ça serai trop sadique de laisser Milan poiroter encore sans aucune nouvelle de sa part. Il n‘arrive pas à s‘empêcher de de sourire quand il imagine la tête de Milan qui doit se ronger les sangs, il se console en se disant que ça ne peut lui faire que du bien. C’est un premier pas vers la confiance en lui.

                   En rentrant il relève qu’il n’était pas loin de la vérité, Milan fait les cent pas dans le salon.

 

- Tu vas nous creuser une trancher dans le salon à force, se moque Kendrian.

Milan s’arrête net et reste immobile.

 

                  Peut il espérer que Kendrian va mieux avec cette petite blague ? Chose qui est incroyable de sa part, Kendrian est sarcastique mais pas blagueur, pas lorsqu’il est en colère.

                  Contrairement à ce qu’il est possible de croire, Kendrian ne dit rien, ni de ce qu’il a fait, ni où il est allé même si Milan s’en doute un peu. Douloureusement et jalousement il sait vers qui il s’est tourné mais il préfère ne pas lui poser la question, non seulement parce qu’il n’a pas envie de supporter une nouvelle dispute mais aussi parce qu’il sait que ça lui fera plus de mal que de bien. Décidément ce Stan s’immisce un peu trop dans leur couple à son goût.

 

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O jalousie quand tu nous tiens!

 

Bon, je n'étais plus censée publier sur ce blog jusqu'à ce que j'ouvre l'autre ! D'ailleurs il est déjà ouvert ! J'ai commencé à publier I need your Love corrigé d'ailleurs !

 Je suis en pleine correction de TTS et de WSC maintenant ! Bien sûr je fais ça dans l'ordre...

 

Enfin bon, voici un nouveau chapitre ! J'espère qu'il vous plaira !

Bisous

Par Danouch - Publié dans : La dernière fois avant la prochaine - Communauté : Auteurs Sadiques
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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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