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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Mercredi 31 mars 3 31 /03 /Mars 21:32

 

 

Le vol, juché sur le dos des magnifiques Evêques, est agréable et même grisant mais je soupire de soulagement lorsque je repose le pied sur la terre ferme dans la forêt. Là, je suis dans mon élément, loin de toutes ces intrigues politiques, loin de ces dialogues stratégiques et agressifs. C’est comme si je sortais d’un long rêve désagréable.

 

Pourtant, je ne peux pas ignorer ce que nous venons d’entendre. Mon air troublé se reflétait sur le visage de Shin qui devait ressasser autant que moi la conversation que nous venions d’entendre.

 

Un coup de bec me sort de mes pensées et je caresse tendrement le bel oiseau. Il roucoule de bonheur et je me rappelle que nous avons un marché à honorer. Je leur demande de nous montrer leur nid, ils me font comprendre qu’un autre vol est nécessaire pour y parvenir.

 

- Shin, il faut remonter dans les airs pour atteindre leur nid, je lui dis.

- Je ne sais pas comment tu fais pour ne pas être plus perturbé, à te voir, il n’y a que le bien-être des animaux qui compte pour toi.

- Non mais nous le leur avons promis.

- Je sais, je sais, je dis juste que j’aimerai pouvoir me détacher aussi facilement de tout ça. Ça fait beaucoup en peu de temps : nous ne sommes que des enfants de douze ans et en moins de quarante-huit heures, nous nous sommes fait attaquer avant d’apprendre que nous allons entrer en guerre ! La nation d’Angora ! La cité de l’Oracle lui-même !

- Tu veux que je te dise ? J’ai ma propre hypothèse pour cette attaque.

- Quoi ?

- Réfléchis ! Nous allons entrer en guerre parce que des clans voisins menacent de nous attaquer. Or, nous ne sommes ni plus ni moins les enfants des deux personnes les plus influentes, militairement parlant, du pays !

- Ils voulaient nous prendre en otage ?

- Tu crois vraiment que s’ils l’avaient voulu, ils ne l’auraient pas fait ? J’ai été incapable de me défendre, quant à attaquer, n’en parlons même pas. Ils n’auraient eu qu’à me prendre par surprise.

- Mais pourquoi se laisser capturer ?!

- Je ne sais pas. Ce n’est pas moi, l’amiral. Je ne savais même pas où se situe Maru. Passons à des choses de notre âge, ça me prend la tête tout ça. Nous, on n’est pas concernés par la guerre.

- Mmmmmmh, juste que nous ne verrons pas nos père pendant un bon moment.

- Ça ne changera pas de d’habitude.

 

Dans les airs, le vent nous fouette le visage et me libère de mes sombres pensées. J’ai même envie de rire tellement la sensation est vivifiante. Anemos et Gahila nous déposent.

« Nous ne pouvons pas aller plus loin, l’activité humaine est un véritable répulsif pour nous ».

« Je comprends, nous reviendrons ici quand nous aurons terminé ».

 

- Shin, Anemos a parlé d’activité humaine.

- Quoi ? Tu veux dire que leur nid n’a pas été simplement détruit mais carrément colonisé ?

- Je ne sais pas. Mais les nids des Evêques sont tout simplement énormes. Le processus de gestation est lent et pénible et le père veille constamment sur la mère donc le nid doit être assez grand pour contenir eux deux mais en plus tous les petits qui vont naître. Quoi ? Je demande en voyant son air amusé.

- Rien, se moque-t-il, je suis sûr que tu ne connais pas aussi bien les conditions de vie humaine.

- Pffft. C’est juste plus intéressant et plus pratique que tout ce qu’ils nous font apprendre dans leurs vieux manuels.

- Mais oui, mais oui….

 

Nous nous disputons sur le chemin, guidés par les pensées d’Anemos. Nous marchons bien vingt minutes avant d’apercevoir des signes d’activité humaine, des cris, des bruits. Je connais moins bien ce coin que ma forêt, y passant el plus clair de mon temps. A part pour y aller, je ne sors pas de la ville.

 

Au bout de quelques minutes, c’est l’effarement qui déchire l’expression de mon visage. Sur des kilomètres et des kilomètres s’étend une véritable ville. Mon instinct de survie me dit de fuir, de regagner le confort et la sécurité de ma maison mais mon instinct d’enfant me pousse à explorer un peu plus l’endroit.

 

Je regarde Shin et je sais qu’il se dit la même chose. Je ferme mon esprit pour éviter d’être assailli par toutes les pensées des soldats. En fait, plus nous progressons et plus nous nous rendons compte qu’il ne s’agit non pas d’un camp militaire mais d’ complexe d’exploitation de mine : à un rythme régulier, des hommes sortent de la terre en poussant un chariot rempli de minerais. Plusieurs bâtiments sont alignés au desquels émanent un vacarme assourdissant de bruit de moteurs et de cris d’hommes. Tous les hommes que nous voyons ont le dos courbé, les épaules rentrées et le regard triste, désespéré.

 

Je n’ai pas besoin d’ouvrir mon esprit pour savoir ce qu’ils pensent ou d’ouvrir un manuel pour savoir que leurs conditions de vie sont misérables. Je tire Shin à l’écart, derrière un bâtiment.

- Ils exploitent une mine de charbon, je lui murmure.

- Pourquoi tu chuchotes ? Nous ne sommes pas en camp ennemi. J’ai envie de visiter.

- Shin ! Nous ne sommes que des enfants ! Réfléchis ! Tu sais à quoi sert le charbon ?

- A fabriquer de l’acier ?

- Et l’acier sert à quoi ?

- A fabriquer des armes !

- Exactement. Tous ces hommes sont des esclaves qui sont en train de fabriquer des armes qui vont servir à détruire leur pays natal.

- Quoi ? C’est horrible.

- Il faut avertir nos pères !

- Attends ! Tu crois vraiment qu’ils ne le savent pas ? En plus, nous ne sommes pas censés avoir vu ça.

- Mais on ne peut pas ignorer tous ces gens.

- Je sais. Mais nous ne pouvons rien faire, nous n’avons que douze ans et si nous ne rentrons pas, c’est nous qui allons avoir des problèmes avec nos mères.

- Oui mais…

Shin ne termine pas sa phrase et c’est en courant de cet endroit maudit. Je comprends Anemos et Gahila maintenant : ce n’était pas tant l’activité humaine qui les dérangeait le plus mais le désespoir que dégageait cet endroit. Le plus incroyable de tout ça, c’est que nous avions parcouru une cinquantaine de kilomètres.

 

De retour dans la forêt, j’avais envie de m’allonger contre un arbre en caressant l’une des Voyageuses mais nous n’avions pas le temps.

«  Anemos, je vais réfléchir à la situation mais je pense que la vôtre va durer un petit moment, vous devriez loger ici en attendant ».

« Tu sais bien que nous n’avons pas assez de place ici, si cela dure trop longtemps, nous irons trouver un autre endroit ».

«  D’accord, je vous tiendrai au courant. Au revoir ».

« Au revoir ».

 

Shin et moi courons le plus rapidement possible à travers les bois et les champs. Nous nous séparons au niveau des remparts, Shin regagnant la ville haute et moi la ville basse. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil à droite et à gauche.

 

C’est avec le sourire aux lèvres que je rentre et des yeux brillants, pour renforcer mon côté mignon et séduire ma mère, même si mon physique est assez… spécial. En fait, je pourrai bien rentrer couvert de boue que ma mère me trouverait toujours aussi « miiiiiignon ».

 

- Lillyan, essaie de rentrer un peu plus tôt désormais. Tu sais que les rues ne sont plus si sûres, me rappelle ma mère qui était en train de faire cuire du pain.

- Oui maman.

Je dîne rapidement en lui racontant que j’ai passé ma journée avec des Evêques à poil bleu, ce qui est à peu près vrai. Ma mère lève les yeux au ciel, sa position est plus proche de celle de Shin que de celle de papa.

 

La journée m’a épuisé et je me couche en ronronnant de plaisir. C’est donc en grognant de frustration que je me rends compte que je suis incapable de fermer les yeux, trop excité par tout ce que j’ai vu et appris aujourd’hui. Le sommeil finit tout de même par l’emporter.

 

Je ronchonne, le lendemain matin, lorsque ma mère vient déposer un baiser sur ma joue pour me réveiller. Je ronchonne deux fois plus lorsque je vois maître Lamiir en train de prendre le petit-déjeuner dans la cuisine : voir sa tête dès le réveil, c’est violent.

 

A la fin de la journée, je cours, débordant d’énergie après être resté assis plus d’une journée, pour aller chez Shin. J’ai besoin de penser à autre chose, de me vider la tête. Je n’arrive pas à me retirer de la tête le vieux bonhommes courbé par le poids de l’esclavage sans plus aucun espoir. C’est le problème de la télépathie : je ne peux pas ignorer les sentiments des gens bien longtemps et je prends tout à cœur. Shin se plaint souvent de ne pas avoir ce genre de don mais il ne se rend pas compte à quel point c’est un fardeau à porter, surtout à douze ans où l’on ne pense qu’à s’amuser.

 

Cependant, lui aussi avait été sacrément secoué. Ses iris sont aussi noires que les miennes sont blanches, ses cheveux sont aussi blancs que les miens sont noirs : nous sommes deux êtres totalement opposés et qui, pourtant, nous ressemblons et nous attirons. Je sais que je peux compter sur lui pour me réconforter.

 

Je grimpe quatre à quatre les marches avant de frapper chez lui. C’est sa mère qui m’ouvre. Elle me sourit avant de me regarder méchamment :

- Tu as prévenu Cali que tu étais là ?

- Bien sûr, Sheila, je sors avec un grand sourire.

- Ce n’est pas bon pour vous deux en ce moment de sortir trop tard, tu resteras dormir ici, je préviendrai ta mère.

- D’accord, merci.

- Allez, monte, il est dans sa chambre.

 

Je saute sur mon meilleur ami dès que je le vois.

- Lillyan, râle celui-ci, j’étais en train de faire mes devoirs !

- T’as des devoirs ? Je m’étonne faussement.

- Moi, je suis sérieux.

- Moi, je suis intelligent, suffisamment pour ne pas en avoir, je rétorque.

- C’est surtout qu’à force de ne jamais les faire, maître Lamiir a renoncé.

 

Nous essayons de nous taquiner mais l’ambiance n’y est pas. Aucun de nous deux n’est dupe.

- T’as réussi à dormir ? Il me demande.

- Ouais mais j’ai eu du mal.

- Tu pensais aux Evêques qui n’avaient plus de nid ?

- Ah, ah, très drôle. Ça me trotte trop dans la tête, tout ça.

- Je suppose que c’est pour ça que les parents ne voulaient pas nous en parler, soupire-t-il. Tu crois qu’on peut en parler à maman ?

- Je ne sais pas. Mais tu sais, j’ai pensé à un autre truc, hier, quand on s’est quitté.

- Je suppose que ça arrive à tout le monde de réfléchir, de temps en temps.

- Et si, en fait, nos agresseurs voulaient nous ouvrir les yeux ?

- A nous ?

- Non, je veux dire nos pères. Qu’ils se sont laissés capturer pour raconter la vérité à nos pères.

- Pourquoi nous avoir attaqués en premier alors ?

- Parce qu’ils voulaient peut-être nous prendre en otage et que quand nos pères sont arrivés, au lieu de s’enfuir, ils se sont laissés capturer pour parler.

- Ça colle pas. Tu crois vraiment que nos pères ignoraient tout de la guerre ?

- Ouais, t’as raison. J’en sais rien alors. Mais je n’arrive pas à m’enlever de la tête le petit vieux.

- Il n’était même pas vieux, c’est ça le pire.

 

Quelqu’un frappe à la porte et nous nous figeons. Dans l’embrasure apparaît Karl.

- Bonsoir les garçons, dit-il las. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Expliquez-moi comment ça se fait que l’on vous ait vu, hier, sur le site d’exploitation de la mine.

- Heu…

- Ce sont des Evêques à poil bleu qui ont demandé à Lillyan de les aider à rebâtir leur nid. Et ils nous ont emmenés là-bas, a expliqué Shin.

- Et qu’est-ce que vous fabriquiez avec des Evêques à poil bleu ?

- Tu sais bien que Lillyan est toujours avec des animaux et qu’il s’entend bien avec eux. Papa, c’est qui tous ces gens qui travaillent à la mine ?

- Ce sont… Je suppose que je ne peux pas vous le cacher avec le don de télépathie de Lillyan… Oui, ce sont des esclaves et oui, on se prépare pour la guerre. Demain, je vous y emmènerai. Je dois m’y rendre de toute façon. Il faut que je vérifie quelque chose.

- Pourquoi ?

- Pour que vous connaissiez un peu les points stratégiques de votre nation, vu que vous furetez dans tous les sens. J’ai bien peur que vous ne soyez pas épargnés par la guerre : à peine a-t-elle commencé que vous avez déjà eu des ennuis et que vous avez découvert la mine. En tant que fils de l’amiral, cela pourra te servir un jour, ajoute-t-il dans une phrase de lourds sens-entendus. Et je n’arriverai jamais à te convaincre de rester ici si Shin vient avec moi, fait-il en s’adressant à moi. En plus, ton don de télépathie pourra m’être utile.

 

Le lendemain, Karl nous emmène donc sur le site en visite officielle. Je suis encore plus mal à l’aise, de regarder en toute impunité des gens souffrir. Karl ne semble pas plus affecté que ça, moi, je sens mon crâne se déchirer. Cette impression de les mépriser alors que ce sont des êtres humains comme nous…

 

Je me laisse entraîné par tout un flot d’émotions et me rends compte un peu tard que j’ai perdu Shin et son père. Je sens leur énergie aller vers le nord mais quelque chose de plus fort m’attire. Je connais cette sensation : c’est le signe qu’un télépathe n’est pas loin. Lui aussi doit me sentir. L’attraction devient tellement forte que je me mets à courir : je n’arrive pas à me contenir ni à fermer mon esprit.

 

Au bout de quelques minutes, une odeur insoutenable me frappe. Je m’arrête immédiatement au bord de la nausée, une odeur de chair brûlée m’irrite la gorge et me donne envie de vomir. Je suis au bord d’une sorte de cratère, je crois que j’ai trouvé le nid des Evêques. Je comprends que ce qui m’avait attiré, c’étaient les résidus de puissance télépathique des oiseaux. Je m’approche du bord malgré moi et c’est un spectacle morbide qui s’offre à moi : je ne vois qu’une immense masse informe mais l’odeur, le reste des vêtements brûlés et un certain esprit de déduction me confirment mes premières pensées.

 

Je me retourne juste à temps pour ne pas vomir sur les cadavres, l’esprit en ébullition, le crâne qui va éclater. Je hurle sous la douleur, je hurle de colère face à cette horreur, je hurle d’incompréhension pour un manque pareil d’inhumanité. Je sens au fond de moi que mon pouvoir explose enfin dans toute sa puissance, enflammé par le désir de vengeance des personnes mortes ici.


_____________________________________________________________________________________________


Voilà la suite plutôt que prévu !

Je vous préviens c'est ici que tout commence, le prochain chapitre va faire évoluer l'histoire et l'orienter un peu plus vers l'intrigue importante !


=)


Merci à toutes pour vos commentaires !


Rappel :


Sheila : Mère de Shin

Par Danouch - Publié dans : Agora - Communauté : Auteurs Sadiques
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Commentaires

Baaah...Apparement, pas si jolie jolie que ça la cité d'Agora^^ Pauvre Lillyan, vivre ça à douze ans ! En plus je suis fan de ce gosse :D A part que je sais pas pourquoi, dans ma tête je le vois blond -_-' (Maaah oui je sais, j'vais me pendre, j'ai compris ! xD)

Enfin, j'aime de plus en plus cette fiction, continuez comme ça !

Bisous.

commentaire n° :1 posté par : Sora le: 01/04/2010 à 20h59

blond ?

comme Zach ? XD

non non il est brun, il a de long cheveux brun =)

XD

et ouais pas si jolie que ça, ca va lui faire un choc en plus, un choc assez spectaculaire ^^

réponse de : Danouch le: 01/04/2010 à 23h47

Salut je me suis recement interresse au yaoi (2ou3ans pas plus) donc je ne connaissait pas ce genre de site j'avoue avoir été surprise mais agréablement treeees agréablemen surprise. J'adore tes histoires j trouve ton style décriture pas mal du tout meme super (je suis une fan des livres j lit enormement romans mangas Bd etc...). Je trouve tes scenario superbe j'ai lu d'autres blog pr l'instant et j crois que ça va dure tu tiens ma préférence j'adore. j'ai pas encore lu tout tes histoires mais j'adore Agora je suis impatient de lire la suite j'adore aussi Libera me et I need your love. Je suis désoler j suis pas tres correcte de mettre un commentaire ki ne parle pas de l'hitoire ke j viens de lire ha ha j'ai pas trop l'habitude des ordis. Pardon j commence a te raconter ma vie en tt cas j tiens a te dire ke ton site est super et j t souhaite du courage pour la suite ça doit te prendre beaucoup de temps d'ecrit tt ces histoires jesperes a tres bientot.

PS: dsl pr les fautes c'est pas mon fort l'orthographe!!!!!!

Ciao et a tres bientot 

commentaire n° :2 posté par : Georgea le: 07/04/2010 à 13h20

Coucou !!!

T'en fais pas tu me racontes ta vie y a pas de problème !!! J'adore quand mes lectrices me racontent tout ce qu'elles ont envie !! ^^


Merci pour tous ses beaux compliment je suis vraiment touchée et flattée que je sois ta préférée c'est fou ! Ca me rend très heureuse merci beaucoup !! ^^

Agora, Libera me et I need your love ? Bien bien ! ^^ Agora est une histoire en collaboration comme t'as pu le voir, n'hésites pas à aller lire Lilly ! Tu trouvera le lien sur la colonne de gauche. C'est une superbe auteure ^^

Sinon c'est qui ton personnage préféré ? Je suis curieuse :p

C'est vrai qu'écrire prend du temps mais moi ca me détend au fond, j'aime juste écrire et faire partager ma passion ! J'espère que tu continuera de me donner ton avis je trouve ça très important ! ^^


Ps : moi aussi c'est pas mon fort l'orthographe COUPINE !! xD

Bisous à toi !!! ^^

 

réponse de : Danouch le: 07/04/2010 à 19h36

Texte Libre



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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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