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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
Je fixe cette scène impuissant, le corps paralysé je ne peux plus faire un seul geste. Maître
Zenon, sa main sur le front de Lillyan, un regard voilé, aucune émotion particulière sur le visage. Je ne comprends pas ! Je ne peux pas le croire ! JE NE VEUX PAS LE CROIRE !! Lui qui était un
exemple pour moi, lui qui, en ce moment même, me vole l’être qui m’est le plus cher.
Raine tient son champs de force autour de nous difficilement mais il résiste, les flèches déferlent sur nous
comme une pluie d’été nous cachant presque le soleil. Le corps de Lillyan à genoux devant son père perd de sa puissance et de son énergie vitale, comme si il lui aspirait le sang. Sans vraiment
réfléchir, le sang bouillant, les muscles contractés, la haine aveuglante ! Je sors du champ de force de Raine qui hurle mon nom. Une multitude de flèches me transperce la peau, la douleur est
horrible et me fait presque pleurer mais la rage me fait serrer les dents et transforme cette souffrance en force. En puissance.
Je soulève le sol en dessous de Lillyan pour le faire glisser jusqu’à moi, maître Zenon n’a même pas le temps
de me voir venir que j’ai déjà récupérer le corps mourant de mon ami. Ses respirations sont saccadés, je le place le plus vite possible sous la protection de Raine sans me déplacer. Les flèches
continuent de me percés le corps de par et d’autre tout en réussissant d’éviter celles qui me seraient fatales.
- Suis le chemin et surtout ne te pose pas de question. Au bout de deux heures vous verrez la lumière.
Raine ne comprend pas tellement, sans en dire plus je l’ensevelis sous la terre avec le corps de Lillyan. Il
me regarde incrédule ne sachant pas trop quoi faire, je ne quitte mon amour des yeux jusqu’à que la terre l’ai définitivement recouvert comme si ils n’avaient jamais existé.
- Bonne chance mon cœur….,je murmure pour moi-même
Trop occupé à penser à Lillyan je n’avais pas remarquer que l’assaut des archers avait cesser. Je me retourne
face à Zenon, je retire d’un claquement de doigts toutes les flèches de bois qui perçaient mon corps. Je serre les dents me faisant violence pour ne montrer aucune émotion, le sang commençait
déjà à couler le long de mes plaies.
- Tu ne sembles pas en bon état petit Shinrei…Le combat est devenu presque ridicule.
Cette manière de parler, cette façon de m’interpeler et de faire hérisser le moindre de mes poils. Je savais
que Zenon n’était pas capable de faire une chose pareil, il aimait bien trop son fils pour se soustraire à un démon comme l’Oracle. Il est manipulé, par un Manipulateur d’Ame.
Je place mes pieds en position, effleurant la terre humide sous nos pieds, je laisses mes bras le long du
corps évitant les gestes trop grand qui pourrait ouvrir encore plus mes blessures. A la différence d’un Manipulateur de Corps, le Manipulateur d’Ame possède tout l’esprit et la puissance de son
pantin. Ainsi même si ce n’est pas le vrai Zenon que je combat, je vais tout de même faire face à sa force destructrice. Je n’ai aucun doute sur l’issu finale de ce combat mais tout ce qui compte
c’est que je protège Lillyan, comme il m’a protégé. Je ne vis que pour lui.
Le maître d’arme sort lentement son épée du fourreaux, cette grâce que je reconnais ne va pas avec les traits
plissés machiavéliquement de son visage. Je concentre toute mon aura dans mes bras, les principaux membres pour contrôler la terre. Vu mon état je vais devoir rusé pour tenir le maximum contre
lui, les mercenaires doivent déjà être entrain de chercher les deux autres mais ils ne les trouveront jamais. Après tout je suis le fils de l’Amiral, le plus grand stratège du monde et moi aussi
j’ai été forgé à son image.
- Pauvre Lillyan…Imagine sa douleur quand il apprendra que j’ai dépecé son bien aimé…
Je fronce les sourcils. Le vent siffle dans mes oreilles, il s’est déplacé à une allure quasi divine, je
reconnais bien là la rapidité d’un maître. J’évite cependant son coup d’épée horizontale en me penchant en arrière, je lance mes poings en direction de son ventre mais il recule d’un seul pas, la
distance est déjà trop grande. Je me déplace à mon tour, bondissant en arrière et soulevant un mur de terre de chaque côté de mon point de chute. Comme si je pouvais les scier, des disques
s’élancent en sa direction, plus tranchant que sa lame légère. Il les évite presque en dansant, courbant son corps comme un serpent. Il s’approche de moi à nouveau, je recule pour pouvoir
utiliser mes dons. Une multitudes de roches m’entourent je les lance contre lui comme avec un ballon de foot et les redirige lorsqu’il s’écarte. Tel des têtes chercheuses et elles suivent le
moindre mouvement de mon ennemis.
La douleur de mes blessures se ravivaient. J’avais fait trop d’effort et le sang coulait d’avantage. Je
grimaçais alors qu’il apparut juste au dessus de moi me lançant d’un seul coup de pied retourner à une vingtaine de mètres plus loin. Je m’étais protégé à temps avec mes bras me retenant au sol
en plantant mes pieds dans la terre. Deux immenses allées de pierre et de terre traçaient mon chemin. La fumée s’était même soulever sous la puissance du coup. Ce n’était pourtant qu’un simple
coup de pied mais je sentais déjà l’impact dans mes organes. Un maître n’a pas besoin de frapper à l’endroit précis pour atteindre ce qu’il veut, il suffit d’envoyer la force du coup sur ce qu’il
veut, sans pour autant le toucher.
Il avait visé mon estomac. Le souffle coupé je tentais de reprendre mes esprits. Ma tunique sur le ventre
était en lambeaux. Il avait évacué énormément d’aura. Il revint immédiatement à l’attaque, soulevant à nouveau le vent avec lui, l’épée était comme un allongement de son bras. Si jamais il me
touchait, il me tranchait.
J’évitais ses frappes avec difficultés, je n’arrivais d’ailleurs pas à éviter certain de ses coups qu’il me
décochait.
- Tu es nul en combat rapproché Shinrei ! Il hurle alors qu’il m’écrasait le visage sur le sol
Il me relevait en me tirant par les cheveux. Le sang se rependait maintenant de tout mon corps et le visage
ensanglantés je pouvais sentir le liquide chaud couler le long de ma bouche jusqu’à la pointe de mon nez. Je n’étais pas de taille, les flèches m’avaient affaiblis et je me reposais trop sur mes
pouvoirs. Que pouvais-je faire à part le retarder ?
Pour un mage, le combat de proximité est son pire ennemis…Cependant si j’inverse la phrase, pour un guerrier
le combat à distance est la pire des situations. Je devais réussir à me tenir éloigner de lui.
Alors que je sentais l’épée de Zenon pointé sur mon cou, j’ai posé les mains sur le sol pour faire soulever
deux immenses racines qui enroulaient son bras le tenant ainsi immobile. Etonné il lâche son épée et tente de retirer son bras de la prise. Je peux m’échapper à quelques mètres plus loin
recrachant le sang qu’il me reste dans le creux de la joue. Sans attendre qu’il réussisse à sortir je soulève à nouveau deux roches que j’envoie comme des boulets dans sa direction. Alors que je
croyais que j’allais un peu le toucher son épée s’est brusquement redresser et a fendu en un éclair les deux morceaux de pierre. Ca ne pouvait pas être aussi facile j’aurai dut m’en
douter.
Cette même épée, vint trancher les deux racines, peu résistance face à la lame d’un maître forgeron, et
libère ainsi Zenon. Je n’avais pas dit mon dernier mot.
Alors qu’il reprend son épée avec le sourire, je me lance contre lui sur une vague de boue, son épée fuse
mais un anneaux de cailloux me protège de ses attaques et je lance à mon tour des frappes rapides. Le combat n’a pas d’égal j’oublie même ce qui m’entoure me concentrant uniquement sur lui. Je
tourbillonne et arrache en même temps des branches des arbres qui sifflent comme des flèches, il les découpe avec une facilité et une rapidité admirable. Ne se souciant pas plus de ça je recule
en glissant comme si j’étais sur l’eau. Je fais remonter un pilonne de terre que je moue comme je l’entends. Je tente de le faire reculer en le pourchassant avec ce amas de terre tantôt humide
tantôt durcis. Comme un animal à mes ordre je bouge au rythme de mon fluide de terre. Zenon tente de faire diversion, il esquive les coup, il rebondit sur un toit, un arbre plus loin, il revient
à moi mais ma terre le suit toujours. Alors qu’il fonce droit sur moi il va pour me trancher le corps dans un cri de rage mais ma terre l’arrête à temps. Son bras ensevelis dans la boue ne plus
bouger. Il grimace de colère et tente de se retirer mais la terre durcis jusqu’à devenir incassable.
Je m’approche alors essoufflé, le cœur palpitant. Je pose une main douce sur le pilonne qui retient Zenon
puis en une fraction de seconde mon visage fatigué se crispe pour envoyé un coup de poing si violent sur la terre qui la brise en un millier de morceau tombant sur le sol.
Le cri strident de Zenon effraie les animaux et parcours les alentours, il se redresse tremblant en tenant
son bras gauche totalement réduit en bouillit. Il transpire presque autant que moi.
Mon sang continue de se déverser tout le long de ma cuisse, je commence à voir trouble mais je me remet à
nouveau en position. Cet homme est peut être Zenon mais il n’a pas sa sagesse au combat qui fait qu’il maîtrise tout ce qui l’entoure.
Il respire difficilement, sans qui me quitter des yeux.
- Je te félicite Shinrei…, il me dit, je veux me battre pour de bon.
Alors que je reprenais mon souffle, Zenon s’ouvre violemment le bras jusqu’au os - du moins ce qu’il l’en
reste - un filet étrange et argenté s’écoule de son épée pour pénétrer avec brutalité dans son bras. Je reste totalement tétanisé ne comprenant pas très bien où il voulait en venir. Puis le métal
liquide qu’il avait destitué de son épée se rependait dans son bras formant l’exact os que j’avais détruit il y a quelques minutes. Je reste tremblant de terreur. Son bras avait reprit forme
initial, il le manipulait à sa guise comme si rien ne s’était passé.
- C’est impossible, je laisse échapper malgré moi
- Le métal Shinrei…Si je suis le plus grand forgeron ce n’est pas pour rien. Je maîtrise le métal. Il sourit sournoisement.
Maintenant c’est à mon tour de t’arracher le bras…
Il reprend son épée qu’il divise en deux, le bruit des lames qui s’effleurent me fait frissonner, je me met
en position de défense pour parer son coup. Il disparaît.
MERDE ! Il est où ? Il réapparait juste en face de moi, l’épée frôle la peau de mon cou mais j’arrive à
bondir en arrière pour l’éviter, je me retourne dans les airs et fait monter des murs de terre de plus en plus haut pour l’empêcher de venir m’embrocher. Je retombe mollement sur le sol, je
dresse un nouveau mur sachant qu’il était à quelques centimètre de moi. Je recule à nouveau, sort des piques de mon mur pour les lancer sur mon assaillant. Il les découpe au fur et à mesure
qu’ils l’atteignent. Je tourne sur moi-même m’entourant de racine plus résistante cette fois, des racines aux épines tranchantes que j’envois sur lui. Il en retient une croisant les épée mais ne
voit pas l’autre l’encerclé. Je croyais l’avoir mais il bondit et atterrit sur l’une des fameuses épines.
Le sourire au lèvres il me regarde et lèche sa lame avant de courir sur la racine que je contrôle. Sans plus
attendre je reprends mes esprits et lance cette même racine fracasser le sol de toute sa force et de toute sa vitesse. Tout s’ébranle, la terre détruite, un véritable champs de ruine. Les roches
qui décollent sous la puissance je les retiens pour les relancer sur la fissure que j’avais créé sachant pertinemment qu’il n’est pas encore à bout. La poussière qui se forme autour m’empêche de
voir mon ennemis.
Je tombe à genoux, essoufflé, souffrant, tout mon corps me fait mal ! J’aimerait tellement me débarrasser de
ce poids qui m’empêche de me battre. Les muscles hurlent à l’achèvement mais je persiste à le pousser à bout.
La poussière se dissipe, j’espérais vraiment qu’il soit au moins blessé. J’avais déployé énormément d’énergie
avec cette attaque, il ne pouvait pas en sortir indemne.
- C’est tout ce que tu sais faire ?
Sa voix. Son sarcasme. Mon désespoir. Son corps, à peine égratigné apparait derrière le nuage, accroupi dans
sa fissure sur le cadavre de la racine. Il saute de son trou pour poser le pied sur la terre, il replace ses épées et avances d’un pas lent.
- Shinrei, Shinrei…Tu me déçois tellement…
Je serre les poings essayant de me relever mais membres semblent se rebeller, je n’arrive même pas à me
mettre debout. Je grince des dents le sentant s’approcher de plus en plus.
- Tu as oublié l’essentiel…
- L’essentiel ? Dis je alors comme si un déclic m’étais apparu
- Oui je suis bien plus fort que toi !
Non ce n’est pas ça l’essentiel, ce n’est pas la force, ce n’est pas la puissance ni l’âge ni l’expérience !
L’essentiel c’est…
« Papa pourquoi est-ce toi aussi tu met un bandeau quand tu t’entraîne avec Maître Zenon ? »
« Parce que Zenon n’a pas de rythme…Ca ne sert à rien de le regarder se battre. Il est plus fluide et plus imprévisible
que l’eau. Grâce à ce bandeau je capte l’essentiel… »
« L’essentiel ? »
« Oui, je capte chaque anticipation, chaque mouvement, chaque bruit qui me font deviner la moindre attaque. Zenon a un gros
défaut, il ne sait pas écouter. Alors que toi et moi Shinrei, nous savons sentir ce qui nous entoure sans même les voir. »
Me souvenant des paroles de mon père je comprends enfin ce qu’il me reste à faire. Je retire mon bandeau, les
pas de maître Zenon s’arrête. Il ne comprend pas, vu qu’il est manipulé par un inconnu il en comprend encore moins. Je laisse tomber ce bout de tissu qui jusqu’à présent avait été mon unique
protection, aujourd’hui il devient une contrainte. J’ouvre les yeux.
Les rétines cris presque sous la douleur mais c’est minime comparer à l’état de mon corps. Je sens pourtant
mes forces revenir comme si une porte s’était ouverte en moi. Je peux me redresser non pas sans difficulté mais je tiens sur mes jambes. Je ne peux plus le voir avec mes yeux et je le sentirais
avec mes oreilles et mon corps. Je place mes mains et attends qu’il fasse un geste.
- Tu as signé ton arrêt de mort petit Shinrei.
Ca y est je sens. Ma toile se tisse dans la terre, chaque mouvement de ses pieds je les anticipe et je peux
ainsi devenu la forme de son corps, j’entends le vent murmurer, je l’entends m’indiquer le moindre mouvement de ses épées. J’évite en me déplaçant, je garde les pieds au sol pour sentir les
siens. Je comprends enfin ce qui disait mon père par l’essentiel. Même sans mon bandeau, moi qui suit encore plus touché par la terre. Je sens chaque objet qui m’entoure comme si je retrouvais la
vue. C’est incroyable. J’arrive à l’éviter avec une facilité déconcertante. Alors que je sens son épée fendre le vent jusqu’à mon oreille je l’arrête avec ma main.
Zenon est perplexe. J’ai réussit à inverser la vapeur, maintenant que je sais maîtriser les vibrations du sol
je peux attaquer. Un sourire victorieux s’étire malgré moi sur mon visage. Je retourne un tronc d’arbre que j’envoie sur mon ennemis pour le faire esquiver, sans je remonte de la terre, ou plutôt
du sable pour l’aveugler. La poussière sableuse tourbillonne autour de lui l’empêchant de voir même son nez. Son cœur palpite, il panique.
Je me faufile dans la nuée de sable, ses pas son hésitant, sa position de combat et chancelante, il a perdu
tout repère. Je fais monter un amas de boue autour de ses jambes qu’il évite rapidement. Il court pour sortir du nuage de sable mais je le suis. Il n’arrivera jamais à sortir de cette
prison.
Je me concentre, je prends une profonde inspiration et me concentre pour faire sortir des lianes tout autour
du nuages. Je dissipe le sable, je crois que je le sens soulagé et reprend confiance toujours en position de défense me soupçonnant de l’attaquer par surprise. Il sera bien surprise, je souris
déjà rien que d’imaginer son visage.
Autour de nous, une cage de lianes, aussi indestructible que l’acier. Surpris il laisse échapper un petit
hoquet de stupeur, je me retire de sa cage et ressert les lianes, il tente inutilement de les couper mais ça ne marche pas. Il cri d’agacement comme un animal en cage.
Je cri presque victoire mais je sens son corps entier se rétracté, sa force se rassemble dans son abdomen.
Surpris je reste sur mes garde, il prépare quelque chose. L’aura se regroupe autour de lui, je n’avais jamais vu ça. Voir les guerrier faire exploser l’aura autour oui, mais réunir son aura à
l’intérieur de son corps je n’avais jamais vu ça.
Le silence est effrayant, une fraction de seconde, le temps s’arrête un instant. Brusquement un souffle aussi
impressionnant qu’un typhon me fait reculer, les arbres et les toits sont arrachés. J’arrive à me maintenir au sol grâce à des racines mais la force m’aveugle. Je n’avais jamais ressentit une
aura aussi dévastatrice, enfin plus depuis que j’ai combattu Lillyan il y a six ans.
Les lianes ne résistent pas. Le vent retombe progressivement. Le corps de Zenon est débout mais ce n’est plus
Zenon. Il n’y pas la moindre ressemble, c’est une sorte de monstre. Une odeur de métal et de chair brûlé.
- Tu as deviné depuis longtemps que je ne suis pas Zenon n’est ce pas ? Me demande cette voix grave. Tu es plus fort que ce que
je crois. En faisant ça, je détruis ce corps mais je décuple ma force pour un temps.
Il reprend ses deux épée, le poids de son corps je le sens dans tous mes membres. Je sens qu’il s’approche,
je recule instinctivement mais trop tard.
Une douleur me coupe le souffle, ma voix se bloque dans ma gorge et je sens la lame froide planter dans mon
ventre. Je pose mes mains de part et d’autre de l’épée. Je ne l’ai pas senti s’approcher, sa rapidité à décuplé, il a peine frôler le sol, trop occupé à essayer de comprendre je n’avais pas fait
attention à ce qui m’entourait.
L’odeur du sang me fait grimacer, je ne sens pas la douleur, je sens juste cette lame qui me traverse le
corps. C’est finit…C’est finit…Il m’a eut. Son pouvoir est trop grand, je ne fais pas le poids. Si seulement j’avais été aussi puissant que toi Lillyan…Si seulement j’avais été aussi souple que
toi, si seulement je pouvais affronter mes démons…ma faiblesse.
Il retire sa lame, un bruit horrible de chair me donne des hauts le cœurs. Je m’écroule de tout mon long.
Plus rien, plus de force, plus d’énergie. Plus rien.
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Et voilà une petite scene de combat !
=D
J'adore ce passage il est vraiment intéressant car Zenon est quand même le héros de Shinrei et c'est ça qui est bon !
Je vous fais une petite explication des Manipulateur d'Ame :
Etre qui naissent généralement parmi le peuple de Maru, et contrôle leur âme UNIQUEMENT !
En fait, c'est comme un marionnetisme sauf que là, l'âme du manipulateur prend le contrôle de corps ET de l'âme de la victime. Ils peuvent donc exercer un contrôle sur le force de la personne. La différence avec un Manipulateur corporelle c'est qu'il ne contrôle que le corps et ne peut pas contrôler la force de sa victime.
La manipulation d'âme est beaucoup plus risquer que la manipulation corporelle, il meurt si sa victime meurt, mais un manipulateur d'âme peut contrôler sa victime d'une plus grande distance qu'un manipulateur corporelle.
Voilà un peu l'explication de ce pouvoir particulier :p
BISOUS
PS : JE SUIS TROP A LA BOURRE DANS MES HISTOIRES ! LOL