Samedi 20 septembre
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14:52
15/16 octobre 1993,
Il aurait put tout faire pour lui, il aurait put lui donner des odres, lui demander de comettre
les pires crimes ! Il aurait put lui faire faire n'importe quoi. Samuel l'aurai fait. Avec tout l'amour qui lui portait. Frère ou pas, ils s'aimaient, s'aimaient démesurement au bord de la folie !
A s'en tuer main dans la mains ! Un amour destructeur, comme l'arsenic, toxique et douloureus mais un amour tellement puissant, peu importe combien de fois il le blesserait, peu importe combien de
fois ils se quitteraient. Samuel se surprenait à vouloir que cet amour leur fasse mal et laisse sa cicatrice, qu'elle laisse une trace graver en eux au fer.
Il aurait put faire n'importe quoi pour eux.
Même le tuer, lui, celui qui les sépare, celui qui les empêche de se voir ! Il aurait put le réduire en miette, au silence à l'état d'éponge sanglante se vidant peu à peu sur la
tapis de la salle à manger.
Il aurait fait n'importe quoi pour aimer.
Le mettre une balle dans la tête, l'égorger, l'étrangler en pleine nuit et le laisser crever au milieu de ses draps près de sa mère qu'il aimait tant ! Sam aurait put tout
faire.
La maison était plongé dans les ténébres d'une nuit froide et sans vie, la lumière de la Lune faisaient apparaitre l'ombres des branches d'arbres cognant contre la fenetre. Les
ombres ondulait sur un corps traversant le halle, la lumière se refleta sur ses yeux sombre et menaçant. Un regard assassin, il serra un peu plus sa lame qui sintillait.
Il aurai put tout faire : même tuer son père.
Le silence de la maison était inquietant, laissant prédire un évement gloque et sans précédent, cette nuit était idéal pour ce qu'il se préparait dans l'esprit du jeune Anderson
mais aussi dans sa vie entière ! Tout allait changer, il sera certainement rechercher ! Mais il ne comptait pas se cacher il partirai avec son frère avec son amour, l'homme de sa vie.
Il était fou.
Tuer son père ? C'est impensable ! Et pourtant la force de vengeance, de haine, d'amour lui donnait ce courage de le reduir à l'état de distributeur de bonbon Pez.
Les pas, le parquet grinçant, son sang dansaient comme l'ombre des branches, son coeur raisonnait en lui, toute sa tête tournait lorsqu'il aperçu la porte de leur chambre. De la
chambre des parents. Une porte illuminer étrangement comme pour l'insiter encore plus à y pénétrer, il approcha sa main lentement, sans faire de bruit, sentant que tout pouvait s'écrouler ! Il
l'ouvrit, les yeux totalement dilaté, la sueur perlait sur son front.
En était il capable ? Même par amour ?
Le visage de son père dormant sur ses draps blanc, serein, pas une once de regret.
Capable il l'était.
Alors que celui qu'il aimait ne dormait certainement toujours pas dut à la douleur des coups, dut à la froideur de sa chambre, un traumatisme de se faire briser les côtes par son
propre père ! Celui qu'il aimait lui ne vivra plus jamais comme avant.
Charle Anderson le méritait ! Il devait mourir pour ce qu'il avait osé faire et dire ! Il devait mourir ! MOURIR !
- Non Sam..., chuchota un voix près de son oreille
Le bras à quelques centimètres du visage de son père, la lame eflleurant son coup mis en valeur, une main le tenait fermemant l'empêchant de comettre son crime passionnel. Julien
se tenait derrière lui, la main sur ses cotes et l'autre le tenant fermemant, Sam n'osait plus faire un mouvement espérant du plus profond de son coeur que son frère le lâche pour qu'il puisse
accomplir sa tâche !
- Il doit crever ! T'entends ! IL DOIT CREVER !!! Mumura plus fort Sam
A bout de nerfs, au bord de la folie ! Julien était torrisé par ce qu'il voyait, son frère avait un regard assassin, il avait cette étincelle qu'il avait vu sur el visage de son
père ce soir. Il était effrayer par cette vision. Il l'attira à lui pour le prendre dans ses bras et calmer ses ardeurs, calmer sa crise de nerfs qui commençait à apparaitre. Ils sortirent ensuite
de la chambre en silence à deux, se tenant la main jusqu'en au où ils rentrèrent dans la chambre de Samuel. Une fois la porte fermée Julien put administrer une gifle monumentale à Sam.
- Je ne veux plus jamais que tu fasse une idiotie pareil ! Est-ce bien clair ?
- Je t'aime.
- Tais toi ! Ne justifie pas un act aussi horrible par l'amour !!!
- Regardes ce qu'il t'a fait Julien ! Regardes toi ! Il ne mérite que ...
- Tu entends ce que tu dis ? En faisant ça tu ne vaux pas mieux que lui !!
Samuel se sentit tout à coup honteux et pourtant l'envie de lui planter cette lame de vingt centimètre dans la gorge, d'y forcer pour percer la carotide ! Arracher les
articulations comme du plastique il en frémissait d'envie. Il apporterai la tête à son frère avec un sourire de victoire " je l'ai fait pour nous...". Pourtant Julien n'était pas comme lui, Julien
était lucide, il savait que c'était horrible. Il ne l'aimait pas comme lui l'aimait, il ne l'aimait pas au point de tout faire.
Même de tuer.
- Je ferai tout pour toi Julien et toi ?
Il ne lui dit pas ça comme une confession mais bel et bien comme un défi, le regard plein de questions. Il était vraiment fou amoureux ? S'aimaient ils autant qu'il le prétendait
au fond de lui.
- Tu ne sais plus ce que tu dis. Couches toi Sam.
Julien voulut sortir laissant son frère se calmer, retrouver ses esprits et redevenir innocent et gentil. Non pas le monstre qu'il voyait maintenant.
- C'est ça ouais...
Decevance, désenchentement, désillusion.
Cette relation si solide s'effritait peu à peu dans le coeur de chacun, qui aime vraiment l'autre ? Qui devient fou ? Qui devra se sacrifier ?
Finalement se fut Anderson Julien. A l'aube son père de réveilla, un posa une valise dans sa chambre avant de sortir sans un mot, sans
un regard, sans explication.
La valise était assez clair. De toute manière même sans son père il allait le faire, il allait partir car tout ça ne rimait à rien. Son frère devenait cinglé sous cette amour,
comme une toxine comme une drogue, il devenait fou. Il fallait partir, se sacrifier, sacrifier cet amour si intense ! Mais si mauvais.
Il fallait partir pour le laisser reconstruire et vivre.
Partir vite.
Les ébuée de larme, les mains tremblantes Julien commença à faire sa valise dans l'espoir que son frère ne se réveille pas, qu'il ne vienne pas. Il faut partir sans un au revoir,
sans un "je t'aime", il faut partir avant de regretter. Mourir pour mieux revivre, il allait fonder sa vie loin de celui qui sombrait à cause de lui. Il ne voulait pas le voir se détruire par sa
faute, il ne voulait pas que plus tard Sam lui en veuille pour lui avoir gacher sa vie.
Très vite il finit, le corps bizarrement lourd et le regard vague il s'arrêta devant la porte de son frère, il s'arrêta un instant sans même espérer qu'il sorte mais il lui
communiquait tout son amour dans une dernière pensée. Le souvenir de leur corps enlacés...leurs souffles mélangeer...ses baisés...ses caresses...son sourire...sa façon de mettre constamment son
écharpe, cette façon se rougir dés qu'il lui déposait un baiser sur la joue. S'aimer puis tomber.
Une épreuve difficile mais leur amour était voué à l'échec dés leur naissance commune. Elle était maudite par le sang, interdite par la loi et l'éthique. Ils n'en avaient pas le
droit.
Julien sentit son coeur battre tellement vite qu'il dit se soutenir au mur pour ne pas tomber, il pressa la main sur sa poitrine, un point au fond quelque chose qui lui coupait
le souffle et les larmes lui brûlaient la gorge !
Envie de mourir, envie de mourir dans ses bras.
- Tiens.
Son père arriva avec un liasse de billet, il lui tendit dans un regard plein de mépris puis recupéra sa valise pendant que Julien essaya de reprendre ses esprits et s'empêcher de
pleurer ! Pas d'avant lui, pas d'avant ses parents. Sa tendre mère était effrondrée vers l'entrée, elle pleurait comme jamais elle n'avait pleuré et n'osait même pas quitter son mouchoir tremper.
Julien aurait pensé qu'il la dégouté maintenant, qu'il n'avait plus sa place nul part seulement elle se précipita dans ses bras, le serra fort contre elle voulant s'imprégner de l'odeur de son fils
de tous ses magnifiques souvenirs passés à ses côtés. Elle redoutait le suite, le réveille de Samuel sans sa moitié et le reste de sa vie, elle redoutait l'avenir qui allait être tellement
difficile sans Julien, sans son Julien. C'était affreux ! L'amour est cruel ! Cette famille si parfaite, cette famille si belle.
- Je t'aime maman.
Julien se sentit obliger de lui dire maintenant, il voulait lui dire encore plus, la chérir ! Lui dire qu'il était désolé, que tout était de sa faute, qu'il l'aimait ! Qu'il
l'admirait et qu'il s'excusait, il voulait lui dire à quel point il ne voulait pas qu'elle souffre à quel point il lui était reconnaissant pour tout cet amour qu'elle lui portait sans limite. Il
voulait lui dire comme tout allait etre triste sans ses sourires, ses petits plat, ses caresses dans le dos quand il n'allait pas bien. Il voulait tout lui dire mais il se contenta d'un "je
t'aime". Un seul.
Il retourna vers son père qu'il regard avec douleur, cet homme si fier et si autoritaire, celui qui est la cause de ses blessures, malgré cette haine il l'aimait. Cet homme à qui
il aurait aimer ressembler, cet homme qui était toute sa fierté ! Tout ce qu'il aurait aimer être, aussi courageux. Cet homme qu'il remerciait au fond de lui, malgré la haine, les coups, les
disputes et les différents. Il l'aimait comme un fils aime un père. Charle sentait ses yeux se noyer dans les larmes il ne put retenir une petite se deverser le long de sa joue, il ne peut
s'empêcher d'avoir mal au coeur ! Cette sensation d'avoir rater quelque chose, de ne pas avoir été assez là ! Tellement de regret, tellement d'amertume ! Il regrette, il regrette tellement ! Et en
tout bon père fier il ne lui dira jamais à quel point il est désolé, il ne lui dira jamais qu'il l'aimait et qu'il était fier de lui. Qu'il ne lui en voulait pas, c'était son fils, son fils ! Son
sang. Son grand garçon. Mais il devait partir, pour Sam, pour eux, pour la vie ! Il devait partir avant qu'ils ne deviennent tous les deux fous.
Monsieur Anderson essuya cette petite larme, il attira le corps de son jeune fils dans ses bras et le serra contre lui comme la chose la plus précieuse qu'il n'est jamais eu. Son
fils. Son sang.
- Au revoir. Dit simplement le père
- A dieu.
Sa silhouette se refermant derrière la porte, un dernier regard en arrière, un visage doux, un sourire tendre, des yeux foncés mais qui semblaient amplit d'amour. C'était la fin.
la fin de leur amour. La fin d'une famille
A l'étage des petits yeux tenebreux s'ouvrit lentement, il avait l'impression que la journée allait être dure, que la veille était flou, que c'était il passé ? Il se sentait
seul. Terriblement seul. Puis un violent le choc lui frappa à la poitrine.
Julien !
Il courut hors de sa chambre en pleine alerte, il dévala les escaliers jusqu'à manquer de tomber il arriva devant la halle où ses parents étaient larme, Charle tenant sa femme dans ses bras qui
était inconsolable.
- Il est parti ?
- Sam écoutes..., tenta le père
- IL EST PARTI ?
Personne ne lui repondait. Il était inutile de lui dire quelque chose qu'il savait déjà, sans perdre une seconde il remonta dans sa chambre d'habiller de ce qu'il trouvait ! Sans
même faire attention au cris de ses parents il partit. Sans se soucier du froid munit juste d'un pull il courait sans jamais s'arrêter, courait jusqu'à manquer d'oxygène, ses jambes brûlaient et sa
gorge était sèche. Sa machoire lui faisait mal, son coeur battait tellement vite qu'il croyait mourir ! Mais il ne s'arrêtait pas avec pour seul objectif, le ratrapper !
Non il ne pouvait pas partir ainsi, il ne pouvait pas le laisser ! Il l'aimait ! Ils s'aimaient ! Ca ne pouvait pas se finir comme ça, Julien ne pouvait pas l'abandonner ! Il ne
voulait pas y croire.
Non il ne pouvait pas le croire.
- JULIENNNNNNN !!!!
Il hurlait de tout son être arriver devant la gare, une foule de personne qui ne prêtait aucune attention à un gamin criant comme un dératé. Il le cherchait du regard, affolé,
paniquer ! Faites qu'il ne soit pas trop tard ! Faites qu'il ne soit pas trop tard !!
Il avança vers les lignes, il reconnu son dos, de loin, sa valise, son profil monter dans le train. Il courut aussi qu'il pouvait bousculant les gens sous son passage sans jamais
s'arrêter ! Sans un pardon rien, il n'avait que son visage en tête, que ce but à atteindre !
JULIEN !!
Je t'en supplies ne m'abandones pas...
- JULIEN !!!
Le visage du concerner se tourna vers la vitre sur sa droite, sa moitié était là, rouge, en sueur, à deux doigts de tomber dans les vappes. Son coeur fit un bond, il ne pouvait
pas l'avoir suivit jusqu'ici !
Sam...mon Sam...mon amour...
A dieu.
- JULIEN !! NE ME QUITTES PAS JE T'EN PRIE !! NE M'ABANDONNE PAS !!
Le train avança lentement, le visage de Sam reculait, mais il n'abandonna pas ! Le garçon courut comme il pouvait les larmes l'aveuglant la douleur était tel qu'il pouvait se
jeter sous les rails ! Il l'abandonne ! Non impossible il ne pourrai pas lui faire ça. Non il ne peut pas. Il n'a pas le droit !!
- Je t'en prie...., sanglota Sam, REVIENS !!! Il hurlait en courant après le train
La main sur la vitre Julien regardait son frère courir, son coeur se serrait, non il ne devait pas le regarder, il ne devait pas. Il détourna son regard, serrant les yeux aussi
fort qu'il le pouvait. Non, non...
- Je t'aime !!! JULIEN JE T'AIME !! REVIENS NE M'ABANDONNES PAS ! JULIEN !!!!!
- A dieu Sam...
...mais noooooon les sépare pas!!!!!!!
voilà tu m'as encore fait pleuré
Jsuis en train de plaurer devant mon PC la honte ! xD
XDD
je suis trop con laisse tomber xD
Heureusement pour moi tout le monde n'est pas d'accord avec toi. Je te signal en plus que j'avais prévenu tous les visiteurs sur la page d'accueil.
La prochaine fois, c'est pas la peine de laisser de commentaire, contentes toi de te tirer =)