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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Samedi 30 août 6 30 /08 /Août 17:58
 
 
    Klay soutenait me regard, je venais de prendre un couteau en plein coeur une douleur attroce me coupait le souffle, je me sentais prisonier et mon coeur faisait palpiter mon sang dans mes veines. Je n'entendant plus que des battements frénétiques, j'avala ma salive difficilement comme une lame que je devais ingurgiter. Je n'ai pas eu besoin de demander pourquoi, je savais au fond de moi pourquoi et Klay aussi. Il s'est levé lentement pour sortir de ma chambre sans un autre regard en arrière, que cherchait-il à faire ? Me rendre coupable ?

- Je suis coupable...

    Je me sens mal. Quelque chose me bloque la gorge et me brûle les yeux, je sens que je vais craquer.
    Raphaël...
    Trop tard, j'ai craqué.
    Au l'aube Logan est venu me réveiller pour que je me prépare, ils devaient travailler autant l'un que l'autre alors ils décidèrent de me déposer en premier. Logan avait déjà trente ans et travaillait en étroie colabortation avec un société de ventes aux enchères, il était directeur d'un museum à New York, cette société portait le nom de Génèse.Corp. Klay qu'en à lui avait hériter de l'entreprise familiale, il faisait un excelent promoteur.
    Je pris le petit déjeuner dans le silence, Klay me regarda d'un oeil inquiet, il devait certainement se poser un tas de question après m'avoir laisser hier avec cette nouvelle cela dit je suis sûr qu'il m'encourage plus qu'autre chose. Il me fait me sentir plus fort.
    Une fois finit c'est Logan qui m'emmena alors que Klay prenait l'autre voiture, il ne me dit qu'un simple "courage" avant de partir assez rapidement. Logan gardait son éternel sourire, c'était un homme avec qui il devait être agréablie de vivre et j'étais vraiment heureux de voir mon meilleur ami d'entre de si bonnes mains. Jaloux surement de leur bonheur, j'aimerai vivre un tel amour, une telle paix dans un couple, tellement de confiance. Je les envie vraiment. J'ai fixé Logan durant tout le trajet, il avait les yeux marron qui pétillaient de bonheur, des cheveux noir ébène et fin bien coiffée, je ne remarqua qu'au dernier moment qu'il avait un tatouage sur le coup représentant un dragon.

- Jolie tatoo.
- Merci. Le jour où je l'ai fais j'ai bien cru que j'allais tomber dans les pommes haha !
- Ca fait si mal que ça ?
- Il y a des choses qui font bien plus mal.

    Finalement nous n'avons plus parler durant le trajet après ça, j'ai ouvert la fenêtre de mon côtés et j'ai glissé ma tête vers l'extérieur. Une envie urgente de prendre l'air, d'évacuer mon esprit avant de regarder la réalité en face, au fond est-ce que j'étais réellement conscient que j'allais revoir Raphaël ? Comment est-il ? Est-ce qu'il est défigurer ? Comment a-t-il tenter de se suicider ? Pourra-t-il me parler ? Voudra-t-il me voir ? Me rejetera-t-il ? Non...après tout c'est lui qui m'appelait selon Klay. Enfin c'est ce qu'il a dit.
    Nous sommes arrivés plus vite que ce que je ne le pensais, de grand immeuble blanc, cette envie de vomir qui me brouillait l'estomac. Des souvenirs, j'ai trop de fois vue cette batisse de l'enfer.

- La chambre de Monsieur Culigan s'il vous plait.

    Logan n'est pas resté avec moi, il m'a déposa une main sur l'épaule avant de filé et de me laisser seul au milieux de ses couloirs. Cette fois la tension m'empêche même de réfléchir correctement, je dois y aller ? Je me retourne comme un automate et empreinte l'ascenceur pour arriver dans un nouveau couloir toujours plus clair, plus gloque, l'odeur de l'anesthésie, le bruits de quelques discussion et un chariot traversant les pieces. Un brancart sur le côtés, un fontaine à eau, des infirmières qui rit en buvant un café, des sièges avec des plantes, un homme âgé qui regarde ses pieds. Je me suis arrêté, ce vieille homme semblait au bord du gouffre, ces mains ne tremblaient pas, ses yeux étaient mis clos lorsque la porte s'ouvra devant lui une infirmière poussant un brancard avec un corps couvert par un drap blanc. Il se leva à la hâte, fixa ce corps en le suivant du regard incapable de marcher, incapable de parler, il pleura simplement entre ses mains. Cette vision me serrai la gorge.
    Je sais trop ce que ça fait que de voir quelqu'un qu'on aime partir sur un brancard couvert d'un drap blanc.
    Et si Raphaël...non ! Si j'amaisi il venait à mourir je crois que je...

- Vous avez besoin d'aide monsieur ? Me demanda une infirmière un grand sourire sur les lèvres
- Euh non merci.

    Elle me sourit simplement avant de continuer sa route, à vrai dire j'étais devant sa porte depuis déjà un quart d'heure et je ne savais toujours pas si je devais rentrer ou non. L'angoisse, les questions défilent, après tant d'année. Les choses finalement ne changent pas, je suis toujours aussi nerveux et je l'aime certainement encore plus qu'avant je ne sais pas si je supporterai un rejet, si je supporterai de le voir avec tous ces tubes sur lui, ces machines qui font un bruit monstre. Le bip inséssant, cette façon de respirer si artificiel ? Quoi qu'il en soit je ne peux plus faire marche arrière.
    Je dois affronter les fantômes du passé pour avancer dans le présent.
    Le coeur affolé j'ouvre la porte doucement, tremblant, tellement terrifier que j'ai fermé les yeux revoyant le visage souriant de mon tendre professeur. Finalement il n'y avait aucun bruit inquiétant, juste le bip, le chant d'un oiseau et un vent léger qui me caressa la joue. La fenêtre était ouverte, il y avait un plateau dans sa chambre contenant de la nourriture qu'il n'a même pas toucher, il était là, allongé dans sa couverture bleu cette aiguille enfoncer dans sa main le visage serein. Il dort encore.
    Je suis rentré sans faire de bruit, les craintes s'étaient tout à coup évaporées j'étais terribellement attiré par lui maintenant, je ne voulais même plus quitté cette pièce je m'imaginais déjà l'embrasser à nouveau comme avant espérant qu'il me dise encore une fois " Je t'aime.". J'ai avancé doucement m'essayant sur la chaise à côtés de son lit, je me suis posé confortablement pour avoir le plaisir de regarder son visage, pour avoir le plaisir de le voir ouvrir les yeux comme un nouveau né. Je me suis posé là parce que j'avais besoin de le regarder dans un silence paisible. J'avais le besoin de le regarder comme si j'étais un admirateur anonyme, j'avais juste besoin de me rassuré.
    Il a tellement changé.
    Mon coeur s'affole, je sens comme une vague de frisson me parcourir le corps, cette nostalgie des jours heureux puis je me met à redecouvrir mon bien aimé. Ses cheveux sont court, il a finalement décidé de les coupé...

-" Tu as attaché tes long cheveux aujourd'hui ?
- Oui je crois que je vais les couper...
- Pourquoi ?
- J'en ai marre des cheveux long...
- Moi j'adore. Quand on couche ensemble il me chatouille le ventre et ça me fait frissoner..." ( voir chapitre 18 )

   
Sa peau est toujours aussi laiteuse...

" Sa peau aussi blanche que la neige, j'avais l'impression de voir un ange..." ( voir chap 1 )

   
Ses lèvres légèrement plus clair que d'habitude, ses ciles foncés faisant ressortir la magnificience de son visage ovale. Cette peau de nacre était tellement attirante, aussi douce que de la soie j'avais l'irrésistible envie d'y glisser ma main avec délicatesse. Je ne me suis pas retenue plus longtemps et le contact de sa chaire me faisait battre le coeur, je me sentais tellement bien tout à coup que je souriais bêtement. L'impression d'avoir retrouvé ma place dans ce monde, l'impression que rien ne s'était passé et que tout allait recommencer.
    J'ai pressé mon pouce sur ses lèvres closent, je l'ai sentit bouger précipitamment j'ai retiré ma main, la panique remplace vite ce moment de pure bonheur, je me sentais gêné et ce geste me paraissait même déplacer maintenant. J'ai tourné le visage rouge de honte ne voulant pas voir son regard sur moi, la seule chose qu'il me ferait surement perdre mes moyens serai la façon dont ses yeux de feu me regarderaient. Me regardait-il ? Avait-il ouvert les yeux ?

- Bonjours Monsieur Culigan ! Enfin réveillé ? Arriva soudainement une infirmière
- Bonjour.

    Cette voix était si douce, si faible, son timbre me donnait envie de pleurer.

- Je vous apporte votre petit déjeuner tout à l'heure, elle dit en me regardant ensuite.

    Elle partit rapidement en emportant l'ancien plateau, une fois que la porte fut fermer le silence s'installa à nouveau et je n'osais toujours pas croiser son regard. Je me sentais ridicule de l'ignorer ainsi mais j'avais peur, terriblement peur de découvrir que je n'étais plus rien à ses yeux ! Qu'il veuille juste me dire mes quatres vérités, qu'il me crache à la figure que tout était de ma faute.

- Ecoutes Ra...

    J'avais finalement décidé de lui parler, voulant m'excuser en premier mais ma phrase fut couper quand je vis qu'il me regardait en sanglotant en silence, les yeux plissés débordant de larmes, les lèvres retrousser il continuait de me regarder s'empêchant de fondre en larme mais dés qu'il vit que je l'avais remarqué il craqua. Ses mains vinrent doucement cacher son visage, ses larmes déferlaient sur son visage et je me sentais désemparer, honteux, terriblement mal.

- Je m'en veux tellement...

    A mon tour les larmes me brûlaient les yeux mais je me retenais, il fallait que je me retienne pour lui, pour lui donner de la force et pour lui montrer que j'étais là pour lui, uniquement pour lui ! Toujours pour lui ! J'ai quand même tenter d'approcher une main hésitante, j'ai essayé de le réconforter ma main s'est déposé sur les siennes qui lui cachaient le visage. Ses soubresauts ont redoublés détensité, je voulu l'enlever à nouveau me sentant rejeté mais finalement ce fut lui qui l'agrippa avant, étonné je le regardais serrer ma main contre sa joue humide pleurant toujours comme un enfant.

- C'est bien toi mon dieu c'est bien toi..., il dit à nouveau faiblement
- Je suis là Raphaël. Je suis là. Pardonnes moi s'il te plait...je te demande pardon d'avoir été un idiot ! D'avoir été si immature. Pardonnes moi mon amour...laisses moi m'occuper de toi ! Laisses moi t'aimer comme il se doit. J'arrives pas à t'oublier Raphaël, j'ai jamais reussi, je me suis toujours senti coupable j'avais été si con ! Et à cause de ça j'étais seul...Ne me quittes plus Raphaël ! Ne me quittes plus ! Si tu venais à disparaître à nouveau je crois que je...je crois que j'en mourrai.

    J'avais tout déballer, je lui avais dit en quelque phrase ce que je ressentais et ma main se resserai dans la sienne ! J'espérais tellement que tout recommence, qu'on reparte à zéro ! Qu'on soit heureux. Cette idée m'avait redonner espoir et je ne me sentais plus seul, j'avais un nouveau but et une raison de vivre. Alors ne me rejettes pas Raphaël je t'en prie !

- Approches...

    Je sentis mon coeur se serrer, j'approchais doucement de lui et sa main perfusé il m'attira par le coup pour m'embrasser comme si c'était ma première fois...comme ce soir là...

" Sans que je puisse dire quoi que ce soit il s'empara de mes lèvres tremblantes pour m'embrasser tendrement. Je n'avais jamais ressenti autant de magie dans un baiser, sa main droite sur mon visage qui touchait mes cheveux chatain voulant également sous le vent..."

    Après cette journée j'avais décidé que Raphaël vienne vivre avec moi en France, il accepta sans aucune hésitation insistant bien sur le fait qu'il me suivrait partout où que j'aille. Je ne pouvais trouver plus bel amour, j'étais avec l'homme de ma vie et ça il n'y en avait aucun doute. Je sais que parfois la vie ne m'avait pas forcément sourit, je sais qu'on a eut beaucoup de problème dans le passé mais je sais également que nous sommes tous deux différent du professeur et de son élève. Nous allons vivre notre amour à la lumière, main dans la main, deux avenir différent mais regardant dans la même direction.

Mon seul et mon unique.





END
   
  

Finalement j'étais trop pressée de l'écrire donc Lea je te ferai chanter encore sur Sanzo xDDDD !
Bref
Je savais depuis le début que je ferai un happy end pour ma première histoire Yaoi parce que je voyais pas cette histoire en sad end voilà
J'espère que ca vous fait plaisir car ca sera surement très rare que ca se reproduise ! NIARK
Je tiens à ma réputation d'auteur sadique :ppp

Je vous aimes !
Des questions sur cette fiction qui s'achève maintenant ?
Posez les j'y réponderai volontierement.

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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