¤News¤

1106529299870.jpg
Danouch's MAJ :

NOUVEAU BLOG

¤Danouch blog¤

  • : World-and-Yaoi
  • World-and-Yaoi
  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

¤Calendrier¤

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

¤Pix¤

  • Hatori
  • GJ1
  • Miyavi_by_nocturnalopera.jpg

¤Créer un Blog¤

Texte Libre

Le contenu de ce blog peut être choquant avec des propos sexuels, injuriant, cru, violent, yaoi, incestueux, délirant, erroné sur des informations réelles, raciste, etc...



Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 23:36
  


    Adam commençait à tapé du pied à force d'attendre que la réceptionniste lui donne les indications nécessaires pour voir Sanzo, bizarrement il était heureux à l'idée de le revoir c'était peut être bon signe ?

- Je suis désolé Monsieur Urashima Sanzo est sortit hier soir.
- Comment ça ? S'étonna Adam
- Oui il est sortit son père est venu le chercher voilà.
- Ah très bien.

    Sans vraiment le vouloir il était beaucoup plus déçu que ce qu'il pensait, il s'étonna également d'être autant toucher par cette nouvelle alors que l'effet devrai être inverse ! Après tout si il était sortit ça voulait dire qu'il était en bonne santé non ? Mais cela voulait dire aussi qu'il risquait de ne plus le revoir. Son petit air perdu et timide lui manquait, cette façon se fermé sur les autres et son visage si impassible à ses sentiments que lorsque celui ci ne montrait qu'un soupçon de joie il s'illuminait à la seconde ! Provoquant plus de chamboulant en Adam que ce qu'il pourrait croire.
    D'un pas lent il quitta l'hôpital doucement espérant trouver refuge dans un café qui serai ouvert, sentant la bonne odeur de l'été qui s'était déjà installer avant l'heure. Avec quelques croissants chaud il s'avouerait ce début de matinee avec malgré tout un goût de manque, de peine de ne pas avoir vu Sanzo et son sourire.

- Un café et un croissant s'il vous plaît ! Commanda Adam en s'installant sur les terrasses.

    Songeur il imaginait que Sanzo dormait encore paisiblement et comme ferai un adolescent entiché il l'imaginait entourer d'une sorte de lumière salvatrice, douce paisible, un garçon coucher sur ses oreillers comme si il flottait sur un nuage. L'envie indescriptible de toucher sa peau nacré, quelques pointes de cheveux touchant le bout de ses cils, des lèvres roses si tentatrice semblant plus esquisse qu'une crème glacé...
    OH ! Gros problème ! Voilà qu'il se m'était à fantasmer sur lui ! Fallait vraiment qu'il prenne une douche froide et de toute urgence, cette soudaine envie de s'emparer du corps de ce garçon encore si jeune lui paraissait malsain ! Il aurait bien trop peur de le brisé, de le salir...
    AH !
    Mon dieu il faut immédiatement quitter les lieux, ça devient dangereux toute cette poésie qui pénétrait dans son coeur de pierre ! Il ne voulait pas le toucher, pourtant ce n'est pas son âge qui le gênait, encore moins son sexe puisqu'il était gay ! Cela dit Adam savait très bien comment çà se terminait, il était un véritable coeur d'artichaut dés qu'il sympathisant avec un beau mec Adam avait l'impression d'être tomber sur un ange pour vite déchanter et s'en lasser en quelque jours. Il refusait de le faire souffrir, rien que d'imaginer Sanzo pleurer par sa faute ça lui arracherai le coeur. En revanche, s'inquiéter pour quelqu'un : ça c'était nouveau.

- Je ferai mieux de rentrer chez moi, ça sert à rien de me torturer l'esprit comme ça. En y réfléchissant il n'est sûrement pas gay et sa fragilité m'effraie quelque peu. Ah  mais je vois même pas pourquoi je me pose autant de question ! Faut absolument que je me trouve une distraction.

    Il paya pour partir les mains dans les poches, le gilet complètement ouvert sur un t-shirt blanc, un appareil photos qui pendait autour de son coup. Il n'avait rien à faire à part marcher il analysa les alentours, des passants tous plus différents les uns que les autres son regard fut attiré par une dame âgé porté des sacs qui s'arrêta en regardant ses mains sûrement fatigué. Il attrapa son appareil pour capturer cette image, un léger zoom, l'effervescence des passants faisait ressortir l'immobilité de la vieille dame sur une pellicule en noire et blanc. Un homme tenant un enfant dans ses bras lui ébouriffant ses beaux cheveux blond cette image il voulu la photographier mais une sensation étrange l'en empêchait, une nostalgie inexplicable qui lui coupait tout élan. Le souvenir d'un père ouvrant grand les bras pour que son fils vient s'y réfugier après être tomber du vélo pour la première fois, un rapide baiser posé sur le doigts rougis puis une poigne ébouriffant ses cheveux de blé.

- Un homme ne pleure pas allez...


    Le père souriant faisant ressortir de jolies pommettes et l'enfant se réjouissant tout à coup au même pommettes que le père, le même regard, le même sourire innocent.
    Adam tenait toujours son appareil entre ses mains revenant peu à peu à lui. Ceux qu'ils regardaient juste avant sa léthargie s'éloignaient maintenant pour rejoindre une magnifique femme enceinte étant en train de choisir des légumes dans un des commerces se tenant sous le ventre déjà bien rond.  Le beau  photographe n'avait plus tellement envie de photographier cette famille, ses moments leur appartenait et les capturé serai leur voler ce bonheur qui planait au dessus d'eux.
Un bonheur éternel.
     Est-ce que Sanzo connaissait ce genre de bonheur ? Ce bonheur qui pour Adam n'était qu'un doux souvenirs aux pommettes douces et aux sourires mielleux. L'image du père autoritaire le frappa tout à coup, cet homme à l'hôpital lui faisait froid dans le dos, ses habits sévère et son regard perçant l'irritait. Cette homme ne faisait que provoquer une colère grondante dans sa poitrine comme si il était le mal, son corps entier lui ordonnait de ne pas s'approcher de lui ! Quelque chose le révulsait. Il était sûr que cet homme était incapable d'aimer un fils et encore moins une femme !
     Sanzo était il en danger près de lui ?
Non ! Sûrement pas il se faisait des idées ! Pff ! Vraiment il riait de sa stupidité et finalement dans un soupire il regarda une dernière fois le soleil pour se diriger dans un kiosque et ensuite rentré chez lui avec un bon journal. Emy ne sera certainement pas là ! Le week-end est terminé et les adolescents reprennent les cours.

- Sanzo est sûrement au lycée aussi...

    Un flash lui vint soudainement ! Mais bien sûr ! Voilà comment le revoir ! Il n'avait soudainement plus envie de lire un foutu journal et oubliant toutes les mises en garde que lui dictait son intuition il ne pouvait ignorer le fait qu'il avait BESOIN de revoir son sourire. Il avait besoin de savoir qu'il allait mieux.
    Il courut aussi vite qu'il put tenant son appareil pour ne pas qu'il lui frappe le torse durant sa course, il connaissait un lycée pas trop loin et c'était le seul de ville il était sûr qu'il serai là, qu'il étudiait là, soudainement impatient et le coeur battant. Pourtant à son arrivée il ne vit pas un garçon au beaux cheveux rouges, il remarqua que c'était un lycée privé où l'uniforme était de rigueur. Se ressemblant tous un peu plus, il n'aurait pas été difficile de le retrouver même au milieu de la foule et pourtant il ne vit rien. Absolument pas de Sanzo. Toute son excitation, son enthousiasme se retrouver à patauger dans la flaque devant le portail. Finalement il ne le reverra certainement jamais.
    Il était tellement loin de s'imaginer que Sanzo n'était actuellement ni même au lycée ni même nulle part à ailleurs que chez lui. Il ouvrit difficilement les yeux, un simplement clignement de cils lui procurait une douleur atroce, son dos contre un tuyaux de canalisation, les mains lié par quelque en fer, il remua à peine la main pour vérifier l'origine qu'il grinça les dents de douleurs peu importe ce que c'était mais c'était planté dans ses mains et au moindres mouvements les cris se noyaient de sa gorge. Un malaise atroce lui brouillait le vue, la douleur insupportable le faisait gémir par peur de crié. Tout lui revenait à l'esprit peu à peu, la vieille il avait subit les pires supplices et il sentait que ce n'était pas encore terminé.

- Des barbelés..., murmura Sanzo

    Oui c'était certainement des barbelés, sa tête penchant en avant vider de force et d'énergie la souffrance était infernale, son corps lui faisait horriblement mal il ne désirait que s'en extirper, s'exiler de cette chair qui semble brûlé vive ! Écorché, le mollet planté par plusieurs coup de couteau de la vieille.
    Il se souvenait de la dernière phrase de son père juste avant la douleur saillante qui lui avait arraché un cri de bête à l'agonie, un cri strident sentant la lame s'enfoncer doucement dans la chair impossible de bouger, impossible de se débattre. La douleur paralysante, et les larmes poignantes, les murmures d'un père pervertis, fou, plantant, plantant, poignardant encore et encore ses jambes ! Le trouant et brûlant ensuite ses plais pour éviter que son jouet ne se vide de son sang.

- Nan tu ne mourra pas tout de suite...Crois moi tu vas payer pour ce que tu as fais. Tu regretterai de ne pas être mort dans cette foutue rivière !


    La pluie commençant à s'abattre sur les vitres de la cuisine, la lumière de la nuit éclairant une scène terrifiante, digne des films les plus sanglant, un homme se noyant dans son sang avec au dessus un cinglé tenant un couteau de boucher dégoulinant d'un fil visqueux tombant en gouttes sur le corps méconnaissable. Les yeux brillants d'un assassin et les éclats des larmes se mêlant au liquide rouge. La perte de connaissance arrivant peu à peu lorsque Sanzo sentit sa tête tourner, la douleur tellement hurlante qu'elle en devenait anesthésiante, l'ombre des branches d'arbres frappant le verres, une table retournée, une cuisine dévastée. Il se souvenait juste ne plus entendre les insultes du père et fixé intensément la lune en croissant qui disparaissait sous les nuages, recouvrant la ville d'un voile sombre et faisant tomber la pluie à grosses gouttes et en rafales sur sa triste vie.
    Puis le noir et enfin le réveil indésiré d'un corps mutilé, ses jambes en passoires, les mains lié de barbelés, les yeux enflés de larmes, de bleus, de sang ! La bouche tellement gonflés que la bave s'en extirpait sans qu'il puisse y faire quoi que ce soit, l'odeur du sang sec l'impression d'avoir plongé dedans et d'en ressortir vidé. L'horreur de la réalité le poignardait encore plus.

- Je suis fini...

    Qu'allait il faire de lui ? Le violer encore et encore jusqu'à ce qu'il en crève, il ne pourra jamais s'en sortir et même si par miracle son père le laissant en paix son âme est pourrit. Oui, son âme est détruite, déchiré, poignardé puis partie en fumer ne restant de lui qu'un homme sans plus aucune envie de vivre ! Et même si un jours l'envie de vivre lui reprenait il ne pourra, il sera à jamais dépressif, déprimer, seul, suicidaire, inconsolable, insociable. Un mort tenant sur ses jambes. Rien, plus rien ne pouvait le sauver il était destiné à souffrir à se refermer sa déprime, inspirant ardemment à la mort sans jamais l'atteindre comme un inavouable secret.

- Si je rejoins Dieu tu peux être sûre que je te fais la fête..., ironisa Sanzo

    La situation était désespère et voilà qu'il commençait à délirer imaginant déjà sa mort, imaginant crevé dans un râle d'agonie atteignant les cieux et crachant sur ce foutu Dieu de merde. Il n'existe pas ! Non impossible ! Comment un être aussi horrible peut il exister, comment peut il se dire père des hommes ? QUEL GENRE DE PERE NORMALEMENT CONSITITUER FAIRE SUBIR CA A SES ENFANTS !!

- Le genre qui me sert de père...Le genre qu'il faudrait brûler sur un bûcher, le genre qui mériterai qu'on les pendent par les couilles ! Enfoiré ! RACLURE DE MERDE ! Cria Sanzo du fond de sa cave

    Sa peur s'était effacer la vieille transformant le Sanzo craintif en un homme rancunier, en voulant au monde entier car ce n'était pas son silence qui l'enfermait dans cette cave c'était le silence des autres ! Ne dites pas qu'un voisin n'a pas entendu le vacarme qu'il y a eut, les cris, les insultes même les coups de couteau semblait faire le bruit d'une massue !

- Brûlez tous...Je souhaite qu'ils crèvent !

    Sanzo dans la haine serra les poings ouvrant un peu plus les plaies et nourrissant sa haine, si jamais il arriva à sortir de cette cave il égorgerai son père sans hésiter. Il lui arracherai les yeux à main nu, le frappera d'une masse jusqu'à ce que son bras ne puisse plus !
    Le bruit d'une porte qui s'ouvre l'interrompit dans son scénario de la parfaite vengeance, une silhouette à pas lent s'approchait de lui, la visage tellement marteler de coups qu'il pouvait à peine apercevoir une forme mais il jurerai reconnaître le bourreau qui dans un raclement de gorge se précipita sur Sanzo, inoffensif, lui agrippant la gorge d'une poigne de fer. L'homme se colla à lui les yeux dilaté de désir, humide de perversité, il se frotta sur Sanzo qui sentait déjà l'érection du père lui donner des hauts le coeur. Les yeux brillants, le tyran renifla comme un animal les cheveux de Sanzo qui lui tombait sur les yeux, il s'approcha de son oreille doucement, comme un prédateur sur sa proie...

- Ça ne fait que commencez...

    Il lécha le joue de Sanzo de tout son long, montant jusqu'à ses cheveux, le bruit d'un zip fit sursauté Sanzo perdant son assurance, son père remonta Sanzo par les hanches et le regarda une dernière fois dans un rire malsain.




Par Danouch - Publié dans : World so cold
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

J'ai des frisson rien qu'en lisant ça. C'est terrible! Et dire qu'Adam se promène peinard sans se douter de rien...
J'arrive même pas à imaginer la suite si ce n'est que désastreuse. Mais peut être un miracle (je croise les doigts!)
commentaire n° :1 posté par : athenais le: 07/08/2008 à 22h57
Super chapitre!
Sadique comme j'aime.
Et puis c'est bizarre mais j'aime les scènes de viols. Enfin j'aime. J'aime les lire mais c'est pas pour ça que j'aime les viols. Enfin je me comprends^^
Enfin bref, vraiment super chapitre.

Et non, Lay ne mourra pas.
commentaire n° :2 posté par : Goblinaya le: 08/08/2008 à 20h02
maiiiiiiiiis où il est adam où il est ?????? faut qu'il l'aideeuuuuu
commentaire n° :3 posté par : saya le: 05/09/2008 à 22h05

Ah le pauvre mais c'est horrible ! 

Là je me demande  vraiment s'il va s'en sortir, ça paraît impossible son père le laissera pas partir comme ça >_<

commentaire n° :4 posté par : Deadly le: 26/11/2008 à 16h44

Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés