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¤Sommaire¤

Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 15:52

              

                   Il pleut sur le front. Les raid de nuit sont les plus dangereux que n‘importe quel autre affrontement, je regarde une dernière fois la ciel et embrasse mon médaillon avant de le remettre sous mon uniforme. L’arme lourde et glissante de la main je la remonte fermement attendant les ordres de mon sergent. Les pluies grosses de la ligne de bataille en Rhénanie nous engloutis dans la boue des tranchées. J’ai le cœur qui bat si vite que mon sang ne circule plus correctement, les mains bleus, la bouche sèche je fixe inlassablement l’horizon cacher derrière les arbres nous attendons l’ennemis. Les secondes défilent, les tic tac sont remplacés par le bruit des gouttes dans les flaques. Je dois me tenir prêt, chaque seconde compte. J’ai la vie de tout un bataillon sur les épaules.


«  Souviens toi Miller. Il n’y pas de seconde chance. »


              Je déglutis, j’aimerai faire un tour d’horizon rapide, regarder mes compagnons mais je n’y arrive pas, par peur de rater ma cible, par peur que l’ennemis vienne à ce moment précis où j’aurai été distrait par une quelconque nostalgie. J’aurai aimé leur dire à tous que j’ai aimé me battre à leurs côtés et que je ferai tout pour accomplir ma mission. Le sergent fait un cercle avec ses doigts, il ne dit rien, juste des signes avec ses mains. " Regroupez vous, restez vigilant, ils arrivent. " Des signes qui sont gravés en nous comme si nous les avions apprit depuis notre plus tendre enfance, comme si c’était dans nos gênes, c’était devenu un automatisme pas besoin de réfléchir, ces codes je les connaissais comme une langue maternelle. Je redresse mon arme, prêt.

              L’ œil dans la lunette, j’observe l’horizon, tout devient plus proche, chaque détail m’apparait. Le silence plonge la vallée dans une atmosphère sombre, j’entends presque le croassement des corbeaux au dessus de nos têtes. Le cœur battant, la salive au fond de la gorge, la sueur perlant sur le front. Le bruit au loin, quelque chose de mécanique, quelque chose qui roule, de plus en plus bruyant. Je regarde plus attentivement, petit à petit un point noir devenant de plus en plus gros, la terre tremble. Un char sort de l’ombre, un char impressionnant. Un Char allemand.

Maintenant Miller, à toi ! Je vise, une vitre noire blindée, comme le char. Je vise, un point, légèrement à droite. Je tire. Le sifflement de la balle dans l’air, la rapidité et le silencieux d’un sniper. Je recharge et je tire une nouvelle fois. La première pour fragilisé le verre, la deuxième pour percé et atteindre ma cible. Je me baisse à nouveau, recharge, vise, à gauche maintenant, une balle, deux balles. Les soldats allemands s’agitent autour du char, il cherche le tireur. Moi. Je recharge. Je vise la tête d’un soldat, tire. Il tombe au sol.

Notre ennemis a compris, il nous a repéré. Mon sergent fait un nouveau signe et les autres sortent de la tranché. Le feu est ouvert.


- Beau travail Miller !


              Je soupire de soulagement, je reprends mon arme recharge et tire. Le 120ème bataillon d’infanterie allemande est décimée par la 2eme division américaine. Les cris de joies de la division résonnent dans toute la vallée, c’était un travail habituel mais à chaque nouvelle victoire c’est un pas de plus dans le Reich. Rob me saute dessus et me secoue d’une étreinte virile en me félicitant. La semaine prochaine ça ne sera plus pareil, nous devrons partir pour Ettelbruck, une ville dans le Luxembourg occupée. Nous devrons débarrasser cette ville des allemands en attendant l’aviation.


                Nous rentrons à la base.
                Je souris malgré moi, et je crie avec mes compagnons tout en rentrant.


- La prochaine fois on laisse juste Miller faire le boulot pendant qu’on dort tranquillement qu’est-ce que vous en dites Sergent ? Se moque Rob

- Taisez vous un peu soldat Robinson ! Approchez Miller.

A l’entente de mon nom je m’approche alors tout en tenant mon arme fermement.

- Sergent.

- C’était du beau travail. Grâce à vous nous avons réussi cette mission et je compte sur vous pour Ettelbruck. Encore bravo !


               Le Sergent me gratifie d’une petite tape sur l’épaule, sans doute la plus belle récompense pour un soldat et pour moi une nouvelle pierre à porter. Je m’appelle Alexandre Miller et je suis tireur d’élite dans la 2ème division américaine.

                Ce soir à la base c’est la fête. Toute la division et les différentes troupes se remotivent avec un peu de bière du pays et des boîtes locales. Ce n’est pas aussi bon qu’une bonne purée avec du poulet grillé mais depuis quelques mois nous avons apprit à ne pas faire les difficiles. Les caisses d’alcool viennent depuis la Bretagne, chaque victoire c’est une nouvelle excuse pour déroger aux règlements. Jamais un Sergent ou un Commandant n’oserait privé leurs soldats d’une bonne soirée entre compagnon, jamais il n’oserait car nous ne savons pas si le soleil se lèvera demain. C’est un peu l’ambiance dans chaque base militaire, il faut fêter et rire temps que l’on peut encore le faire.

                Rob m’apporte ma bouteille et trinque avant de partir chanter avec les autres. Je soupire en regardant la mousse blanche. Les horreurs de la guerre détruisent les hommes, même si je ne meurs pas demain sur le front, jamais je ne pourrai me relever après tant de sang coulé par ma faute. Je ne pourrais jamais dormir sans entendre les cris des enfants, des femmes bombardées, des hommes résistants qui ont été retrouvés par l’ennemis. Je m’étais pourtant engagé de mon plein gré, j’avais signé et je savais sans doute ce qui m’attendait de l’autre côté de l’océan. Et c’était sans doute pour venger ses cris, ses hommes et femmes torturés.

                La route pour Ettelbruck sera longue. Je bois ma bière d’une seule traite et pose ma bouteille avant de m’enfuir pour aller dormir.

                Je suis seul dans le dortoir, des lits d’un piètre confort mais qui pour nous sont une source de chaleur. L’odeur de la terre mouillée et imbibée de sang planait au dessus de moi, les cendres des anciens combats étaient encore présent et ardant laissant l‘odeur de la charogne brûlé tel un gaz toxique. L’hiver est là, bien présent, nous tenant dans sa gueule, plongé dans une angoisse étouffante, la guerre est encore plus effrayante lorsque le froid gèle nos minces espoirs de rentrer sain et sauf chez nous. Sain sûrement mais sauf espérons le.

                 Une heure après c’est une petite dizaine de soldat qui rentre dans les locaux pour venir se reposer pendant qu’une autre dizaine monte la garde, je soupire en les regardant s’avancer vers leur lit. Ils ont le visages souillé par la terre et marqué par les batailles. Ce n’était que la troisième mission et déjà nous avions compris que ce n’était pas une guerre simple, elle était cruelle, incroyablement cruelle, des choses inimaginables se passaient dans les pays de l’Est, des rumeurs de camps d’exterminations, des rumeurs de ghetto où on laissait mourir les enfants de faim. Plus épouvantable que dans un cauchemar car c’est réel et le sergent nous répétait sans cesse que nous n’avons encore rien vu…

              Je remonte la couverture et ferme les yeux.


              Cinq heures plus tard on vient me réveiller, c’est mon tour de garde. Rapidement, tel un automate je fais mon lit et m’habille de mes effectifs. Un mitraillette dans le dos et quelques grenades autour de la taille. Je passe rapidement dans la salle de bain commune et je me présente dix minutes après dans la tente du Sergent. Il fait encore nuit et le ciel est couvert, la nature semble en accord avec les erreurs de l’homme. Je fais donc des rondes en treillis, vigilant et à la fois un peu rêveur. Je repense à ma jeunesse, mon innocence, je repense à toutes mes années de faculté. Je repense à ceux qui m’attendent de l’autre côtés de l’océan et je me rends compte que je n’ai pas de vie. J’ai vingt deux ans et personne pour m‘attendre. Certes j’ai une famille, des parents formidables, des amis autant sur le front qu‘au pays. Seulement je n’ai pas une femme belle et joyeuse qui m’attend à la maison, non je n’ai personne. C’est triste quelque part et en même temps…Ce n’est peut être pas plus mal.

             Je me souviens de ma première petite amie, un vrai fiasco ! Elle était magnifique, d’un blond vénitien à damner les anges, un regard charbonneux et plein de tendresse. Seulement nous n’étions pas fait pour être ensemble, j’étais exigent et elle était indépendante. Aucun trait commun. Nous sommes restés de bons amis, très proche malgré tout, les gens nous prennent parfois pour des frères dut à notre ressemblance sauf que contrairement à elle mes cheveux sont plutôt châtain. Ma mère me tuerai si elle voyait que j’avais coupé si court mes beaux cheveux châtain, elle passait des heures à essayer de me les coiffer mais enfin de compte c’était en désordre qu’elle les préférait. Un sourire mélancolique s’affiche sur mon visage malgré moi et un soldat se moque immédiatement.


- Alors Miller on pense à sa petite amie ?

- Tais toi Keller !

- Ne sois pas timide on rêve tous de notre dulcinée qui nous attend sagement, dit il en feignant l’amoureux fou

- Peut être pas aussi sage, se moque un camarade à côté de lui


             Je secoue la tête amusé par leur enthousiasme, il était maintenant trois heures et demi, et nous devions réveiller la division. Pas besoin de clairon sur la base, il suffit d’allumer la lumière et toutes les troupes se redressent. A peine un quart d’heure après, nous étions tous au garde à vous dans le terrain boueux devant la tente du sergent. Il sort en remontant ses effectifs le visage fermé et sévère. Quelque chose cloche et je sentais arriver la mauvaise nouvelle comme un obus.


- La 4ème division a été anéantis à Ettelbruck, nous n’aurons donc aucune aide. Les allemand détiennent prisonnier le Commandant Galvin, nous avons une nouvelle mission. Nous devons non seulement débarrasser Ettelbruck de ses occupants mais aussi récupérer le Commandant vivant.


            Le silence est de mort au milieu des troupes. Débarrasser Ettelbruck de ses occupants n’était pas en soit une tâche compliqué mais chacun de nous savait que si la 4ème division était tombée c’est parce qu’ils étaient plus nombreux que prévus. Des moyens encore plus inquiétant et nous, petite cinquantaine de soldat ne feront surement pas la différence seulement les ordres étaient clair, précis. On nous envoyait à l’abattoir.


- A quelques kilomètres de Ettelbruck des Chairmans nous attendent, ils avanceront avec nous dans la ville pour nous aider. Ecoutez moi bien soldat, c’est une mission qui va bien au-delà de votre niveau actuel ! Mais je sais de quoi vous êtes capable et vous allez montrer à nos supérieurs bien au chaud dans leur bureau de quoi est capable la 2ème division ! Que ceux qui sont avec moi avances d’un pas.


              Prit dans une fierté qui n’a pas d’égale dans le sentiment héroïque qui nous possède, aucun soldat ne reste à sa place, le mouvement est immédiat, chacun avance d’un pas. Je ne rentrerai pas chez moi comme un lâche mais je mourrais en soldat. Un sourire éclaira le visage meurtri du Sergent.


Quelques minutes après nous étions sur la route pour Ettelbruck.

 

« Les chairmans sont partis devant nous pour entrer dans la ville, Miller et Robinson ! Vous ouvrez le passage, nous passeront par le sud ouest, direction le moulin. »


             Robinson et moi partons devant, toute la troupe descend sous le pont, il fait nuit et nous comptons sur l’effet de surprise pour réussir à prendre les allemands à revers. Ils s’attendent à une attaque mais notre petit effectif nous permet de rester discret. J’avance le cœur battant et je laisse mes doutes, ma crainte, mes états d’âme derrière moi. Notre regard doit être partout, repérer le moindre bruit, le moindre casque gris, le moindre petit reflet de verre qui pourrait être le signe d’un sniper. Je continue d’avancer, Robinson me fait signer de partir vers la droit pendant qu’il va à gauche. Nous pénétrons dans la ville et deux petits chalet sont face à nous. Accroupi, le pas inaudible je traverse le petit enclos jusqu’au chalet de droite. Je fais signe à Rob pour que nous soyons en harmonie pour rentrer. Il hoche de la tête. Je lève un doigt, deux doigts, trois doigts ! J’ouvre la porte doucement, sans la faire grincer. Un soldat ennemis se tient debout devant une fenêtre, je remet mon arme derrière mon dos et m’approche doucement, des pas vif et précis, le moindre bruit ferait réagir l’allemand. J’ai la gorge serré mais je fonce, confiant et entraîné. Mes deux mains autour de sa tête, il n’a pas le temps de crier un juron désagréable que le bruit strident de sa nuque brisé résonne dans la pièce. J’accompagne son corps jusqu’au vieux bois du sol. Je sors pour Rob, il me fait signe que tout va bien, nous sortons de nos chalet et faisons signe à la troupe pour continuer.

                Le mettre mot : restez sur nos garde. La guerre ne fait pas place à la loyauté, une balle dans le dos n’est jamais inévitable.

                 Nous continuons la route, l’arme à nouveau dans mes mains nous arrivons près d’un pont en pierre qui conduit au moulin. Je fais signe au troupe de se cacher. Des gardes. Je déglutis, ils sont quatre autour du moulin mais une étincelle à une fenêtre me fait penser qu’ils ne sont pas seul. Le Sergent me jette un regard intrigué, un sniper.

                J’avance à nouveau le palpitant à vive allure, une chaleur m’emprisonne dans mon uniforme et l’adrénaline ne suffit pas à faire disparaître mes peurs. Les soldats défilent devant moi, je reste en retrait prêt à abattre le sniper une fois qu’il aura montrer sa tête, ma lunette pointé sur le lui j’attends qu’il morde à l’hameçon. Les coups de feux retentissent, il ne relève pas sa tête, étrange je vois clairement l’arme mais pas de tête. Il n’y aurai personne ?

               Un sifflement, l’arme a reculé ! MERDE ! Il vient de tirer.


«  MILLER !!!!!! »


               Je regarde plus attentivement mais toujours pas de tête, rien, pas même une main. Un autre tire ! La balle coupe le vent pour s’abattre bruyamment sur un soldat. Je grince des dents, les mains tremblantes ne voyant toujours rien !

               Non pas ça ! Pris totalement et énervé contre moi-même je quitte ma position et cours jusqu’au moulin tête baissée.


- Couvrez moi ! 

- Miller non !


              Je ne tiens pas compte des ordres du Sergent, je fonce, la peur au ventre, la gorge serrée je ne peux pas parler et les corps allemands défilent. Les bruits des tirs ont attirés les renforts ennemis, je m’arme de ma mitraillette, PPS 98, arme soviétique. Je fonce jusqu’à l’entrer et je jette une grenade, elle explose un allemand tombe à terre. Je cours à l’intérieur profitant de la fumée pour me camoufler, je monte les escaliers en colimaçon, sans réfléchir, sans reculer, un allemand, j’appuie sur la détente et une multitude de balle sort de mon arme. Mes bras recule avec la puissance mais je la garde fermement et continue mon ascension. Les marches défilent et j’ai l’impression que tout tangue mais je dois garder la tête sur les épaules, en aucun cas lâcher mon arme, en aucun cas m’écrouler ! Mes amis comptent sur moi, je suis tireur d’élite, je ne peux pas mourir maintenant. Je ne peux pas.

               J’arrive en haut du moulin, recharge vise l’arrière de la tête et tire. Le sang gicle sur les murs, le corps inerte de l’allemand s’écroule sur le sol, la cervelle gisante de son crâne. J’enjambe le corps, les mains moites je prends le sniper, l’œil dans la lunette, je vise les soldats ennemis et je tire, un à un ils tombent comme des patins désarticulés. Les coups de feux cessent, je reprends ma respiration la sueur perlant sur mon front les battements de mon cœur me font mal. Je ferme les yeux un instant essayant de reprendre mes esprits. J’ai l’impression qu’il s’est écoulé une seconde, tout est allé très vite. J’enjambe à nouveau le corps et descend lentement pour ne pas m’évanouir.

                 Une fois en bas une balle fuse à côté de ma tête pour se planter dans le mur du moulin, mes écarquillés je suis totalement paralysé. Le Sergent me vise avec son fusil. Il s’approche d’un pas sévère, le visage déformé par la colère, son bras en arrière j’eu à peine le temps de fermer les yeux avant de sentir son poing s’abattre sur ma joue.


- QUAND JE DIS ON RESTE EN ARRIERE ON RESTE EN ARRIERE !!! VOUS AVEZ ÉTÉ INCONSCIENT !!!!

- Je suis désolé Sergent…

- COMMENT !!

- JE SUIS DESOLE SERGENT !


                 Je me redresse la mâchoire douloureuse mais je reste impénétrable, mes compagnons me regardent tous compatissant, ils m’encouragent, ils me remercient. Le Sergent finit par se calmer et reprendre son souffle normale.


- Inconscient certes, mais sans vous nous saurions tous mort. Cependant ne vous prenez pas pour un héros ! Chaque vie est sur chacune de vos épaules ! Vous avez mis toute la division en péril, si jamais vous étiez mort, nous n’aurions plus de sniper. Vous êtes notre couverture vous comprenez ? Vous êtes indispensable Miller.


                Ma poitrine se gonfle d’honneur mais à la fois de culpabilité. J’ai été fou mais c’était une folie qui a sauvé tout le monde.

               Le Sergent fait demi tour, les soldats s’écartent sur son passage et Robinson vient immédiatement me voir une fois que le Sergent est loin.


- Ca va Miller ? Tout va bien ?

- Oui oui….j’ai mal au cœur mais ça va, dis je d’un sourire crispé

- Tu as été formidable. Le sniper était trop bien caché pour que tu puisses l’avoir de l’extérieur, sans toi nous s’aurions tous six pieds sous terre. Le Sergent est furieux mais tu le connais, c’est un vieux qui tient à son soldat préféré, il me dit une petite tape dans le dos


              J’ai un rire léger, un rire qui sonnait faux car mes yeux se posent immédiatement sur les trois compagnons de combat qui sont tombés. Nous ne pouvons pas les porter, nous sommes à peine à l’entrée d’Ettelbruck, il nous reste toute la ville à finir. Je soupire et avance à côté de mes amis. Le visage sombre. Nous n’avions pas encore perdu de camarade sur une bataille. Le deuil plonge la division dans un silence d’honneur. Nous leur rendons un dernière hommage.

à suivre

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Ohayo
Donc voilà mon One Shot que je viens de finir, vous n'avez aujourd'hui que la première partie ! ^^ Demain vous aurez la deuxième. Il y en a quatre en tout hi ! ^^
Donc voilà je vous fait de gros bisous en espérant que vous aimez le thème de la Seconde Guerre mondiale ^^

Par Danouch - Publié dans : One Shot - Communauté : Auteurs Sadiques
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Commentaires

Ouah, super!! On est complètement dans l'ambiance, j'ai bien cru que Miller allait se faire capturer (non, pas tuer, c'est le héros, surtout s'il reste trois parties) et je l'adore!! J'ai hâte de lire la suite, surtout que je n'ai aucune idée de ce qui va bien pouvoir se passer (contrairement à d'habitude, lol). Capture ? Mort à la fin (non, t'aimes trop les happy ends!). Il va tomber amoureux ? Du sergent ?  D'un soldat ennemi te connaissant... la suiteeeeeuuh!!!
commentaire n° :1 posté par : Lilly le: 03/12/2009 à 19h26

^^ mercii beaucoup
j'hésite encore sur la fin tu vois xD
je l'ai déjà écris mais je trouve qu'elle est trop rapide alors sois je ralonge un peu le discours, soit je choisis une autre fin...je verrai bien d'ici là XD

réponse de : Danouch le: 03/12/2009 à 20h41

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a meilleure façon de remercier un auteur
 
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est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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