Texte Libre

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NOUVEAU BLOG
Mai 2025 | ||||||||||
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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
L’adrénaline frappe sur ma poitrine avec frénésie, mon cœur s’emballe à chaque porte ouverte et, à chaque fois, c’est une nouvelle déception. Je me fraie un chemin entre les cris, les rires, je
crois que personne ne peut comprendre l’inquiétude qui m’habite. Je prie pour le retrouver, je prie pour le retrouver sain et sauf. Une nouvelle porte ouverte, mon visage s’assombrit. L’échec,
l’espoir, je me trompe à chaque fois ! Les tambours dans ma tête, la tension qui monte, j’imagine les pires scénarii, les pires situations. Je le retrouverai ! Je le retrouverai !
- Agigaga !
- Enfin…
Soulagé, j’attrape Eric, caché sous mon lit, je le porte et vérifie qu’il ne lui ait rien arrivé. A peine suis-je revenu dans le salon que le bruit s’élève à nouveau, les enfants hurlent, j’entends Link qui chante pour le plus grand plaisir de quelques petites filles qui tombent sous son charme, Ely qui remet une fournée de biscuit persécuter par les gourmands. Sasha se précipite sur moi suivie de près par Zach qui affiche un sourire tendre. L’ambiance lui a redonné une joie de vivre que j’avais rarement vue. Il s’amuse comme la plupart des enfants et semble retomber en enfance. Je tends le petit Eric à Tom qui le cherchait également entre les meubles.
- Garde-le près de toi maintenant ! Je lui dis.
- C’est pas ma faute, j’ai été attaché par une armée et les enfants ont dû partir avec le siège de bébé jusqu’à ta chambre, dit-il d’une petite voix honteuse.
- Roh, fais pas l’enfant ! J’ai l’impression d’être dans une crèche !
Je sens que je vais exploser, j’adore les enfants mais je hais le bordel.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Je crie pour me faire entendre. Tout le monde m’écoute ! Je veux tout le monde dans le salon ! Et vous ! Sortez de la salle de bain, la mousse à raser, c’est pas pour jouer !!
- Quelle autorité, se moque mon cousin.
- Bon d’abord, ceux qui ont le droit d’aller dans ma chambre sont les plus grands seulement !! Le premier qui touche à mon ordinateur, je lui arrache un bras.
Je crois avoir fait mon effet, les enfants me regardent terrorisés.
- Ely fait des biscuits, Link joue de la guitare, je vous met un Disney pour ceux qui veulent regarder la télé.
Personne dans la salle de bain ! Personne ne touche au bébé sans l’accord de Tom ! Je sors La Bonne Paie et je veux retrouver toutes les cartes et billets c’est clair ? Je veux plus vous entendre
crier ou courir dans l’appartement.
- Oui chef ! Se met au garde à vous l’un des enfants suivi de près par tous les autres.
J’ai l’impression d’être devant un bataillon. Zach ne se retient pas de rire juste derrière moi et s’excuse dès que je lui fusil du regard.
- Bien. C’est bon alors.
- Je leur mets quel dvd, Nolan ? Demande Zach.
- Mets-leur le Roi Lion.
- OUAIIIS !!
- ON CRIE PAS !!
- Je verrai bien Nolan dans une maternelle, se moque Tom en jouant avec son fils.
- Link, va me chercher un paquet de clope !
- Je crois qu’il prend son rôle de capitaine un peu trop au sérieux, dit Link.
Je tire la langue à Link et il me le rend de bon gré. Allan et Renaud s’installent à table pour jouer à La Bonne
Paie avec les enfants, un petit groupe a rejoint le côté canapé et regarde attentivement le Roi Lion qu’ils connaissent par cœur. Je sors les paquets de mouchoir pour les larmes éventuelles à la
mort de Mufasa et surtout pour Yan qui ne peut pas s‘empêcher de verser la goutte. Ely sert ses biscuits une heure après sur un plateau. Heureuse de voir autant d’enfants autour d’elle, elle
rougit, s’amuse. Elle est si belle quand elle rayonne de cette façon. Link et moi sommes accoudés à la fenêtre et fumons le plus loin possible des enfants et surtout d’Eric. Je parcours
l’ensemble de la pièce, mon regard s’arrête sur Zach qui rit en compagnie d’Ely dans le coin cuisine.
J’ai encore du mal à croire qu’il est bien là, c’est comme si nous avions remonté le temps, comme si nous ne nous
étions jamais quittés. J’aime cette sensation de bonheur qui se dégage de son visage bien plus mûr. C’est vrai, il a changé, physiquement, je veux dire, je n’avais pas tellement remarqué avant
mais maintenant que je m’attarde sur son corps, il me semble qu’il a prit des épaules, son visage est plus creusé et son regard plus mature. Il a peut-être même un peu grandi. Une silhouette
svelte, un simple pull marron, un jean qui fait ressortir ses fesses rondes. Je frissonne rien qu’à le regarder. Je recrache ma fumée dans un souffle chaud. Zach n’est plus le gamin que j’ai
connu, c’est l’homme de ma vie.
- Alors ? Vous avez discuté ? Me demande Link
- Oui. Plus ou moins, je pense qu’on a encore pas mal de chose à dire, je dis en tirant sur ma cigarette
- Dont beaucoup de cochonneries ! Se moque Link en me donnant une petite frappe dans le dos.
Je recrache ma fumée en toussant et rire en même temps n’aide pas à s’arrêter.
- Et toi alors ? Il m’a appelé, tu sais…
- Oh… Ça va s’arranger. Tu sais, la distance, ça aide pas les relations.
Je sentais la tristesse dans sa voix.
- Tu devrais l’emmener avec toi en tournée.
- Il a un poste à l’Herald ! Il peut pas partir comme ça…Même si je le voulais.
- Hum…Je l’aime bien tu sais mais parfois je regrette que ça ne soit pas Costia…
- Ce n’est pas Costia que j’aime, Nolan, comme ce n’est pas Yan que tu aimes.
- Je crois pas que ça soit pareil quand même ! Dis-je en rigolant.
Je jette ma cigarette et Link fait la même chose. Nous fermons la fenêtre pour le plus grand bonheur de Tom qui
attrape froid.
Je laisse Link avec ses fans et je vais serrer mon homme dans mes bras, je niche ma tête dans sa nuque. il sursaute
légèrement avant de me caresser le bras tout en continuant sa discussion avec Ely. Je respire l’odeur si alléchante de sa peau, je le hume comme une drogue, me demandant encore comment j’ai pu
rester aussi longtemps loin de lui.
- Tu devrais arrêter de fumer maintenant, Nolan, me dit Ely.
- Chut, je lui dis immédiatement, je te connais toi et ta morale.
- Elle a raison, tu sais, me murmure Zach en déposant un baiser sur ma touffe de cheveux.
- Tu devrais aussi te couper les cheveux ! S’écrie Tom.
- Ta gueule, toi ! Tu aimes toi ? Hein ? Dis je d’une moue de chat botté
- Mais oui, j’aime bien.
- Moi aussi, j’aime bien les cheveux de Nolan !
Je sens le petit corps de Sasha contre le mien. Je me retourne immédiatement et soulève la petite Sasha.
- Ouhhaaa, la grosse ! Dis-je en grimaçant.
- Arrêtes, idiot, tu vas lui mettre des idées stupides dans la tête !
Je me fais gifler par Ely derrière la tête. Je repose la petite Sasha et l’embrasse sur le front.
- Tu as bien caché Mr. Zoubi des méchants ? Je lui demande dans l’oreille.
Elle affirme de la tête avant de s’enfuir.
- Je suis jaloux, me dit Zach me mettant un coup de pied dans les fesses.
- Hey ! Faut pas… Je m’approche de lui collant nos corps l’un à l’autre, tu sais que tu restes mon préféré…
- Ah oui ? Faudra me le prouver, me dit-il d’un air coquin.
Il me mordille la lèvre inférieure sensuellement.
- Arrêtes où je te prends tout suite sur le plan de travail, je murmure.
- T’as l’air con de parler avec une lèvre, dit-il avec le sourire.
Je le chatouille avant de rejoindre les autres. Un dernier regard en arrière pour partager une intense complicité,
pas besoin de parler, juste sa façon de me regarder. Une simple phrase « enfin chez soi… » Une journée haute en couleurs qui s’achève dans les larmes devant le Roi Lion, les cris de
joie d’Allan qui gagne à la Bonne Paie, les joues rougies devant le charisme de Link, les sourires rayonnant devant la bonne odeur des cookies de Ely et enfin un dernier cri de joie de
Eric.
- Bon, je rentre au pays demain soir, me dit Link, je reviendrai dans un mois avec lui. J’espère que tu seras pas à
moitié mort sur ton canapé !
- Ton humour est tordant, Link, répond gentiment Zach.
Link était le dernier. Tout le monde nous avait déjà quittés, d’abord la peuplade d’enfants, ensuite, Yan qui me
serra amicalement la main sous le regard noir de Zach puis Ely et sa petite famille une heure après. Link était resté avec nous un peu plus longtemps mais j’ai fini par le mettre dehors ne tenant
plus.
J’étais épuisé, être au milieu d’autant de monde, c’est un épuisement moral considérable. Contrairement à moi, Zach
était encore en pleine forme surement parce qu’il a l’habitude, seulement moi, le voir comme ça, je sens toute mon énergie retomber. Assis sur le canapé, je l’entends siffler dans la cuisine, je
serai incapable de manger autre chose mais j’avoue que la bonne odeur de sa fameuse sauce carbonara me fait gargouiller le ventre. Je me précipite dans la cuisine retrouvant mon énergie et ma
gourmandise. Aussitôt, je plonge mon doigt dans la crème. Alors que j’allais le porter à ma bouche, Zach m’arrête.
Il porte mon doigt à sa bouche pour l’enrouler de sa langue chaude et humide, il n’en faut pas plus pour sentir une
vague de chaleur me submerger. Piqué à vif, je le regarde s’attarder avec une lenteur calculée sur mon index. Je déglutis sentant déjà mon érection serrée contre mon jean. Alors qu’il libère mon
doigt, il conserve son sourire espiègle. Sans attendre, je lui saute dessus et l’embrasse avec fougue. Nos corps enlacés, mes mains sur son visage, ses bras autour de ma taille, nous
approfondissons le baiser passionné.
Plaqué contre le plan de travail, son bassin contre le mien, l’excitation me fait bouillir. Il retire rapidement mon
t-shirt donnant un coup de fouet à ma chaire. Il me caresse le torse avec douceur et érotisme, ses doigts remontent jusqu’à ma gorge, il embrasse mon cou et remonte jusqu’au lobe de mon oreille.
Je serre les dents, en gémissant de plaisir, et je laisse ma tête retomber en arrière. Sa langue coquine redescend jusqu’à ma clavicule, ses doigts remontent le long de mon bras et son autre main
plonge dans ma chevelure.
La chaleur est étouffante, je serre son bassin contre le mien, les mains sur ses fesses, je me colle à lui le plus
fortement possible, désireux de sentir toute l’ampleur de son excitation. Je l’attrape sous ses fesses et le soulève pour l’installer sur le plan de travail. Je lui souris avant de lui arracher
un gémissement en léchant le bout de ses lèvres. Avec lenteur et lascivité, je remonte son pull le long de son corps découvrant son épiderme marqué par chacun de mes gestes. Le parcours de mes
mains mémorise chaque forme, chaque courbe, le contact est fluide et délicieux. La bouche entrouverte, les yeux mis clos, les cheveux caressant ses cils, j’approche sa bouche de la mienne, ses
mains sur mes hanches. Je le serre contre moi et le porte jusqu’à la chambre, ses jambes autour de ma taille, sans lâcher ses lèvres. Je le lâche sur le grand lit, il me tire vers lui par le
billet du jean. Un sourire amusé s’étire sur ma bouche, les jambes écartées et moi entre je profite de chaque caresse, chaque effleurement. Zach me force à me relever, il s’assoit au bord du lit
et défait mon Levis sans me quitter des yeux. Il passe érotiquement sa langue sur mon bas ventre. Mes muscles se contractent et je serre les dents. Une torture, une dépossession.
Je finis très vite nu devant un regard fiévreux, je ne le reconnais pas, un an l’a totalement décoincé et j’avoue
que c’est pour moi un dépaysement. Il se redresse à son tour se collant à moi et il me dévisage et détaille chaque parcelle de ma peau avec avidité.
- Tu m’as manqué, Nolan, il souffle.
Je sens une main indiscrète se poser sur mon intimité, je frissonne. Il jubile à me regarder autant sous son
emprise. Je le pousse alors sur le lit pour l’écarter et m’approcher comme un prédateur, il recule jusqu’au mur. Au dessus de lui, je prends la pleine mesure de notre désir. J’enlève ce qui reste
de futile, ce qui ne sert à rien. Ses bras viennent se poser autour de mon cou et il parcourt à nouveau mon visage du regard avant de m’embrasser.
Je viens chatouiller son entre-jambe et sens la dureté de l’érection. Il frémit à chaque caresse me suppliant
presque d’arrêter de le frustrer mais, joueur, je descends, en laissant ma trace. Je le lèche de tout son long jusqu’à la cerise. Ses mains viennent se nicher dans mes cheveux m’incitant à ne pas
m’arrêter là.
- Un vrai bourreau, dit-il entre ses dents.
- Humm, c’est paradoxal : aussi doux que douloureux…
Je la saisis à pleine bouche remontant avec paresse, un râle s’échappe de ses lèvres, il se cramponne et je
reprends. Des vas-et-viens plus rapide, je m’amuse avec ma langue et je le sens se raidir, s’agiter. De bonne grâce, je mets fin à son supplice en allant plus vite, sa jambe remonte sur mon
épaule, il s’en mord la lèvre et arque son dos. Je m’arrête avant qu’il jouisse. Essoufflé, Zach me regarde, son torse se soulève comme après une course interminable. Il me griffe le torse et
m’embrasse avec voracité.
Il reprend brusquement le dessus. Stupéfait, je me rends compte de la force qu’il a, il s’assoit sur moi désignant
l’objet de mes fantasmes d’un air boudeur.
- Dans quel état tu m’as mis, dit-il en s’approchant langoureusement de moi, c’est à mon tour de te prendre
Nolan…
Il vient d’abord caresser mon entre-jambe avant de descendre jusqu’à ma cavité, je me raidis au contact de ses
doigts froid mais je me détends en sentant déjà le plaisir me chatouiller. Il sait que je suis très chatouilleux.
Luxure, possession, flamme. A chaque coup de rein, un choc bruyant. Les cris de plaisir se mêlent à l’atmosphère.
Ses mains sur mon corps, ses lèvres, son souffle roque, mes râles. Nos corps en sueur en manque évident l’un de l’autre. Ce n’est pas une union, ce sont des retrouvailles. Deux corps qui étaient
fait l’un pour l’autre qui ne font désormais plus qu’un. Un amour sans précédent.
Zach aime diriger, me donner du plaisir autant qu’il en prend. Je le sens comme une couche épaisse sur ma peau, je
sens son regard voilé par la fumée que nos corps ont créée. Il ralentit nos ébats pour venir s’approcher de moi frôlant délicieusement ma cuisse.
- J’ai tellement envie de toi, Nolan, que je n’arrive plus à me retenir, dit-il.
A peine eut-il finit sa phrase qu’il reprend ses vas-et-viens, plus puissants, plus forts, plus bruyants mais si
excitants. Des cris plus brefs, la jouissance était intense et je n’arrive pas à me contenir, je vais craquer. J’accompagne Zach dans ses mouvements en serrant son bassin contre le mien. Il se
déversa dans un dernier cri très vite suivi du mien. Fusionnel. Essoufflant. Renversant. Irréel.
- Dis-moi que je ne rêve pas… Je dis entre deux souffles.
Il se couche à mes côtés un immense sourire sur ses lèvres et pose sa main sur mon torse.
- Je suis bel et bien là, Nolan. Tu ne rêves pas et ce que tu vois sur les draps, ce n’est pas un rêve non plus.
Il m’arrache un rire et nous terminons notre nuit enlacés l’un contre l’autre.
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Vous avez remarqué ! Lilly n'écrit pas assez de lemon ! Pourtant elle le fait bien hein ! Pourquoi c'est toujours à moi de le faire lol
pas que j'aime pas mais je préfère les lire que les écrire lol ^^
Alors la fin approche hein ? Aller les filles le sourire !! ^^
Fin d'une histoire veut dire début d'une nouvelle lol =)
Bisous
sanzo a un job a plein temps ca sexpolique pk link est pas avec durant lhistoire nolan ta pas le droit de preferer costia a sanzo ppppppffff je me demande si sanzo et zac vont bien sentendre? surtout quil ont n point en commun plus dun mais entk je me comprendre c assez hot comme chapitre mais il faudrait que tu penses a finir lautre histoire avant celle-ci
T'as vu c'est chaud les marrons ! lol