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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
C’est comme si le temps s’était arrêté un instant alors que la terre continuait de tourner. Je n’avais jamais ressenti ce sentiment qui m’oppressait autant le cœur. Je n’entendais plus les cris, je ne voyais plus les flammes, je ne sentais plus l’odeur des cendres ni de la poudre. J’étais juste hypnotisé par cette scène, comme dans un rêve.
- Ma… tentait d’articuler Lillyan.
Il fut brusquement interrompu par une explosion derrière sa mère qui les obligea à redescendre de leur monticule de pierre brisées.
Mon père a si rapidement attrapé Cali par la taille que j’en ai été bluffé, nous reculions à notre tour et voilà qu’ils n’étaient plus qu’à un malheureux petit mètre. Il ne fallait pas plus de deux secondes pour que Lillyan et sa mère se retrouvent l’un contre l’autre, Cali serrant son fils comme si elle n’y croyait pas, tâtant son dos pour se persuader que c’était bien la réalité. Lillyan en revanche restait immobile, serrant sa mère aussi fort qu’il le pouvait, profitant du moindre petit contact, de la moindre fragrance parfumée de sa mère. J’avais l’impression que la chaleur qui se dégageait de leur étreinte atteignait mon cœur, ce fut une explosion de sentiment pour finir sur un pointe de nostalgie.
J’ai été si froid avec ma mère durant toute mon enfance, aujourd’hui je tuerais pour qu’elle m’étouffe d’amour.
- Il ne faut pas traîner. Nous dit brusquement mon père.
Distant, imperturbable et pourtant aussi touché que moi.
Je le regarde son profil, il observe la scène, tout comme moi. Je continue de le fixer et avoue durement qu’il n’a pas posé un seul regard sur moi, la dureté sur son visage me fait me sentir coupable, de quoi ? Je ne sais pas. J’ai l’impression que toute cette histoire a fait perdre à mon père le peu d’espoir qu’il avait en la vie, je ne veux même pas imaginer ce qu’il a pu endurer.
Le feu, les cris, le bruits des armes, les tremblements de terre, le bruit des combats me reviennent brusquement à l’oreille alors que Lillyan s’écarte de sa mère sans la quitter des yeux et sans lui lâcher la main. Ils partagent un sourire, mon père s’élance en courant et nous le suivons slalomant entre les corps des morts, les morceaux enflammés d’un toit. Quelques minutes plus tard, nous arrivons aux remparts de la ville, assaillis, le combat faisait rage, les armes s’entrechoquant nous passions presque inaperçu au milieu de cette effluve de rage et de sang. J’augmente la cadence pour arriver à hauteur de mon père, tant de questions et si peu de temps.
- Quel est ton plan ?
- Aucun ! J’espère être obligé de capituler ! Vous allez devoir vous mesurez à moi pour m’amocher au point de me faire partir !
- Impossible !
- Comment ça ?
- Nous perdons de l’aura, papa, tu ne le ressens pas ? Nos pouvoirs sont entrain de diminuer puisque nous n’avons pas encore réussi à communiquer avec le Dieu.
- Koryu, c’est ça ?
- Comment tu le sais ?
- Tu crois que je ne faisais que me battre pendant tout ce temps ? J’ai fait beaucoup de recherches.
- Tu n’as pas besoin que je t’explique alors. On pourrait même pas t’égratigner dans l’état où on se trouve…
Mon père jette un regard derrière nous.
Lillyan et sa mère nous suivent sans trop s’occuper de nous, je crois que la priorité de mon ami est de sauver sa mère de cette bataille mais aussi d’enfin pouvoir parler avec elle.
- Si ce n’est pas moi qui suis contraint de partir alors ça sera vous ! Lillyan devra se séparer à nouveau de sa mère.
Mon père s’arrête brusquement. Nous étions en plein cœur de la bataille, immobile je fixais mon père. Indécis.
C’était un choix difficile à faire. Zephilis nous a dit que nous étions aussi inoffensifs que des Voyageuses et malgré tout, je savais que je n’avais pas le choix, je préférais être au bord du coma plutôt que de devoir arracher sa mère à mon amant. Je ne l’avais jamais senti aussi heureux que depuis qu’il a croisé enfin son regard.
Sans attendre, à la vitesse de l’éclair j’élance quelques roches contre mon père qui les brise à mesure. Lillyan a réagi immédiatement en entraine sa mère au delà du combat et je voyais bien dans son regard qu’il était surpris et à la fois mécontent. Il veut aussi se battre. Mais au moment où il s’approche, je fais monter une racine devant lui, je lui demande de rester à l’écart mais surtout de protéger sa mère car elle reste fragile même si c’est une Joueuse de Feu. Il n’a pas d’autre choix que de me regarder, je laisse échapper un sourire en devinant très bien que j’allais passer un sale quart d’heure.
Je reviens sur mon père et y concentre toute mon attention, il retirait son épée du fourreaux, la regardait avant de jeter un regard sur moi. Son aura explosait autour de lui, il l’a contrôlait parfaitement, c’était une maîtrise que seul des années d’expériences puissent livrer. Je frissonnais d’excitation parce que j’allait affronter mon père, au meilleur de sa forme, je frissonnais aussi de terreur car je sentais mon cœur palpité dans ma poitrine non pas à cause de l’adrénaline, mais bien parce que l’utilisation de mon pouvoir m’avait essoufflé. Je ne tiendrais pas dix minutes.
Je redresse mes mains et me mets en position de combat, je sors l’épée derrière mon dos et ferme mon visage, j’avais répondu à son appel, mon aura malheureusement n’était pas au rendez vous. Maintenant que je suis unifié avec Koryu, il ne me sert à rien. Quelle ironie et quelle poisse !
Nous nous fixons et au moment décisif, à cette seconde où nos deux âmes avaient choisi en coordination, nous nous élançons l’un contre l’autre, plus rapides que la lumière, le bruit de lames faisant trembler cette petite île qu’est Pandore.
- ESPECE DE SALE GAMIN !!!!
Sans que je puisse savoir pourquoi, ni m’écarter, je vis à ma droite Zephilis me foncer dessus, coup de pied paré ! Je le reçus en pleine mâchoire et la puissance de sa frappe m’envoyait valser à une dizaine de mètre plus loin avec la vitesse d’un boulet de canon. Mon corps roulait sur le sol sur les derniers mètres et il s’arrêtait contre Lillyan qui avait réussit à ma récupérer à temps. Je crachais toute la terre que Zephilis m’avait fait avaler, mon cœur frappait contre ma poitrine. Une fois de plus, j’étais si faible.
- Te battre avec l’Amiral dans un tel état !!! MAIS CA VA PAS ? Tu veux réduire toutes tes chances de survis ou quoi ? Abruti ! Un soldat va encore, ils sont tellement faibles, mais tu dois savoir jauger les forces !
Mon père restait bouche bée, qui était cette femme agressive ? Pourquoi était elle à moitié nu ? Son regard se transformait rapidement, il fronçait les sourcils, Zephilis n’était pas seulement quelqu’un d’excentrique, elle était aussi d’une puissance incroyable.
- Qui êtes vous pour parler ainsi à mon fils ?
- Je suis son maître, mon nom est Zephilis, dit-elle sans aucune envie de se présenter, elle croisa son regard néanmoins et j’ai senti mon père frissonner.
- Vous êtes là pour nous barrer la route ? Demande à son tour Zephilis
- J’aimerai que ça soit l’inverse.
Il n’en dit pas plus et continuait de croiser le fer avec le maître Zephilis, que pouvait ils bien penser ? Je suis sûr que Zephilis avait compris ce que mon père voulait et ce qu’il faisait ici. Je me tourne vers Lillyan qui suivait la scène avec autant d’appréhension que moi, je tente de me relever en m’appuyant sur lui.
- Tout va bien Shin ?
- Ca va, ça aurait put être pire.
Je sens brusquement d’autre mains m’aider à me redresser, celles de Cali qui me tend un sourire magnifique. En croisant ses yeux je sens toute la chaleur maternelle qui m’enveloppe, je songe alors à ma mère.
- Où est- elle ? Je demande
- Hein ?
- Ma mère, où est-elle ? Dis je dans la panique
- Elle était dans le château mais quand elle a compris ce qui allait arriver elle a emmené toute la famille royale et m’a demandé d’attendre ton père. Je ne sais pas où elle est mais je suis sûr qu’ils sont tous en lieu sûr.
Ca ne me rassure absolument pas même si je sais que ma mère est quelqu’un de très fort et qu’aux côtés du roi elle pourra s’en sortir. Mes muscles restent crispés quand soudainement je sens une immense puissance se dégager à ma gauche. Je tourne lentement le visage sachant très bien à qui elle appartient, cependant je n’ai jamais senti une effluve d’aura si importante, elle nous picote la peau, nous coupe le souffle, l’air s’est réchauffé. Mes yeux s’écarquillent, je pouvais voir leur aura, je pouvais voir cette fumée jaillir de leur corps et danser autour d’eux comme des serpents.
Mon père et Zephilis allaient se battre, ils jaugeaient leur force, s’impressionnaient mutuellement et nous laissaient muet d’admiration. Les mots étaient de trop de toute façon, ils savaient autant l’un que l’autre que ce n’était qu’un coup monté et pourtant je savais qu’ils allaient se battre sérieusement, je pouvais le sentir rampé sur ma chair, leur envie de se frotter l’un à l’autre était trop palpable. Ni moi ni Lillyan ne pourront les arrêter mais en avions nous réellement envie ? Zephilis était la seule ici présente de pouvoir mettre en déroute mon père, je pourrais même dire qu’elle était l’être le plus fort sur cette île.
Alors que leurs auras nous envahissaient, en une fraction de seconde leurs corps avaient disparus, la mère de Lillyan regardait autour d’elle ne pouvant pas voir où ils avaient bien put passer. En revanche moi et Lillyan, nous les voyons très bien. Une fois de plus Zephilis tenait l’épée d’une seule main, elle narguait mon père. Je sentais la joie de mon père prendre le dessus, lui qui ne laissait rien transparaître il ne pouvait pas empêcher un sourire carnacié de trôner sur son visage. Leurs lames s’entrechoquaient avec une force indescriptible, l’onde de choc avait fait vibré l’air lui-même et tous les soldats vivants avaient jeter un œil sur ce qui se passait. La rapidité de leur corps laissaient perplexe certains tandis que d’autre n’arrivais même plus à les suivre. Un véritable spectacle.
Zephilis lance sa jambe en arrière mon père et contraint de s’écarter, il retombe sur le sol et glisse dessus tout en s’accrochant, une fois arrêter il repart à l’assaut, cette fois ci Zephilis tient l’épée à deux mains se faisant oppressé par la force de frappe de l’Amiral. Aucun d’eux n’avaient encore fait appel à leur pouvoir. Je n’avais jamais vu mon père invoquer les flammes et j’avais hâte. Zephilis allait le repousser dans ses derniers retranchements. Les attaques étaient de plus en plus impressionnant, le corps de Zephilis était plus imprévisible que les attaques de mon père, ils se tenaient tête. Seulement mon père avait cette faculté incroyable d’apprendre le rythme de l’adversaire, il savait ensuite deviner ses attaques. Contrairement à Zenon, Zephilis avait un rythme, je pouvais le fredonner mais j’aurai été incapable de deviner ses attaques. Lorsque ce rythme eut été enfin gravé dans l’esprit de l’Amiral, un sourire encore plus large s’est dessiné sur son visage et s’en était finit de Zephilis.
Il parait ses attaques, d’une simple main il avait arrêté le pieds droit de celle-ci, ses yeux s’écarquillaient, il sourit à nouveau et à son tour lui envoie un coup de poing en pleine mâchoire, elle allait s’écraser sur le sol mais il lui rattrape le bras et lui envoie cette fois un coup de pied gauche pour envoyer son corps rouler jusqu’aux soldats.
Fier, en digne Amiral il reste droit et la toise du regard, les autres soldats d’Agora l’acclame. Je ne peux m’empêcher d’être fier comme un poux en voyant que mon père n’a pas changer, il est toujours aussi impressionnant.
Je porte mon attention sur Zephilis un peu plus loin qui se redresse lentement, la tête rivé sur le sol je ne peux pas voir son visage quand brusquement elle éclate de rire, un rire effrayant. Son visage se redresse et elle regarde mon père avec un sourire défigurant son visage de sadisme.
- Merci Amiral. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas rencontrer quelqu’un d’aussi fort. Allons y.
J’entends le bruit d’un verrous, j’ai comme l’impression qu’on avait réveillé une bête féroce. Elle revient à la charge presque en se téléportant et soulève de mur de sable sur son passage, le bras tendu vers le visage de mon père dans un cri de furie. Il s’écarte à la dernière seconde mais son visage a quand même été touché. Une trace de griffure sur sa joue gauche le surprend. Il passe une main fébrile sur la plaie. Zephilis déployait toute sa puissance, mon père devait en faire autant.
- Je suis honoré qu’un maître comme vous me trouve à sa hauteur. Je vais à mon tour vous montrez, ma gratitude.
Brusquement une flamme bleu entoure son épée, ses cheveux se soulève sous la puissance de l’aura qu’il déploie, Zephilis reste stoïque mais je sens qu’elle est encore plus heureuse. Il devenait enfin sérieux, elle allait s’amuser. Tout comme elle, ils reviennent à l’assaut l’un contre l’autre, le choque fut si puissant qu’un vent nous ballait ! Lillyan tient sa mère fermement pour ne pas qu’elle s’envole tandis que beaucoup de soldats tentent de se tenir à ce qui leur passe sous la main. Les mer devient tumultueuses, les nuages menacent d’envoyer sa fureur. Tous les éléments répondent à l’affrontement. Une sorte d’immense cratère s’est formé sous leur puissance, des flammes bleus explosent autour d’eux, Zephilis a le bras contre son visage et son épée devient rouge sous la chaleur des flammes de mon père. Elle les balaye d’un revers de main et charge à nouveau. J’entends ses chaînes scintillés lorsqu’une immense vague de plus de vingt mètre se soulève aux côtés de mon père. Nous restons stupéfait, qu’elle puissance !
Elle va pour s’écraser sur le faible corps de mon père mais il l’évite et glisse sur elle pour atteindre Zephilis qui se réjouissait trop vite. L’épée en avant il voulait l’embrocher mais d’un bon elle se retrouve sur l’épée, accroupit, comme un vautour sur sa branche. Elle fixe mon père le narguant à nouveau. Il retire vivement son épée, l’eau s’étend sur toute la ville et fracasse les remparts, éteignant les flammes et emportant les corps.
Essoufflés par leur danse endiablé, ils ne s’arrêtent pas, Zephilis charme quelque soldat qui viennent se battre à ses côtés, uniquement des soldats agoriens que mon père n’hésite pas à trancher. Effrayés les survivants tente de s’enfuir. Elle reste immobile seul au milieu des corps, mon père s’est arrêté.
J’ai l’impression que ce combat tourne à l’avantage de l’Amiral.
- Vous êtes fort Amiral, très fort. Je sais maintenant d’où Shin tient sa témérité. Mais vous avez perdu…
Le terre se met brusquement à trembler et les chaînes de Zephilis se soulève, elle ferme les yeux, la terre se fissure, une immense couler de lave forme un mur autour d’elle. Mon père se trouve prisonnier de son propre élément, je le sens paniqué légèrement. Elle laisse tomber la coulé de lave sur mon père dans un cri horrible, instinctivement je me lève pour aller le sauver mais Lillyan me tient par le poignet.
- Tu vas tout gâcher.
- Mais mon père !
La lave s’étend sur la plage et se déverse dans la mer qui bouillonne, elle se durcis. Aucune trace du corps de mon père, Zephilis garde pourtant le sourire.
- Tu croyais m’avoir avec mon propre élément ? C’est triste.
Assis à même le sol, l’épée planter devant ses pieds il se tient à son arme, le corps fumant, les habits en lambeaux et des plaies béantes le recouvre. Pourtant son visage rayonne comme si il ne ressentait pas la douleur. Il se redresse victorieux, Zephilis n’en est pas venue à bout et elle semble ravit.
- Très bien Amiral, si c’est comme ça que tu le prends.
Sa chaîne vibre à nouveau, elle ferme les yeux et les ouvre brusquement, mon père est immobile, stoïque il ne sait pas à quoi elle joue. Il tend alors son épée près à attaquer mais il s’arrête brusquement. Je ne comprends pas.
- Je…
Zephilis laisse échapper un rire et reprend son épée quand soudainement des flammes bleus enflamme sa lame. Je tombe des nues, elle a charmé l’esprit du pouvoir de mon père et le retourne maintenant contre lui, il se retrouve désarmé. Sans son pouvoir il n’est plus assez puissant pour la défier. Alors qu’elle allait repartir à l’attaque d’énormément bateaux s’échouent sur le plage entre eux, des bateaux qui regorgent puisqu’ils naviguaient dans les profondeurs. Je reconnais l’insigne sur la coque, ce sont des bateaux d’Eria. Le combat été terminé.
Mon père m’a lancé un regard d’affirmation, il devait partir avant que le roi ne sorte de son navire. Il devait garder sa crédibilité, il récupère une barque agorienne et s’enfuit comme un criminel regardant une dernière fois Zephilis qui lui sourit. Ils reprendront un jour ce combat. Voir mon père partir me serre le cœur mais c’était son plan, je pourrais à nouveau le serrer dans mes bras que lorsque l’Oracle sera tombé.
- Maître ! Hurle un soldat erianien
- Cet imbécile de Konrad m’a privé d’une magnifique victoire, dit elle en regardant le bateau
Je sais pourtant au fond de moi qu’elle est heureuse, je ne sais pas si c’est dut au combat ou dut au fait qu’elle allait revoir le roi d’Eria mais son sourire en dit long. Il n’avait plus rien d’effrayant, bien au contraire. Elle ferme les yeux et se laisse tomber sur le place, nous nous précipitons avec Lillyan. Elle n’était pas sortit indemne du combat, ses chaînes devaient l’empêcher de trop utiliser ses pouvoirs, en ne tenant pas compte de leur pouvoir elle a épuisé ses forces.
- Maître Zephilis. Des soldats se postent devant nous pendant que j’aidais Zephilis à s’asseoir
Lillyan tenait sa mère derrière lui.
- Konrad nous envoie pour vous aider. Eria a été attaqué en même temps que Pandore, le roi vous a déclaré comme officiellement la nouvelle reine d’Eria. Ils nous a chargé également de vous dire que…qu’il a entièrement confiance en vous et que vous réussirez à protéger le pays.
Zephilis fronce les sourcils.
- Pourquoi cet imbécile raconte de telles conneries ?
- Maître, s’avance un autre soldat plus jeune, le roi Konrad est mort.
Alors que je ne peux pas décrire le visage de Zephilis, ses chaines brillent à nouveau et disparaissent soudainement.
Ca devient très très intéressant!