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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Jeudi 25 mars 4 25 /03 /Mars 21:58


Le soleil s’est levé, c’est comme si pour moi la nuit tombait. Avant que Lillyan ne se lève, je couvre mes yeux avec mon bandeau et retourne me coucher à ses côtés. Les oiseaux commencent à piaffer sur le bord de la fenêtre de mon ami, je me bouche les oreilles à l’aide de mon oreiller. A cause de ce pouvoir horrible de télépathie, tous les animaux et autre créatures qui vivent de cet univers semblent vouloir communiquer avec lui. Ce n’est pas que je ne trouve pas ça génial mais c’est chiant ! Les animaux ne m’ont jamais vraiment aimé, peut être parce que je peux contrôler leur habitat naturel et que pour eux je suis une sorte de prédateur. Ce n’est pas que je ne les aime pas non plus mais je déteste qu’on me chante à l’oreille de si bon matin. Les Voyageuses viennent gratter contre la vitre, d’un claquement de doigts, je ferme le volet en bois de Lillyan pour les faire fuir. Je n’ai pas peur de les blesser, elles sont assez agiles et rapides pour deviner mes intentions.


Une fois les volets fermés, je peux enlever mon bandeau, tout me parait clair, la lumière du soleil ne pénètre plus dans la pièce et je peux voir la chambre comme n’importe quel autre agorien en plein jour.

Je porte une maladie inconnue : je suis le seul agorien qui vit dans un monde d’obscurité. En fait, les rayons du soleil m’aveuglent à tel point que je ne verrais que du blanc si je venais à retirer ce bandeau, la nuit me permet de voir avec une clarté étonnante. Pour moi, c’est comme si le jour était la nuit et que la nuit était le jour. Lorsque je porte mon bandeau, je peux voir les choses naturellement, je vois à travers ce bout de tissu grâce à cette maladie, comme si j’avais une défiance de la vue et que je portais des lunettes. Là, c’est d’autant plus grave car pour moi les contrastes sont inversés. Finalement, cette maladie qui porte mon nom ne m’a jamais empêché de vivre comme n’importe quel petit garçon. J’ai une famille aimante, des amis. Je suis un petit garçon comme les autres qui voit sa vie basculer depuis hier soir.


- Alors, qui sont ces gens qui nous ont attaqués ?

- Des chasseurs du peuple des Chutes rapides…Ils disent qu’ils sont là pour anéantir l’Oracle.

- Anéantir l’Oracle ! Mais comment ont-ils pu rentrer ?! Les remparts sont gardés part des archers !

- L’Oracle aurait baissé leur nombre. Je crois que…ton père a parlé d’une guerre…Je ne comprends rien. L’Oracle veut déclarer la guerre à la Cité de Maru.

- C’est impossible. Si l’Oracle déclare la guerre à la Cité de Maru, c’est que leur peuple prévoit de nous attaquer.

- Je ne sais pas. Mon père a dit qu’il avait trouvé l’Oracle changé, il est sur la défensive, ne côtoie presque plus personne, il devient…mauvais.

- Ils doivent se tromper ! Et d’abord qu’est-ce qu’on a avoir avec l’Oracle ?

- Ils ne savent pas. Ils vont aller parler à l’Oracle demain, ils risquent de leur parler de l’attaque. En tout cas, ton père avait l’air au bord de l’explosion…Il a dit qu’il l’avait prévenu.

- J’ai déjà entendu parler du peuple des Chutes rapides, ce sont des habitants de la Cité de Maru, cette grande étendue de forêt et de rivière à l’est d’Agora.

- Comment tu sais ça, toi ? C’est pas juste !

- T’as qu’à travailler pour une fois.

- Désolé, je préfère travailler mon pouvoir de télépathie, sourit victorieusement Lillyan.

- Avec des monstres à poil ?

- Des Voyageuses ! Et puis, t’es jaloux parce que t’as pas de don toi !

- …

- Je suis désolé Shin, je voulais pas…Oh je suis un vrai boulet parfois !

- Si on dormait. Demain, on va suivre ton père et mon père chez l’Oracle.

- D’accord…Tu m’en veux pas hein ?

          - Mais non, idiot.

Voilà tout ce que nous savions sur l’attaque de l’autre jour. J’étais assez frustré après la discussion parce que je n’en savais pas assez. Nous étions les seuls dans la ville à s’être fait attaqués, ça, j’en étais sûr ! Pourquoi deux enfants ? Pourquoi nous ? L’Oracle connait-il les réponses à mes questions ? Et même si c’était le cas, est-ce que je serai satisfait ? Se peut il que notre peuple rentre en guerre pour la première fois depuis des millénaires ? Que craint l’Oracle du peuple de Maru ? Un peuple plus sauvage que la nature qui les habite. Je ne comprends rien à cette histoire.

Je décide de ne pas attendre le réveil de Lillyan, il est capable de dormir jusqu’à midi si on le laisse dans cet état, et je vais rejoindre les adultes qui se sont retrouvés dans le salon autour d’un petit déjeuner typiquement agorien. J’essaye d’être le plus discret possible pour pouvoir espionner à ma guise mais mon père m’entend rapidement et me saute dessus en criant. Je hurle à mon tour par la surprise et me fait très vite jeter dans les airs avec joie par mon géniteur.

Je ris à mon tour alors qu’il me repose sur le sol.


- Mon dieu que t’es lourd, Shinrei ! J’en ai mal au dos, se plaint mon père.

- Il a douze ans, Karl, pas cinq, sourit ma mère.

- Tu veux une gaufre ? Me demande Cali.

- Avec de la poudre d’oden, s’il te plaît, je demande en m’essayant sur une chaise.

- Tu es bien le seul enfant que je connaisse qui mange de la poudre d’oden.

- C’est une belle fleur très sucrée, me défend ma mère, c’est normal que les enfants l’aiment.

- Lillyan n’est pas encore levé ? Se plains maître Zenon.

- Il n’y a pas école aujourd’hui ! Laisses le dormir, lui dit Cali.

          - Je vais le réveiller.

Je me lève de la table et cours jusqu’à la chambre pour secouer cette marmotte à poil brun. Emmitouflé dans sa couverture, il exprime des petits bruits de mécontentement avant de se décider à ouvrir un œil. Ses pupilles blanches retrouvent la chaleur du jour même s’il ne peut pas clairement le voir puisque j’ai fermé les volets, je m’en vais immédiatement les ouvrir. Je prends une profonde inspiration avant de faire face à un flot de chant de Voyageuses, à peine ai-je retirer le clic que je les entends déjà.


Lillyan se lève alors souriant et vient salués ses amies.
          - Salut les filles, il fait encore beau aujourd’hui !

- Nos parents nos attendent en bas.

- Ah, Shin !!


Lillyan me saute brusquement dessus et me serre dans ses bras, son petit rituel matinal. Au début, je trouvais ça étrange mais maintenant je crois je ne peux pas vraiment passer une matinée tranquille si je n’ai pas eu une étreinte de mon meilleur ami. Mieux qu’un jus d’orange ! Sans cette étreinte, je perds ma bonne humeur. Après s’être lavé dans la salle d’eau, nous rejoignons nos pères qui s’apprêtent à partir pour le palais. Nous imitons nos mères et leurs disons au revoir même si au fond nous savons très bien que nous n’allons pas tarder à les revoir. Ils montent dans leur escorte et dès qu’ils seront hors d’atteinte, nous pourrons enfin mettre notre plan à exécution.


- Suis-moi ! Me dit brusquement Lillyan.


Sans même avertir nos mères, Lillyan m’entraîne avec lui, nous sautons par-dessus sa palissade et entrons dans la forêt qui borde la ville basse. Il manque de trébucher mais j’arrive à le retenir par le bras, il me sourit et reprend sa course effrénée jusqu’au fond de la forêt gorgeant de créature plus extraordinaires les unes que les autres. Je reste époustouflé par la nature si sauvage et si harmonieuse. C’est comme si je pouvais ressentir le bien-être des centenaires qui nous regardent, leur joie lorsque les rayons illuminent leurs feuilles gigantesques. Je me sens enfin chez moi.


Lillyan s’arrête brusquement. Trop fasciné par ce qui m’entoure, je me cogne contre lui.

- Pardon, dis je en me frottant le front.

- Regardes, Shinrei…Ce n’est pas magique ?


Deux immenses oiseaux à plumes bleues se font faces avec des pattes gigantesques pouvant sans aucun doute m’écraser sans difficulté, un bec si pointu qu’il m’embrocherait à deux mètres. Mais surtout, leurs yeux sont si beaux qu’ils m’hypnotisent. Des yeux en amande si doux qu’ils font disparaître toute l’animosité de la bête.


- Des grands évêques à poil bleu…, je souffle.

- L’avantage, c’est que personne ne pourra nous voir dans le ciel, sourit Lillyan, avec leur couleur azur.

- Tu as oublié que je n’attire pas la sympathie des bêtes, je soupire.

- Fais comme moi.


Lillyan s’approche lentement jusqu’à l’animal, il tend sa main jusqu’au bec acéré de l’un deux, une main légère et molle sans faire de geste brusque. Curieuse, la bête s’approche, lentement. A peine a-t-il touché le bec que l’animal semble s’être détendu. Petit à petit, Lillyan caresse le doux plumage de l’oiseau et sourit tout en le regardant comme s’ils discutaient. Je ne doute pas que c’est exactement ce qu’il fait.


- Il s’appelle Anemos et voici sa femelle, Gahila. Ils sont d’accords pour nous aider si tu les aides.

- Les aider ? Je dis perplexe. Moi ?

- Leur nid a été détruit par des hommes. Ils espèrent que tu puisses les aider vu que t’es un Fossoyeur de Terre.

- Hum. D’accord mais on le fait après ! Sinon on ne pourra pas espionner nos pères et l’Oracle.

- C’est parti alors ! Montes sur Gahila mais d’abord tu dois lui faire toucher ta main.

- Je comprends rien, dis je exaspéré.


Je tends doucement ma main devant l’oiseau qui me scrute de ses prunelles douces. La peur face à un animal aussi grand me fait trembler la main, je déglutis difficilement essayant de faire abstraction des mots comme brochette, amputation, crêpe, picorer ou encore empaler. Une fois que ma main touche la matière froide de son bec, les deux grands évêques s’inclinent pour nous laisser monter sur leur dos. Lillyan y saute presque, tandis que je prends un peu plus de précaution n’ayant jamais pu concevoir, même pas dans mes rêves, monter un oiseau aussi grand et aussi rare.


En un instant, nous avons quitté la terre ferme pour nous envoler à des milliers de kilomètres de là. Le souffle coupé, je reste encore stupéfait face à la rapidité de l’animal et le spectacle qui s’offrait à moi. Lillyan se met soudainement à rire et les deux grands évêques croassent comme s’ils riaient à leur tour.


- Je suis sûr qu’ils se moquent de moi, je murmure dans mon coin.


Quelques minutes plus tard, nous étions enfin au dessus du palais de l’Oracle. Nous ne pouvons pas redescendre en ville sur des évêques à poil bleu, je demande alors à Lillyan de nous déposer derrière une maison longée par une colonne d’arbre assez haut pour que je puisse nous cacher des regards indiscrets. Arrivés à une certaine hauteur, je frappe mes mains entre elles et les tourne autour de ma tête. Les feuilles des arbres voltigent dans les airs pour nous entourer. Nous sommes redescendus sur terre, j’embrasse presque le sol tellement je suis heureux de retrouver pied à terre. Lillyan remercie les grands évêques en leur caressant le bec.


- Ne restez pas très loin si vous voulez qu’on répare votre nid, il leur dit.

Les deux bêtes majestueuses me saluent en écartant leurs grandes ailes et abaissent leur tête avant de disparaître.

- Il faut se dépêcher ! Je dis pour presser Lillyan qui ne quitte pas des yeux les oiseaux.

- Euh oui ! Mais on va faire comment pour rentrer dans le palais ? Les adultes y accèdent par les airs. Il n’y a pas d’entrée.

- Fais-moi confiance.


Nous avançons dans les rues naturellement, sans peur ni gêne, se mêlant à la foule de la ville basse. Une fois arrivé devant un mur blanc du palais, j’inspire profondément et fais une croix sur le sol, je demande à Lillyan de s’écarter. Un trou se creuse brusquement sous nos pied.


- Je ne veux pas te vexer, Shin, mais tu ne crois pas que l’Oracle a prit les moyens nécessaires pour empêcher les Fossoyeurs de Terre de pénétrer dans son palais d’une manière aussi évidente ?

- Contrairement à ce que tu crois je ne creuse pas un passage. C’est un passage qui est là depuis des milliers d’années, le premier Oracle l’a créé pour qu’ils puissent s’enfuir en cas d’attaque.

- Et comment tu savais qu’il était là ?

- Je ne sais pas…Je le savais c’est tout.

- Bizarre… On va dire que t’as de la chance ! S’amuse Lillyan.

- Allez, saute là-dedans !


Nous sautons dans le passage qui se referme automatiquement derrière nous, Lillyan ne pouvant pas voir dans le noir, je retire mon bandeau pour pouvoir le guider. Après dix minutes de marches, nous arrivons dans une impasse. Lillyan soupire mais je suis sûre qu’il y a une sortie. Je regarde au-dessus de ma tête, nous sommes sûrement juste en dessous du palais.


- Retiens ton souffle, Lillyan.


Je l’attrape pour le serrer contre moi, je tends la main vers la terre au dessus de nous, écarte les doigts puis les referme brusquement. Une lucarne apparait. Je protège le visage de Lillyan de la poussière qui tombe sur nous et fais grimper le sol en dessous de nous pour nous élever jusqu’au plafond et remplacer la terre qui est tombée.


- Tu t’es drôlement amélioré dans ta maîtrise de la terre, s’extasie Lillyan.

- Je ne peux que la déplacer, ce n’est pas énorme, j’ai encore du mal à contrôler la roche ou encore la végétation.

- Ça va venir.


Lillyan dépose un baiser sur sa main et la plaque sur le sol d’où nous venons. Les débris de terre et la poussière qui l’entourait s’envolent dans les airs pour disparaître. Je lui souris et le prend par la main.


Je n’étais jamais venu dans le palais de l’Oracle, nous étions dans une grande salle entourée de colonnes de plus de six mètres de hauts, le sol était dallé comme un jeu d’échec et il y avait une unique porte au fond de cette salle. Nous avançons lentement, ne sachant pas trop où nous sommes.


- Je me souviens être passé par ici l’autre jour, dit soudainement Lillyan, mais il y avait des gardes quand je suis venu.

- Ils sont passés où ?

- Peut être que c’est l’heure de manger, moi, j’ai faim en tout cas ! Dit-il en posant sa main sur son ventre.


Je serre un peu plus sa main et nous continuons d’avancer jusqu’à la grande porte gravée comme un tableau. Je touche son embrasure.


- Tu pourrais peut-être essayer de l’ouvrir ? Me suggère Lillyan

- Et si l’Oracle s’y trouve avec papa ?

- Alors laisse-moi faire. Le vent m’apporte le moindre bruit. Dit-il en me faisant un clin d’œil

Il colle son oreille sur la porte, il ferme les yeux et espère sentir un souffle qui lui dirait s’il y a bel et bien des voix de l’autre côté.

- Ils sont là, dit-il brusquement, je peux entendre quelqu’un crier ! Je ne reconnais pas la voix mais je crois que c’est l’Oracle.

- Chuchote Lillyan et concentres-toi.

- Je…J’y arrive pas, dit-il en fermant les yeux plus fortement.

- On va essayer de creuser un trou dans la porte ! Je le refermerai après.

- J’aimerai tellement pouvoir me téléporter, soupire Lillyan.

- Ce n’est pas dans ton registre, je souris pour le réconforter.


Je plaque ma main sur la porte, tente de modifier la texture du bois, un petit bruit de rongement se fait entendre, je demande à Lillyan de faire rentrer du vent dans la pièce et empêcher ceux qui y sont d’entendre ce grattement étrange. Il s’exécute. Le trou est assez grand pour que je puisse regarder à l’intérieur et que le bruit en sorte. Je laisse Lillyan y coller son oreille.


« Je me fiche de ce que vous pouvez bien penser » « Je suis l’Oracle. J’estime qu’il faut protéger notre belle cité des rebus de l’extérieur. L’attaque de vos enfants n’a pas suffit à vous dissuader ?  Nous déclarons la guerre à la Cité de Maru. J’exige le rassemblement de toute l’armée. » « C’est une extermination que vous voulez ? » « C’est un bien pour notre paix. »


- Agora va rentrer en guerre !?

- Attends …


« Le peuple comprendra, nous devons combattre le mal. » « Oracle…Etes vous sûr de ce que vous faites ? » « Ai-je le choix ? Ils cherchaient quelque chose ici et vous savez ce que c’est, n’est-ce pas ? Ils cherchaient la mort de vos deux enfants. Pourquoi ? Je n’en sais rien, malheureusement, tout ce que je sais, c’est qu‘ils cherchent le moyen de m’anéantir et que je ne les laisserai pas faire. »


- Le moyen de tuer l’Oracle ? Dis-je perplexe.


« Partez maintenant. Je dois demander la bénédiction des dieux pour cette longue bataille. Amiral, je compte sur vous. »


Je fronce les sourcils et tire Lillyan par l’épaule. Je referme le trou dans la porte et je l’emporte avec moi loin du palais. L’Oracle est le symbole du bien, alors celui qui veut anéantir le bien est forcément un disciple du mal, non ?

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Voilà la suite !! Les choses se précises un peu plus ! Les attaquant faisait partie de la Cité de Maru, ils veulent découvrir le moyen de détruire l'Oracle et tuer les deux gamins mais pourquoi ?
Vous le saurez dans la suite ^^

Bisous
N'hésitez pas à poser des questions !

Rappel :

Peuple des Chutes rapides : peuple faisant partie de la Cité de Maru. Ils ont attaqué Lillyan et Shinrei, et semble vouloir trouver le moyen d'anéantir l'Oracle.

La Cité de Maru : Pays à l'Ouest d'Agora, pays principalement fait de forêt et d'eau.

Pouvoirs de Shinrei (section à compléter) : Aveugle de naissance, il porte une maladie inconnue qui lui permet de voir dans la nuit mais pas dans le jour. Il peut voir à travers son bandeau. Il maîtrise la terre c'est un Fossoyeur de terre.

Les grands evêques à poils bleu : Une sorte d'oiseau très rare. Ils ont la caractéristique d'avoir le poil bleu, sont très grand, ont un bec très long et des yeux en amandes.

Anemos : le grand évêque à poil bleu mâle

Gahila : le grand évêque à poil bleu femelle.




Par Danouch - Publié dans : Agora - Communauté : Auteurs Sadiques
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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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