¤News¤

1106529299870.jpg
Danouch's MAJ :

NOUVEAU BLOG

¤Danouch blog¤

  • : World-and-Yaoi
  • World-and-Yaoi
  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

¤Calendrier¤

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

¤Pix¤

¤Créer un Blog¤

Texte Libre

Le contenu de ce blog peut être choquant avec des propos sexuels, injuriant, cru, violent, yaoi, incestueux, délirant, erroné sur des informations réelles, raciste, etc...



Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Mercredi 17 mars 3 17 /03 /Mars 21:22


- Non !

- Même pas un tout petit peu ?

- Non.

- Un tout petit peu de chti peu ?

- Non.

- Un atome de chti peu !

- Non.

- Ooooooh, vous êtes pas drôle !

- Concentrez-vous sur vos devoirs, jeune Lillyan ! Le plaisir vient après l’effort !

- Mais comment voulez-vous que je me concentre avec le temps qui fait ?

- Ne vous inquiétez pas, aucune tempête ne se prépare, vous aurez tout le temps de jouer après vos leçons.

- Mais je vois pas à quoi ça sert d’apprendre l’histoire de notre nation ! Le passé est le passé, ça ne sert à rien de revenir dessus ! Ce n’est pas ça qui vous fera rajeunir en plus !

- L’histoire est la matière la plus honorable de toutes : elle raconte les exploits de notre nation, c’est elle qui immortalise les héros ! Ne voulez-vous pas devenir un héros, jeune homme ?

- Je deviendrai un héros en supprimant l’école !

- Les hommes sans foi ni loi ne sont rien moins que des bêtes.

- Des bêtes qui sont libres, elles, au moins !

- Vous serez libre une fois que vous aurez appris votre leçon !

- Pffft, vous dites ça parce que vous êtes jaloux et que vos articulations ne vous permettent pas de crapahuter dans les arbres.

 

Le vieux croulant me transperce de son regard bleu et je fais mine de céder en regardant avec envie le magnifique ciel bleu baigné des rayons du soleil. La température avoisinait les quarante degrés dehors et même dedans, l’air est frais uniquement grâce au pouvoir de Maître Lamiir. Sa maîtrise de l’eau permet en effet de refroidir agréablement la température. Je fixe les mots qui s’enchaînent et essaie de les retenir sans beaucoup de motivation.

 

Je n’avais pas besoin de lever les yeux au ciel pour surveiller l’état de Maître Lamiir : lorsque la température de la pièce se réchauffe sans raison, c’est que la force qui s’exerçait dans ce lieu disparait et si elle disparait, ça veut dire que son utilisateur n’est plus en état de la contrôler et s’il n’est plus en état… Bingo ! Il s’est endormi !

 

Je me précipite sur la porte, traverse la maison avant de respirer avec satisfaction l’air chaud de l’été. Je me faufile discrètement le long des haies pour ne pas que ma mère, qui était en train de tailler ses fleurs, ne me voie, avant de m’enfoncer dans la forêt.

 

Là, je cours rapidement jusqu’au cœur de la forêt en évitant les animaux, glissant sous les buissons au besoin, rampant ventre à terre si c’est nécessaire ou bien encore en sautant sur les branches des arbres. Je connais tellement le chemin par cœur que les obstacles n’en sont pas tellement : le tout est de ne pas faire de bruit pour ne pas se faire remarquer.

 

Au bout de quarante minutes, j’atteins enfin l’étang où viennent s’abreuver les créatures de la forêt et des environs et surtout de petites créatures volantes à la fourrure épaisse et blanche, à peine plus grosses que mon poing, pouvant détecter des sons à plus de cent kilomètres et doter des dons de la télépathie : ainsi, ce sont des bestioles très intelligentes. Pour les approcher, il n’y a qu’une seule façon : gagner leur confiance. J’ai exploré la forêt dès mon plus jeune âge, parfois avec mon père, parfois seul. Ainsi, je la connais mieux que la maison de Shin. Mais surtout, les animaux avaient l’habitude de ma présence et n’éprouvaient pas la peur en ma compagnie. Au contraire, les moins farouches viennent souvent réclamer des caresses ou à manger.

 

Le groupe des Voyageuses se regroupe autour de moi. Je rigole, voyant leur empressement :

- Alors, mes jolies, je vous ai manquées, hein ? Vous imaginez pas la chance que vous avez à pouvoir voler aussi librement et faire ce que vous voulez !

J’aime bien leur parler, elles reconnaissent ma voix et je m’allonge en me laissant bercer par leur chant et caressant machinalement l’une d’entre elle. Ici, près de l’eau, l’air est plus frais et plus supportable. J’écoute, j’analyse les bruits que j’entends en fermant les yeux.

 

Pas d’autre créature ne vient nous rejoindre cette après-midi, ce n’est que lorsque le soleil disparait que je regagne ma demeure. Encore une fois, je n’ai pas vu l’heure passer, ma mère va se faire un sang d’encre, même si elle sait que, lorsque je rentre aussi tard, c’est que je suis allé dans la forêt. Je vais toujours dans la forêt d’ailleurs dès que j’ai du temps libre. Je dévale quatre à quatre les marches menant à la ville basse où l’air est plus respirable que dans la ville haute et aperçois la maison.

 

Je m’arrête un instant pour reprendre mon souffle. Je capte soudain un mouvement dans l’air, je recule et me met en position de défense, le temps d’analyser la situation. Un bruit siffle, je recule d’un pas, pas question d’attaquer sans armure pour me protéger. L’air tourbillonne tout autour de moi mais je ne parviens pas à déceler la faille. Plus rien.

 

Je plie les chevilles et me propulse en l’air pour agripper une gouttière et me hisser sur le toit, ce qui réduisait considérablement sa marge de manœuvre. Mon ennemi était peut-être invisible mais il ne vole pas. Je décide de me tenir droit, les bras ballants. Lorsqu’une infime poussée d’air me frôle, je me baisse tout en lançant ma jambe en l’air. Je l’ai touché, il s’écroule en faisant un bruit sourd. Aussitôt, je me jette sur lui avant de me sentir partir en arrière. Je grogne de rage et décoche un coup de coude dans les côtes de mon agresseur mais rien n’y fait.

 

Soudain, l’étau se desserre, je peux respirer à nouveau et je suis à l’abri derrière ma mère tandis que mon père se bat contre mon agresseur. En temps normal, mon père sourit tout le temps et ses yeux pétillent de bonheur quand il nous regarde, ma mère et moi ; mais attaquez-vous à sa famille ou à ses amis et il déploie alors toute sa force, toute sa sauvagerie et redevient en un instant le puissant guerrier craint par l’Amiral de l’armée lui-même, et même de l’Oracle ! Mes yeux d’enfants en tombent des nues face à ce combat de maître. Ma mère ne me laisse cependant pas admirer le spectacle et m’emmène à l’intérieur de la maison.

 

Depuis que j’ai été touché par mon agresseur, j’ai froid et je tremble de tout mon corps. Je n’arrive pas à tenir sur mes jambes. Ma mère me couche dans mon lit et me borde bien chaudement avant de poser sa main sur mon front et je sens sa chaleur m’envahir avant de tomber dans un profond sommeil.

 

Je me réveille en plein milieu de la matinée et malgré les événements de la veille, je ne peux m’empêcher de sourire quand je réalise que j’ai manqué quelques heures de leçon. Mon corps s’est parfaitement remis mais je meurs de faim : avec tout ça, je n’ai rien mangé au dîner.

 

Je vais dans la cuisine mais les placards sont déjà vides. Je sursaute alors que je vais dans le salon et que je trouve Shin assis sur le canapé tranquillement en train de grignoter. A son air, je comprends que quelque chose de grave se trame.

- Mon père et le tien sont en train de discuter dans la salle d’entraînement de ce qui s’est passé hier soir, m’apprend-il.

- Vous avez été attaqués aussi ? Je m’étonne.

- De ce que j’ai compris, ce serait une sorte d’avertissement mais vu l’inquiétude et le sérieux dont nos pères ont pris la chose, je pense que c’est bien plus grave que ça.

- Plus grave que ça ?

- Je les ai entendus parler de l’Oracle, qu’il serait en danger mais qu’en même temps, il deviendrait dangereux. Je ne sais pas, ce n’était pas très clair.

- L’Oracle ? Qui oserait s’en prendre à lui ? Et pourquoi nous ?

- Aucune idée, c’est pour ça que je te dis que je n’ai rien compris. Je n’avais pas l’esprit très clair à ce moment-là.

- Où est maman ? Je demande.

- En train de discuter avec la mienne sur la terrasse, probablement des mêmes choses que nos pères. Personne ne veut nous dire ce qui s’est passé alors que c’est nous qui avons été attaqués ! Il s’insurge.

- Ouais, allons les voir : on aura plus de chance qu’avec nos pères.

 

Shin me suit jusqu’à la terrasse où je salue sa mère avant de me jeter dans les bras de la mienne. Son étreinte a tôt fait de chasser toutes mes angoisses et je réclame encore plus de bisous.

- Maman, qu’est-ce qui s’est passé hier soir ?

- Karl est en train de les interroger avec ton père.

- Vous les avez capturés ? Je m’exclame.

- Bien sûr. Allez jouer, vous ne saurez plus tout à l’heure.

- D’accord, viens Shin.

 

Nous allons au fond du jardin à côté de la piscine où il fait toujours plus frais. Nous nous regardons dans les yeux avant de nous mettre en position de combat. La haine que j’ai pue ressentir envers mon ennemi, la déception de me savoir trop faible pour me défendre, l’impuissance qui m’a gagnée quand je l’ai senti aspirer mon fluide vital et surtout la peur. La peur de mourir, la peur de ne plus jamais revoir mes parents, de ne plus jamais revoir Shin. Une formidable sensation de puissance se concentra autour de mon cœur et de ma tête. Mes tripes en redemandent et appellent la vengeance.

 

Jamais plus je ne serai aussi faible que ce soir-là, je m’entraînerai sans relâche jusqu’à devenir aussi fort, respecté et craint que mon père. Je veux être plus fort que tous les éléments réunis : plus fort que le plus terrible des cataclysmes, plus tumultueux que le plus violent des orages, plus fougueux que le plus fol ouragan, plus foudroyant que le plus destructeur des incendies.

 

Je laisse exploser ma colère au moment où Shin bondit sur moi. Cette fois, je ne veux pas me satisfaire d’un match nul, je veux dépasser mes limites, je ne veux plus me contenter d’un simple échauffement. L’aura combative de Shin fait échos à la mienne et je sais qu’il ressent la même chose que moi. Je souris.

 

Je contracte mes muscles tout en gardant la tête froide. Je ne dois pas non plus me laisser aveugler par mon désir de puissance, mon père m’a suffisamment répété que même le plus fort des guerriers pouvait perdre contre un enfant de douze ans s’il n’analysait pas la situation et se laissait emporter par sa soif de combat.

 

La concentration est tellement forte que j’ai l’impression que mon crâne va exploser mais je n’y fais pas attention. Dans un combat à mains nues, ce n’est pas parce que l’on se met à transpirer que l’on arrête de se battre. Nos poings enragés fusent de toute part, ni l’un ni l’autre ne nous arrêtons à cette appréhension de nous blesser : il faut savoir ce qu’on veut.

 

- Les garçons ! Nous interrompt ma mère.

Nous soupirons, fermons les yeux pour retrouver un semblant de sérénité. En voyant papa, je me mets à courir, Shin sur les talons, avide de nouvelles.

- Alors ? J’attaque.

- Alors, pour l’instant, vous allez prendre une douche ! Vous puez, les garçons.

- Quoi ? Non, c’est bon.

- Pas de discussion où tu seras dévoré par mes flammes.

Ma mère est vraiment terrifiante quand elle s’y met… Moi, avec ma faible maîtrise de l’air, je ne fais décidément pas le poids.

 

Je soupire de soulagement une fois sous l’eau fraîche et grogne de contentement en voyant le goûter que ma mère nous a préparés.

- Alors ? Je redemande.

- Alors quoi ? Répète ma mère.

- Bah, qu’est-ce qui s’est passé ?!

- Vous avez été attaqués par des ennemis, me répond mon père.

- Merci papa, je m’en suis rendu compte.

- C’est tout ce que vous avez à savoir. Si je te raconte tout, tu seras perdu dès le premier mot.

- Je suis pas complètement idiot non plus.

- Non mais tu n’as que douze ans et tu refuses d’apprendre tes leçons d’histoire et de géographie.

- Je ne vois pas ce que ça a à voir là-dedans, j’objecte.

- Que si je te parle du peuple des Chutes rapides, ça te dit quelque chose ?

- Qu’ils vivent à côté de chutes rapides ?

- Absolument pas. Tu reviendras quand tu auras appris tes leçons, me lance mon père victorieux.

D’un seul coup, il se retire tout le charisme que je lui portais. Je ne l’admire plus du tout, là… Je regarde ma mère et les parents de Shin, tous me regardent avec un tendre sourire.

 

Pffft ! Allez-vous faire voir !

 

Je monte dans ma salle d’étude, fouille mon bureau et soupire en voyant ce que j’avais fait de mon livre d’histoire : je l’avais brûlé sous un coup de colère. Heureusement que Shin est resté, il pourra me rapporter fidèlement la discussion.

- Shin ?! Mais qu’est-ce que tu fais là ? Je m’exclame abasourdi, en le voyant entrer dans ma chambre.

- Je suis censé venir t’aider à réviser, il bougonne.

- Ils croient vraiment qu’on va rester bien sagement dans ma chambre à étudier ?

- Non donc ils ont sûrement mis des protections, même contre ton don de télépathie.

- Non. Suis-moi.

Je sors discrètement de la maison et m’éloigne suffisamment pour ne pas être dérangé par les mesures de protection. De là, j’envoie mes sens se balader dans la nature et tâtonnai quelques secondes avant de trouver ma famille de Voyageuses. Dès qu’elles sentent ma présence, elles se mettent à chanter d’une manière si belle que je m’égare un moment avant de leur présenter l’objet de ma requête.

 

Mon don de télépathie fonctionne sur tous les êtres vivants, en général, les êtres humains en particulier sauf ceux qui me bloquent leur esprit. Mais faire ça avec des animaux, c’est très difficile et pas très intéressant : les bêtes n’étant préoccupés que par leur survie et guidées par leur instinct. Seules quelques créatures disposent d’un don de télépathie dont elles n’ont rien à faire. J’avais mis du temps à comprendre que, ce qui tiraillait mon esprit autant, c’était que les Voyageuses disposent de la même faculté que moi : c’est d’ailleurs la principale raison pour laquelle elles me font confiance. Et évidemment, mes parents ne connaissent pas ce lien particulier que j’ai avec elles, ce qui fait qu’ils sont incapables d’ériger de défense.

 

Le problème, c’est que personne ne sait à quoi se rattache mon don de télépathie. Ma maîtrise de l’électricité fait de moi un Souffleur du vent, celle-ci étant une caractéristique évidente de la maîtrise de l’air. Mon don de télépathie met plutôt à mal cette hypothèse et personne ne sait vraiment à quelle force me rattacher. Moi, je m’en fiche pas mal de savoir à quelle force j’appartiens, du moment que je peux espionner les conversations de mes parents.

 

Les Voyageuses comprennent, tendent leurs oreilles à les faire craquer et me rapportent fidèlement en temps et en heure la conversation de nos parents.

 

Je suis tellement absorbé par ce qu’ils disent que je ne fais pas attention à moi et c’est lessivé, tremblant et gelé que je me retire, malgré les soins que Shin m’avait apportés. Je le regarde dans les yeux et prend sur moi pour tout lui raconter avant de m’endormir.

 

____________________________________________________________________________________________

Vous saurez de quoi il s'agit dans le prochain chapitre !

Et oui j'ai dis que ca serai normale la dernière la suite mais j'ai tout supprimé parce que ça ne me plaisait pas donc je suis dans l'ogbligation de tout recommencer =)

Voilà désolé

Cette fois c'est une introduction du petit Lillyan, un peu bizarre ce garçon n'est-ce pas ? Joyeux mais bizarre  :p

Et la question du jour est, qui sont ses ennemis qui attaque des enfants en pleine rue ?

Voilà  ^^ Vous aurez plus de précision sur les chapitres qui vont succéder mais garder bien ça en tête ! Je vous le conseille :p

Rappel général : Lillyan et Shinrei ont douze ans ! Ne pas l'oublier.

Rappel :

Maître Lamiir: personnage secondaire autant dire que l'on ne va plus en parler. Il maîtrise le pouvoir de l'eau


Les Voyageuses : se sont des créatures au pelage blanc qui ont un cris assez mélodieux, elles chantent pour communiquer ou communique par le pensée pour ceux qui peuvent les entendre =)

Karl : Amiral des armée d'Agora et aussi le père de Shin.

Pouvoirs de Lillyan (section qui sera complétée : Maîtrise de l'air et de l'électricité, il fait partie de la catégorie des Souffleur de vent = ceux qui maîtrise l'air. Il est également télépathe.

Le peuple des Chutes rapides (section qui sera complétée ) : les ennemis font partie de ce peuple extérieur à Agora.

 

 

 

Par Danouch - Publié dans : Agora - Communauté : Auteurs Sadiques
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Ha, il est peut-être bizarre Lillyan, mais je l'aime trop ! Il est super attachant comme enfant ^^ Bisous !
commentaire n° :1 posté par : Sora le: 18/03/2010 à 18h51

bah oui, il est tout mignon =)

réponse de : Danouch le: 19/03/2010 à 12h08
Salut, je trouve que ce que tu écris est vraiment génial, et je me demandais si tu avais déjà pensé à être publiée, que ce soit sur Les Editions Muffins ou bien la Collection Arrow?
En tous cas, continue comme ça, tu as vraiment du talent ^^
commentaire n° :2 posté par : Lili le: 18/03/2010 à 19h01
j'ai déjà eut une proposition pour éditer mes histoires mais j'ai refusé, écrire sur ce blog me suffit amplement  et je ne me trouve pas assez mature pour éditer mes histoires =)
Mais c'est gentil de dire ça, ca fait toujours plaisir de voir des compliments ^^
réponse de : Danouch le: 19/03/2010 à 12h09
D'accord, je trouve ça dommage, mais c'est ton choix ^^
commentaire n° :3 posté par : Lili le: 19/03/2010 à 12h36

^^
Je pense que c'est un bon choix
tu toi publies ?

réponse de : Danouch le: 19/03/2010 à 13h17
trés beau chapitre j'adore lillyan. j'ai hate d lire la suit.
commentaire n° :4 posté par : jenny le: 24/03/2010 à 11h32
il est trop chou Lillyan ^^
réponse de : Danouch le: 24/03/2010 à 19h30

Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés