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¤Sommaire¤

Samedi 19 juin 6 19 /06 /Juin 19:27

 

Deuxième journée d’expédition au beau milieu de la forêt. L’énergie de Lillyan me pompe toute ma propre énergie et je commence à désespérer ne voyant que végétation sauvage à perte de vue.

 

Aujourd’hui il ne me pleut pas, ce qui reste un bon point, nous pourrons au moins marcher au sec. Ce qui mine de rien est très réconfortant après deux jours d’averses, malgré un temps sec, les nuages restent épais et sombre au dessus de nos têtes, je regarde le ciel avec inquiétude. Il doit sûrement se préparer une tempête. Au bout de trois heures de marche, sans rencontrer ni animaux ni être humain, je décide de m’asseoir sur un vieux cailloux couvert de mousse, les jambes en compotes. Etant d’une famille assez noble je ne suis pas habitué à marcher autant. Lillyan s’assoit à son tour sur le sol et respire la bonne odeur que dégage l’air pure de la nature.

 

- Si ca continue comme ça on ne fera pas long feux dans cette forêt, nous pouvons survivre avec quelques racines mais sans eau, nous n’arriverons nulle part. Nos corps ont besoin également de protéines et ça fait je ne sais combien de temps qu’on a pas croisé une seule bête dans les parages ! Je n’ai jamais vu une terre aussi déserte. Dis je en soupirant.

- Utilise ton pouvoir pour sentir les animaux cachés ?

- Je les aurais sentit si ils étaient réellement cachés.

Lillyan baisse la tête, il réfléchis avant de se mettre à sourire à nouveau.

- Et dans les arbres ! Il y a sûrement des fruits ! Ca nous donnera quelques forces, pour l’eau par contre je ne peux pas t’aider. J’espère juste maintenant qu’il va pleuvoir on pourrait tenter de récupérer l’eau de pluie…

- Dans nos minuscules bouteilles ? Demandais je en détachant ma gourde de ma ceinture.

- C’est mieux que rien.

 

Cette expédition tourne au cauchemars, pourtant nous n’étions plus des enfants, partir ainsi sur un coup de tête était stupide de ma part. J’aurai dut prévoir quelques effets, au moins de quoi manger pour quelques jours. Si nous trouvons un point d’eau nous pourrons à la limite pécher les poissons. En tout cas je suis assez pessimiste sur notre bonne humeur dans cette immense végétation. Une nouvelle fois je regarde le ciel, les nuages tournent étrangement, leurs couleurs devient plus foncés et plus ocre. Je fronce les sourcils. Je crois bien qu’on nous allons être surpris par le temps.

 

- Je propose qu’on s’arrête maintenant. On se faufile au milieu des branche et des arbres. On quitte la route, on doit absolument s’abriter pour la nuit.

Lillyan me regarde intrigué, il regarde à son tour le ciel, son regard se fige d’étonnement.

- Je n’ai jamais vu les nuages se conduire de cette façon. Regarde comme ils bougent rapidement et dans tous les sens. Comme si le vent était indécis.

- Je crois plutôt qu’on les aide un peu.

- L’Oracle ?

- Ou l’une de ses disciples des nuages. Une Nuée Nova.

- Les Nuées Nova ne sont pas principalement des habitantes de Cléone ?

- Exactement, au milieu de leurs montagnes et leur roches. Ca reste assez paradoxal mais un nuage fait plus de dégât entourer de montagne que seul au gré du vent, si le vent est coupé par les massif immenses de Cléone, les nuages sont à la merci des Nuée Nova. Leur base c’est la vapeur. Une association d’eau et d’air. Elles sont très rares parce qu’il faut une expérience démesurée pour maîtriser deux éléments de base.

- Ce que je comprends pas c’est pourquoi est-ce que ce sont que des femmes !

- Parce que Cléone est une population dominée par la suprématie des femmes, les hommes sont considérés comme des esclaves.

- Des sortes d’amazones ! Se moque Lillyan

- En quelques sorte oui. Elles sont plus vêtus que les amazones, je sourie

- Tu crois donc que des Nuée Nova travaillent pour l’Oracle ?

- La guerre est déclarée Lillyan. Pas seulement avec Maru.

 

Nous regardons à nouveau le ciel en même temps, tout ça n’était décidemment pas normale, Lillyan persiste à croire que l’Oracle ne fait que s’amuser pour son simple plaisir. Moi en revanche je crois que l’Oracle est fou furieux, qu’il est prêt à tout pour nous anéantir mais que surtout il est beaucoup plus fort que ce que l’on peut croire, que d‘une certaine façon, il se doute de ma survie. Si j’en crois mon père, Lillyan et moi sommes des menaces que lorsque nous sommes ensemble, si l’Oracle était persuadé de ma mort, il n’aurait pas envoyé son père sur ses trousses.

 

D’un autre côté si je suis l’hypothèse de Lillyan, il ne fait ça que dans le but de s’amuser un peu. Vaniteux. Dans tous les cas, nous sommes en danger.

 

Nos sortons alors un peu de la route pour se mettre à l’abri, je demande à Lillyan d’aller chercher de quoi manger pour ce soir et surtout du bois sec si il en trouve pour faire un feu. De mon coté je me concentre pour construire une abri solide qui nous protégera d’éventuel chute d’arbres et de grêlons. Je tends les mains et tords les arbres et les branches entre eux, le craquement de l’écorce et des troncs résonne dans toute la forêt. Je les enlacent les uns dans les autres, faisant une sorte de mur de racines, de branches, de troncs épais. Après un quart d’heure de travail, j’essuie la sueur sur mon front, faire autant d’effort alors que je ne mange pas assez épuise toutes mes réserves d’énergie. Je retire mon bandeau, il est blanc cette fois - enfin était - c’est vrai que j’avais donné mon bandeau rouge à Lillyan. Ne l’ayant pas vu sur sa tête je me demande ce qu’il a bien pu en faire…

 

- Tiens tu as retiré ton bandeau ? Ca devrait aller il n’y a pas de soleil !

- Je ne vois rien mais ça ne me brûle pas autant que lorsqu’il fait beau c’est vrai.

- Oh pas mal l’abri ! Mieux que la dernière fois ! Je te félicite mon chéri.

 

Lillyan s’approche de moi et me vole un baiser avant de poser le bois sec sous l’abri que j’ai recouvert de feuille pour éviter de nous salir encore plus.

 

- J’ai dut sécher le bois avec mes pouvoirs je pouvais pas trop faire autrement.

 

Il finit par allumer le bois avec un peu d’électricité, il a suffit d’une étincelle pour que le feu prenne. Il soupire de soulagement en frottant ses mains l’une contre l‘autre. J’allais pour me coucher sur le petit matelas de feuilles quand je sens doucement la main de Lillyan caresser mes cheveux, il m’incite à venir poser ma tête sur ses jambes.

Le chaud au cœur je m’approche alors et me laisse confortablement choyer par Lillyan, je ferme les yeux de fatigue sentant toutes mes forces m’abandonnés. Il me détache les cheveux lentement et me masse le crâne pour me détendre. Aussi tendre que possible je n’aurai pas prit plus de plaisir même dans un lit douillet.

 

- Dors je veille sur toi.

 

Il ne m’en fallut pas plus pour que je rejoigne le monde des rêves. Ou plutôt un monde de cauchemar. Très vite des images de sang, de l’Oracle, de feu, de torture, mes parents assassinés, avec un seul et unique coupable que je ne pouvais pas vaincre parce que j’étais trop faible. Ce fut en sursaut que je sortais de mes rêves tourmentés, essoufflé et encore affecté par mon rêve je regardais autour de moi comme si je m’attendais à voir le visage souriant de l’Oracle.

Le seul bruit que j’entends c’est celui de la pluie battante sur les branches, je me félicite d’avoir réussi mon travail il n’y a pas une goûte dans l’abri. Je freine la course de mon cœur, perdant mon regard dans les braises encore chaudes du feu que nous avions allumés. Une chose pourtant cloche, je regarde à nouveau autour de moi.

 

- Lillyan !

 

Je sors en courant de l’abri, la pluie s’abat sur mon visage avec fracas, comme des pierres lourdes et douloureuses, les nuages tumultueux lancent des éclairs avec rage. Je sens mon cœur repartir, ne voyant Lillyan nulle part ! Je commence à paniquer ! Sans réfléchir je cours dans la forêt dans une direction quelconque hurlant son prénom comme un dératé. Les flaques sous mes pieds me noient presque, les branches me frappent le visage, je cours encore jusqu’à manquer de souffle mais je ne m’arrête pas. Lillyan ! LILLYAN !!!!

 

Les muscles douloureux, je finis par prendre appuie sur un tronc, me torse soulevé par mes longues respirations, je me concentre, m’assois sur le sol boueux sans me soucier des conditions climatiques. Je ferme les yeux et concentre toute mon énergie sur les liens qui m’unit à la terre. Je met en place un réseau de vibration, comme une araignée tissant sa toile. Brusquement ce fut le choc, le bruit de deux puissances qui se battent non loin. Je me redresse sans chercher à comprendre et me dirige vers le combat, si c’était Lillyan ? Contre qui peut il se battre ? Un nouvel éclair traverse le ciel frappant la terre de toute sa force. Je sens presque trembler le sol sous mes pieds mais je n’arrête pas de suivre le bruit du croisement de fer.

 

Le corps de Lillyan essoufflé, trempé, dégoulinant d’eau, les cheveux planqués sur le visage un air furieux et si sérieux qu’il me donne des frissons. Je ressens toute son aura grandir et prendre possession de l’atmosphère, ma poitrine en presque compresser. Il n’y a pas de tout seul, il se bat réellement. Mon regard alterne immédiatement vers son adverse, masqué par une sorte de voile sur le visage, trempé également, son énergie en baisse, deux longues épées sur chacune de ses mains. Des épées en forment de vagues. Un mercenaire d’Agora.

 

La pluie tombe sans se soucier d’eux, le ciel orageux grondent comme le seul arbitre de ce combat et moi je suis perdu dans mes pensées. Que se passait il ? Après tout je n’ai pas besoin de comprendre, Lillyan est entrain de se battre.

 

Le chasseurs se lance à une rapidité quasi divine, presque invisible à l’œil humain, je n’avais jamais vu ça, c’est un membre de l’élite. Un véritable assassin professionnel. Sans hésité je me sers du terrain qui m’est très avantageux, je remonte du sol une racine immense, cachant des épines plus tranchantes qu’un sabre. Je l’empêche d’approcher Lillyan, le frappant avec une vitesse impressionnante pour l’envoyer plus loin contre un tronc. Il retombe sur ses pattes à la verticale du sol, comme si il pouvait marcher sur le tronc mais en fait je peux sentir une petite lame planter dans le bois pour pouvoir tenir. Lillyan se tourne vers moi perplexe.

 

- Pourquoi est-ce que tu t’es montré !!!

 

Il semblait furieux, les yeux sortaient de leurs orbites, je ne sais pas depuis combien de temps il se bat mais à en juger par ses vêtements cela doit bien faire une petite demi heure. J’envoie ses paroles bien au dessus de ma tête me fichant éperdument de ma survie, je refuse qu’on lui fasse du mal ! Et puis de toute manière on le tuera avant même qu’il puisse vendre son information au plus offrant.

 

Je redresse la racine et la fait tourner autour de moi comme un champs de protection. Lillyan me regarde plus attentivement, suivit du chasseurs, il se redresse et se remet en position d’attaque. Se croit il plus fort que nous deux ? Son arrogance le perdra.

 

Si j’arrive à le faire saigner Lillyan pourra le contrôler sans problème, rapidement je me met en position et soulève deux énormes roches du sol, je les lance comme deux boulets de canons sur le chasseurs qui les évitent avec grâce. Son corps dans les airs au dessus du mien se met à tourner sur lui-même, les lames formant une sorte de toupie de la mort. Je souris monte un mur de terre derrière sans qu’il s’en aperçoive. Je fais signe à Lillyan, je jette mes mains en avant arrachant plusieurs branches des arbres morts aux alentours pour les lancer avec la rapidité d’une balle contre l’assaillant, elles sont si rapides qu’à la moindre éraflure, elles peuvent être fatale. Il recule alors mais il se heurte au mur, perturbé il ne remarque pas les lianes de terre boueuse que j’enroule autour de ses jambes, je les durcis. Lillyan au dessus du mur de pierre affiche un sourire triomphant.

 

- Savais tu que la terre est conductrice d’électricité et que la plus grande source d’électricité est juste au dessus de ta tête, dit alors Lillyan

 

Un éclair traverse violemment le ciel, Lillyan l’attire avec toute sa puissance jusqu’à lui comme un paratonnerre, dans un hurlement de guerrier, je bondis à temps sur une racine pour m’échapper du contact terrestre. Une prestation époustouflante des pouvoirs Lillyan qui rabat l’éclair sur le chasseurs qui s’est retrouvé piéger et foudroyer. La forêt tout entière s’est illuminée comme un feu d’artifice, je ressens l’agitation mortuaire du chasseurs.

 

Une onde se déplace dans la forêt aspirant l’éclair dans la profondeur de ses entrailles, après quelques minutes je redescends de ma racine plus confiant, le sol est si chaud qu’il fume encore. Lillyan saute du mur. Le reste carbonisé du chasseurs est enterré, je ne tiens pas à ce qu’on découvre nos emplacements.

 

Lillyan s’avance douloureusement jusqu’à moi, il se laisse littéralement tomber, j’arrive à le rattraper naturellement. La pluie couvrant nos deux âmes en puériles. Il reste encore des mercenaires dans les parages il faut vite s’enfuir même si il faut que je marche sous la tempête toute la nuit. Je soutient Lillyan jusqu’à la planque, là j’y détruit toute nos traces et replace les éléments de végétation.

 

Je me retourne pour aider Lillyan à avancer. Nous repartons sur les traces de la route espérant trouver au moins un groupe de marchand ou de nomades. Je poserai des question à Lillyan plus tard, le plus important et de mettre de la distance avec le groupe de mercenaires.

 

Les éclairs illuminent parfois nos deux corps lamentables au beau milieu d’une terre boueuse et impraticable mais je n’abandonne pas et je prie pour que mes forces non plus ne m’abandonnent pas.

 

- Shin…j’ai un petit problème, chuchote Lillyan

 

Son visage est pâle, je regarde en direction de sa main plaqué sur son ventre, il la retire lentement un long filet de sang recouvre ses habits et marque nos pas comme des empreintes. Il me sourit maladroitement, une sorte de lueur entoure ses mains lorsqu’il les redépose contre sa peau.

 

- Je ne sais pas pourquoi, je n’arrive pas à arrêter mon hémorragie, il dit entre ces dents.

 

C’était un mercenaire d’Agora mais ces épées étaient en forme de vagues, des épée sûrement imbibées de poison qui empêche le pouvoir de Lillyan. Quelle merde ! Je dépose Lillyan sur le sol, je retire ma tunique que je déchire, je le regarde dans les yeux et lui tiens fortement sa main.

 

- Ecoutes moi Lillyan, ca va être très douloureux mais tu vas devoir te soigner d’une autre façon pour empêcher le poison de se rependre. Dis je alors les dents serrés.

 

Il affirme en déglutissant, je sens déjà la fièvre sur son front, la pluie se mêle à la sueur. Je prend une profonde inspiration.

Je fais remonter une petite racine, lisse et bleu.

 

- C’est une racine de Pépinide, c’est une plante vénéneuse, elle est conçu pour aspirer le mal. Je ne sais pas si ça va marcher mais je vais tenter au moins de retirer le poison de tes veines, elle va monter jusqu’à ton foie. Tout de suite après tu devras créer assez d’électricité pour désinfecter ta plaie par des brûlures.

 

Mes mains se crispent, je hais lui faire du mal mais nous n’avons pas le choix. Au milieu de nulle part, sans aucun moyen de se soigner avec de tels assassins à nos trousses, il faut agir vite. Le mauvais temps ne fait qu’aggraver le cas de Lillyan et je préfère encore lui faire passer un seul quart d’heure maintenant plutôt que de le voir mourir en chemin ! Ca jamais !

 

- D’accord ? Je demande alors conscient de la difficulté

 

Il affirme vivement de la tête avant de laisser une larme coulé le long de sa tempe. Je l’embrasse profondément pour lui donner du courage. Je retire mon bandeau et lui met dans la bouche pour qu’il puisse y mordre.

 

- J’y vais.

 

Je lance la racine de Pépinide dans la plaie de Lillyan, il se raidit immédiatement grimaçant de douleur, elle pénètre dans sa plaie presque avec sadisme, il se tortille dans tous les sens mais j’arrive à maintenir son corps le cœur déchiré. Je me force à ne pas fermer les yeux pour le soutenir. Il s’agite encore plus violemment, le bruit de la chair et des sucions de la plante me donne des hauts le cœurs. Des larmes déferlent à nouveau de ses yeux, il serre si fortement ma main qu’il pourrait me la broyer.

 

Une minute plus tard, je ressors la racine avant qu’elle n’atteigne un organe, un liquide noir ressort juste derrière elle, des restes de poison. Je détruit immédiatement la plante et prend la main de Lillyan pour la mettre à proximité de sa plaie. Il use de ses dernières forces pour désinfecter la plaie, une fois finis, son bras retombe mollement le long de son corps.

 

Je retire le bandeau de sa bouche et le jette à mes pieds. J’essors ma tunique que j’avais retiré et fais un pansement autour de la taille de Lillyan. Ses yeux papillonnent encore difficilement mais il est conscient. Avant de reprendre la marche, j’efface les traces de sang derrière nous en mélangeant la boue. Je relève Lillyan et nous reprenons la marche, moi torse nu à bout de force et Lillyan à moitié conscient anesthésier par la douleur.

 

Alors que nous marchions depuis une heure, mes jambes fléchissent légèrement mais je me rattrape à temps, mes yeux se ferment tout seul. La pluie n’a pas encore cessé et j’ai l’impression que le temps s’est arrêté. Je ne sens même plus mes pieds, le corps de Lillyan est de plus en plus lourd. Je le regarde et le secoue un peu m’assurant qu’il ne se laisse pas emporter par la mort. Il ne doit pas céder.

 

Une lumière m’aveugle brusquement, n’ayant plus de bandeau je ne vois plus rien. Grâce aux vibrations du sol je peux sentir des pas fluides sur les flaques, des pieds nus, un corps élancé et long. La lumière se baisse et je peux enfin ouvrir les yeux m’attendre au pire mais il ne présente aucune animosité, plutôt de la surprise.

Un homme jeune nous fait face, ses long cheveux descendant jusqu’à ses mi-cuisses, un masque sur les yeux, un aigle argenté sur l’épaule.

 

- Aidez nous, arrivais-je à peine à articuler.

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Voilà tout le manque que j'ai ratrappé ! Ah bientôt les filles si vous avez des questions n'hésitez pas =)

Par Danouch - Publié dans : Agora - Communauté : Auteurs Sadiques
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a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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