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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 19:17

Je suis désolé je me suis à peine rélu ! Pardon =( encore un fois ca va être bourré de fautes d'orthographe !
Je vous aime fort et merci pour vos commentaires =)

_______________________________________________________________________________
                           
                 Sanzo était posté devant le building qui servait de siège à l'agence où travaillait presque tous les jours Adam, les magazines sont très utiles pour ce genre d'information comme tout le monde Sanzo adore s'informer sur tout ce qui passe et il aime encore plus lorsque ça touche celui qu'il aimait. Abonné à plus de cinq quotidiens au Japon il n'a put s'empêcher d'acheter l'Herald avant de venir devant l'agence. Un petit garçon le regardait intrigué par l'immobilité du jeune homme, Sanzo quitta un instant le building des yeux pour vérifier qu'il n'avait pas prit racine sur place, pas de toile non plus alors tout va bien il peut encore rester une heure de plus sur son trottoir. Il continuait d'observer le grand bâtiment, son coeur battant la chamade, est il prêt à l'affronter ? Il déglutit difficilement, la peur au ventre, il ne savait pas encore ce qu'il allait bien pouvoir lui dire, il n'avait rien préparé ! Il ne manquait plus qu'il se mette devant son miroir comme un idiot en récitant un vulgaire texte. Il préférait de loin l'improvisations. Il regarda à nouveau le building, tout bien réfléchit un texte n'aurait pas été de refus. C'était tout de même culloté de venir lui faire un scandale dans la boîte de sa future femme, cela le faisait rire au fond mais n'allait il pas tout simplement se ridiculisé ? 
                            Il lui faut plus de temps pour affronter Adam, comme un trouillard qu'il est il fait immédiatement demi tour et  percute un ravissant homme d'affaire dans son costume trois pièces.

- Je croyais que tu jouais les statues, sourit le bel homme d'affaire
- Oh putain ...

                             Oui, c'était les seule paroles intelligentes aux quelles il avait pensé.

- Jamais je n'aurai cru te revoir à New York. Sourit Adam

                              Il était encore plus beau que dans les magazines, telle une groupie Sanzo se mit à rougir soudainement, un peu honteux il avait l'impression d'être dans la peau d'une petite minette de quatorze ans qui vient de rencontrer sa star préféré. Il tourne la tête de honte et commence à bouder comme un gamin, Adam devait sûrement se tordre de rire depuis une bonne heure en voyant que Sanzo restait comme un imbécile à contempler un tas de béton ! Cette idée le rassurait pas du tout ! Lui qui voulait faire une entrée fracassante, son effet de surprise s'était écrasé comme une tarte à la crème. Le beau photographe avait toujours les même yeux bleus clair, les même beaux cheveux blond et une légère barbe négligé qui lui allait si bien, Sanzo se sentait ridicule et tout petit face à la beauté de son ancien petit ami. Pourquoi est-ce qu'il était venu déjà ? Il n'arrivait plus à le regarder dans les yeux, étrangement il était heureux de le revoir, trop heureux, ce qui ne présageait rien de bon, ce bonheur se mélangeait également à la douleur car la trahison était toujours là, dans les yeux du beau blond.

- J'aurai jamais dut venir..., murmure Sanzo

 

                              Il voulut fuir, le fuir avant de craquer, il était tiraillé entre l'envie de l'embrasser et de l'étrangler, il ne savait pas du tout laquelle sera sa favorite. Il préféra évite encore une fois le conflit, il préféra à nouveau reporter la confrontation. Avec ce genre de comportement, Sanzo ne parlera jamais avec Adam. 
                              Adam ne l'entendait pas de cette oreille sans vraiment se contrôler ni le calculé il ne put se résoudre à laisser s'enfuir Sanzo. Il me retint par le bras sans un mot, il voulait qu'il reste. Il l'avait manqué, il avait beau avoir fait le deuil de leur couple quelque chose l'empêcha de le laisser partir. Cette petite flamme ne c'était pas encore éteinte même si elle ne signifiait plus grand chose à présent, le voir là, prêt de lui, c'était un signe. Il était peut être tant de demander pardon.

- S'il te plaît, allons prendre un café. Il faut qu'on parle.

                               Il fallait qu'ils discutent en effet, Sanzo avait il le courage ? Pouvait il résister pendant toute une discussion. Il le devait sinon il était perdu.
                               Ce sentiment d'insatisfaction, d'inachevé avait hanté leurs nuits à tous les deux. Il fallait maintenant mettre les choses au clair une bonne fois pour toute pour que chacun puisse vivre sa vie. Sanzo voulait il vraiment vivre sa vie, sans Adam ? C'était la question qui maintenant prenait tout son sens. Seul avec lui, dans un café, face à face, il pouvait admirer les traits qu'il avait jadis eut le droit de toucher. Chaque mouvement de son visage, le frémissement de ses lèvres lorsqu'il soufflait sur son café chaud, ses cils chatouillant sa peau lorsqu'il baissait les yeux, le sourire amicale qu'il laissait à la serveuse lorsqu'elle lui apportait un peu de lait. Sanzo se sentait tomber dans un profond précipice, il était foutu.

- Je viens souvent dans ce café. Les gens y sont chaleureux et puis je peux lire tranquillement un journal sans qu'on me demande si je suis bien Adam Bewalt, il sourit, ils ont aussi tous les journaux du monde ici ! C'est comme ça que j'ai appris que tu avais fait un article dans un journal de Tokyo.
- Tu lis le japonnais ? Je demande intrigué
- J'apprends ! Il rit

                            Le silence retomba entre eux, regardant chacun son café comme si il allait y trouver une réponse, Sanzo se demanda à nouveau si tout ceci servait  à quelque chose, après tout ils avaient tous les deux une nouvelle vie, qu'espéraient ils ? Un pardon ? Une nouvelle chance ? Tout était détruit entre eux, rien ne pourrait être comme avant.

- Je te demande pardon Sanzo. Pardon pour ce que j'ai fais...Tout ce que j'ai fais...

                            Après cette phrase presque murmuré de Adam comme si elle était chuchoté par son coeur Sanzo eut un léger sourire, un sourire de nostalgie, il avait l'impression de ne jamais avoir quitté Adam, il avait l'impression que ces cinq longues années n'étaient qu'un mauvais rêve. Cette légère phrase pourtant le faisait revenir dans l'état où il était il y a cinq ans, le lendemain de leur rupture, l'appartement en ruine qu'il avait laissé derrière lui, tous les miroirs brisés...La douleur était toujours là, profonde et vive comme une brûlure.

- Quand je suis parti au Japon j'étais décidé à prendre ma vie en main, je ne comptais pas abandonner mes études pour le journaliste, je comptais même me noyer dedans jusqu'à ne plus en dormir, ne plus réfléchir, ne plus penser. Je me raccrochais à la moindre petite chose qui me faisait t'oublier, j'inspirais à une nouvelle vie...J'aurai tout donné pour être amnésique car ce fameux soir fut plus douloureux que n'importe quel autre soir de ma vie...

                             Adam se sentit poignardé, la culpabilité le rongeait au plus profond de son être et il ne put se retenir de baisser les yeux. La honte le submergeait au point qu'il se serai volontier jeté à ses pieds pour implorer son pardon, Sanzo lui disait clairement que toutes ses années de tortures commisent par son père, n'était rien comparer au soir où il avait découvert Adam dans les bras d'un autre.

- Plus je me disais que tu n'avais pas existé et plus j'arrivais à croire à mon mensonge, tu n'étais plus qu'un rêve, un souvenir assassin...Jusqu'au jour où je t'ai vu à la télé, j'avais refait surface mon voyage au pays des hypocrites et des illusions était terminé. Ton visage m'a rappelé à quel tu m'as fait souffrir mais surtout à quel point je t'ai aimé...Mes nuits étaient devenus des calvaires ! Je n'arrivais plus à fermer l'oeil.
- Je suis désolé Sanzo vraiment désolé...
- Désolé de quoi Adam ? D'avoir fait ce que tu avais envie de faire ? Pourquoi être désolé d'une chose que tu ne regrettes pas ? Je ne te demande pas t'excuser ! Je te demande de m'expliquer, dis moi ce que j'ai fais ! Pourquoi m'avoir trompé ? Pourquoi ne pas m'avoir quitté ?

                           Adam tenta de chercher ses mots, si seulement il savait pourquoi il ne l'aurait jamais fait, aujourd'hui encore il ne sait pas l'expliquer il ne peut que se taire, se taire devant sa faute comme un meurtrier découvert sur le lieu du crime, le couteau à la main. Que devait il répondre ? Comment racheter son erreur ? Comment appaiser la douleur ?

- Ca te soulagera ? Crois tu vraiment que ta douleur s'effacera si je te disais pourquoi ? Le mal est fait. Que peut on faire de plus ?
- Il ne s'agit pas de ne plus souffrir Adam ! Commença à s'emporter Sanzo, il s'agit de comprendre pourquoi l'on souffre ? Qu'est-ce qui clochait chez moi ? Pourquoi est-ce que tu ne m'aimais plus ?
- Je n'avais pas cessé de t'aimer ! Il faut toujours que tu rammènes toujours tout à toi Sanzo ! Toujours...

                          La tension était montée d'un seul coup et les mots sortaient plus sincère que jamais, Adam sentait que ses paroles avaient dépassées sa pensée. Il l'aimait, oui qu'il avait aimé Sanzo ! Sans doute trop aimé.
                          Sanzo tentait de comprendre le sens de sa phrase, que voulait-t-il dire par rammener toujours tout à soi ? 

- Ne me regardes pas comme ça...Tu ne me voyais pas Sanzo. A cette époque tout ce qui te préoccupais c'était toi et toi seul. Je pouvais faire office de pot de fleur dans notre couple. Tout ce qui comptais c'était oublier ton père, oublier ton passé, travailler pour devenir un grand journaliste, tu voulais être heureux. Heureux sans penser à mon bonheur, peu importe que je travaille dur le soir pour subvenir à nos besoins. T'en avais absolument rien à foutre que je sois fatigué, que je sois triste, ou bien que j'avais envie de toi...Tout ce qui comptais c'était toi. J'avais besoin qu'on me regarde tu comprends, j'avais besoin de quelqu'un près de moi, pour moi...

                          Sanzo prenait à l'accusation en pleine figure, un nouveau sentiment naissait dans son coeur, il se souvenait maintenant ne jamais avoir demandé à Adam si il allait bien, si ca lui plaisait, si il avait des problèmes, il avait toujours penser en fonction de lui seul. Et les seuls fois il avait été inquiet pour lui lorsqu'il rentrait c'était uniquement par jalousie...Si Adam était fatigué, si Adam se ruinait la santé...ça lui été passé complèment au dessus de la tête et comme un enfant égoïste il n'avait pensé qu'à son propre bonheur. La victime était devenue coupable, Sanzo avait été le seul fautif dans l'histoire, lui qui en avait voulu à Adam pour l'avoir abandonné avait en fait été le premier à quitter l'autre...Inconsciemment il avait provoqué sa propre chute.

 

- J'avoue que te tromper n'était pas la solution...C'est arrivé comme ça je ne peux pas l'expliquer c'est...

- Gifles moi.

 

                           Sanzo plantait ses ongles dans ses jambes de haine, de haine contre lui même, il en avait voulut à la mauvaise personne, il voulait s'excuser mais ça n'aurait jamais été assez pour prouver qu'il était désolé...Ca n'aurait jamais été assez pour se faire pardonner d'avoir agis comme le pire des enfoirés. Encore une fois il n'avait pensé qu'à lui seul croyant qu'il était et sera toujours la victime, il ne pouvait même pas accuser son père de l'avoir rendu ainsi ca serai encore une fois rejeter la faute sur quelqu'un d'autre. Il était le vrai fautif.

 

- Tu mériterai que je te gifles juste pour avoir osé me le demander..., commença à s'enerver Adam, tu crois vraiment que je serai capable de te giler ? Je n'aurai jamais dut te dire tout ça...C'était une mauvaise idée de venir.


                            Encore plus ridicule, il ne put s'empêcher de rougir de honte, il se leva soudainement pour partir en baissant un peu les yeux. Il était si mal qu'il se serait bien caché dans un trou, sous la table, dans la cuisine du café pour se faire bouillir. Il se sentait si petit qu'un nain se serait moqué de lui en passant.

- Je suis désolé d'être venu t'embêter avec tout ça...Tu as une nouvelle vie maintenant et comme idiot j'ai cru que je pouvais venir te faire la leçon alors que je finis par comprendre que c'est moi qui en mérite une...Je vais pas t'occuper plus longtemps, je te souhaite de réussir Adam...tu le mérites sincèrement et même si tu crois que je n'aimais que ma propre personne je veux que tu saches que je t'aimais vraiment...De tout mon coeur.

                           Sanzo eut un léger sourire désolé avant de s'enfuir en courant avant même que son ami puisse ouvrir la bouche, il courut aussi vite qu'il pouvait se rendant compte qu'il n'avait même pas payer son café et qu'il laissait toute la note à son ami. La note était sans doute le cadet de ses soucis mais en y réflchissant cela faisait une faute de plus sur le tableau, il ne put s'empêcher de pleurer. Au fur et à mesure qu'il courait dans tout New York pour rejoindre le métro, les sanglots avaient franchi la barrière, partager entre déception et honte, le bonheur d'avoir put entendre pour la dernière fois la voix de l'homme qu'il aimait finalement faisait redoubler ses larmes.
                           Il était simplement revenu non pas pour s'expliquer mais pour le voir, l'entendre, lui sourire, il était venu parce qu'il l'aimait. 
                           Sanzo finit par rentrer chez Ashley dans le silence le plus total, il avait cessé de pleurer une fois dans le train tournant volontairement le visage aux passants ou baissant simplement la tête pour éviter le regard des autres. Il espérait arriver bientôt chez ses amis le plus vite possible. Il ouvrit la porte avec discrétion croyant qu'il pouvait atteindre la salle de bain sans se faire remarquer. Seulement le corps long et fin de Link adosser au mur dans le couloir plonger dans ses pensées laissait penser qu'il attendait l'arriver de Sanzo ou bien qu'il savait qu'il arrivait. Il ne put cacher à Link les yeux enflés et les joues rougis. Il baissait la tête pour rentrer dans sa chambre sans lui adresser la parole. Link avait eut sa réponse et préféra laisser seul Sanzo, ne sachant pas tellement réconforter les autres il n'aimait pas faire semblant de comprendre. 
                         Sanzo s'enferma dans sa chambre tout le reste de la journée ne voulant pas affronter l'air interrogateur des autres occupant de l'appartement, il comptait de toute manière faire ses bagages ce soir pour prendre l'avion le plus tôt possible en direction du Japon. Il n'était plus nécéssaire de rester ici, sa vie était là bas, il ne vallait mieux pas remuer le passé d'avantage, il avait sa réponse, elle était clair. Allait il retrouver le sommeil ? Sans doute jamais, car cette impression d'inachevé laisser son histoire d'amour avec trois points de suspension...

 

Par Danouch - Publié dans : World so Hard - Communauté : Amours Acidulés
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
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est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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