Texte Libre

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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
- Vous ne savez où il a put partir ?
- Pas du tout. Me dit le receptioniste de l'auberge
- Pas même une idée ?
- Je suis désolé je crois juste qu'il est parti le même jour que vous sur sa bécane. Dit il désolé
- Bien merci.
Je l'avais laissé filer. Je ne devais m'en prendre qu'à moi
même, petit à petit je me trouvais ridicule à demander désespérement où était parti Gwen. Le réceptioniste vu que j'étais vraiment désemparer, je ne savais plus trop quoi faire. Continuer ma
route vers l'Ouest ? Ou continuer de le chercher en ayant l'intime conviction qu'il n'était pas parti de la region ?
- Ecouter monsieur, je n'ai pas le droit de le divulguer mais si ça peut vous aider je vais vous donner son nom de famille.
- Vous feriez ça ? Je demande incrédule
- Si vraiment vous en avez besoin.
- Ca serait très généreux de votre part ! Dis je avec un petit espoir
Il chercha un petit moment sur son carnet puis il eut un sourire
amuser.
- Gwenael Lombs.
- Je vous remercie.
Je suis parti aussi tôt à la recherche d'une
cabine téléphonique, j'ai farfouillé un annuaire quand je me suis rendu compe qu'il datait de 1996. Je ne suis pas sûre que ça va m'aider. J'ai soupiré las de toujours me faire avoir !
Pour une fois que je prennais une décision, une véritable décision ! Que je ne fuyais pas et qu'au contraire je voulais ratrapper mes erreurs et apprendre du passé. J'avais l'impression que là
haut on se donnait du mal pour me mettre des bâtons dans les roues, une fois on m'achevait, ensuite me donnait de l'espoir pour mieux me faire déchanter...Une frustration qui ne pouvait pas
passer.
Sonny, le vieil homme, m'attendait dans un petit bar de la ville, lorsque je suis
rentré dedans totalement dépité une élévation de voix me fit sortir de ma torpeur.
- Alors gringalet ! T'as trouvé ton bonheur ?
- Pas encore !
- Derrière de chacal ! Apporte à ce garçon une consolation avant qu'il me fasse une dépression ! Cria Sonny
- Bien Chef !
Tous ici devait avoir l'âge de Sonny, tous ici sauf le barman qui avait la trentaine mais qui en
faisait cinquante, le visage ravagé par l'alcool il avait l'allure d'un ivrogne et l'odeur. Sonny s'était déjà fait plein d'ami et les traitait comme des pestiférés mais faut croire que
c'était leur façon à eux de se parler. C'est ainsi que son les vieux de la campagne de vieux aigri mais tellement attachant.
J'ai bu d'une traite le liquide jaunâtre, j'aurai sans doute vomis si je ne l'avais pas déjà bu la
veille. J'étais anéanti, j'avais l'impression qu'il me serai maintenant impossible de retrouver Gwen. On dit souvent que le monde est petit mais à l'heure qu'il est je suis perdu dans
l'univers.
- On va t'apprendre comment jouer au poker mon garçon ! Comme ça tu pourras plumer tout tes copains !
Sans que je puisse dire quoi que ce soit Sonny et ses amis m'ont emportés avec eux jusqu'à une
table, les règles étaient simple, il faut savoir rester impassible, être rusé comme un renard en somme. Le jeu ne m'intéressait absolument pas et après avoir vu jouer ses amis et les avoir vu se
frapper dessus pour de la triche j'ai vite compris les règles.
- C'est pas complique Jen' ! Tu dois être plus malin que tout le monde, sourit Sonny
J'ai jamais été très malin dans la vie, la preuve en est ! Je cours après un fantôme.
Après une demi heure de jeu, après avoir gagner tous les jetons je savais qu'en faite le malin c'est celui qui
se fait plumer car quand on a tout gagner et que quatre bonshommes deux fois plus gros que vous, vous regardent avec cet air ahurie et mauvais il faut prendre ses jambes à son cou. Sonny en fait
tomber son cure-dent au sol, il me donne une frappe amical dans le dos qui me fait tousser, un peu gêner il rit aux éclats et me félicite. Finalement tous les vieux me félicite et reconnaisse ma
chance ou mon talent.
- Tu m'as étonné mon petit Jen' j'aurai jamais cru qu'un gamin puisse gagner à jeu comme le poker ! Tu m'as bluffé !
Il rit à nouveau sa bouteille de bière à la main et la jette dans un champ plus loin. Nous marchons jusqu'à sa
petite maison mais lorsqu'il se rend compte que je ne le suis pas à l'intérieur il prend un air plus sérieux. Sur son visage mélancolique se dresse un sourire que je n'aurai jamais aimer
voir. Sans doute qu'il s'était dit qu'il avait enfin trouvé de la compagnie même si il savait pertinemment que je partirai un jour. Ce jour arriva.
- Tu t'en va déjà mon petit Jen', me dit Sonny
- Oui. Dis je simplement en lui rendant son sourire
- Ah mon garçon...
Il s'approcha de moi dans le bruit fracassant de ses bottes sur le bois vieillit. Il gardait ce sourire
tendre, il posa sa main pleine de sagesse sur ma tête même si il était plus petit que moi. J'avais l'impression de sentir une main puissante et protectrice sur mes cheveux, une main paternel.
- Je ne comprends pas comment des parents peuvent laisser partir des enfants aussi jeune...Je ne comprends pas.
- Je suis parti de moi même.
- Ont ils chercher à te retrouver ? Non ! Ce sont des lâches. Mais crois moi le passé nous rattrape toujours mon petit.
- Je ne préferai pas...
Mon sourire se cache derrière un visage remplis de nostalgie, le vieil homme soupire et redresse mon
visage.
- Saches que quoi qu'il arrive, quoi que tu fasses et où que tu ailles il y aurai toujours la maison d'oncle Sonny sur ta route.
- Merci.
Ce fut une longue acolade qui nous servit d'adieu, une accolade pleine de tristesse et des adieux plutôt bref. Je
suis parti aussi tôt, mon sac sur le dos j'ai reprit le route repensant au doux sourire du vieux Sonny.
La nuit tombait petit à petit et j'approchais d'une ville plus grande que les précédentes, une ville plus
touristique, je gardais en tête le nom de Gwen Lombs. Les étoiles apparaissaient quand j'eus enfin trouvé une auberge pas trop chère, je lui demandais si un certain Gwen Lombs avait logé ici et
il semblerai que la femme est entendu ce nom quelque part seulement elle ne savait pas où. J'eus un petit sourire d'espoir espérant qu'il soit encore là, elle fouilla dans son registre et ne vit
de Gwenael Lombs.
- Je suis désolé Monsieur. C'est un ami à vous ?
- Oui. Dis je encore désenchanter
- Je suis pourtant sûre d'avoir entendu ce nom quelque part.
Elle ne fit qu'aggraver mon cas, il n'avait même pas été de passage ici et elle me complaignant dans mon
illusion d'un jour le retrouver. J'eus sans doute une expression trop triste car soudainement elle s'emportait dans un élan d'amitié.
- Ne faites pas cette tête, elle me sourit, je vous promet de venir vous voir si j'ai des informations sur ce garçon.
- Je vous remercie Madame.
- Je vous en prie ! Appelez moi Jude.
Elle me gratifia dans un autre sourire enfantin et me donna les clés de ma chambre, celle ci était plus
spacieuse et plus élégante que les précédentes, elle n'avait rien avoir avec ce que j'avais vu jusqu'à présent. Je me suis écroulé sur le grand lit le plafond entier étai un miroir géant, c'était
plutôt étrange de se voir même en dormant. J'eus un petit rire amusé et je suis parti prendre ma douche en repensant au corps de Gwen. Ce ne fut pas une très bonne idée car le reste de la nuit je
ne pouvais me le sortir de l'esprit, à tel point que notre nuit entière me revenait comme un film au ralentit. Quelle torture.
Après une nuit tourmenté j'eus la visite imprévu de Jude la réceptionniste.
- Bonjour ! C'est une magnifique journée monsieur. Je comptais vous réveiller mais je vois que vous êtes déjà tout beau ! Quelle dommage j'aurai aimé voir votre visage endormi. Elle eut un
petit rire en rougissant, je vous apporte votre petit déjeuner. Bonne appétit !
Elle sortit comme une flèche, je l'avais simplement suivis du regard gardant l'impression d'un courant d'air
bruyant et presque agaçant. Les gens aussi énergique me vidait totalement de ma vitalité.
Elle remonta dans mon estime quand j'eusse goûter son petit déjeuner, des pancakes au sirop d'érable. J'en ai
toujours rêver et c'est encore meilleur que ça ne parait à la télé. Je dévore le petit déjeuner et me prépare à partir de l'auberge lorsque dans un silence inquiétant la porte grince. Je me
redresse devant ma glace, j'arque un sourcil comme si je venais de rêver. La porte grince à nouveau. Lentement je sors de la salle de bain et j'aperçois une petit touffe de cheveux blond sur
l'encadrement. De ses grosses billes bleus il m'observe comme un animal craintif. Je continue de le dévisager réalisant qu'un enfant m'épie derrière la porte. J'eus le malheur de faire un autre
mouvement qu'il s'enfuit aussi tôt tel un lapin devant un chasseur.
Je me suis approché de la porte et je l'ai ouverte ne voyant personne dans les couloirs je l'ai refermé. Que
faisait un enfant tout seul ? Il ne devait être plus âgé que Key.
- Noah !!! Noah !! Ou es tu ? Ce n'est pas drôle !
J'entends hurler la réceptionniste, d'une curieuse peu habituel j'ai risqué d'ouvrir la porte pour
savoir qui elle cherchait. Lorsque je la vis enfin regarder dans tous les recoins de l'étage d'un air inquiet je comprenais que l'enfant était le sien. Leurs cheveux blonds auraient du me mettre
la puce à l'oreille.
- Il s'est enfuit par là. Dis je calmemant une brosse à dent dans la bouche
- Oh merci ! Je suis désolé de vous avoir déranger. Il est venu vous voir ?
- Oui.
- Désolé encore ! Mais ce n'est pas étonnant après tout. C'est un petit garçon curieux vous savez mais malheureusement il ne parle pas beaucoup.
Il devait hérité de son père dans ce cas là car on ne peut pas dire
la même chose de la mère, même si elle n'est pas méchante.
- Hum.
- Encore une fois désolé !
Elle partit aussi tôt dans la direction que je lui avais indiquer, je regardais
cette jeune maman s'inquiéter pour son enfant et même si elle étai bruyante cette façon de portéger ainsi son fils me touchait. Jamais ma mère n'avait eut
autant d'égard pour moi cependant elle était dans le même état lorsque Key rentrait plus tard que prévu, finalement les mères sont un peu toutes les mêmes. Elles sont belles et
attachantes avec ceux qu'elles aiment. J'aurai aimé avoir une mère comme ça.
A huit heures j'eus enfin finit de me me préparer, le sac sur le dos, j'étais bon pour
refaire quelque kilomètres et deux trois provisions avant de partir. Je fermais la porte de la salle de bain quand soudainement la même tête blond rentrait dans ma chambre essoufflé, il restait
dos à la porte et me regardait avec de gros yeux. Son visage entier se figeait et rougissait à vu d'oeil, il se précipita sous le lit et n'en sortait plus. Cette famille était vraiment
étrange...
La mère fit la même irruption dans ma chambre.
- Noah je t'ai vu rentré ! Sors de ta cachette !
Cette fois elle était rentré dans une colère noire. Sans même prêter attention à ma présence elle prit
la jambe de son fils sous le lit et le tira aussi fort qu'elle le pouvait mais il s'accrochait à un barreau du lit. J'étais stupéfait d'un tel spectacle.
- Ton père t'attends Noah !
- JE VEUX PAS Y ALLER !!
- Tu n'as pas le choix !
- NAN !!!
L'enfant le lâchait pas prise mais la mère était
épuisé, elle abandonna et s'écroula essouffler. Son visage avait changé d'expression, un visage plein de compréhension mais aussi d'épuisement morale.
- Je ne veux pas me battre encore avec toi Noah. Si tu ne veux pas y aller c'est maman qui va se faire gronder tu sais...Maman est triste quand papa la gronde.
L'enfant lâcha les barreaux et se précipita derrière moi pour se
cacher, j'eus soudainement un pincement au coeur, c'était exactement la réaction de Key quand mon père ou ma mère le grondaient. Il venait se cacher derrière moi et me tirait par le
tee-shirt me suppliant de le protéger. Je regardais à nouveau la mère qui m'avait enfin remarqué et qui soupira de lassitude.
- Dites à votre mari que Noah est malade et que le médecin l'a interdit de bouger de son lit.
- Mais...
- S'il vous plaît Madame.
Elle eut un dernier regard pour son fils et sortit
de la chambre quelques secondes après l'enfant continuait de s'accrocher à moi. Lentement j'ai déposé sur lui une main amicale, il leva la tête pour me regarder.
- C'est bon elle est parti, tu peux me lâcher maintenant. Dis je d'une voix douce
La nostalgie s'emparait de moi, ses petites prunelles
innocentes ressemblaient tellement au regard de Key. J'étais totalement sous l'emprise d'un sentiment de protection envers la petite tête blonde.
J'entendais la voix de Jude dehors puis la voix d'un homme,
celui ci hurlait. Ils cessèrent de se disputer lorsque j'entendis le crissement des pneus, Noah me lâcha enfin sentant qu'il n'avait plus à craindre de partir. J'étais furieux, pour une raison
que j'ignore, j'étais extrément colérique lorsqu'il s'agissait de Key et Noah lui ressemblait tellement. A travers Noah c'était Key que je voyais et que je tentais encore de protéger. Comme
autrefois.
- Voilà, papa est parti. Dit Jude
Noah se cachait à nouveau derrière moi, il craignait maintenant comme si c'était une
traîtresse. Je posais une nouvelle fois ma main sur lui pour le rassurer qu'il n'y avait plus rien à craindre.
- Noah c'est ta mère, elle ne te trahira jamais.
- Elle l'a déjà fait. Avant elle me faisait croire que papa était parti puis il revenait me chercher le soir alors que je jouais.
La mère baissait les yeux de honte, la fatigue se lisait sur son visage. Elle avait assez
d'affronter son mari, elle était épuisé d'essayer d'être une bonne mère et de ne jamais y arriver. C'est ce que je lisais dans son regard.
- Pardonnes moi Noah...
Jude craqua, elle fondit en larme. J'avais du mal à la regarder quelque peu gêner d'assister
à une scène qui ne me concernait pas, j'étais embarqué dans des histoires qui n'étaient pas les miennes et pourtant je n'arrivais pas à les laisser ainsi. Brisés.
Je me suis baissé à la hauteur de Noah et je l'ai regarder au plus profond de ses yeux
bleus.
- Ta maman ne veut que ton bonheur Noah. Elle essaye de faire de son mieux, elle t'aime comme personne ne pourra jamais t'aimer. Crois moi ta maman ne veut pas te voir pleurer mais tu dois
comprendre qu'elle ne peut pas tout faire seule. Aides là à être une bonne maman d'accord ?
L'enfant acquiéssa.
- Va lui faire un bisous maintenant.
Il partit aussi tôt vers sa mère, il s'approchait d'elle avec appréhension
et lorsqu'il murmura "maman" en touchant sa main qui cachait son visage en sanglot elle le serra fort contre elle.
Image beaucoup trop touchane pour moi, j'ai donc laisser le fils et la
mère dans ma chambre pendant près d'une heure, le temps d'aller faire mes courses. Lorsque je suis revenu dans l'auberge la femme s'amusait avec son fils à mettre la table dans le restaurant de
l'auberge, apparement ils seront les seules à manger.
- Vous vous joindrez à nous n'est ce pas ?
- Nous merci je dois reprendre la route.
- Restes s'il te plaît ! S'écria l'enfant
Je déjeunais donc avec Jude et Noah. Ce n'était vraiment pas une bonne idée car
plus je les regardais et plus Key me manquait. C'était un bien pour un mal.
- Au fait j'ai enfin trouvé votre Gwen Lombs ! Il s'est arrêté dans l'hôtel près du lac. D'après mon ami qui y travaille, il reste jusqu'à la fin de la semaine.
( au fait même si tu n'aimes pas te relire fait le quand même parce que y'a une ou deuc phrase ou c'est un peu incompréhensible ou il manque des mots pour une bonne compréhension ... mais tkt y'a pas mort d'homme :) )
Vasy cours forest, cours!!!
j'ai hâte!!
^^
gros bisouxx
Il a retrouvé Gwen!
Ça commence toujours plutôt bien en amour dans tes histoires, alors je me méfie de la suite!