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Y43



-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 12:24
     

    J'essayais de me recoiffer devant le miroir malgré que mes cheveux gouttaient encore, j'avais une tête de d'éterrer ! Etre malade ne me reussit vraiment pas ! Costia passe derrière moi, je le suis du regard par le biais du miroir. Finalement être malade c'est pas si mal.
    Il revient une fois son pull noir mit, il me serre par la taille et pose sa tête sur mon épaule dénudé. Je soupire mais continue mon inspection du visage, Costia toujours collé à moi l'envie de le dégager ne tente pas du tout. Pourtant faudra bien qu'il se pousse pour que je mette un t-shirt quand même. Je me retourne le faisant s'écarter de moi puis l'embrasse tendrement. A chaque baiser je ne peux pas m'empêcher de frémir, une sorte de coup électrique me traversait c'est une sensation étrange mais pas désagréable.

- Laisses moi aller m'habiller ! Dis je en riant pour qu'il se pousse mais il ne cedait pas d'un poil
- Non...Tu es bien comme ça ! Tu ne veux pas aller en cours en tenue d'Adam ? C'est sympa je trouve...
- Arrêtes vicelard ! Laisses moi passer, dis je toujours d'un ton amusé
- J'ai envie de toi...
- T'es une vrai bête ma parole ! Aller pousses toi !

    J'arrive à me dégager de son emprise et partir vers mon armoire pour m'habiller correctement, je regarde ma tenu dans le grand miroir sur la porte puis je me met mes basket sentant le regard désireux de Costia sur moi. Il s'approche dangereusement, ses pas doublés des battements de mon coeur. Lorsqu'il arrive je me relève et le contourne mais il m'attrape le bras rapidement pour me coller à lui. Des bouffée de chaleur m'envaissent ! Je ne peux pas cacher que son comportement m'excite à mort pourtant je dois résister à mes pulsions. Ca serai pas super de le prendre là brusquement, je le pousse sur le lit à quatre patte, je lui retire son pantalon, le prépare, entendre ses gémissements voir son visage sous le plaisir. Je passerai mes doigts le long de son torse et le pénétrerai comme jamais ! Prenant un pied d'enfer, j'aurai transformer la chambre en sona, et nous aurions jouit ensemble nos deux corps en sueur....Il en faut pas plus pour qu'il sente mon érection. Je devrai arrêter de rêvasser en sa présence.

- Tu vois t'en as envie aussi, il dit en caressant la bosse sur mon pantalon
- Arrêtes Costia ! On va être en retard ! Arrêtes tes conneries.
- Mais...
- Chut..., je pose mon doigt sur sa lèvre et me colle à lui par la même occasion, imagine la nuit qu'on passera après une journée de frustration...

    Pour réponse il harpa mon doigt dans sa bouche, faisant des mouvements de sucions sans me quitter des yeux. J'ai dis quoi déjà ? Ah oui ! Attendre toute une journée...Merde.
    Il lâche soudainement mon doigt et part mettre ses propres chaussures, j'ai l'impression d'être nu et qu'il vient de me laisser dans un état terriblement gênant. Je descends les escaliers rapidement espérant que la bosse sur mon pantalon disparaisse très vite. Satsuki ne chantonne pas ce matin pourtant j'entends du bruit dans la cuisine, je m'approche et la remarque sur la table, le visage baissé sur son bras, elle tient un couteau dans l'autre main. La panique m'envahie ! Qu'est ce qu'elle fou bordel ? Il m'a fallut pourtant un certain temps avant de comprendre ce qu'elle tentait de faire.

- Satsuki ! Je m'écrie

    Elle redresse le visage inondé de larme, tétanisée elle laisse tomber le couteau sur la table et me regarde comme si elle voyait un fantôme. Son visage se crispe, ses mains viennent tenter de le cacher puis elle éclate en sanglots. J'ai l'impression que mon coeur éclate également, c'est quoi ce bordel ? Je ne l'ai jamais vu dans cet état ! Je me précipite sur elle, la serra contre moi mais ses hurlements me déchirent la poitrine, elle pleure et appelle à l'aide. Elle m'appelle plusieurs fois comme une enfant, je la serre plus fort contre moi et la berce légèrement à même le sol. Je ne comprends plus rien, je ne sais pas comment réagir, la folie la prend par la gorge et j'ai l'impression qu'elle se fait attaquer. Elle pleure et je n'arrive pas à la calmer.

- Je suis là calmes toi...
- AIDES MOI ! LINK !!!! AIDES MOI ! CA FAIT MAL ! LIIIINK!!!!!!! ...aah....LIIIIIIINK !!! A L'AIDE !!!

    Elle est coupé par des soubresauts mais s'égosie à chaque fois qu'elle prononce mon prénom. Costia descend en panique croyant certainement que quelque chose de grave m'est arrivé. Il arrive dans la cuisine, paralysé sur place il me voit par terre serrant Satsuki contre moi le plus fort que je le pouvais, la berçant de " Chut..je suis là " mais elle continuait de hurler et de se débattre comme si quelqu'un lui faisait mal, la battait presque. Il  remarque le long couteau sintillant sur la table mais à du mal à faire la lien, tout est floue et tout s'embrouille j'ai l'impression de me faire emporter dans quelque chose qui me dépasse.

- J'appelle un docteur, il dit aussi tôt en partant vers le téléphone

     Les pleures de Satsuki sont toujours là mais elle n'hurle plus, elle me demande de la protéger, de ne pas l'a laché, de rester à ses côtés car sinon il reviendrait..

- Qui t'as fait du mal Satsuki ? Qui ?
- Il va revenir...Il a dit qu'il reviendrai...

    Elle s'agrippa à mon t-shirt et pleurait de plus belle. Je me sentais désemparé, totalement perdu et une rage inconnue me submergea contre celui qui lui avait fait mal, j'avais ma petite idée sur ce qui lui était arrivé mais je préferai me tromper. Je prie le Seigneur pour me tromper.

- Le médecin est en route. Dit Costia en revenant
- AIdes moi on va la poser sur le canapé.

    Je porte Satsuki et la transmet à Costia qui est plus fort que moi, je vais chercher des couvertures et nous l'installons sur le lit bien couverte, elle tremble, ses yeus sont grand ouvert la terreur se lit sur son visage puis elle explose à nouveau en sanglot. Je m'écarte et retourne dans la cuisine, arrivé dans celle ci je ne peux pas m'empêcher de frapper le mur. Qui est l'enfoiré qui lui a fait du mal ?! Je me sens hors de moi ! Elle qui était si joyeuse, si heureuse, elle que rien n'ébranlait maintenant ressemble à une victime d'un film d'épouvante !! Qui a put osé lui retirer son sourire ?!!

- Calmes toi Link...
- Que je me calme....Tu as vu dans quel état elle est ? Hein ? Tu l'as déjà vu dans cet état ?!! , je cri presque
- On ne peut pas savoir ce qui lui est arrivé arrête d'imaginer le pire et attendons le médecin. Dit il un visage douloureux
- QUE VEUX TU QUE J'IMAGINE ? Tu crois qu'elle s'est juste fait piquer son sac ???!!
- S'il te plaît arrête de crier tu vas la faire encore plus paniquer.
- Je...Je me sens comme capable de tuer n'importe qui Costia...Je tuerai pour elle !
- Approches.

    Je me suis approché comme il me l'a demandé, il m'a serré dans ses bras et j'ai put me calmer lentement sentant les bras de Costia autour de moi, le contact de son corps me détendait mais la rage, la colère, l'envie de meurtre était toujours présente enfouit en moi. Je trouverai l'enfoiré qui lui a fait ça.
    Le médecin est arrivé dix minutes plus tard, nous l'avons laisser l'examiner dans le salon puis il est arrivé vers nous qui attendions sur les marches des escaliers l'air grave.

- Je ne peux pas encore dire ce qui s'est réellement passer mais il y a eut débat. Dit il en me regardant
- Expliquez nous.
- Elle a plusieurs traces de bleus sur le corps et on peut voir sous ses ongles des restes de peau, beaucoup de bleus au niveau des cuisses.

    Mes poings se serraient à mesure que le vieil homme nous décrivait l'état physique de Satsuki.

- Qu'est-ce qui lui est arrivé docteur ? Je demande les dents serrés

    Il attend un moment puis se décide finalement à nous le dire.

- Je pencherai pour un viol mais je dois l'emmener à l'hôpital pour être sûr.
- Merci, dit Costia en lui serrant la main

    Le médecin appelle une ambulance avec son portable tout en leur décrivant l'état de la victime, je n'arrive même pas à me lever, mes émotions me paralyse, je suis totalement contracter je ne peux même pas dire un seul mot. Les pleures de Satsuki raisonnent dans ma tête, j'ai l'impression que tout sombre et que la pluie va éclater sur nous alors qu'il neige. Je me fais mon propre film, j'imagine la nuit, elle se prommenant, j'imagine un homme son sourire machiavélique brillant à travers la rue sombre, j'entends ses pas dans la neige accéléré et l'attraper tout en maintenant sa main sur la bouche de Satsuki. J'entends les cris, j'entends les pleures, les débats. Instinctivement je pose mes mains sur mes oreilles et la secoue vivement, je dois me sortir ces images horribles de mon esprit ! Je ne peux pas y penser ! C'est affreux, ça me met hors de moi ! Ca m'écrase le coeur, je me sens si faible et impuissant alors qu'elle continue de sangloter dans le salon comme une martyre.

- Link....Link..., elle m'appelle

    Je me lève sans hésitation et cours dans le salon sous le regard douloureux de Costia, je me précipite vers elle et m'accroupie en face du canapé pour la regarder droit dans les yeux. Elle pleure encore, ses beaux yeux noirs remplis de larmes, ses long cheveux noir soyeux courant un peu son visage, son visage pale elle me tend sa main que je prend et l'enlace, je l'appuie contre ma joue le sentant si froide.

- Je suis désolé, elle murmure
- Je le retrouverai je te le promet.
- Je ne veux pas te faire de la peine, dit elle en pleurant à nouveau
- Alors ne pleure plus. Fais moi plaisir et ne pleure plus. Endors toi, tout ceci n'est qu'un mauvais rêve...Dors Satsuki.

    Elle affirme d'un mouvement de tête et ferme les yeux, je reste près d'elle jusqu'à ce que je sente qu'elle s'endort véritablement, un quart plus tard je reviens dans l'entrée où les ambulanciers viennent de rentrer avec un brancard. Je leur explique qu'elle dort et qui si jamais ils venaient à la réveiller je les tuerai. C'est Costia qui par la suite à parler avec eux voyant que je n'étais pas du tout en état de parler, je regardais ma mère partir sur le lit de métal, je l'ai suivit dans l'ambulance ne voulant pas la quitter.

- Je reste, me dit Costia
- Non viens, dis je presque en le suppliant
- Pas toute suite, dit il, j'attends ma mère je l'ai appelé, elle va venir me chercher et je te rejoinds là bas d'accord ?

    A contre coeur je lâche sa main et acquiesse mais au fond je ne veux pas être seul dans l'hôpital, sa présence me rassure et m'appaise. Les portes se ferme et l'ambulance s'éloigne de la maison et de Costia par la même occasion. A mesure qu'il disparait dans l'horizon mon coeur ce serre j'ai l'impression que mon coeur est resté avec lui, que je perd une partie de moi quand il n'est pas là. Je me sens comme un gamin au milieu de la foule, seul attendant que quelqu'un vienne lui tendre la main.
    Je me retourne vers le corps endormie de Satsuki et lui tient la main durant le trajet pour qu'elle sente ma présence, un des ambulanciers me lance un regard de compassion et le branche une de ses aiguilles horrible dans la peau.

- Je lui donne des sédatif pour qu'elle dorme paisiblement, dit il

    Je le remercie d'un regard, puis je ne la quitte plus des yeux jusqu'à ce que nous nous arrêtâmes devant le grand bâtiment blanc.
    Tout est ensuite aller très vite, on la descendu, toute emmener faire des examens, j'ai attendu une demi heure dans la salle d'attente et là Costia est arrivé.

- Je suis désolé ma mère a mit un certain temps avant de trouver une place pour ce garer.

    Sa mère était juste derrière lui, complètement paniquer elle s'est précipité sur moi pour me prendre dans ses bras et me rassurer enfin de compte je pense qu'elle tentait plus de se rassurer elle même.

- On ne sait rien encore, dis je en anticipant sa question
- Pauvre Satsuki-san...Tu vas bien toi ? Me demande Misha

    Je n'ai aps répondu et me suis rassis sur mon siège la tête entre mes mains, j'étais épuisé, paniqué, effrayé, mal à l'aise, énervé, impatient, stressé. Je n'en pouvais plus d'être ici et toute cette attente et ce que je désirai le moins c'était qu'on vienne me faire chier ou qu'on me demande si je vais bien ! Cependant je n'ai rien dit à Misha, elle ne pensait pas à mal et pourtant l'envie de lui crier dessus me démangeait fortement.

- Va voir si tu peux te renseigner maman, dit Costia en écartant sa mère

    Elle partie sans plus attendre, il s'assis à côtés de moi et me prit dans ses bras, ses mains dans mes cheveux sa douce voix me pansaient et pourtant j'avais toujours cette boule au fond de la gorge. Je m'agrippais à lui comme si ma vie en dépendant et j'ai enfouis mon visage dans son coup à deux doigts de craquer et de tout casser. Pourquoi est-ce que je n'avais pas sut le protéger ? Pourquoi faut il toujours que l'on souffre quand tout va bien ? Je ne pouvais pas être  heureux pour une fois il fallut que la vie s'acharne sur moi ? Pourquoi c'est toujours comme ça ?

- Je t'aime, me murmure Costia en me déposant un baiser dans mon cou

    J'aurai aimer lui répondre mais ce n'était pas le moment, non ce n'était pas le moment et je n'en avais pas le coeur, la vie se serai à nouveau acharner sur moi si je lui avouais mes sentiments ? Lui arriverai-t-il un malheur ? Je ne veux pas ! Tout ce que j'aime finit par souffrir de toute manière, tout ce que j'aime finit par pleurer et je ne veux pas.

- Monsieur Hiroki ?

    Un médecin arrive avec un légère accent anglais, je me détâche de Costia et me redresse pour lui faire face.

- C'est moi.
- Votre mère est dans sa chambre. Nous lui avons fait faire plusieurs analyses et j'ai le regret de vous dire qu'elle a subit plusieurs rapports sexuel non désirés. Des traces de violence sexuel à plusieurs niveau comme la vagin et l'orifice anal montre qu'elle a énormément souffert. Nous l'avons mit sous sédatif puissant pour ses douleurs, les traces de coup au niveau des cuisses et de la poitrines sont assez important mais pas d'émoragie interne. Je crains qu'elle ne puisse pas sortir cette semaine nous devons la garder en observation.

    Je faillis m'évanouir, ce fut Costia qui me maintenait debout, le médecin semblait attendre que je repenne mes esprits pour m'annoncer le pire.

- Il y a pire ? Je demandais au bord de la syncop'
- Elle est enceinte.
- Pardon ? Ne put s'empêcher de s'offusquer Costia
- Il faut généralement une semaine pour détecter le grossesse mais avec nos examens approfondis nous pouvons le détecter plus rapidement.
- Est-ce que cet enfant vient des viols ?
- C'est à elle de nous le dire.
- Merci Docteur, remercia Costia
- Je suis encore désolé.

    Le médecin me regardait assez inquiet de mon état, j'étais totalement anesthésier. Comment réagir ? J'avais l'impression d'entendre les cloches de l'enfer, comment lui dire qu'elle enceinte des viols qu'elle a subit ? Comment lui annoncer une chose pareil ? J'aurai jamais le courage de lui dire jamais...

- Allons la voir d'accord ?

    J'ai suivit Costia comme un automate et ce fut seulement lorsque j'étais devant elle que toute l'émotion remonta en moi, je fondu en larme devant son lit, elle était là allonger endormis croyant que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve et moi j'admirais la femme qui m'avait aimer comme une mère. Ce mythe allait s'éteindre, elle ne sourira plus jamais, elle ne chantonnera plus jamais.
   
- Ne pleures pas je t'en supplies, me dit Costia me serrant contre lui

    Misha sortit de la chambre pleurant dans le couloir après avoir son amie dans cet état, Costia restait avec moi et m'embrassa la joue ruisselante de larme.

- Comment vais je lui annoncer ça ? Dis moi Costia ! Comment je vais faire ?

    Je pleurais à bout, il déposa un baiser chaste sur le bout de mes lèvres.

- J'en sais rien Link...J'en sais rien...



Par Danouch - Publié dans : C'est comme la masturbation...
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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