Texte Libre

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/!\ fautes d'orthographes classées dans le guiness des records /!\
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Brises moi les doigts
(love-romance) {TERMINER} [11]
Jamais un sans Deux (coprod lilly-love-romance) {TERMINER}
[43]
Agora (coprod lilly-fantastique-combat) {En cours} [44]
Un sueur froide.
Les secondes les plus longues de ma vie, on vient d'appuyer sur pause, il n'y a plus de bruit, plus de mouvement, plus d'unité de temps. Je suis paralysé, gelée, une phrase en échos qui raisonne et raisonne...
- Je t'aime...Voilà.
Je n'ose rien dire, impossible de réfléchir correctement, je me tiens au lavabo pour ne pas m'évanouir. Tout se bouscule tout se mélange, tout se range. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ?
- Merde je suis vraiment qu'un con...Ecoutes oublies ce que j'ai dit ! Laisses tomber s'il te plaît je veux plus en parler...
Costia se retourne rouge de honte, il tente de s'enfuir mais une pulsion que je n'ai pas commander le ratrappe par le bras, je le pousse contre la porte des toilettes et le bloque ainsi contre. Je le tiens fermement, je ne sais pas ce que je vais faire mais je ne veux pas qu'il parte, tout mais pas ça ! Il doit rester le temps que je retrouve mes idées que je me rende compte que ce n'est pas un de mes nombreux fantasmes mais bel et bien la réalité ! Je dois ouvrir les yeux rester réveiller rester....
Boum.
J'ouvres les yeux, un faux plafond, des lumières au dessus de ma tête, des draps sentant l'anesthésie, j'ai les pieds gelé. Je suis à l'infirmerie. Je me redresse lentement pour éviter de faire un malaise, qu'est-ce qu'il s'est passé ? J'étais avec Costia et tout s'est mis à tourner puis le noir totale ! Je suppose que je suis tombée dans les vappes ! Bordel dans un moment pareil j'ai envie de me pendre tout à coup !
- Vous êtes enfin réveiller ! J'ai le devoir de vous engueuler Hiroki-kun
- Faites donc.
- Ne soyez pas si triste ! Je plaisantais mais vous devriez rentrer chez vous. Vous avez de la fièvre et ce n'est pas bon surtout quand elle atteint les 40 degrés !
- Constantin-kun n'est pas ici ? Je demande pressement
- Euh...Il me semble qu'il est allé en cours mais il a dit qu'il passerai vous voir à la fin de la journée.
- Vous pouriez lui dire pour moi que je suis rentré chez moi s'il vous plaît et qu'il vienne vraiment !
- Pas de problème
- Bon je me casse alors !
- Ne vous levez pas comme ça ! Vous êtes encore très faible attendez que vos parents viennent vous chercher !
- J'ai attendu toute ma vie pour ça. Au revoir.
J'ai fermé ma veste je suis sorti dans l'infirmerie, mon sac était sur la table à côtés de mon lit, je met mon écharpte correctement et attrappe mon portable pour envoyer un sms à Costia, lorsque mes doigts s'approchent des touches je ne sais pas quoi écrire, comment je dois le dire, je tremble. Ce n'était pas un rêve et pourtant ça en avait l'odeur et le goût...
Je serai chez moi. Viens stp il faut qu'on parle.
Je t'attenderai. Ciao
Mettre "bisous" pour un mec ca fait bizarre nan ? Enfin bref !
Je range mon natel dans ma poche et je sors du lycée eneigé direction la maison. Une fois arrivé je balance mon sac dans ma chambre, je vais prendre une bonne douche chaude puis je redescent en pijama en bas dans le salon au moment où je m'approche du canapé je sens à nouveau un vertige j'ai juste eut le temps de me tenir à une chaise un peu plus et je me serai écrouler par terre comme une merde. Je ferme les yeux, pour que cela passe j'ai comme l'impression qu'on rempli ma tête de cyanur. Je me ressaisi et va me coucher sur le canapé. Je me détends et pourtant je sens tout mon corps crispé j'ai froid j'ai l'impression d'être dans un frigo alors je me couvre de la couverture. J'allume la télé, je tremble, je suis nerveux je dois me calmer. Je pose la télécommande et rentre mes bras sous la petite couverture, je frissonne mais les tremblements ne partent pas, j'ai l'impression que je n'arrive pas à me réchauffer. Je me relève pour aller me préparer un chocolat chaud, puis je monte dans ma chambre pour récupérer mon portable au cas où. Une fois dans ma chambre je m'arrête devant le petit tiroir de mon bureau.
Ce n'est pas la grippe c'est évident...Je suis juste en manque...
J'aurai du y penser plus tôt. Mon corps en redemande mais mon esprit n'en veut plus car il est trop occupé par l'image de Costia me hurlant ces mots si effrayant et plaisant à la fois. Je ferme la porte, descends. Je n'en prendrai pas...Pas encore.
Je me rassois sur le canapé et bois mon chocolat tout en scrutant mon téléphonne muet sur la table basse. Le temps est si long ! J'ai l'impression que cette attente va me rendre dingue !
Je finis mon chocolat et je me recouche m'enroulant dans la couverture me réchauffant du mieux que je pouvais, puis j'ai fixé la télé sans vraiment la régarder je suis resté sur Scuzz mais même la musique ne me faisait pas du bien. Trop de question, trop d'incertitude, trop de doute ! J'ai la tête qui va exploser, je me fais tous mes petits sénario possible dans le crâne de plus beau au pire ! Et généralement c'est le pire qui nous inquiète le plus, celui qui fait mal ! Celui qui bizarrement vous semble le plus réaliste et probable. Déstresser. C'est pas dans me vocabulaire actuelle.
Mon téléphonne vibre. Miracle ! Je me précipite dessus et réponds avec hate sans même regarder mon interlocuteur.
- Allo ?
- Je ne rentre pas ce soir mon coeur mais tu peux te commander quelques chose si tu veux !
- Ok.
Un ascenceur émotif, je suis passer de super heureux à supeur déçu. Ce n'était que Satsuki, je repose mon téléphonne cette fois plus de doute, plus d'angoisse le pire de sénario n'est pas qu'il vienne pour me dire qu'il avait déliré ou que ce n'était que le fruit de mon imagination, le pire c'était qu'il ne vienne pas du tout.
Et finalement c'est ce qui c'est passé. La neige à ammené la nuit avec elle et à recouvert la Kyoto, personne n'est venu sonner à la porte, mon portable est resté silencieux. Finalement j'avais raison.
Tout ceci n'était qu'un rêve.
Je me suis endormi triste mais serein, mon corps revenait un peu moins agité et j'ai put ceder à ma fièvre démesuré pour m'écrouler sous la fatigue. Toujours pas de rêve ce soir, je commence à me demande si je suis humain et si c'est normale. Peu importe, le cauchemar est la réalité non le sommeil. C'est la vibration de mon portable sous ma cuisse qui me réveille, je réponds la bouche pâteuse.
- Je dors bordel rappeler quand le soleil sera levé !
Je raccroche. Je laisse tomber mon portable par terre, mon bras me fait mal lorsque je le tend je me sens bouillant et la respiration m'est difficile. Je me débarasse de la couverture qui cette fois était insupportable, impossible de fermer l'oeil et pourtant j'ai l'impression d'avoir couru un marathon ! Je suis exténuer je me sens mal, une boule à l'estomac qui ne va pas tarder à remonter. Je n'arrive même pas à me redresser je suis totalement à bout de force dans un élan de détresse j'attrappe mon téléphone et appel le premier numéro de mon répertoire.
- Putin je dors !
- Ash...
- Link ? C'est quoi cette voix ? J'arrive.
J'ai rien eut besoin de lui dire, j'ai rien eut besoin d'expliquer. Il vient, il a compris et même si c'est pour rien il viendra quand même. Parce que Ashley il est comme ça, parce qu'il ne ma jamais abandonné et qu'il a toujours été là dans la pire des situations. Je suis vraiment qu'un pauvre con.
Un lui a fallut bien une demi heure pour arriver, il est rentré essoufflé et ne m'a même pas chercher il savait que je rampais sur le sofa. Il s'est accroupi face à moi un peu paniquer, j'ai apperçu un regard de stupéfaction, des yeux si gros que j'ai commencé à paniquer sans le vouloir. Qu'est-ce que j'avais ?
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Putin t'es toujours aussi beau.
- Putin Ash tu fais chier tu m'a fait peur ! Tentais je désespérement de lui crier
- Ne te remu pas trop c'est rien ! Juste une grosse fièvre je vais aller chercher des doliprane et une serviette mouiller. Tu ferai bien de te changer t'es tout mouillé.
Il disparait et je me relève tant bien que mal pour enlever mon t-shirt et mon bas de pijama, j'ai l'impression d'enlever une grosse combinaison de ski en plein mois de Juillet, la tête en arrière sur le dossier du canapé j'essaye de reprendre mon souffle mais tout ce qui m'entoure prend un teinte quelque peu en feu. Comme si tout s'embrasait, j'entends Ash revenir, des pas lent pourtant. Il s'approche sans dire un mot et ce poste devant moi une boite de doliprane dans les mains et un sachet dans l'autre. Un sachet.
Merde...
- Prend ça ! Il me tend le cachet avec un verre d'eau et reste poster devant moi comme un amiral
Je lui rend le verre après l'avoir finit ne quittant pas sa main droite comme pour espérer que ce n'est pas ce que je crois. Je déglutit et attend la sentence je sens déjà que ça va me saoulé de le voir me faire la morale.
- Bon. J'ai pas envie de jouer les gendarmes avec toi Link. Je vais jeter cette merde ok ? Tu pourra toujours en racheter mais crois moi, si je vois que tu en reprends je ne te parlerai plus et c'est Costia qui reglera ça avec toi.
Il part dans la cuisine pour jeter la poudre, je serre les poings soit par honte soit part colère, je ne sais pas. Il revient dans le salon et s'assoit à côtés de moi pour me prendre dans ses bras, je me laisse faire et pose ma tête contre son torse le souffle fort j'essaye de me calmer mais j'ai l'impression que je vais faire de l'hyperventilation.
- En parlant de Costia. Je suis au courant d'ailleurs tout le lycée doit l'être. Il m'a appelé apparament tu réponds pas à ton téléphonne il voulait savoir si t'allais bien. Tu ferai bien de l'appeler pour lui dire que non.
- Pas envie. Je suis bien là.
- A quoi tu joues ? D'abord tu nous fait une crise parce que t'arrive pas à te l'enlever de la tête maintenant tu ne veux pas le voir ? Faut te faire soigner mon pot c'est grave !
- La différence c'est que lui n'est pas venu alors que toi tu m'a appelé !
- Je t'ai pas appelé Link...
- Comment ça ?
- C'est toi qui m'a appelé c'est tout.
- Tu m'a pas appelé avant ?
- Non.
- Merde.
Je me redresse pour attrapper mon portable mais je n'ai pas eut le temps que j'entends la porte s'ouvrir et quelqu'un marcher jusqu'à nous.
- Link t'es là ? Une voix masculine
Merde ! Merde ! Merde !
- Je vous dérange ? Nous demande Costia d'une voix extrêment effrayante
Ash ne tremble pas moi je redoute la tempête, je me redresse toujours en boxer et Ash le regard provocant. C'est moi où j'ai l'impression que je vais assister à un combat de Titan ?
Merci pour toutes celles qui me laissent des commentaire et aux nouvelles qui se manifestent ! C'est grâce à des filles comme vous que je continue d'écrire !
Gros bisous à toutes surtout à ma cassou :p
Je vous aime *