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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 19:53
     *pas d'image pour le moment*

    Un baiser tendre et voluptueux, il aurait put s'écouler des années que je ne l'aurai pas remarquer, il aurait put il y avoir une explosion qu'elle m'aurait sembler futile et sans importance, sans force ni puissance, sans éclat ni impressionnante. Rien. Rien n'aurait put me faire stoper ce moment, rien n'aurait put le gâcher.
    Rien.
    J'aurai aimé qu'il dure encore et encore et même si ce baiser n'avait sans doute durer que quelques minutes à cet instant le temps s'était arrêter, nous étions perdu dans l'infini, j'étais totalement emprisonner et j'avoue que cela m'effrayais ! Me sentir posséder de cette façon, si dépendant, si faible ! S'en était absurde, énervant même ! Je n'arrivais pas à me débarasser de ce sentiment qui faisait battre et souffrir ma poitrine. Un point au plus profond qui pressait. J'étais à la limite d'étouffer, j'étais à la limite de devenir fou ! Fou de rage ou d'amour. Je me haïssais de ce sentiment, ce sentiment qui me rend si vulnérable à mes yeux, ce sentiment qui détruit ma force. Je haïssais ce sentiment tout comme j'en avais besoin.
    Le goût de l'alcool sur nos langues, je pouvais goûter les fruits de la passion du Passoa qu'il avait ingurgiter toute la soirée. Le souffle nous manquait tant l'un qu'à l'autre, sa main qui s'était égarée dans mes cheveux retomba molement sur ma cuisse, il désouda nos lèvres laissant échapper une souffle chaud, son front contre le mien il fermait les yeux et profitait de ce moment. Mon coeur ne se calma pas, c'était douloureux. Je regardais le doux visage de Costia, il me regarda. Sans sourire, ni émotion, mon coeur accéléra encore plus et malgré mon caractère de lion je ne pu m'empêcher de laisser transparaître une once d'inquiétude quant à la suite des évenements.
     J'ai sentit sa main se resserer sur le miennes qui tremblaient malgré moi, il ne détourna pas mon regard, ses yeux bleu me transperçaient le coeur. C'était douloureux, terriblement douloureux. Un nouveau me frappe à la poitrine, j'y posa l'une des mes mains priant pour que mon coeur se calme enfin. J'ai sentit sa main quitter la mienne pour venir se poser sur celle qui était appuyer contre mon coeur, il la prit lentement et l'écarta de mon torse pour la poser sur la sienne.

" Boum Boum " " Boum Boum "

" Boum "

" Boum Boum "

    Mes joues s'empourprèrent aussi tôt, la sensation de tenir une chance contre sa main, la sensation que tout ceci était bel et bien réelle ralentissait mon coeur et gouffla ma poitrine d'une étrange sensation, quelque chose qui me piquait les yeux et me serrait la gorge mais qui me donnait envie de sourire. Envie de rire, de l'embrasser avec passion et de ne plus le quitter pour s'enfermer dans notre infini.
    Il se redressa et me pris par la main, je le suivis comme un automate sans me poser de question, j'étais éblouis, hypnothisé, c'est pourtant difficile de comprendre ses intentions. C'est pourtant pas difficile de dire : non.

- Costia tu es sur que c'est ce que...

    Il me poussa sur l'un des futon, son corps immense vint s'écraser contre le mien, je put sentir son souffle contre mes paupières, j'étais effrayé ! Tétaniser à l'idée qu'il...enfin qu'il...me prenne ! Je ne voulais pas, j'ai senti la panique, j'ai senti toute l'anxiété qui me fit me débattre dans les sens comme un gamin qu'on allait violer.

- Arrêtes ! Arrêtes je te dis !

    Il posa ses lèvres violemment contre les miennes, mes cris furent étouffer, sa langue dansante et chevalresque m'appaisait, mes anxiétés disparaissaient. Toujours présentes mais bien cacher derrière des battements toujours plus rapides, des respirations toujours plus sacadés. Il passa ses long doigts le long de ma nuque me bisouillant l'os de la machoire pour remonter sur mon lobe et redescends le long de mon cou. Sa main effleurait mon t-shirt, je sentit une sensation frâiche sur l'os de ma hanche, ses doigts me caressait la taille avec finesse et tendresse. Sa langue experte parcourait mon cou, mon visage, mes lèvres, le menton, la clavicule. Je frissonais autant de désir que de peur, j'avais peur de tout ce qui ce passait de ses sentiments qui me dépassaient !
    Peur de me faire engloutir dans un tourbillon sans fin, avec à la clé l'inconnu...
    Il redressa son visage, la lumière de la Lune faisait briller ses yeux de loup blanc, un sourire tendre s'étira le long de son visage.
    Finit l'angoisse. Une douce chaleur s'empara de moi.
    Je l'aimais. Je l'aime et l'aimerai...
    C'est un fait. Je n'y peux rien, c'est malheureux mais c'est ainsi, je lui ai toujours appartenu, il peut bien faire ce qu'il veut de moi, je suis sien. A jamais.
    Le bruit de ma fermeture éclair qu'il descendait rapidement, mon t-shirt qu'il retira avec une facilité étonnante, ses doigts frôlant mon bas ventre, des chatouilles venaient me faire un peu tortiller, je me mordis la lèvre inférieur du bien être qui me noyait. Son sweet suivit le même chemin que les autres habits qui furent très vite enlever, nous retrouvant à la génèse. C'était un soir d'hiver et les étoiles ne brillaient que pour nous, c'était un soir d'hiver et j'avais terriblement chaud.
    Sa main sur mon entre jambes, ses long va et viens, ses coup de langue rapide, sa bouche chaude et humide ! L'extase, le paradis, l'apogé du plaisir et ce n'était que le début ! Mes mains froissaient ses cheveux de jais, il arrête à temps, m'embrasse à nouveau tout en introduisant le premier doigt. La douleur, une sensation désagréable, je ne voulais plus ! Je déteste et pourtant je ne fis rien. Il m'embrassa à nouveau, d'un longoureux baiser mélangeant le plaisir brute et la délicatesse. Un mariage parfait qui nous correspond assez. Moi la beauté brute, toute faite, sauvage et sans artifice. Lui la douceur, la tendresse incarné, le charisme d'un prince et la finesse d'un intellectuel.   
    Nous étions le jour et la nuit.
    Deux doigts.
    Un autre gémissement de douleur, où était le plaisir tant attendu ? Ses baisers me donnait plus de jouissance. C'est ce que j'ai pensé durant les cinq prémières minutes puis une fois bien habitué, un point sensible au fond, ce frottement, c'était bon...c'était tellement bon ! Je gémissais plus fort le suppliant presque de venir en moi, anxieux mais confiant. Il se positionna aussi tôt pour s'y introduire brusquement.

- Ah !!

    C'était un calvaire ! Une douleur lacerante, je pris dans grande bouffée, il ne disait rien, ne parlait pas. Pas de mots réconfortants, pas de questions, ses reins bougèrent sans plus aucune délicatesse, sans retenu. Un début déjà trop brusque, une larme s'échappa de mes yeux, j'avais l'impression qu'on m'avait enfoncé un couteau dans l'anus. Il me fallut une bonne dizaine de minute avant de sentir le plaisir, avant de sentir la sueur de deux corps fou de désir ! Costia s'épuisait, il donnait tout ce qu'il avait et ne se retenait pas de gémir, ses mains cramponnées à mon bassin il criait. Plus fort.
    Nos deux cris se mêlèrent, c'était une fusion parfaite, après l'effort le réconfort et c'était une récompense dés plus magique ! Je n'avais jamais autant ressentit de plaisir, impossible de parler, impossible de respirer correctement. Je n'aurai pas put l'arrêter de toute manière car je ne voulais surement pas, c'était indescriptible ! Sensuel, torride, inattendu.
      Inéspérer.

- Aaaahhh !!

    Un dernier soupir, un dernier coup de rein profond et violent. Il s'effondra sur moi, collant de sueur, le souffle chaud mais tellement frais comparer à nos deux corps, j'étais épuisé. J'étais comblé.
    Je m'endormi comme après avoir fait le plus beau des rêves maintenant, comme on dit, je peux mourir.

    Le soleil me frappa le visage, en rogne je pris mon coussin pour le mettre sur ma tête, je détestais ce genre de réveil c'était insupportable ! Je déteste le soleil de toute façon, surtout le matin.
    J'aime rien de toute façon, enfin presque...
    Une nouvelle fois cette sensation d'être pris dans un étaux, la peur de relever le coussin et de constater une fois de plus que j'avais rêvé, comme dans la neige cette nuit là. La peur de la déception et du rêve inaccessible.
    Et puis merde !
    J'ai retiré mon coussin rapidemment et je me suis relevé tout aussi vite, énergique et surtout plein d'adrénaline. Il était là, étendu sur le ventre, nu sous ses draps, la peau brillante, fraîche. Sa bouche légèrement entrouverte, ses yeux clos, les bras de chaque côtés de la tête j'ai souris intinctivement.

- Tu deviens pire que Ashley !

    Il ne réagit pas. Toujours endormis comme un loire, je me suis écarté pour aller prendre douche et j'en ai profité pour lui faire enfiler un boxer. La fraîcheur de l'eau me réveillant, j'étais heureux pour la journée et prêt à affronter les regard lubrique de Ash qui nous avait certainement entendu. Je descendis des marches, le paquet de cigarette en main, mon air habituel et je m'avachis sur la table de la cuisine.

- Salut Ash ! Déjà debout ? Je demande intrigué
- Impossible de dormir vous avez fait trop de bruit ! Se plaint il
- Même un avion ne pourrait pas te réveiller !
- Oui mais les gémissement si !...vous m'avez excités bande de cinglés..., il rougit puis tire la langue
- L'obsédé !
- Homme.
- Logique alors.
- Alors ?
- Alors quoi ? Je demanda blasé allumant ma cigarette
- Il est comment au lit ?
- Pff !
- Aller dit putin !
- T'es trop curieux ouistiti !
- M'appelle pas comme ça babouin !
- Il est ... parfait.
- Mouais...c'était débile de te poser la question puisque tu l'a...
- Ta gueule.

    Mon air n'avait rien d'amusant, je n'arrivais même pas le dire moi même à haute voix alors ce n'était par pour qu'un autre le dise à ma place.

- T'es vraiment grinch' le matin !
- C'est toi qui dis ça...
- Bref. Alors c'est officiel ?
- Qu'est-ce qui est officiel ? Dit une voix endormie

    Arrive le gros dormeur, lui qui se réveil habituellement toujours le premier c'est assez étonnant. Je n'ose pas tellement le regarder pourtant je ne peux pas m'empêcher de constater que quelque chose cloche. Son air trop assuré peut être, cette façon de prendre tout à la légère n'est pas vraiment son genre.

- J'ai un mal de crâne affreux !
- Fallait pas autant boir Costia ! Se moque Ash
- T'as bu plus que moi !
- La différence c'est que moi je l'assume et tiens l'alcool haha !
- Exact, t'es un vrai cas !
- Alors c'était comme hier soir Costia ? Demande directement Ash

    Je recracha la fumer de travers, mes yeux s'exorbitèrent et je toussais à plusieur reprises surpris par ce manque de délicatesse. A force d'être franc on peut devenir chiant Ashley !

- Pouaa ! Me raconte pas mes souvenirs s'arrêtent au moment où je t'ai vu danser comme une traînée !
- Quoi ? Tu te souviens plus du reste ? Faillit s'évanouir Ash
- Bah non ! Je crois que j'ai vraiment éxageré hier soir sur l'alcool ! Haha !

    Il riait. Naturellement. Sans arrière pensées, pas de moquerie ni de comédie, il n'essaye même pas de nier, ses joues ne rougissent pas, il me regarde comme avant. Comme un ami.
    Un bruit de verre brisé.

- Aie ! Costia suce son doigt saignant légèrement
- Fais plus attention la prochaine fois...,je dis d'une voix faible

    Cette phrase si révélatrice de son mon ressentis, cette phrase qui m'arrachais la gorge, j'avalais une couleuvre, c'était long et étouffant. Mes yeux me brûlent.

- Tu me connais ! Sourit innocement Costia en ramassant les bouts de verres
- Hum.
- Link..., à peine audible

    Ashley tentait de me réconforter, il avait mal pour moi, je le lisais dans ses yeux brillant de larmes comme si j'avais transmi cette douleur en lui, il semblait souffrir autant que moi semblant me tendre une main invisible pour m'empêcher de m'écrouler. Je ne la prends pas.

- Bon les gars je rentre. J'annonce revêtant le masque de l'indifférence
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Me demande gravement Costia
- Noël. J'ai jamais vraiment aimé cette fête.

    Je monte à l'étage pour récupérer mon sac, je redescend dans le salon ma veste beige y est posé un bracelet en tombe, un bracelet d'argent au écriture bleu clair le nom qui est gravé en mon coeur. Constantin.
    Je le dépose sur la table basse et pars, le tête haute, la cigarette à la bouche, les larmes ruisselantes se gelant au contact du froid.


*va se cacher dans un abri atomique*



Par Danouch - Publié dans : C'est comme la masturbation...
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L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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