World-and-Yaoi

 

Découvrez la playlist blabla avec Leonard Bernstein;New York Philharmonic

 

 

" Tu es un être immonde..."

 

                Milan se redresse en sursaut, il s'était assoupi sans s'en rendre compte sur son canapé. La télé allumée eut l'effet d'un véritable somnifère, il se frotte le visage pour effacer les dernière traces de fatigues et se lève lentement pour s'étirer. Cela faisait tellement d'année qu'il n'avait plus penser à elle...

                 Il quitte le salon pour rejoindre la cuisine, une odeur alléchante s'en dégageait et en retrant dans la pièce on pouvait admirer une femme cuisinant avec amour un plat délicieux. De long cheveux noir, une peau laiteuse, Eileen en était son exacte réplique, ne peut s'empêcher de penser Milan. Contrairement à lui qui avait des cheveux bien plus clair et une peau bien plus halée. Si les différences ne s'arrêtaient que là.  

                  Fiona était une femme des plus tendre, le stéréotype parfait de la ménagère à la maison, aimante et douce, rien chez elle ne laissait paraître une quelconque colère même quand celle ci était face à une situation qui la déplaisait. Au fond cela ne relevait même plus de la gentillesse mais de la soumission à la vie. On pourrait croire qu'elle est plus raisonnable car ainsi elle accepte son destin, pour Milan elle était vide. Vide de sens, il était intimant convaincu que ce n'était pas une qualité que de se laisser aller à son destin mais de la lâcheté. Pourtant il ne pouvait qu'admirer cette lâcheté car elle semblait tellement heureuse ainsi.    

 

- Quand est-ce qu'on passe à table ? Lui demande Milan adossé au chambranle de la porte

- Dans quelques minutes. Tu veux bien mettre la table ? Sort une assiette de plus s'il te plaît.

- Eileen vient manger à la maison ?

- Non, lui sourit sa mère, ton père rentre ce soir de son voyage.

 

                  Son coeur manque un battement, il se ressaisit tout aussi rapidement et pose les assiettes en douceur sans trop réfléchir, l'esprit occuper par des pensées bien plus tortueuses. 

                  Son père n 'a jamais vraiment été quelqu'un de très présent et ce durant toute sa jeunesse également. Ce n'est pas un grand homme d'affaire, il est simplement passionné par le monde, les cultures, les hommes, la nature. Il n'aime pas tellement rester au même endroit plus de deux semaines, le voyage c'est sa vie, l'écriture est sa passion et son métier. Mais comme à tout homme il lui faut un repère, un point de départ, une maison où l'on sait que l'on saura toujours accueillit chaleureusement.

                    " Un grand journaliste ! " Disait Fiona. Un journaliste plus amoureux des paysages que de sa femme, plus attaché à sa liberté qu'à sa famille. Un journaliste qui restait au final un inconnu pour Milan même après tant d'années à ses côtés, pouvait il réellement l'appeler papa ? Il le devait, par respect, par évidence. Milan était quelqu'un qui restait droit, plein de principe et de convictions, sa maturité surpassait sa rancune. Eileen elle même n'en tenait pas rigueur à son père même si elle laissait transparaître un peu plus sa peine lorsqu'il était absent. Fiona avait toujours apprit à ses deux enfants à ne jamais faire de reproche à leur père car c'est lui qui rammenait l'argent à la maison et que quoiqu'il arrive il restait leur père et ils lui devaient respect et amour.

                      Devoir respect et amour. C'était là le résumer de la vie de Milan. Ressentir respect et amour, c'était une autre histoire, une autre vie, pas la sienne.

 

- Tout va bien Milan ? S'inquiète sa mère

Hein ?

 

                    Il relève la tête. Il s'était assit après avoir mis la table, la tête entre ses bras, perdu dans les méandres de son esprit. Il ne savait pas exactement combien de temps il était resté ainsi à penser, peut être cinq ou dix minutes, peut être plus. Sa mère s'inquiétait toujours pour rien, il lui avait semblé un peu ailleurs, ce qui arrivait de plus en plus souvent à son fils. Ce n'était pas son genre de réfléchir ainsi, d'être autant préoccupé, Milan était plutôt quelqu'un de simple. Un garçon très intelligent plein de qualité et de sérénité, en tout cas envers elle et Eileen. Avec son père ce n'était pas la même chose, lorsque Ralph était là, Milan devenait plus froid que jamais. Ils ne restaient jamais bien longtemps dans la même pièce. S'entendait il mal avec son père ? Non, c'était encore plus profond, plus ancré dans leur sang et leur mémoire. Ils s'aimaient mais loin  l'un de l'autre.

 

                    Le bruit de la porte d'entrée coupe le silence, Milan croise le regard de sa mère, elle soupire de soulagement et arque le plus beau des sourire pour accueillir son mari comme il se doit. Le bruit de la valise parvient aux oreilles de Milan, il sent des chaînes serrer son coeur et son corps, tout sentiment s'écoulait de lui comme les fins grains du sablier à mesure que son esprit se rendait compte de la présence du patriarche.

                     Les pas sourds et bruyants à la fois des grosses bottes de pluie martèlent le sol jusqu'à la cuisine, la boue à recouvert le parquet de l'entrée mais il s'en fichait éperdument, il avait trop l'habitude de vivre dans des bâtisses surplombé de terre et de poussière.

                      Ralph se précipite sur sa femme et l'enlace avec force, elle laisse échapper un petit rire de joie avant qu'il ne dévore ses lèvres, tant de mois sans sentir la chaleureuse étreinte de son épouse. Le plus souvent, il réserve ces élans d'affection pour leur intimité personnel mais là c'est plus fort que lui, il en a rêvé nuit et jours, et n'a pas eu la patience d'attendre d'être seul avec elle. Tant pis pour les autres, tant pis pour son fils.

 

- Comme tu m'as manqué mon amour, lui murmure l'homme aux larges épaules

 

                     Carré, le visage creusé par les années certes mais toujours avec autant de cheveux. Certains adolescents étaient plus dégarnis que lui, une chevelure si ample qu'il se battait constamment avec pour les coiffer le matin.De belles boucles d'un brun clair encadrait son visage, des yeux sombre mais une peau aussi blanche que celle de sa femme. Milan ne pouvait nier sa ressemblance physique avec son père en revanche, le contraire aurait été problématique pour le bien de la famille. Le contraire aurait été possible mais Milan ne l'a jamais souhaité.

                     Le grand brun tourne ses yeux ridés en direction de son "grand gamin", il n'a pas changé. Le regard indifférent que Milan pose sur son père reste le même et Ralph doute qu'un jour il vient à changer. Milan se dresse, en une seconde se fut un autre visage qu'il arbore, une expression presque tendre. Un sourire aussi large que possible, un regard mielleux et se voulant attendrissant il s'approche de son père pour le prendre dans ses bras. Ralph joue le jeu, pour les apparences, pour se sentir bien car au fond aucun d'eux n'a réellement envie de cette étreinte factice entre un père et un fils. Pour le bien de la famille et peut être, quelque part, pour se rassurer.

 

- Alors tes études ? Comment se portent elles ?

- Plutôt bien.

- Quand est-ce que tu reprends les cours ?

- J'ai déjà passé mes examens papa. Alors en septembre.

Fiona dépose un plat fumant sur la table de la cuisine.

- Allons on arrête de parler boulot ! Mangeons pendant que c'est chaud.

 

                 Qu'ils aimaient la voir aussi heureuse, si enjoué. Certes elle l'était toujours mais jamais sans un soupçon de tristesse, elle arrive à garder la face devant les autres, son mari est absent et alors ? Au fond elle ne serait que plus malheureuse si elle ne se répétait pas sans cesse que ça n'avait pas d'importance. Elle aime son mari. Elle l'aimera toujours et ça les hommes de la famille l'ont bien compris. Ralph se rendait il compte du courage de sa femme ? Un peu mais il préférait ne pas y penser, c'était mieux ainsi.

                 La conversation ne cesse pas pour autant, les hommes continuent de parler entre eux, plus pour éviter de laisser s'installer le silence que pour partager un réel intérêt, Ralph est toujours celui qui parle le plus, Milan ne fait que lui répondre, Fiona en bonne femme soumise n'intervient que pour leur demander si ils ont encore faim. La fin du repas s'achève par un petit café prit entre adultes, Milan quitte la table et monte dans sa chambre sans oublier d'embrasser sa mère.

                  Au moment de monter les escaliers il se tient au mur, perdant brusquement l'équilibre, quel comédien il pouvait faire. Etre obligé de jouer un rôle dans sa propre famille, comme c'est pathétique. Cette famille que Kendrian chéris tant, il n'a de cesse de lui répéter qu'il aurait aimer vivre dans la même chaleur. Milan se retient toujours de lui répondre " quelle chaleur ?", mais il lui aurait mentit, car oui sa famille est chaleureuse. Ses parents s'aiment, ils aiment leur fille et indéniablement aiment leur fils. Milan ne se sent pourtant pas à sa place et pour cause, il n'est pas censé vivre parmi eux, convaincu que si il n'avait pas été obligé de s'imposer  ils s'aimeraient vraiment, comme une vrai famille. 

 

- Je suis un être un immonde...

 

                Même si eux ne l'aimaient pas comme un fils, il pouvait se vanter d'avoir quelqu'un qu'il l'aime vraiment. Et Dieu sait qu'il a mis du temps à le comprendre.

 

- J'ai repris le boulot, lui dit Kendrian

 

                Milan, assit sur sa véranda reprend constance, il s'est à nouveau perdu dans les prunelles clair de Kendrian, d'un gris bleu assez hypnotisant.

 

- Vraiment ? Ta chef te laisse reprendre le travail ? Ça ne fait que deux semaines, tu aurais put prendre encore quelques congés.

- Je dois payer le loyer Milan. Et je n'aime pas rien faire de mes journées.

- Passer du temps ensemble c'est rien faire pour toi ? Le taquine Milan

- Tu m'as compris gros malin ! Je dois bien reprendre le travail un jour.

- Pas faux.

Kendrian se replace sur sa chaise en bois, qu'il pouvait détester ses engins de tortures ! Il préférait sans fois s'asseoir par terre.

- Tu vas te décider à me dire ce qui va pas ? Lui demande pour la énième fois son amant. 

 

              Milan cligne plusieurs fois des yeux, il retombe mollement sur sa main, appuyé sur la table, il hausse les épaules avant de lui rendre un sourire. Il s'inquiète pour lui, il n'aurait jamais imaginé le plaisir que cela pouvait lui produire. Quelqu'un qui s'inquiète pour soi, c'est presque trop bon lorsqu'on n'a jamais connu ce sentiment chez les autres. " Milan est débrouillard. " " C'est un génie, il est très indépendant ". " Il n'a besoin de personne, c'est un homme fort ! ". Pourquoi est-ce que tout le monde essayait de trouver des excuses pour se débarrasser de lui ? Il n'était pas si fort, pas si intelligent, pas si indépendant. Il était plutôt nul, seul, sans la moindre ambition. Il était simplement bon comédien.

 

- J'aime quand tu fronce ainsi des sourcils. Répond Milan.

 

               Kendrian arque alors son sourcils droit, Milan est un monstre incompréhensible, il est étrange, Kendrian n'y voit pas d'inconvénient. Bizarrement c'est un aspect qui l'attire énormément mais parfois il lui brûle les lèvres de savoir ce que ce monstre peut bien penser, ce qu'il peut bien ressentir. En sa compagnie il a, malgré tout, l'impression qu'il s'adoucit, plus le temps passe, plus il se laisse aller. Kendrian n'est pas du genre à obliger ou forcer Milan à se confier, bien au contraire, étant lui aussi quelqu'un de très discret il n'ira jamais lui tirer les vers du nez. Seulement depuis qu'ils ont enfin un début de relation, il meurt d'envie d'en savoir plus, ce qui ne lui ressemble pas. Stan serait le premier à lui dire " c'est normale ! ". Kendrian n'en fera rien pour autant, n'ayant pas tellement envie de raconter sa triste vie à Milan en échange de ses confidences mais plus il y pense plus il se rend compte que Milan en sait déjà beaucoup sur lui. Plus qu'il n'y paraît alors il a bien le droit à sa part aussi.  

 

- Dans un couple, se décide à dire Kendrian, la confiance est importante, je me trompe ? Je crois que si tu ne me dis pas ce qui te tracasse ça ne marchera jamais. Je sais pas comment te l'expliquer mais c'est ce que je ressens.

- Tu es un garçon qui marche plus sur l'instinct que sur la raison, pas vrai ? Je me demande si c'est parfois pas mieux. Lui dit Milan.

 

                Ils se regardent, restent à une certaine distance l'un de l'autre, après tout il ne sont pas officiellement ensemble, en tout cas pas pour les parents de Milan mais pas seulement, cette distance qu'ils s'imposent naturellement ressemble presque à un périmètre de sécurité " Si tu t'approches de trop près tu verra mon âme sombre, mes idées noires, mes défauts. Je suis une être immonde."

                  Kendrian inspire profondément.  

 

- Je ne vois pas en cas ça va m'avancer à savoir ce qui te travail car je ne pourrai sans doute jamais y remédier. Mais j'ai besoin de savoir, en fait, tu en as plus besoin que moi...Stan m'a appris au moins une chose tu vois (Kendrian arrache une petite feuille de la plante qui lui chatouille le bras) il m'a appris qu'on ne peut pas compter que sur soi (il joue avec sans regarder Milan)  il faut parfois savoir s'appuyer sur les autres. (Il la triture puis la jette un peu plus loin avant de reporter son regard perçant vers son amant) Laisse moi porter quelques briques qui t'appartiennent et tu pourra porter les miennes.

- Elles sont lourdes tu sais, sourit tendrement Milan comme un avertissement.

- Les miennes aussi. On ne sera pas trop de deux alors.

 

              Un pacte, un lien indéfinissable s'était tissé entre eux et pourtant il était aussi fragile que fort. Une union presque improbable pour deux êtres aussi brisés l'un que l'autre, pourquoi les histoires d'amour commencent elles toujours aussi mal. Milan se lève, pieds nus, il part vers l'entrée de la maison et récupère ses basket. Il revient sur ses pas et sous le regard médusé de Kendrian ouvre le portail. Il patiente le temps que Kendrian réagisse et finisse par le suivre. 

              Vers la centre ville, il se mêle à la foule, Kendrian sur ses pas. Les mains dans les poches, Milan regardent les passants, il regarde autour de lui comme si tout allait lui être prit. Il entrouvre les lèvres alors, sans croiser le gris-bleu de Kendrian, sans marcher un pas de plus vers la mélasse. Une phrase, une unique phrase lui vint à l'esprit, cette petite phrase qui veut tant dire et rien à la fois. Tellement fausse et tellement vrai.

 

- Je suis un être immonde Kendrian. Elle n'avait pas tord tu sais, j'ai fais tant de mal, que ça soit à elle ou à toi. Avec cette simple phrase elle a marqué ma malédiction d'un fer rouge. Je ne vais qu'engendrer malheur à quiconque s'approchera de moi, malheur sur malheur, peine sur peine. Blessure sur blessure.

 

               Le monde continue d'avancer, les gens se bousculent sans se soucier de deux garçons immobiles au milieu d'un trottoir.

 

- Elle avait cette envie si ardente d'avoir un enfant, si dévastatrice qu'elle n'a pas put attendre le bon, elle n'en trouvait pas d'assez bon pour son enfant. Sa progéniture. C'est fou ce que la science peut faire parfois ! On ne se rend pas compte à quel point. Un peu de sperme congelé, une simple substance glacé et voilà un beau petit bébé ! Elle voulait qu'il soit parfait et de plus il ne serait rien qu'à elle. Que demander le peuple ? Va savoir. Peut être que la grossesse a été une désillusion. C'était comme si son enfant n'avait pas envie de naître, comme si il savait qu'il n'était pas voulu par deux être qui s'aiment. Alors pour se venger de son égoïsme, il l'a fait souffrir, pendant neuf mois, jusqu'à l'accouchement. Point de suture, hémorragie, dix heures dans une salle malodorante.

                   " Elle s'est réveillée épuiser. Pas si parfait que ça le bébé. Comment un être aussi petit pouvait faire endurer telles souffrances ? Comment son petit amour pouvait il être aussi...immonde ? On lui a mis dans les bras, il ne lui souriait pas, il avait se regard si sombre sur elle comme si il lui disait " Satisfaite ? ". Elle s'est mise à pleurer en hurlant que ce n'était pas son enfant, qu'elle n'en voulait pas, qu'elle n'en voulait plus. Dépression puis folie. Toute sa famille savait qu'elle n'a jamais été très saine d'esprit, elle a contracté la schizophrénie avec l'accouchement au point de vouloir tuer son propre enfant. Hystérique, elle riait au éclat pendant qu'elle noyait son bébé en criant de toutes ses tripes : tu es un être immonde. "   

                  " J'ai été placé chez mon oncle et ma tante, papa et maman, ça n'a pourtant pas suffit car les mots ne remplacent pas les sentiments. J'ai toujours sut qu'ils n'étaient pas mes vrais parents, je n'ai appris la vérité qu'à l'adolescence, ça ne m'a pas surpris. J'ai répondu simplement " Ca ne change rien. ". C'était vrai, ça ne changeait rien. Maudit, je n 'arrivais pas à ressentir de l'amour pour eux. Ma soeur fut la seule qui me tenait à coeur, je n'exprimais pas cet amour concretement mais j'ai toujours ressentit le besoin de la voir sourire. C'est surement ça l'amour fraternel. Le seul que j'ai put ressentir jusqu'à cette fameuse nuit d'hiver où tu es venu pleurer en bas de chez nous. Étrange gamin, il pleurait sans savoir s'arrêter, les yeux rougis par le froids et les larmes. Je ne sais pas si j'ai eut le coup de foudre tout de suite. Je ne crois pas. J'ai tout simplement entendu ton appel, quelqu'un avait enfin besoin de moi. Oui...C'était ça...Quelqu'un avait enfin besoin de moi et ça me faisait plaisir autant que ça m'effrayait. Tu étais un homme ! Comment ressentir un tel désir pour un homme ? Ce n'était pas normal...Non pas normal. Je n'étais pas normal...Comme ma mère. "

 

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Je crois que je ne vais pas faire de commentaire sur la vie de Milan car ce n'est pas finit, vous aurez la suite dans le prochain chapitre !

Et puis en l'écrivant je crois que ça m'a prit la gorge lol

 

Je vous l'accorde, je suis vraiment sadique.

 

BISOUS POUR CELLES QUI RESTENT !

 

Les autres je vous pisse au cul ! NA !

xD

Je plaisante =)

 

 

      

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Mar 6 jui 2010 6 commentaires

J'ai eu un peu de mal à comprendre qu'au final ses parents n'étaient pas ses parents biologiques!!! Milan porte un lourd passé, comment peut-on rejeté son enfant comme ça!! je ne comprendrais jamais!

Lydie - le 06/07/2010 à 14h24

ouais c'est pas facile !

=)

Oui j'ai fais expret de faire durer un peu le suspens en sous entendant que c'était pas ses parents mais pas facile facile LOL

Merci

D***

C'est en lisant ce chapitre que je me suis rendue compte à quel point ils m'ont manqué tous les deux! je suis surprise, et je trouve que c'est bien trouvé. Ce n'était pas impossible mais je n'y avais pas du tout pensé et j'en suis très contente parce que ça rend l'histoire plus marquante. En d'autres termes, je trouve ton intrigue bien ficelée!^_^ Haha il ne faut jamais que je m'étende sinon je fini par dire compliqué ce qui peut être dit très simplement!^_^ Gros bisous et merci! Vivement la suite!  

Itoshiki - le 07/07/2010 à 22h26

LOL

je suis contente que l'intrigue te plaise !

J'avais prévu de faire un passé assez lourd à Milan pour justifier son comportement de cailloux insensible mais j'ai trouvé vraiment qu'au dernier moment LOL

=)

Gros bisous à toi mercii

D***

Bonsoir la suite? toujours aussi bien ecrite :) on en découvre davantage sur Milan et c'est pas tout rose!! je me doutais bien que ce n'était pas sa "vraie" famille grâce à sa description physique. En attendant la suite , bon courage et gros bisous.

A bientôt

stef - le 07/07/2010 à 22h56

ah ca me fait plaisir que tu es compris un peu avant, c'était un peu le but !

xD

Gros bisous à toi mercii infiniment

D***

Yep ! La seule et l'unique ^^

Wouaaah, j'suis venue un peu plus tard mais j'ai un emploi dutemps chargé en ce moment surtout avec l'écriture de ma nouvelle fic (en fait, je pense que ce sera la suite UAE version polar ^^)

Ben, ça m'a fait plaisir de te retrouver, avec un long chapitre en plus ! Pas de surprise pour moi puisque tu m'avais raconté. c'est vrai que le début m'ettait la puce à l'oreille mais j'ai oublié à force d eme focaliser sur Kendrian. J'ai l'impression que t'as plus travaillé ton style là, non ?

J'attends la suite comme d'habitude ! Bisous !

Lilly - le 09/07/2010 à 23h00

slt, je viens de dévorer tout les chapitres et la première chose qui me vient a l'esprit c'est: GENIAL. et ensuite je regarde la date de publication et je me dit non, pas possible!juillet?oh mon dieu mais à quand la prochaine MAJ?je veux savoir ce kil va se passer!!oh mon dieu, oh mon dieu, OH MON DIEU!!!mais ke va t-il se passer? enfin tout ça pour dire que c vraiment super et ke je suis impatiente de lire la suite!!

loli - le 07/10/2010 à 22h26

Il y a une très bonne raison à cette longue attente LOL

En fait je travaillais tout le moi d'Aout et je suis partie en vacance. D'ailleurs je suis en cours à l'heure actuelle et j'ai plus internet XD donc j'utilise le réseau de la fac !!! (c'est pas bien ! )

ENFIN BREF
Tout ça pour te dire que j'espère faire une maj très bientôt bisous !!! et merci =)

D***

me revoila .. après un looooooooooooooooooooooong moment d'absence !

 

j'ai fini par lire cette histoire qui est devenu moins pathétique au fil des chapitres ... j'ai appris à l'apprécier et à m'en émouvoir ....

ça prend parfois aux trippes, parfois ça fait sourire ou ça rend juste mélancolique .. mais elle ne laisse personne indifférent

 

je lirais avec plaisir la suite ... j'espère que tu vas bien ma Danouch et que la vie roule bien comme tu veux !!

 

Bisouxxxx

Cicipouce - le 18/10/2010 à 06h17

Je suis vraiment heureuse de te revoir ici !!! =) J'espère que tout va bien !!

En tout cas je suis contente que tu sois toujours en vie :p.

Tant mieux si tu as changé d'avis sur cette histoire, je trouve aussi qu'elle devient un peu plus intéressante ! En tout cas à l'écriture elle est plus difficile car les personnages sont plus complexes. Néanmoins j'espère me remettre très vite à écrire sur la dernière avant la prochaine ^^

Pour moi tout va bien a bientôt Cici !! =)

BISOUS

D***