World-and-Yaoi
Je sens maître Zenon tressaillir au fond de la forêt, mes muscles, eux, se contractent tous dans une tétanie incontrôlable. Le visage de l’Oracle me parait si proche que je pourrait arracher le sourire triomphant de ce doux visage gardant une jeunesse éternelle. Mon père est sans doute le plus maître de lui-même, il n’a pas laissé transparaitre une quelconque émotion de surprise. Il s’approche de l’Oracle à grand pas tandis que je reste cloué sur le sol encore sous le choc.
Mon plan vient de tomber à l’eau.
Sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit mon père fronce les sourcils, sort son épée et m’attaque. Je riposte avec la mienne que je sors maladroitement de son fourreaux. Il a l’air si sérieux, si naturel que malgré moi j’ai un doute.
Je résiste difficilement sous le regard dominant de l’être tout puissant dans sa longue robe blanche. Un combat déloyal, un combat humiliant. Mes pensées divaguent, je suis perdu au milieu d’un tourbillon de questions plus insensées les unes que les autres. Mon père me murmure quelque chose entre les lèvres mais je ne l’entends pas. Plusieurs fois envoyé dans le décor, je tente de me protéger comme je peux mais l’effet de surprise m’a totalement déstabiliser et je n’ai toujours pas conscience que je me fais massacrer par mon père.
Je me relève difficilement du sol, une douleur atroce dans les côtes qui me fait grincer des dents, je m’appuie sur mes deux bras, un liquide écœurant remonte le long de ma gorge. Je plisse les yeux sous le dégoût et crache une marre de sang qui tâche le coin de mes lèvres. Je me ressaisi, tous mes sens sont en alerte, je crois que mon père tente de me faire comprendre qu’il faut improviser, on ne peut pas reculer maintenant. Je n’avais jamais vu mon père se battre avec autant de sévérité, il semble maître des lieux même l’Oracle fait pâle figure au fond de la scène. Je frissonne d’excitation.
Je jette l’épée plus loin, je fais craquer mes doigts et les places devant moi. Dans un élan mortuaire, mon père s’élance à mon encontre, je l’éviter, je soulève la roches me couvre, l’évite, lui lance des pique de terre tandis qu’il danse autour de moi, attaque sur attaque. Son épée est devenue un prolongement de ses bras, tout son corps devient une arme, le moindre mouvement souple et habile me fait vibrer. Je m’élance en arrière, l’épée tranche l’air et je peux voir mon reflet un centième de seconde, je fais remonter un vague de terre se fissurant sous le mouvement arrondis, mon père l’éviter en bondissant dans les airs, plongeant sur moi, l’épée pointer sur ma tête. D’un claquement de mains, je fais remonter un millier de petites pierres qui partent comme des balles. Je touche mon père à plusieurs reprises mais son agilité est telle qu’il arrive à se déplacer jusqu’à moi sans que je puisse me défendre. L’épée se plante dans mon épaule, j’arrive à me retirer avant qu’il n’arrive à me trancher le bras. Le sang coule le long du membre pratiquement paralysé sous la douleur, des gouttes tombent de mes doigts s’écrasant sur le sol détruit.
L’Oracle jouit presque de sa position de spectateur. Je grimace sous la douleur me tenant l’épaule. Mon père se remet en position de guerrier, la tunique en lambeaux, toucher à plusieurs reprise sur les jambes et le dos. Je suis quelque part fier d’avoir réussi à lui tenir tête. Alors que mon père revient à la charge pour le coup de grâce maître Zenon arrive de nulle part et me protège.
C’est un coup de théâtre pour l’Oracle et pour nous une opportunité nouvelle. Le combat qui suivit fut si impressionnant que nous étions tous concentré. Il n’y avait pas à dire, maître Zenon était un maître d’arme. Mon père fut repoussé, l’Oracle soulève alors sa robe et replace ses gants en cuir.
C’est maintenant que tout se joue.
- Vous vous êtes bien battu amiral Mauran mais avec Zenon comme traître il vous faut de l’aide.
L’Oracle ferme les yeux un instant et tend les bras, des voix étrange et grave comme émergeant du sol profond s’élèvent. Je reste perplexe. Des signes rouges s’illuminent sur le sol peint en lettre de sang. Elles se lèvent autour de l’Oracle formant un cercle et tourbillonnant, brusquement une onde me projette contre un centenaire vingt mètres plus loin. Je n’ai rien sentit venir, la puissance et le poids qui me compressait la poitrine était telle que je ne pouvais plus respirer ni bouger, le fracas de mon corps contre les différents arbres me faisait hurler de douleurs. Je retombait bruyamment sur le sol ne pouvant plus bouger un seul de mes membres.
Mon père ne laisse rien transparaître mais je savais qu’il serrait les poings de rage. L’Oracle se battait à main nu contre maître Zenon et à chaque coup c’était une onde de plus, il ne tiendra pas longtemps. J’ouvrais les yeux difficilement, arriverais je à empêcher le massacre du meilleur ami de mon père ? Le sang giclait, le corps de maître Zenon était si mal mené par ce monstre que j’en grimaçais pour lui. Ma vision devenait trouble.
Maître Zenon tombe à terre, machiavéliquement l’Oracle ramasse l’épée, l’œil sadique du mal en personne, il pose son pied sur la tête de maître Zenon, l’épée pointer sur son crâne. Mes yeux s’écarquillent. Le temps se fige alors que l’épée siffle le vent, je sens mes membres trembler, ma voix se briser dans un murmure inaudible. Pas ça…
Une onde sismique déséquilibre l’Oracle qui arrête la course de l’épée et regarde en ma direction. Mon bandeau s’est décomposé sous la puissance de mon aura destructrice, je n’ai plus qu’un idée en tête. L’anéantir.
J’ouvre les yeux, le visage de l’Oracle se fige dans la douleur, il entrouvre les lèvres, ses pupilles se rétractent, les mains portées autour de sa tête sans me quitter des yeux quand brusquement il cri à gorge déployé, effrayé, il semble souffrir le martyre et ne peux pas rompre le contacte. Mes forces s’épuisent considérablement, le souffle commence à me manquer et malgré moi je rompt le contact visuel pour me laisser tomber à terre.
- Ahh je…je…, tente de dire l’Oracle accroupi, quelle horreur….une…une vision….une illusion…
Je l’entends se relever, mes yeux se ferment. Mon énergie me quitte je ne peux même pas rester conscient. Tout s’éteint. Tout est noir.
Le réveil. En sueur, le cœur affolé je tente de reprendre mes esprits. La nuit est tombée depuis longtemps, j’entends le souffle des deux Evêques qui nous réchauffent à la chaleur de leur plumage. Je pose une main tremblante sur ma poitrine, ce n’était qu’un rêve très réaliste. Les souvenirs s’étaient éveillés si soudainement, le combat avait été réellement inégale, j’avais affronté pour la première fois l’Oracle et sa force est au-delà de tout ce que j’avais imaginé. Je ne dis pas, Lillyan possède un pouvoir incommensurable, j’ai moi aussi quelques atouts mais je ne pense pas que nous représentons réellement un danger pour lui. Soit ils divaguent tous, soit nous nous sommes trompés sur toute la ligne.
Encore plus étrange, lorsque l’Oracle s’est mit à hurler, j’avais cette sensation de lui faire du mal rien quand le regardant, son visage déformé par la douleur me donne encore froid dans le dos et je suis étrangement persuadé que j’y suis pour quelque chose. Ce qui me terrorise le plus c’est que je ne sais pas comment j’ai pu déclenché une telle attaque, ne pas avoir le contrôle sur son corps est une perspective qui m’effraie. Me suis-je fais dominer par l’esprit de mon pouvoir ? Tout comme Lillyan il y a six ans ?
Des frissons me parcours l’échine, tout me ressassant le visage de l’Oracle alors que je prenais un malin plaisir à le faire crier, je ramène mes jambes contre mon torse. L’absence de chaleur aux côtés de Lillyan a dut le réveiller, je l’entends gigoter et ouvrir peu à peu les yeux. Ses prunelles brillantes me scrutent avec étonnement, il se redresse et baille bruyamment.
- Ca ne va pas ?
- Je suis pas habitué à dormir au milieu de la forêt. Mentais je
- Bizarre pour un Fossoyeur de Terre, tu es censé être en harmonie avec la nature, dit il en se moquant de moi.
- Je suis pas comme les autres faut croire.
- C’est sûr. Dis moi plutôt la vérité ça sera plus simple.
Comme toujours il savait lire en moi. Nous avons quand même vécu dix huit ans ensemble, pratiquement collé, comme deux frères, deux parties d’un tout. Je ne pouvais rien lui cacher et ce même si je n’avais pas envie de lui révéler mes angoisses. Cette sensation étrange qui avait pris possession de moi, j’étais tout à fait conscient, aucune force n’avait troublé ma raison. Tout s’est fait naturellement.
- Lorsque tu …étais possédé par ton pouvoir il y a six ans. Tu avais conscience de tes attaques ? Je veux dire, avais tu l’impression d’être maître de toi-même et en même temps de ne pas comprendre pourquoi tu faisais ça ?
- Et bien…Sur le coup non je n’étais pas conscient, je n’ai de souvenirs qu’après. Puis sa défile comme un criminel qui a une double personnalité.
Tout en me racontant ses sensations je sentais Lillyan être de plus en plus en plus mal à l’aise.
- C’est ça qui te tracasse en plein milieu de la nuit ?
- A vrai dire…Je crois avoir été dominé par mon pouvoir hier.
- Comment ça ?
- Tu sais j’ai combattu l’Oracle il y a trois jours, je ne t’ai dis comment je lui avais tenu tête, sûrement parce que j’étais encore sous le choc, peut être aussi encore un peu sonné. En fait il s’est produit quelque chose d’étrange, l’Oracle s’apprêtait à achever ton père et je ne sais pas comment mais j’ai réussi à l’arrêter. Il s’est mis à hurler en tenant son crâne, s’était effrayant, le cri était si épouvantable. Je n’arrivais pas à le quitter des yeux, comme si se simple contact visuel le faisait souffrir. Le pire c’est que…j’étais tout à fait conscient contrairement à toi.
Il cligne d’abord plusieurs des yeux avant de s’approcher un peu plus, il me fixe d’une étrange façon puis se met à sourire.
- Je ne sais pas…Tu pouvais t’arrêter ? Tu aurais put t’arrêter ?
- Je ne crois pas. C’était naturel, inéluctable.
- Je ne peux rien te dire Shin, juste que tu dois voir ça comme une bénédiction ! Après tout tu as sauvé mon père, tu ne l’as pas utilisé pour nuire à tes personnes qui te sont cher. C’est peut être une nouvelle facette de ton pouvoir qui t’apparaît peu à peu. Soit patient, nous irons voir les habitants de Maru et nous leur en parlerons ils en savent peut être plus.
- Non !
- Comment ça non ?
- Non c’est hors de question que quelqu’un d’autre soit au courant ! Je refuse cette saloperie ! Avoir un pouvoir qui est destiné à juste faire souffrir les autres me répugne. Je ne veux pas. Je ferai en sorte de ne jamais m’en servir.
- Mais Shin…
- N’insiste pas.
Je me couche alors encore troublé, Lillyan me regarde inquiet avant de s’allonger contre moi et de me serrer contre lui. J’entoure son corps de mes bras, le soulagement de sentir sa chaleur si proche chasse toutes mes mauvaises pensées.
Il fait jour mais je ne sens pas la chaleur des rayons de soleil, les Evêques piaillent derrière nous comme si ils se disputaient, je me redresse douloureusement du sol dur malgré le petit tas d’herbes et de feuilles. Lillyan dort paisiblement ne s’occupant absolument pas de ce qui l’entoure, le bruit d’un claquement de bec me fait sursauter. Il semblerait que Gahila ne soit pas contente. Je me frotte les yeux plusieurs fois avant de me lever définitivement. Je n’ai même pas pris d’habit de rechange c’est super. On va sentir le foin pendant je ne sais combien de jour, à la limite on peut laver nos habits près du lac.
Je ramasse mes effets d’agorien, je regarde les épaulières où le signes fier et arrogant de notre cité est cousu, je l’arrache sans hésitation et le jette au milieu de la forêt.
Tout en baillant je me dirige jusqu’au lac où je jette mes habits sans plus d’attention, je les trempe et frotte les quelques tâches de sang du combat. Mon épaule gauche me fait encore mal mais elle est bien bandé je vais récupérer au fur et à mesure. Je grimace tout de même de douleur à chaque mouvement trop brusque, mon père n’y est pas aller de main morte j’ai bien cru qu’il allait me trancher le bras.
- SHIIIIIINNNN !!!
Ce hurlement ne me rassures pas du tout. A peine me suis-je retourné que Lillyan me saute dessus, totalement nu, un sourire béat sur le visage. Nous tombons dans l’eau au milieu de mes fringues.
L’eau est si froide que je m’agite dans tous les sens jusqu’à que les lèvres douces de Lillyan s’apparent des miennes, le temps s’arrêtent un instant, ses cheveux flottant dans l’eau comme si tout allait au ralentit me fait rougir. Il me semble que ce baiser aurait put durer une éternité.
Nous nous redressons pour reprendre notre souffle, mouillé de la tête au pied je n’arrive même pas à engueuler Lillyan tellement je suis encore sous le charme de la scène qui vient de se produire.
- Tu laves tes habits ? Il me demande
- Hum..Au fait…POURQUOI T’ES A POIL !!!!?
Il sursaute et se tortille dans tous les sens.
- Ca te fait pas plaisir ?
- Ca n’a rien avoir…, dis je on boudant rouge de honte
- Ca t’as fait plaisir avoues !!!!
Je m’enfuis en courant, Lillyan derrière moi les bras grand ouvert, les lèvres tendus, une vision assez flippante mais plutôt amusante. Une journée qui s’annonce riche en bonne humeur.
- Tu disais ? Il me demande déprimé
- Je pouvais pas prévoir la pluie tu vois !
- J’aime pas la pluie…
Paradoxalement moi j’adorais les temps de pluie, peut être que la pluie est le source de la vie pour la forêt, la terre, la végétation. Peut être que pour moi aussi quelque part. Les nuages noirs menaçant faisait frémir Lillyan qui n’avait même pas eut le temps de sécher, je ne parle même pas de mes habits. Heureusement qu’on a put allumer un feu au moins pour se réchauffer, avec mes pouvoirs j’ai pu nous construire une sorte d’abri. Lillyan devient songeur. Je m’approche pour le prendre dans mes bras et nous réchauffer à la chaleur naturelle.
- Quand il pleuvait ma mère allumait toujours la cheminé, je passais des heures à regarder les flammes danser. On dit que le feu est le pouvoir de base des ténèbres pourtant le feu est une source de chaleur et de lumière plus intense que n’importe quelle autre source.
Il se niche dans mon cou et me caresse les cheveux.
- Mes parents me manquent mine de rien.
- On va bientôt les rejoindre à Maru t’en fais pas.
Il approuve avant de s’endormir contre moi, surement un épuisement morale, un épuisement émotionnel. Sa vie avait basculé en l’espace d’une semaine.
Je me suis réveillé brusquement dans la nuit, je m’étais assoupi sans m’en rendre quand une odeur épouvantable m’a sortit de mon sommeil. Plus je prenais conscience de la réalité plus j’entendais le bruit des animaux affolés. Je ne comprenais pas tellement ce qui se passait mais le bruit assourdissant de Gahila et Anemos qui s’agitaient me faisait tourner la tête.
Brusquement j’ai senti des vibrations en provenance de l’Ouest. Des pas, beaucoup de pas. Je dirais une dizaine d’hommes, je peux même sentir des armes effleurés le sol.
- Merde…Lillyan ! Lillyan réveille toi !
Gahila vint me frotter le visage avec son bec, elle m’écarte de l’abri d’un coup d’aile et hurle dans les oreilles de Lillyan qui sursaute de terreur.
- Quoi ?! Quoi ?! Gahila ? Qu’est-ce qui se passe ? … Des chasseurs ? Des chasseurs de primes ?
Le silence revient, je tente à nouveau de me concentrer sur les pas avec un peu de chance je pourrai savoir d’où viennent ces chasseurs de primes et ce qu’ils cherchent.
- Shin ! Il faut partir ! Immédiatement !
- Pourquoi ?
- Je t’expliquerais en vol !
Sans plus attendre je grimpe sur le dos de Gahila et Lillyan accourt jusqu’à Anemos, d’un coup de patte nos partons dans les aires, la pluie continuait de battre sur nos visage et quelques éclairs illuminaient le ciel. Le vent glaçait l’eau qui ruisselait sur mon visage, mon bandeau était trempés, mes cheveux détachés collaient à ma peau.
J’étais cependant encore un peu dans la Lune, je fixais le dos de Lillyan qui s’agrippait sur le plumage de Anemos, nous étions en route vers l’Est, nous nous approchions de la population.
- Qu’est-ce que c’était ?
- Des mercenaires ! Envoyés par l’Oracle ! Ils me cherchent. S’ils apprennent que tu es toujours en vie, nos parents seront en danger.
Peut être que l’Oracle sait que je suis toujours en vie. Je pense même qu’il me voit d’ici, comme si nous étions dans sa paume, de simples et vulgaires jouets.
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Désolé du retard pour cette petite histoire !
Beaucoup moins populaires que les autres mais elle reste néanmoins chère à mon coeur parce que j'adore les histoires fantastiques hi
Petit résumé ! Shinrei possède un pouvoir bien particulier en plus de celui de la terre, le pouvoir de créer des illusion d'horreur dans l'esprit des gens ! Au point de les rendre fou ! Si ca affecte l'Oracle alors c'est un pouvoir très puissant. Pourquoi a-t-il ce pouvoir ?
Vous le découvrirez bientôt si vous continuez de lire :p
Gros bisous à toute
PS : Prochaine Maj sur La dernière fois avant la prochaine ! =) en cours d'élaboration avec une spéciale guest hihi
OUAAAAAAAAAAAh ma CAMO !!!
Ouais moi aussi j'adore cette histoire ! j'aime trop l'écrire et j'ai l'impression de suivre l'intrigue comme vous même si c'est un peu plus difficile quand c'est en co-prod xD
MAIS J'ADORE TON COMMENTAIRE ! MERCI
BISOUS MA CAMO
Bonsoir^_^ Ca m'a fait super plaisir de lire cette suite!! Juste avant les partiels ça me fait du bien^_^ Je trouve que l'histoire prend vraiment tournure là, il se passe plein de choses intéressantes! Bisous!
merci beaucoup !
Moi ca me fait super plaisir de lire tes commentaires et je suis heureuse qu'elle te plaise ^^
coucouuuuu ! Bouh, ça fait un bail que j'ai pas laissé de commentaire sur ton blog...Honte à moi. Mais toujours est-il que moi, j'adore cette histoire ! L'est top ! J'ai hâte de voir comment ça va se passer dans la cité de Maru, et si Shin va accepter d'utiliser son pouvoir à l'avenir, et aussi, j'avoue que j'minquiète un peu pour les parents de Lillyan et de Shinrei, ça me paraît vachement risqué de rester à Agora alors que y'a l'autre espèce d'allumé de la tête qui est encore au pouvoir...Enfin bon, super maj, comme d'habitude :D
Gros bisouuuuuus Danny !