World-and-Yaoi
Je pose le dernier carton dans ce qui sera mon appartement.
- J’ai jamais porté un carton aussi lourd !! Se plaint Colgate, qu’est-ce que t’as foutu dedans ?
- Des bouquins.
- J’arrive pas à croire que t’es autant de peluches, s’étonne Link en caressant un gros nounours.
- Touches pas à ça ! Et puis d’abord, t’étais pas censé être en tournée européenne ? Dis-je en ouvrant un premier carton.
- C’est vrai, dit-il naturellement.
Il y a des jours comme ça on ne peut pas comprendre Link, sa réponse était si naturelle qu’elle paraissait évidente
et pourtant n’avait aucune logique. Il me fatigue.
Ce que je déteste le plus dans un déménagement, c’est ranger les cartons, je crois que c’est la phase la plus
chiante. Je me redresse et regarde autour de moi. J’avais trouvé cet appartement grâce à un collègue à la fac, il savait que je cherchais un appartement et m’a conseillé son ancien domicile,
proche de la faculté, pas loin du métro. C’était l’idéal pour moi qui me perdais tout le temps, on dit que les hommes ont le sens de l’orientation … j’ai dû sauter une étape de fabrication,
moi.
- Salut à tous !!!! Hurle Yan en arrivant avec une plante verte dans les mains.
- Salut, répond amicalement Colgate en rangeant les affaires de cuisines.
- Qui a laissé rentrer cette folle ? Demande Link en regardant autour de lui.
Etrangement, Link était le seul après moi à ne pas aimer Yan lorsqu’il débarquait comme une fleur. Malheureusement,
même si je me ligue avec mon cousin pour le décourager, il prend tout avec le sourire. Ce mec est un démon. Il me tend la plante verte que je pose près de la grande baie vitrée dans la cuisine,
je touche les feuilles avec délicatesse, Yan connait très bien mes goûts et il sait que j’ai toujours aimé les plantes. Il est sans doute le seul à me connaître autant. Cette couleur verdoyante,
cette vie qui ne dépend que de moi, c’est cette sensation qui me fait tant aimer les plantes. La sensation que quelque chose a vraiment besoin de moi. Perdu dans mes pensées, ce fut la main d’Ely
qui me réanima.
Depuis un mois, je suis assez distant avec elle, avec tout le monde sans doute et même Colgate me trouve étrange
puisque je ne l’embête plus sur son sourire niais, sur sa façon d’être, il me demande sans cesse si je vais bien. Mais que puis-je leur répondre ? A mes yeux, tout va bien, même si je sens que
quelque chose en moi a changé. Je ne peux pas expliquer mon comportement. Lentement, je pose la mienne sur ses doigts frêles, je sens sa bague en or, ses ongles vernis, ma sœur est si fragile et
la voir s’inquiéter pour moi m’énerve, elle ferait mieux de s’occuper d’elle un peu ! Sa gentillesse la perdra… Je me retourne et lui offre un sourire crispé. Depuis un mois, je ne suis que
l’ombre de moi-même, j’espère seulement que ce malaise passera avec le temps, en vivant par mes propres moyens. Loin de lui.
- Bon, tu paies ton café, Nolan ? S’extasie Link devant ma machine à espresso.
- J’ai pas encore fait les courses, désolé, dis-je en rangeant les livres dans la bibliothèque.
- Bon, bah allons-y ! S’écrie Link en me tirant par le bras.
J’ai même pas eu le temps de lui répondre qu’il m’embarque déjà hors de l’appartement. Je tente de protester mais
peine perdue, heureusement que je suis juste au premier étage, j’ai failli tomber au moins trois fois dans les escaliers, tiré de force. Je tente de stopper Link mais ses jambes ne s’arrêtent
pas, un grand sourire sur les lèvres, il avance avec joie, dans la rue alors que tous les passants nous prennent pour des fous. Pourquoi ce garçon n’a-t-il pas de veste par un temps pareil ? Il a
perdu l’esprit ? Si seulement j’avais pu madame…Si seulement.
- Mais t’es pas bien, ma parole ! Je crie en me dégageant.
- J’ai envie d’un café moi, me dit Link en faisant la moue.
Je soupire las, je n’ai pas envie de lui crier dessus maintenant. Je lui vole donc son manteau beaucoup trop grand
pour moi, il se retrouve en pull à col roulé mais ça n’a pas l’air de le gêner. Je remonte la fermeture et prend la route du centre commercial à quelque pas de chez moi.
Link allume une cigarette, il ne sourit plus comme un enfant et semble, au contraire, devenir très sérieux, il me
regarde du coin de l’œil, accusateur, je me sens jugé, ce qui est très désagréable, et pourtant je ne dis rien.
- Il n’est toujours pas revenu ? Il me demande.
Mes yeux s’écarquillent, mon cœur fait un bond, mon visage s’assombrit lentement.
- Non, toujours pas.
Nous arrivons enfin devant le centre. Au supermarché, je vais chercher un caddie pendant qu’il regarde dans le rayon
musique. Je m’approche et remarque une immense partie consacrée au nouvel album des « Harassual » avec, en couverture, le profil de Link en plein concert la lumière derrière lui,
jaillissant de part et d’autre de son visage noir dans l’ombre, l’écart de ses lèvres proche du micro nous donne déjà des frissons : une couverture magnifique. Les images du concert me
reviennent, il y a un mois de cela, sa musique So Cold m’avait marqué, cette guitare dans ces mots m’avait littéralement envoûtée. Il avait un don, c’était indiscutable.
Il fixait son album avec une certaine concentration, je crois rêver lorsque je le vois froncer des sourcils, agacé par je ne sais quoi.
- Je déteste voir mes albums, je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois, c’est la même colère qui m’habite
soudainement, dit-il comme s’il se parlait à lui-même, pourtant je devrais être content d’être célèbre seulement…Je n’y arrive pas. Je n’arrive pas à être fier de moi…
- Je suis fier de toi moi, dis-je instinctivement, peut être que pour toi, c’est pas important. Ça te soulagera sans doute pas mais sache que je suis fier de toi. Tu as réussi à trouver ta voie, tu n’es plus le Link solitaire qui en voulait à la terre entière, tu n’es plus le Link au bord du gouffre. Tu as changé et je suis fier de ce que tu es devenu.
Il reste figé quelques minutes, j’ai l’impression d’avoir trop parlé, ce n’est pas dans mon habitude d’être aussi
gentil, aussi expressif dans mes intentions. Quelque change mue en moi, quelque chose d’inconnu et d’effrayant.
- Tu devrais être gentil plus souvent Nolan, sourit Link, tu es mignon quand tu rougis.
Il se moque de moi ou quoi ? Bon ! On n’est pas là pour bavarder, je me racle la gorge et pars en direction du rayon
légumes, quelques fruits, de quoi faire une salade et puis hop ! Rayon suivant. Avec l’aide de Link, nous sommes rentrés seulement une heure après, les bras couvert de sacs de mille kilos.
D’accord, je suis peut être une petite nature mais Link est pire que moi, il traîne des pieds en se plaignant pour que je porte un sac de plus.
- C’est déjà le troisième, tu rêves, je suis pas un mulet, je dis en continuant sans me soucier de ses
gémissements.
- Mais c’est trop duuuuuur.
J’avais l’impression d’être avec un gamin de huit ans, manquait plus qu’il se mette à pleurer en appelant sa mère,
ce qui aurait été comique… Pour être franc, j’avais vraiment peur qu’il le fasse. Un étage plus haut, Link s’étale sur mon canapé comme un mourant, agonisant. Colgate vint m’aider à porter les
sacs pendant que Yan rangeait le reste de mes bouquins. Ely avait accroché un gros panneau « INTERDIT DE RENTRER » devant le petit couloir qui conduisait à ma chambre et la salle de
bain. La zone est apparemment en plein nettoyage et lorsque ma sœur se met à nettoyer, vaut mieux ne pas être dans ses pieds : elle se transforme en véritable Terminator.
La journée est passée très vite. Mon appartement n’était pas encore le nid douillet que je pouvais imaginer mais
tout le monde m’a beaucoup aidé et Link a insisté pour fêter ça dignement. Ma sœur, évidemment, à suivi le chemin aussi contente que lui que de boire des litres d’alcool, Yan jubilait rien qu’à
l’idée de pouvoir rester encore auprès de moi, il se frottait presque comme un chat.
- Je rêve ou tu ronronnes !!! Je m’exclame en m’écartant.
Il me fait un grand sourire avant de simuler un « miaou » que j’étais le seul à pouvoir entendre. Il
valait mieux, pour moi, ne pas boire ce soir. Tom est aussi resté, un boulet de plus ! Finalement, ma pendaison crémaillère me semblait beaucoup moins festive, je serai le seul à ne pas
m’écrouler par terre pour ramasser les autres tout en approvisionnant cette bande d’ivrogne. Aussi enthousiaste qu’un gamin, Link a sorti de je ne sais où des bouteilles de saké, vodka, whisky et
différentes autres boissons non alcoolisées pour mélanger le tout. Je deviens blanc comme un linge rien qu’à la vue des bouteilles sur la table. Les regards lubriques de ma sœur et de Link me
font peur.
Les deux premières heures étaient sympas, Yan a fait cuire des pizzas, Colgate tentait de calmer sa femme sur les
verres qu’elle engloutissait, Link restait frais, alternant cigarettes et verres. Argh, la gerbe ! J’avais même pas encore bu un verre et j’avais déjà envie de vomir. Yan avait décidé de ne pas
boire non plus, il avait sa voiture : ce qui était agaçant chez Yan, c’est qu’il avait tout pour lui ! La beauté, il savait cuisiner, il était drôle, bienveillant, sérieux, non fumeur, non
buveur, pas fêtard, jaloux comme il faut, compréhensif, attentif et attentionné ET POURTANT il manquait quelque chose d’essentiel. C’est peut être cette perfection irréelle qui ne me plaisait
pas.
- Je vous présente le CERCUEIL ! S’emballe Link.
Il me tend une boisson si foncée que j’en ai des frissons d’inquiétude. Qu’a-t-il foutu dans ce verre ? Il semblait
fier de lui, les joues un peu rosées, ma sœur était déjà trop euphorique et Tom en était encore à son premier verre, raisonnable en toute situation.
- C’est quoi cette expérience chimiquement dangereuse ? Demande Tom.
- Je dirais même que c’est radioactif, je dis à mon tour.
- C’est un cercueil, un mélange de plein d’alcools avec du coca, dit-il un grand sourire sur les lèvres.
- Très peu pour moi.
Je sors immédiatement de la table pour aller surveiller les pizzas. Quelle soirée, je vous jure.
Au final, tout le monde était raide à la fin la soirée, trois heures du matin, et j’avais l’impression d’être sur un champ de bataille. C’est pas très drôle d’être le seul sobre, je me sens vraiment seul. Yan était encore assez frais pour conduire, il m’a juré d’emmener tout le monde chez soi sain et sauf, j’espérais seulement que Link ne vomirait pas sur la banquette. Il chantait, soutenu par Yan qui l’aidait à descendre les escaliers, Ely semblait au bord du coma éthylique mais elle continuait de rire pour un rien. Colgate, à moitié présent, tanguait juste un peu et m’avait aidé à porter ma sœur jusqu’en bas malheureusement, il a raté une marche et est tombé comme une merde jusqu’en bas des escaliers ; Yan est arrivé en courant pour constater qu’en fait il s’est endormi. Ma sœur est finalement couchée sur la banquette arrière dans les bras de son mari endormi, Link une cigarette dans la bouche plus énergique que jamais. Je souhaitais une bonne nuit à Yan tout en regardant partir la voiture dans les lumières de la nuit.
J’ai regardé le ciel, fatigué, c’est tout de même une belle nuit. Soudainement, une chose froide vint s’écraser sur
mon nez, puis deux, puis trois, puis un milliers de petits flocons blancs qui tombaient sur la ville : la neige. D’abord, je suis resté stoïque puis un sourire béat s’est étiré sur mes lèvres et
j’ai ri comme un enfant, la neige ! Il neigeait enfin, j’ai couru dans mon appartement pour attraper ma veste et mon écharpe. La première neige de décembre. J’ai marché dans les rues sans quitter
le ciel du regard, les nuages avaient une couleur rose à cause des lampadaires de la vie, c’était magnifique ! Une sensation de joie intense me submergeait. Noël n’était plus qu’à quelques
jours.
Les rares passants s’extasiaient face au spectacle, quelques enfants se collaient aux vitres de leur chambre pour regarder les flocons. Une ambiance, une musique, c’était une période si attendue et si redoutée. L’approche des fêtes, des cadeaux, des familles heureuses. Allais-je fêter Noël seul à nouveau ? Peu importe, car il neige ce soir. Petit à petit, un film minuscule englobe la ville. Totalement hypnotisé, je ne regarde même plus où je mets les pieds et je me cogne contre un passant, assez violemment puisqu’il s’écrase par terre dans un gémissement de douleur.
- Je suis désolé ! Je m’exclame en lui tendant ma main pour le relever.
Je crois faire une crise cardiaque lorsque je croise le regard électrisant d’un vert émeraude reflétant autant de
surprise que de crainte. Pas un mot, pas un mouvement, aucun de nous deux ne sait quoi faire ou que dire. La situation est si…inattendue. Voilà un mois je ne l’avais plus vu, un mois qu’il avait
disparu de ma vie, un mois que je ruminais contre lui ! Contre ce qu’il pense de moi ! Un mois que je tentais d’oublier ce regard.
Il portait une doudoune déchirée sur les manches, des chaussures sales et mouillées, ses lèvres étaient violacées
par le froid et ses cheveux étaient encore humides. Que faisait-il dehors à trois heures du matin ?
Brusquement, il se relève et se frotte les fesses pour enlever les trois flocons, il cache son visage derrière son bonnet mais ne bouge pas. Je penche un peu la tête, il ne s’enfuit pas cette fois. C’est donc moi qui le contourne, je passe à côtés de lui sans dire quoi que ce soit, honteux d’avoir un comportement aussi puérile, honteux d’être obligé de baisser les yeux pour faire comme s’il n’était pas là, honteux de sentir mon cœur se déchirer à chaque pas que je fais pour m’éloigner de lui.
Je décide de m’arrêter, je n’y arrive pas, je n’arrive pas à m’enfuir. Je finis par me retourner, Zach est resté
immobile, au milieu de la neige, les mains tremblantes, le épaules baissées, son corps entier semble s’écraser. Ne sachant pas trop comment réagir, je m’approche donc et le frappe sur la tête
d’une claque innocente.
- Suis-moi, dis-je sans plus de formalité.
Je n’ai même pas eu besoin de l’attendre, quelques secondes après, je l’entendais me suivre pas à pas jusqu’à mon
nouvel appartement. J’ai ouvert la porte et je suis rentré en soufflant sur mes mains. Il ferme la porte derrière lui sans un mot, je le fixe encore plus intrigué. J’ai peur, peur qu’il lui soit
arrivé quelque chose, je sens qu’il ne va pas bien mais je ne peux pas me résoudre à être aussi « gentil », aussi « proche » qu’avant. Par fierté, par rancune. Je prépare un
grand chocolat chaud et le pose sur la table.
- C’est pour toi, dis-je pour lui faire comprendre.
Une machine. Il s’approche du chocolat et colle ses mains autour en respirant la bonne odeur qui s’en dégage. Un
sourire s’étire sur son visage, un sourire déformé par la douleur car très vite une larme roule sur sa joue. Sans plus attendre, il cache son visage dans son bonnet et pleure silencieusement. Pas
un mouvement, pas un geste. Je m’assois en face de lui et j’attends que ses larmes réchauffent ses joues.
- Merci, il murmure entre deux sanglots.
- Je ne te laisserai pas partir tant que tu ne m’auras pas dit pourquoi je t’ai trouvé dans cet état par un froid pareil, je dis en buvant une première gorgée.
- Je… les mots ne sortaient pas, je…
Les blessures étaient trop vives, l’émotion trop forte, il n’arrive pas à aligner un mot après l’autre. J’ai apporté
une serviette et un gant de toilette.
- Va prendre une douche, ça va te réchauffer. Si tu en as envie, tu peux dormir ici cette nuit.
Sans vraiment comprendre pourquoi ni comment, j’ai posé des draps et une couverture sur le canapé, je l’ai déplié en
lit et je l’ai préparé pendant que discrètement il était parti prendre sa douche.
Que s’est-il passé ?
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Ah je vois d'ici vos sourires élargis ! XD et oui enfin...seuls...tous les deux...dans un appartement....humm
bande de coquine !
Je remercie toutes les filles qui me laissent plein de commentaires ! Je vous aime et j'adore votre imagination débordante !! ^^
Zach va-t-il dire quoi que ce soit à Nolan ?
Bisous
Merci les filles pour le chapitre ...
oula je te sens nerveuse ca va ? XD
oui j'avoue que ca me fout la rage à moi aussi ainsi qu'à lilly mais nous ne pouvons pas nous laisser emporter XD
ah salut ^^ bah merci beaucou mathilde j'espère ne pas te décevoir pour les prochains chapitre
bisous
bah y a pas de problème je manque souvent d'idée va LOL ^^
Sanzo s'est bien fait violer par son père mais étant donner que c'était sans son consentement (sinon ca serai pas un viol) et bien il estime qu'il est toujours puceau tu vois ? C'est
psychologique mais même la virginité d'un homme en générale c'est psychologique parce qu'il n'y a rien sur lui qui peut démontrer qu'il n'est plus vierge. Enfin bref passons sur les détails
scientifiques lol
Je comprends ce que tu veux dire ^^ je suis contente que cette histoire te plaise autant et puis tu sais Nolan est pas si méchant (enfin...)
Zach sera peut être plus virulent que lui dans la suite LOL
^^
c'est fou comme d'un point de vue à un autre tout change lol
Et oui je fais des histoires avec en moyenne 20 chapitre mais celle là en aura 42 c'est sûre XD donc le double
Pour WSH je continuerai à la fin de Brises moi les doigts mais t'en fais pas elle est pas encore finit même si j'écris plus trop dessus lol
^^
Merci pour ton commentaire dap bisous
Il est béat le sourire, oui!!lol
Mais enfin Zach va avoir quelqu'un qui va l'écouter et qui l'apprécie à sa juste valeur!
C'est dégueulasse la façon dont Christelle en Alan ont réagi..faut les brûler les gens comme ça!! (non non, je vous jure, je suis très équilibrée mentalement, pourquoi donc??!mdr)
merciiii
Heureusement que Nolan est là!
gros bizouxxx
Que vous êtes vilaines ! Vous dites ça parce que vous connaissez la vérité mais faut pas blamer Christelle et Allan ! On aurait toutes fait pareil bande d'hypocrites LOL
Bisous
aaah oui tu crois ?? J'espère pas ^^ j'espère que les fans vont s'accrocher ! Vous sentez pas obliger de continuer si à un moment donner ca vous fait chier mais pour lilly et moi c'était logique
que ca se finisse aussi loin LOL
ok j'irai fair eun tour pas de problème et je te dirai ce que j'en pense mais en ce moment j'ai beaucoup de boulot pour la fac ^^ j'essayerai jeudi mais je te promet rien
Et non je ne te dirai pas ce qui va se passer entre Jen et Gwen ca serai trop gentil de ma part et trop con pour toi car sinon tu connais la fin et c'est pas cool !
bisous
dis ca à lilly c'est elle qui écrit le chapitre suivant lol
Merci pour ce nouveau chapitre et bon courage pour la suite !!
Bisous