World-and-Yaoi
L'animal avait un regard pénétrant, les jambes hésitantes j'étais toujours aussi effrayé et impressionné face au puissant mustang. Ses yeux si grand,
si noir, si clairvoyant j'avais l'impression qu'il pouvait sonder mon âme d'une manière si aisante que j'en étais paralysé.
" Tu me regardes enfin. "
Son souffle chaud et ses secousses brusque de la tête. Je m'approche toujours avec appréhension, avec crainte, je
tends une main fébrile déglutissant la gorge serrée. Le temps s'arrête, le monde qui nous entoure n'est qu'un décor facultatif, il n'y a que moi et lui au milieu d'un champs de hautes herbes. La
chanson mélodieuse du vent qui chatouille son poil et qui me caresse les cheveux.
" Tu trembles toujours autant..."
Une pression étrange m'appuie sur la poitrine, je m'arrête, définitivement relié à ses prunelles, je reste
débout sans rien dire devant la bête majestueuse. Il m'accuse, me condamne, il me fait ressentir toute cette culpabilité, tout ce dégoût que j'ai à l'égard de moi même. Il lit en moi et me
méprise, aussi muet soit il, j'entends sa voix distinctement dans mon esprit me murmurer la vérité.
" De quoi as tu peur ? Je ne suis qu'un cheval..."
Tu n'es qu'un animal. Un simple cheval mais tu me fais l'effet d'un Dieu. Un Dieu qui me regarde de haut et
qui connaît la moindre de mes pensées secrètes. Le reflet d'une conscience lourde, le résultat d'illusion, de mensonge, le résultat de frustration, de désire inavouée. De réalité
voilée.
" Je n'ai pourtant aucune volonté propre...Je ne suis qu'un cheval."
Non tu n'es pas qu'un cheval.
- Ca va Jen' ? Hurle mon petit frère sur Kala
- Hein ? Oui oui !
- On ne dirait pas, se moque Costia sur un pur sang arabe plus loin
Ils sont tous déjà sur leurs chevaux, mon père ne dit rien. Il me fixe, spectateur et à la fois impatient. Il est le seul
qui comprend pourquoi je n'arrive pas à toucher ses bêtes. Il le seul qui les "entend". Le duel entre l'équidé et moi n'est pas terminé. Je prend une grande inspiration et avance d'un pas, le
bruissement de mes bottes sur la terre sèche, le grognement de cheval qui recule d'un pas, je ne détourne pas le regard. Je tends ma main jusqu'à son museau, il secoue un peu la tête, déterminé
j'avance avec plus d'assurance mais mon regard apeuré me trahis.
" Tu ne peux pas me toucher tant que tu n'auras pas compris..."
Comprendre quoi ? Je suis un incapable ? Je n'ai fais que faire souffrir tout le monde autour de moi, que je ne
mérite pas le pardon, ni même l'amour. Je l'ai compris. Je ne suis pas fais pour être heureux, je ne suis pas fais pour vivre comme les autres, je ne me vois pas de toute façon vivre comme tout
le monde. J'aimerai au moins essayer de m'affronter une bonne pour toute.
" Tu t'enfermes toi même dans la sanction que tu t'es donné."
Que veux tu que je fasse ? Je ne sais plus quoi faire...
" Sois franc avec toi même."
- Je crois que tu fais peur à ce pauvre mustang encore tout jeune, sourit Costia en s'approchant sur son cheval noir
- Dis à mon père de partir devant. Je vous rejoins au bord de l'étang plus tard.
Costia hoche des épaules et s'en va. Je fais signe à mon père que tout va bien, il ordonne à mon frère de le suivre et les trois
cavaliers s'enfoncent dans la petite forêt. Je m'assois à même le sol, épuisé, désespéré. J'ai raté quelque chose, il manque un élément. Je m'évade dans le ciel bleu et sans nuages, je m'égare au
milieu de la mer. Doucement je me couche, le bras derrière la tête, la jambe droite relevée. Je me détend, le mustang s'agite et vient se coucher à côté de moi, il souffle bruyamment
dans mes cheveux qui me retombent devant les yeux. J'arque un sourire et les remet en place. Il recommence.
- Hé ! Écartes toi si tu respires aussi fort !
Il grogne et tourne le gueule comme si il boudait.
- Susceptible en plus.
Je me replonge dans mon évasion, je rêvasse en repensant à tout ce qui s'est passé ce dernier mois. Un visage
continue de m'obséder à peine m'étais je couché que l'odeur de la paille et la vue d'un ciel bleu que ses traits se dessinaient dans mon esprit.
Je repense à Gwen, notre rencontre, sa façon de toucher mes cheveux et de me regarder. Son sourire si mélancolique
et tendre à la fois. Sa voix. Ses lèvres. Mes paupières se ferment, je soupire las, chaque fois que son visage me revient à l'esprit j'ai comme l'impression d'entendre mes sanglots au fond de
moi. Les yeux me piquent, j'expire profondément. Si seulement tout n'était pas si dur...Si seulement je pouvais le revoir encore une fois, le toucher encore une fois, l'aimer juste encore un
peu...Si seulement j'en avais le droit.
" Ouvres les yeux Jensen, tu en as toujours eu le droit "
Plus maintenant. Il m'a trop fait souffrir, il n'a même pas chercher à me retrouver et j'avoue que ce n'est pas plus mal.
Ça aurait rendu les choses trop difficile.
" Il manque pourtant toujours quelque chose..."
Il me manquera toujours autant quoi que je pense, quoi que j'espère...Il ne quittera jamais sa place. Un masochiste, voilà
ce que je suis, un grand masochiste.
Finalement je ne rejoins pas les autres, je suis resté toute la journée coucher sur le sol à moitié conscient ce qui
m'entoure je laisse mon imagination recadrer mon espace. J'en oublie le temps, les contraintes, la réalité. Le cheval n'a pas bougé non plus, calme, il s'est laissé aller à la paresse. Peut être
que quelque part il avait envie de rester à côtés de moi, peut être que quelque part je me sentais bien coucher si près de lui. Le coucher de soleil assombrit le ciel, un mélange de couleur
chaude, un bleu qui vire vert le mauve puis le rose. Une palette si belle qu'elle embaume les coeurs. Un sourire niais s'arque sur mon visage, une brise douce nous effleure et j'inspire lentement
cet air d'été. Gwen voulait il vraiment me faire souffrir ? D'accord il était marié ce n'est pas un détail qu'on oublie mais il ne semblait pas être très attaché à sa femme, il s'était
apparemment enfuit ... Il avait abandonné sa famille parce qu'il étouffait. Peut être parce qu'il avait découvert qu'il était gay. Avais je été trop dur ? Non ! C'était une réaction normale,
j'avais la réaction la plus normale qui soit...Je m'étais enfuis car j'avais honte, il m'avait menti. Qu'il m'aime ou non, il était marié, ce n'est pas quelque chose qu'on oublie de précisé, il
voulait simplement en profiter.
" ou éviter de te perdre..."
Ca ne faisait que quelques jours...Comment peut on être sûre ?
" Tu disais aussi l'aimer..."
Et je suis parti...C'est vrai, j'ai prétendu l'aimer mais à la moindre difficulté j'ai pris la porte. Je l'ai
laissé au libre courroux de sa femme, sans me retourner, sans crier ce que je ressentais pour le garder près de moi je suis parti...Décidément je ne fais jamais rien de bien.
" Ce qui est fait est fait."
Je me redresse et fixe le cheval qui relève le visage intrigué par mon mouvement brusque, nos
regards immobiles intrigué, insistant ne se quittent pas. Je parle avec un cheval quand même.
" Tu devrais consulter."
- Jen !!!!!! Hurle la voix de mon frère plus loin
Le cheval se redresse et secoue sa crinière, à mon tour je me lève et tapote mon pantalon sur mes fesses, je frotte mes mains avant de
recevoir l'assaut de Key. Il me saute littéralement dessus et s'accroche à mon cou avec force, je manque de tomber. Mes rires sont coupés par une toue grasse, la pression sur mes paumons m'a fait
immédiatement réagir. Je le dépose pour reprendre mon souffle. Key me regarde inquiet, une fois que j'ai finis de cracher mes poumons j'essuie les petites larmes au bord de mes yeux et ébouriffe
ses cheveux pour le rassurer.
- Avec papa et Costia on est allé jusqu'à l'étang ! Papa et Puck était trop fort !!
Puck, le grand équidé qu'a monté mon père aujourd'hui.
- Pourquoi t'es pas venu toi aussi ? Il me demande d'une moue triste
- Je crois que ce cheval stupide ne m'aime pas !
" Tu m'insultes de quoi là ? D'âne peut être ? "
- Il est très gentil Storm pourquoi tu dis ça ?
Key s'approche du cheval qui ronronne presque parce qu'il lui caresse le museau.
- Traître..
" C'est une vengeance pour l'insulte "
Je crois que je deviens réellement fou. Je m'approche et soulève Key pour le mettre sur mes épaules, dans les rires et l'enthousiasme
nous rejoignons pour père qui rentre Puck dans son box. Costia nous attendait sagement assis sur un banc. Nous rentrons à la maison dans la bonne humeur, ma mère avait préparé une tarte aux
abricots, je reste figé quelques instants repensant à Jude et Noah. C'était sa tarte préférée, je souris et me fait secouer par mon frère qui me sens partir dans mes souvenirs.
Je le prends par la main et nous nous asseyons autour de la table. Une part de tarte dans les mains et mon père buvant un grand café.
- J'ai un service à te demander papa, dis je alors
- Quoi ?
- J'aimerais que tu m'emmènes dans une ville un peu éloigné d'ici. Tu peux venir avec moi et Key aussi pourra venir. J'aimerai simplement revoir quelqu'un...
- Ce dimanche seulement alors.
- Merci, je murmure en regardant ma part de tarte
Key me sourit à pleine dent et se serre contre moi me demandant qui je voulais aller voir. Je lui explique que j'ai
rencontré un petit garçon de son âge quand je suis parti et que j'aimerai bien le revoir ainsi que sa maman. Peut être même que Key pourra devenir l'ami de Noah.
- Noah ?
- Un petit blond d'un peu près ton âge. Contrairement à toi il est très timide, il n'aime pas trop parler mais je suis sûre qu'avec toi il se sentira bien, je rassure mon frère
- Tu as trouvé un autre petit frère ? Dit il le visage au bord des sanglots
- Dis pas n'importe quoi ! Je ris en le faisant des chatouilles
- Key est jaloux, se moque Costia
- Il aime tellement son grand frère, dit ma mère
Le portable de Costia sonne, il s'excuse et sort de la cuisine. Je finis ma part de tarte et vais pour monter dans ma chambre
lorsque j'aperçois Costia assis sur les marches devant l'entrée, le visage dans les mains. Le dos secoué de spasmes. J'hésite, dois je aller le voir ? Il a sûrement besoin d'une épaule.
J'ouvre alors la porte, il ne réagit même pas au grincement du vieux bois. Je m'approche, pied nu jusqu'à lui et m'assoit à ses côtés. Je reste un moment à l'observer, les soubresauts ont
cessé et je ne l'entends même pas pleurer mais je sais très bien que quelque chose ne va pas. Fier il tente de cacher le plus possible qu'il au bord de la crise.
Sans un mot je m'approche alors avec la plus grande délicatesse, je l'incite à venir se réfugier dans mes bras et l'entoure
d'une étreinte amicale. Il ne résiste pas longtemps, très vite son corps entier se repose sur le mien, plaqué contre la barrière il se niche dans la chaleur humaine et craque.
- Je ne pleure pas devant les autres d'habitude, dit il faiblement
- Ça fait du bien parfois...
Il me serre un peu plus et couvre ses sanglots contre ma chemise.
- Merci...
Pour toute réponse je resserre mon étreinte nous restons là, silencieux, face à nuit tombante, le ciel devenant de plus en
plus sombre et les premières apparition des étoiles. Personne ne vient nous déranger mais j'ai déjà remarquer ma mère retenir mon frère de venir nous voir, je la remercie du regard nous
voulant en aucun cas obliger Costia à se retenir à reprendre le masque qu'il porte constamment. Ce masque si lourd qui me fait me sentir mal en sa présence ressentant toute la peine
qu'il cache, ressentant une gêne lorsqu'il me regarde. Je ne suis pas le seul à souffrir d'un amour fané, je ne suis pas le seul à dépérir lorsque je pense à celui que j'aime. Costia est
bien plus touché que moi, il est bien plus mal au point.
- Je...Un ami...
- Tu n'es pas obligé d'en parler, je lui murmure alors
- Un ami vient de mourir, il dit alors dans un souffle, un ami important...Il...Il était notre lien le plus solide...Il...Il a toujours été là pour nous...Je...Je n'arrive pas à croire
qu'il...qu'il est mort....Il était si...immortel à mes yeux...Si fort...Il ne pouvait pas mourir, tu comprends ? Il n'en avait pas le droit...Je...Je me sens...Tellement coupable...Tellement
inutile...J'aurai dut mourir ! C'est moi qui aurait dut mourir...Il...Il n'a rien demandé lui !
La voix de Costia tremble de plus en plus et je sens ses larmes chaudes ruisseler sur ses joues contre ma poitrine.
- Il ne pouvait pas...Il ne pouvait pas mourir...Pas lui...En partant il...Il emporte tout...Il était le file le plus solide...La première main tendu...En mourant il...En mourant
il emporte avec lui la stabilité...Il emporte avec lui...Nos coeurs.
Nous étions trois. Toujours trois, depuis que je connaissais Link nous n'avions jamais put nous rapprocher d'un autre, depuis que je connaissais Link personne ne nous comprenait. Il est
arrivé au milieu de nous deux. Le sourire sur les lèvres, le visage encore endormie, il venait surement de se lever...Il est arrivé et faisait partie intégralement de nous.
C'était notre lien, notre lien qui nous tenait présent dans la réalité et à la fois qui savait nous faire rêver...Ashley était si important. Il était l'élément qui manquait pour pouvoir
vivre comme les autres, la petite touche de sel qui donne du goût à chaque lendemain. Nous étions trois et j'ai tout gâché...J'aimais Link. Depuis le début, depuis toujours, je n'ai
jamais douté, je n'ai jamais pensé le contraire je l'aimais. Nous étions si proche, si lié que même Ashley ne pouvait pas s'immiscer dans ce monde d'amour étouffé...Pourtant il était le
premier à savoir, il avait tout compris. Depuis le début...Depuis toujours. Il nous connaissait mieux que personne.
Nous n'étions plus trois, nous étions deux. Ashley est parti trop touché, trop amoureux, il est parti loin de nous pour guérir. J'ai tout gâché...J'ai tué notre couple. Je voulais
partir, loin de Link....Il devenait fou, je devenais fou...Cet amour m'effrayait alors j'ai trouvé une excuse horrible pour le quitter...
J'ai quitté celui que j'aime par peur. Par égoïsme, j'avais trouvé une école de philosophie en France, il me fallait choisir et j'ai choisi...Je n'ai jamais réussi à
l'oublier. Après l'avoir quitté je ne voyais plus Link, j'ai cru d'abord qu'il m'évitait comme tout être normale. C'était une punition insuffisante. Mon père rendait souvent visite à la mère
de Link, j'avais l'impression qu'il me cachait quelque chose mais je n'ai rien put lui faire avouer. Deux mois après il me rend visite, j'ai reçu une gifle, ma véritable punition
c'était de voir que je l'avais détruit. Maigre, incroyablement maigre, le visage creusé, les yeux cernés...Je ne me suis jamais senti aussi détestable...J'avais qu'une
envie le supplier à genoux de me pardonner ! De me reprendre ! Je voulais le serrer dans mes bras, l'aimer comme avant...Mais il m'a coupé la parole. Il ne voulait plus me voir, il
mettait réellement fin à tout espoir...Il m'a dit qu'il m'aimait. Puis il est parti après un dernier baiser...
Ashley est venu me chercher en France. Il a réussi à me persuader de revenir pour mettre un terme à la folie qui nous animait autant l'un que l'autre...Je suis arrivé trop tard, un autre était
là...Moins indécis, plus expressif...Je ne faisais pas le poids. Je suis donc parti sans rien dire, leur souhaitant tout l'amour possible. Aujourd'hui j'aurai aimé oublier mon premier amour,
j'aurai aimé arrêter de penser à Link. J'aurai aimé rendre Ashley fier de moi...
- Tu crois qu'il est déçu ? Je crois au contraire que Ashley serai trop heureux...
- Au téléphone c'était l'autre garçon. Il m'a annoncé la mort de mon meilleur ami et la déchéance de celui que j'aime...Il m'a supplié de venir le voir, de l'aider à faire revivre Link qui se
laissait à nouveau aller...Il m'a supplié de venir le reprendre si ça pouvait rendre heureux Link ! Je...Je hais encore plus ce garçon car je serai incapable de dire une chose pareil !
- C'est pourtant ce que tu as fais...En laissant ta place à cet autre garçon tu as abandonner tes sentiments pour que Link soit heureux.
- Tu ne comprends pas ! Chaque jour je priais presque pour que ça ne marche pas entre eux ! Je priais presque pour que Link me revienne ! Je... Je peux pas vivre sans lui tu entends Jen' ! J'y
arrive pas...Je ne suis rien sans lui...Je n'ai plus ma place dans ce monde...
- Link a besoin de toi Costia...Oublie ce garçon, oublie ta jalousie. Il va mal c'est peut être le moment de racheter tes erreurs du passé tu ne crois pas ? Ou vas tu le laissé agonisé à nouveau
?
Costia s'est redressé, il a planté ses yeux bleus dans les miens, son visage humide, les larmes ne
cessaient de couler. Le temps s'arrêtait, je ne voyais que ces yeux noyer dans les larmes, sa bouche rosé et salée, ses cheveux noir qui contrastait avec sa peau laiteuse. Ses lèvres s'écartaient
légèrement pour pouvoir reprendre son souffle, je déglutissais m'attardant un peu trop sur ces deux parcelles de peau humide et tendre.
- Tu as raison Jen...Merci.
Il s'approche, m'attire par la cou et me dépose un baiser sur la joue. Le bruit de ses
lèvres tendrement dépose sur moi me fait frissonner.
- Rentrons.
J'acquiesce encore un peu chamboulé et le suis jusqu'à l'intérieur. Il essuie les larmes traîtresses et reprend un air tout à fait naturel.
- On mange du caca en barquette !! S'écrie en me fonçant dessus
- Des haricots vert Key ! S'énerve ma mère
- Du caca vert ! C'est pareil ! Boude mon frère
Je ris avec mon frère, je regarde Costia du coin de l'oeil. Il a reprit son masque, un sourire difficile mais un léger sourire trône sur son visage.
" Il ne faut jamais abandonner ceux qu'on aime..."
XD
ca me fait rire mais je vois pas de quoi tu parles en fait lol
et je suis bien heureuse de la tournure que prend l'histoire ainsi que celle de Costia, Link et Sanzo en parallèle. Je vaux dire Link et Costia sont destinés l'un à l'autre..
Merciiii
je suis impatiente de lire les prochains chapitres!
bisouxxx
Je crois que Link a besoin d'un peu repos lol ^^
En ce qui concerne Costia, j'espère seulement que ça veut pas dire qu'il va se remettre avec Link parrce que franchement ils en deviendrait fatiguants ces petit Bishonen !! u_u
aah d'accord
non mais j'ai eut peur pendant un moment XD
non mais t'en fais pas j'en ai pas finit avec Gwen ^^ il me reste encore un chapitre avec Jen et un bel épilogue :p
au fait, lepétage de plombs de Nolan, EXTTRAA!lol
mais c'est vrai que c'est pas sain qu'il garde tout en lui! Et de cette façon, en plus il fait bouger les choses! c'est bien Nolan vasy!
(etmerci!lol)
bizzzz
De rien ma puce =)
Mais oui c'est pas bon que Nolan garde pour lui et d'ailleurs vous verrez bien les conséquences :p
tu es très perspicace steph lol
Cey beauuuuuuuuuuuuuuuuuu °Q°
si tu savais... j'ai dû imaginer tout les mâle se faire Jen ! Key, Gwen (bon ça c'est fait xD), Noah (surtout quand il la pris a part dans le jardin o_o" ! -> "Jen' va craquer..." mais nan xD) Le vieillard a la peinture, pour finir avec l'étreinte sérré de son père. Bon, après je suis presque certaine que costia y passera =P.
mais qu'est ce que j'aime ces souffrance *w*".
la relation a venir avec Jen et Costia s'annonce difficile et douloureuse *___* un "je t'aime-moi non plus" du côté de notre héro ! sublime ='3
dans tout les cas, j'ai elus dommicile ici ! et j'attend avec une impatience non feinte la suite *_______*"" ♥
et puis Key est son frère ca aurait été dégueulasse...(dit elle en repensant à TTS) nan en fait ce qui me gène le plus c'est le fait qu'il est 8ans
incompatibilité lol
En ce qui concerne le vieux je veux même pas imaginer... XD
En tout cas j'adore ton commentaire ! Contente que cette histoire te plaise :p
bisous et merci
j'adore ce chapitre en sait enfin ce qu'a put resentir costia lorsque son ami et mort.
et oui ce n'est pas qu'un glaçon sans coeur ! Mon costia est très très introvertis c'est tout =)
Merde... Lol! J'avais pas fait le rapprochement entre Jensen et Jensen...
Pas futée!
entre Jensen et Jensen ??? XD
merci pour ce chapitre tout en douceur Danouch chérie