World-and-Yaoi

                   
             Le souffle fatale de l’immortel, sa bouche légère et sa peau gelé faisait battre mon cœur. Il déposa un tendre baiser sur mes lèvres rougis, il n’était ni précipité, ni passionnel, c’était un baiser plein d’intention, d’affection, un baiser chaste et divin. Délicieux et doux. Ses lèvres étaient d’un goût fruité, j’avais l’impression d’être caresser par une plume. Sa main glissait sur ma joue gardant ainsi mon visage contre le sien puis il s’écarta avec autant de prudence. Il continua de fixer ma bouche avant lécher ses lèvres comme si j’y avais déposé quelques gouttes de sang. Il plongea son regard dans le mien, je ne pouvais me détache de lui. J’étais enchaîner et le bruit du candnat qui se refermait autour de nous ne m’effraya pas le moins du monde. Il pressa ensuite son index sur mes lèvres alors que j’allais parler.

« Maria sera au courant d’une manière ou d’une autre. Cependant je ne veux pas que tous les vampires soient au courant. Soyons discret… » Dit il de sa voix suave
« Je suis d’accord. Puis je me permettre une remarque ? »
« Bien sûre. » Il se redressa sur ses jambes

                  Je le regardais de haut en bas sans aucune gêne, il croisa les bras et eut un sourire intéressé. Il arqua un sourcil attendant que je m’exprime.

« Tu devrais t’habiller plus souvent de cette façon… » Dis je me redressant à mon tour

                     Il m’ébourrifa les cheveux et s’en alla du salon, je retournai sur mon piano le cœur gonflé de bonheur et la bouche recouverte d’une enveloppe délicate. La sensation que ces lèvres étaient encore posées sur les miennes. Dante m’avait souvent parlé de monstre, de vampire, d’horreur, de sang, de ténèbres et cadavre. Sorine était le seul qui me parlait de lumière, de baiser, de passion, il était seul qui me parlait comme un poète. Amour ? Avais-je droit à l’amour ? Cela sonnait comme un fruit défendu, avais-je le droit de goûter ? Après tout en vers qui je devais me justifier, il n’y avai ni paradis ni enfer pour les damné, juste le néant et l’éternité.

« La vie a la couleur du vin… »
« Tu fais dans la poésie Luciole ? » Demanda Maria

                      Dans sa grande robe en soie violette elle ressemblait à une reine, ses tendres prunelles rouges me fixaient avec une joie caché. Elle lisait en moi comme dans un livre et sentait le parfum qui embaumait mon cœur. Le parfum d’une pincé de bonheur.

«  Assez de bonheur pour panser les plaies… »
«  Connais tu les nocturnes de Chopin, Maria ? »

                   Aussi tôt j’ai joué une nocturne de Chopin, sans doute ma préféré, elle était sombre, triste, émouvante et poignante. Je la jouais pour tous les vampires qui ne connaissaient pas ce sentiment, pour tout ceux qui se sentaient seul, inutile, qui se sentait vide et sans aucun interêt qui cherchait à rencontrer la mort pour se prouver leur existence. Pour tous ceux qui ne connaissaient que le doute, la peur, la soumission à un être aussi pathétique que puissant, un être qui me faisait presque pleurer. Pour tous les vampires engendrés dans la douleur, qui n’avait ni passé ni future, pour les vampires qui inspirait ardament à la mort mais qui n’avait pas le courage de mettre fin à leur jour. Pour tous ceux qui n’avaient pas droit à la grâce de Dieu ni aux limbes du Diable. Pour ceux qui ères entre deux mondes et qui sont plus misérables que tous les autres. Nous nous croyons au dessus de l’homme mais à quoi sert un être qui n’a ni vie, ni cœur, à quoi bon respirer si c’est au dépend des autres. Nous croyons etre au dessus de toute loi mais nous gardons ce même sentiment de manque, ce même désir insasiable. Je prie par cette mélodie pour tous ceux qui ont conscience de leur bassesse, pour tous ceux qui rêvent avec leur âme de mortel, pour tous ceux qui aiment sans en avoir le droit.
                   La nocturne terminer je me retourne vers Maria qui avait la larme à l’œil, elle me regarde incrédule et touché. Elle vient s’asseoir près de moi. 

" Quelle belle mélodie…"

                    La belle immortelle resta près de moi toute la journée, elle mendiait musique après musique et sans me lasser je ne cessais de jouer m’enivrant ainsi du son des cordes en même temps qu’elle. La nuit arriva très rapidement ainsi que la faim. Nous sommes partis chasser en ville sans être capricieux et alors que j’avais finit mon repas Sorine m’emporta dans une ruelle sombre, il eut un bref regard d’horizon et emprisonna ma bouche par la sienne.
                       Totalement pris au dépourvu, je me suis débattu sous la surprise mais très vite je prenais par à l’échange sensuel, il vint passer sa main sous ma chemise nacré, sa main glacé rentrait en contact avec ma peau j’avais l’impression qu’une plume me caressait le corps. Ses gestes précis et expert, j’étais totalement désemparer et incapable de l’arrêter. Finalement ce fut lui qui mis fin au baiser passionné, nous étions tous deux à beau de souffle, il passa négligemment sa langue sur ses lèvres alors qu’il fixait les mienne comme un enfant devant une gourmandise. Mes joues se serraient empourpré si j’avais été mortel, malgré mon sang froid ça n’empêche que j’avais l’impression de bouillir. Sa main toujours contre mon torse, son autre bras au dessus de ma tête. Il m’avait fait prisonnier. 

" C’est fou…j’ai l’impression de n‘être plus raisonnable… " dit il dans un murmure 

                       Nonchalement, il posa sa tête sur mon épaule comme épuisé après un marathon, je risquais un geste affectueux et voyant qu’il ne faisait rien j’ai entouré son cou de mes bras. Il me serra à son tour contre lui et nous étions là comme deux idiots au milieu d’une ruelle mal odorante enlacer l’un contre l’autre. Notre désir charnel l’un de l’autre ne cessant d’augmenter.
                       Le bruit des ailes nous fit sursauter, alors que nous étions plongé dans un instant de tendresse, Sorine s’était écarté brusquement. Une odeur terrible, une odeur de cendre et de flamme, j’avais l’impression de sentir un incendie juste à côté de moi, une odeur de souffre. Sorine se mit soudainement à courir, je le suivis sans trop savoir pourquoi voyant son visage inquiet j’ai commencé moi-même à avoir peur. 

" Que se passe-t-il ? " Je demande inquiet à mon tour 
"  Tu ne sens rien ? " 
" Tu parles de cette odeur de souffre ? " 
" Tu ne l’as jamais senti auparavant ? "

                        Du souffre ? Je ne sais pas…Je me plonge dans mes souvenirs sans pour autant trouver ce qu’il cherchait à me faire comprendre, je suis formelle cette odeur ne m’avait jamais effleuré les narines auparavant. A moins que…Ah si ! Je me souviens maintenant que je l’avais senti…chez Sorine et chez Dante…Est-ce possible ? GABRIEL ! 

" Gabriel ! " 
" Trouve Maria je file chez Dante " il dit d’un ton catégorique 
" Je… " 
" Ne discutes pas Luciole ! " Hurla Sorine " Tu cours chercher Maria ! Tu dois la protéger !! " 
" Mais toi…" 
" FAIS CE QUE JE TE DIS ! " 
" C’est bon ! "

                          J’ai courru donc dans le sens inverse laissant Sorine foncer chez Dante sans moi. Je n’arrivais cependant pas à rester calme, l’inquiétude me rongeait, je refusais qu’il affronte seul Gabriel ! J’ai courru aussi vite que j’ai pu pour trouver Maria et repartir au palais Faust. Ce ne fut pas difficile à la trouver l’odeur de souffre avait cependant augmenter, je dus même me couvrir le nez pour ne pas m’asphixier, je plissais les yeux sentant que l’odeur de cendre me piquait les prunelles. Très vite je senti mon côté immortel prendre le dessus, mes yeux avaient à nouveau changer de couleur et ma vue était au maximum de sa capacité. Maria n’était plus très loin, je sentais sa présence et son odeur avec plus de clareté malgré l’épais parfum de Gabriel.

" Maria ? "

                        Son parfum m’avait mené jusqu’au bout de la ville, il n’y avait ici qu’un entrepot mal fréquenter, aucune présence de chair alléchante. Que faisait Maria dans un endroit pareil ? Je la cherchais sans réussir à la trouver mais mes sens ne me trompaient pas, elle était ici j’en étais persuadé.
                         Soudainement je senti un poids me tomber dessus, je me suis immédiatement écarté faisant un bon de plusieurs mètres en arrière, l’odeur de souffre augmenta à nouveau. Le poids qu’on m’avait jeté dessus n’était autre que Maria…Du moins ce qui l’en restait. Je percevais de faibles bêtement de cœur mais son sang aussi sombre soit il se répendait trop rapidement sur le sol, beaucoup trop rapidement. Je sentais sa douleur, ses os brisés, ses larmes sèches, sa voix fermée dans sa bouche ne pouvant pas crier à l’aide. On lui avait brisé la colonne.
                         Mes poings se serraient, mes lèvres retroussées, les ongles planté dans la paume de ma mains. Lentement je relevais le visage face à mon agresseur. Face au vampire le plus puissance que la communauté est engendré, son odeur avait prit une tournure si forte qu’elle me brouillait la vue, mon corps entier était pris sous le poison.
                       Je fixais l’immortel dans les yeux, j’avais l’impression de me regarder dans un miroir. C’était la première fois que je voyais le visage de Gabriel, sa blondeur immaculé, des cheveux long et soyeux, un sourire angélique trop parfait pour être vrai. Il ne dégageait aucune agressivité et pourtant je percevais la profondeur de son âme taché de crimes et de haine. 

" Bonsoir Luciole" il me dit de sa voix divine

                        Il avait l’apparance d’un saint, la voix d’un dieu et la beauté la plus injuste qui soit. Il était sans conteste bien plus beau que moi malgré notre ressemble frappante. J’avais l’allure d’une vulaire insect face à sa prestance. J’étais mal…très mal. Je reposais les yeux sur les couches de tissus à quelques mètres de là. Maria…c’est un monstre ! Comment a-t-il put faire une chose pareil ? Pourquoi est-ce que je n’étais pas là ?! 

" Je te cherche depuis un petit moment tu sais…" 
" Je sais."

                          En un souffle Gabriel se retrouvait si proche de moi qu’il pouvait m’écrasé d’une gifle. J’en eus le souffle couper, totalement paralysé je me rendais compte de ma faiblesse et à quel point j’étais loin de lui arriver à le cheville. Je n’ai ni senti son déplacement, ni vu. 

" Quel génie…Tes parents ont fait du bon boulot…Tu es magnifiques Luciole" dit il avec volupté

                        D’une geste gracieux il posa sa main sur ma joue et me dévisageait avec le sourire. Il pressa ses doigts sur mon visage sans agressivité, juste animé par la curiosité mais je sentais son désir profond de me broyer les os et défaire se visage. Il passa ensuite ses mains dans mes cheveux me touchant comme si j’étais une bête curieuse, émerveiller à chaque toucher à chaque regard. Je n’osais bouger, j’étais encore sous pression, sa force me semblait infinie. On ne comparait une fourmie à un dieu. 

" Tu portes l’odeur de Sorine, il cachait son visage dans mon cou et humait l’odeur de Sorine, tu porte l’odeur du baiser de Sorine."

                       Comment pouvait il savoir ? J’avais l’impression que Dieu m’avait pris en faute après avoir goûter le fruit défendu. 

" C’est donc pour toi qu’il m’a abandonné…" dit il d’un air douloureux

                        Je ne répondais pas. Je ne faisais pas le poids, le désespoir m’envahie soudainement, mes parents avaient été optimistes, il était impossible de surpasser une puissance pareil. 

" Quelle cette autre fragrance ? Délicate, à peine perceptible, rarissime je dirais…hum…mais oui.."

                      Son apparence angélique se transforma d’un seul coup en un regard démoniaque, un sourire pervers les yeux brillant d’une haine, d’un rouge assassin. Mon sang ne fit qu’un tour. 

" C’est la douce odeur de l’amour."

                         J’eus à peine le temps de m’écarter assez loin pour éviter son coup mortel, j’eus pourtant trois griffures sur le visage. Je sentais qu’il allait revenir à l’attaque, il fallait fuir seulement je ne pouvais pas laisser Maria. J’essquivait du mieux que je pouvais ses coups mais il étaient si précis, si rapide qui si je n’étais touché qu’une fois j’aurai été dans le état de Maria. Je priais pour que Sorine arrive vite.
                        Je réussi à percevoir un mouvement bien distinctement, j’ai attrappé son bras d’une poigne ferme, il tenta de me frapper avec son autre bras mais je le tenais de l’autre main. Un coup de pied je réussi à faire basculer sa tête en arrière et le sang giclait de son menton. Alors que j’allais le lâcher pour m’ésquiver à nouveau il me m’empoigna la jambe dans mon élan, je retombais comme une pierre sur le sol. D’une force herculéenne il me fit tourner pour m’envoyer comme un boulet contre le mur un benton d’un entrepot, la puissance était telle que j’avais traversé les vingt mètres à l’intérieur, les cinquante centimètre de béton jusqu’à m’écraser sur le sol. Totalement sonné, je me suis redressé avec difficulté sentant une douleur lacérante dans l’épaule. En tombant je m’étais fracturé l’épaule. Comment allais je m’en sortir ? Ce vampire était un monstre, un assassin ! Il n’avait de cesse de massacrer jusqu’à ce que je meurt noyer dans mon sang. De l’autre côté de la bâtisse je pouvais le voir à travers les trous béant dans les murs. Il était fier, imposant, fort, droit. Le regard aussi froid qu’un glacier il était imperturbable et dominer par une rage sans précédant.
                             J’eus le temps de me protéger le visage quand je vis soudainement l’entrepot voler en éclat, telle une exlosion des débris étaient propulsés dans les airs, je sentis un souffle titanesque me faire reculer. La puissance de son déplacement me coupait toute respiration, Sorine avait raison. Son aura seul aurait put me tuer… Un cataclisme s’était abattu sur nous. J’avais attiré la foudre de Zeus et j’allais le payer chère.
                              Alors que Gabriel se rapprochait de moi comme une tournade ouvrant grand la bouche, une silouhette sombre s’était interposé. Je reconnus la longue veste noir, les cheveux sombre, la peau clair, le parfum boisé. Sorine face à moi avait tendu sa main et avait réussi à arrêter le vampire d’un geste, celui-ci restait immobile regardant Sorine avec dédain. 

" Ecartes toi mon tout beau mes crocs me démangent, je m’occuperai de toi ensuite…" 
" Restes où tu es Gabriel " dit il d’un ton assuré 
" Si tu restes entre moi et ma nourriture tu vas mourir Sorine ! " Grogna le vampire

                           J’en eus les frissons de terreur, j’avais perdu ma conbattivité que j’avais réussi à acquérir ce mois ci. Etais je trop impressioner, désespérer, j’avais compris que je n’avais aucune chance ? 

" Je t’empêcherai de le toucher. Quoi qu’il m’en coûte…" 
" C’est touchant et pathétique à la fois…Mon pauvre Sorine qu’a-t-il fait de toi ? Un pauvre mortel…" 
" En quoi suis-je différent de ton père Gabriel ? "

                        C’était prévisible. Le poing fusa mais Sorine l’arrêta de sa main et la serra avec autant de force qu’il pouvait avoir. 

" NE PARLES PLUS JAMAIS DE LUI ! "

                         Un Gabriel fou furieux était encore plus effrayant. 

" Laisses moi tuer cette erreur de la nature Sorine… "
"Jamais." 
" Ecartes toi. "
" Il te faudra me tuer d’abord Gabriel…"
       
                       Un silence lourd et effrayan s’installa entre les deux vampires, j’eus soudainement un violent mal de crâne, une fissure dans mon esprit et j’avais l’impression d’entendre des millions d’âme qui mourrait. Comme si je pouvais percevoir toute la douleur dans le monde, mon cœur se compressait ma tête explosait de cris retentissant comme des cloches funèbres sans s’arrêter ! J’hurlais à mon tour par la souffrance, cette effluve de pleures, de peines, de douleur, de souffrance cette vague de tourmente me fracturait l’âme.
                       Sorine se précipitait vers moi tandis que Gabriel restait débout impassible, je me débattais dans les sens comme pour m’otter des insects qui me rampaient sous la pot, les cris s’intensifiait je pouvais sentir tout le mal qu’on leur avait causer. Mes yeux à moitié fermés croisait le regard plein d’indifférence de Gabriel, les hurlements se déchainèrent, je ne mis pas longtemps à comprendre ce qu’il m’arrivait. Comme un blesser de guerre je tentais de contenir l’agonie de ses milliers de personne, avec l’aide de Sorine je me suis relevé sans lâcher des yeux le mal en personne. 

" Toutes ses personnes…" sifflais je 
" Luciole ? "
" Il a tuer tant de personnes…je peux ressentir toutes leur douleur, ils parlent à travers moi…"

                        Gabriel et Sorine en fut stupéfait, malgré le désir de contenir sa surprise Gabriel me regardait comme si il me découvrait pour la première, étrangement je ressentis dans ses yeux la terreur, la peur toutes ses émotions qui appartenaient aux hommes. 

" Ils sont entrain de me tuer…" soufflais je 
" Ils ne seront donc pas mort pour rien " ironisa le vampire

                          Je sentais mon sang bouillir dans mes veines, son visage me répugnait de plus en plus, ce sourire si factice, cette assurance et cette force prétencieuse ! Je rêvais de lui fendre le crâne avec un pavé ! Mes poings se serraient, ma poils s’hérissaient et ma peau se durcissait. Ma nature prenait le dessus sur mon calme habituel, les dents acéré j’étais prêt à lui déchiré la gorge. Un grondement profond naissait dans mes poumons, j’allais devenir fou, l’attaquer comme une bête sauvage, j’allais devenir un vampire incontrôlable pour le plaisir le plus attendu. Sorine sentait ma colère et ma raison flanché, il desserrait sa poigne sur mes bras, il avait ce contrôle sur la porte de ma cage et pourtant il la laissait fermer voulant sans doute me protéger. Il me sermonna du regard me priant d’arrêter et de me contrôler. Un vampire qui ne sait plus réfléchir n’est pas fort, il est plus suceptible de tomber rapidement malgré sa force, il me fallait donc comprimé cette colère pour en faire mon énergie et réfléchir avec finesse. Mon esprit stratège avait maîtrisé le grondement, il ne me restait plus que cette cruauté grandissante dans mon imagination et mes désirs. 

" Je te le demande une dernière fois Sorine, écartes toi ! " 
" Hors de question."

                             Les deux vampires ont soudainement disparut alors que Gabriel s’apprétait à lui bondir dessus, mes yeux avaient du mal à les percevoir mais il ne fallut pas beaucoup de temps pour m’habituer à leur vitesse, livrant bataille comme des samouraïe, leur point était si puissant qu’une onde de choc se propageait à chaque coup. Je vus une silouhette écarter du duel, Sorine retomba sur ses jambes comme un chat noir prêt à bondir à nouveau sur sa proie mais Gabriel était déjà devant moi. 

" A dieu petit Luciole… "
" ARRETES ! " Cria Sorine

                            Je le voyais, lent et mortel, je regardais la main tendu vers moi les ongles à la vitesse où le coup partait ne ressemblaient plus qu’à une lame longue et tranchante. Mais je le voyais comme je pouvais voir un papillon voler. 

" Trop lent…" murmurais je dans un sourire sadique

                              Ma réplique fut plus rapide pour lui que pour moi, d’un coup de pied précis et net je fis valser Gabriel quelques mètres même si il n’avait aucune égratignure. Je retrouvais la puissance que j’avais lorsque je me battais dans la forêt contre Sorine, je retrouvais cette combattivité et cette capacité à centuplé ma force actuelle.


Merci à toute ! Voilà un petit chapitre pour les fans ^^
Les Maj seront plus longues je pense car j'ai mis toute l'avance que j'avais LOL
Bisous à toutes je vous adooooore
et surtout une immense inovation pour SORINE ! Le héro du jour xD
Et puis faites un coucou à Gabriel en image sur cet article lol
BEC++
Mar 9 jun 2009 6 commentaires
Magnifiquos Magnifiquatis lol .... Eh bien putin c'était du beau ... Cela voudrait-il dire que Gabriel s'est tappé Sorine (enfin bon c'est pas si surprenant non plus) ...

LuLu (MDR ... surnom de Lucifer das Constantine.. J'adore) en mode : KILLER j'ai hate de voir ce que ça va donner mais je vois déjà la tête de Sorine quand il a vu Gabriel voler dans l'air MDR !!! Génial ... Gaby sera obligé pour combattre de faire monter le niveau vu que je suis sure qu'il retenait sa frappe avec Sorine (Ben oui, il voulait surement pas abymer son chéri) ...

Mais le combat ne se fera pas ce soir ... ça serait trop rapide ... Luciole doit prendre pleinement conscience de ses pouvoirs avant de pouvoir affronter Gabriel .. ou ptètre qu'ils vont se battre un peu et puis chacun va rentrer chez maman et comme d'hab Luciole va s'évanouir pour se réveiller quelques heures plutard ....

En tout cas même si les MAJ seront plus lente JE LES ATTENDS AVEC IMPATIENCE :)
MERCI MERCI MERCI pour ton dur travail ...

Chu~~~~~
Cindy - le 09/06/2009 à 22h14
J'adore les longs commentaires !!
Suis je si prévisible ? J'ai plus d'un tour dans mon sac héhé...n'oublions que nous sommes dans le domaine du fantastique j'ai tous les droits (sans trop en abuser) ...Vous sousestimer Gabriel et pour vous suprendre je vais piquer une idée à ce super auteur de manga qui a crée naruto. Héhé j'espère que ça va vous plaire...
D***
Mais non on sous estime po Gaby chéri de notre coeur (xD) mais on aime Luciole et puis une branlé ça lui ferait pas de mal a Gabriel de temps en temps je pense
Cindy - le 10/06/2009 à 00h44
yes yes yes, vive Sorine!!
=P
super suite, as usual!
et j'attends la suite avec beaucoup d'impatience!!!
merci pour ces moments de lecture tellement agréables et excitants!!!
XD
bisouxxx
V - le 10/06/2009 à 13h08
Han, bien fait, Gabriel ! J'adore, j'adore, j'adore !!! Je regrette pas d'avoir attendu, comme ça, je peux tout lire d'un coup, niark ! Oui, j'adore.
Et puis, moi, à Gabriel, je lui dis : dégages ! et pas coucou, non mais ! Il se croit tout permis, celui-là !
Vive Lucioooooole ! Enfin, la confrontation tant attendue !
Lilly - le 13/06/2009 à 16h40
J'métais douté qu'ils allaient s'affronter mais je m'attendais pas à ce que ça se fasse aussi tôt!
LentilleVerte - le 25/10/2009 à 15h28
faut bien un début LOL
D***
De toutes façons c'est Luciolouney qui va gagner! Na!
LentilleVerte - le 25/10/2009 à 15h38
eeeuh je crois pas
D***