World-and-Yaoi

Un violent coup de règle s'abattit sur son bureau, Sanzo ouvrit les yeux si rapidement que la lumière du jour l'avait aveuglé. Le visage strict de son professeur de maths apparut assez rapidement, sombre et énervé Sanzo ne s'était pas rendu compte qu'il s'était endormis en plein cours.
- Ca vous dirait de venir dormir en heure de colle Monsieur Urashima !
- Je suis désolé, prononça Sanzo d'une voix faible
Le classe s'était retourné pour suivre la dispute entre "prof vs élève" ce qui attire souvent les regards, tout le monde attend l'accident, les coups, le combat à la limite. Peut être que "l'invisible" était en fait fou ? Névrosé ? C'était peut être lui qui s'infligeait tout ses coups ? Aujourd'hui il est arrivé avec un pansement sur le nez et un bras bandé. Il était peut être autodestructeur, schizophrène ?
Il avait envie d'en rire, oui de rire, il préférait qu'on se dise ça de lui plutôt qu'on vienne lui poser de questions aux quels il n'aurait pas le courage de répondre honnêtement.
- On reprend donc le cours ! Avait reprit le professeur
Malheureusement on avait frappé à la porte ce qui avait interrompu le professeur pour la deuxième fois en dix minutes. Sanzo n'osait plus regardé, il avait tourné la tête vers la fenêtre observant les cerisiers en fleurs dans la cours. La beauté qui se dégageait des arbres fleuris le rendait encore plus triste, toutes ses couleurs faisait ressortir sa noirceur.
- Désolé de vous interrompre Professeur, avait dit une voix roque et masculine
Sanzo se sentit frémir, il ferma les yeux doucement retenant ses larmes sachant très bien à qui elle appartenait. Il respira profondément et pria pour ne pas être convoquer, non. Pitié faites que le professeur ne l'appelle pas...
- Ce n'est rien Monsieur le Proviseur, avait dit le professeur
Le proviseur.
- Je dois vous prendre Sanzo pour une heure, il avait annoncé dans un ton qui se voulait autoritaire
Sanzo avait comprit les sous-entendus, il savait que derrière cet air grave, derrière cet apparence amical mais sévère ! Se cachait l'homme le plus cruel qu'il soit. Celui qui l'enfermait entre se monde si froid et fade.
Il n'avait pas le choix.
Doucement il se leva faisant son sac car il savait qu'une heur ne suffirait pas, il avait déjà été convoquer pour les même raisons. D'une main il réussi à accroché son sac et le suspendre par une lagnière, il avança jusqu'à son bourreaux tête baisser n'osait pas croisé son regard assoiffé de cris, ses yeux emplis de désir envers son propre fils.
Une fois la porte de la salle de cours fermer il le plaqua contre le mur du couloir, Sanzo laissa échapper un petit bruit de douleur ! La pression du corps de son père écrasait son poignet foulé, il sentait les larmes faire pression sur ses yeux qu'il efforça de fermer tournant la tête pour ne pas croiser son regard.
Ses yeux, ses lèvres.
- Regardes moi mon fils..., avait il susurré
Pitié...
Son père tourna son visage et l'obligea à ouvrir les yeux en se pressant encore plus contre lui, collant son érection au bassin du jeune qui tremblait de tout son être. Ses long cheveux rouges chatouillaient le coup du proviseur qui était plus que ravis d'avoir un fils aussi beau. Il était tellement beau que son amour en ressortait. Il était son père ! C'était donc à lui de lui faire découvrir l'amour, il voulait qu'il l'aime autant que lui.
Sanzo était un enfant si pur et si fragile ! Il devait le défendre du regard des autres.
- Non ne pleures pas..chuut...papa est là, murmura son père en lui bisouillant le cou
Le dégout de cette langue qui laissa sa trace comme une épée sur sa peau le donnait des hauts le coeur, les larmes avaient coulées d'elles même ! Sans pouvoir les contrôlés ! C'était impossible. Il n'avait déjà pas de contrôle dans sa propre vie.
- Je t'aime tu sais ! C'est pour ton bien que je fais ça. Tu es si...fragile et doux que les autres te feront du mal ! Je suis le seul pour qui tu dois vivre ! Jamais je ne te laissera aux mains des fauves. J'ai si peur que tu te casse la figure dans se monde de fous ! Je t'aime moi. Restes avec moi, partage ma vie mon amour...je serai là pour toi. Tu n'aura plus besoin des autres ! Une fois que tes études seront finis on s'en ira à deux, on partira loin des autres et on vivra ensemble. Rien que tous les deux...hein mon fils, ma vie, mon coeur. Dis le moi...promet le moi ! Tu ne me laissera jamais comme ta mère hein...jamais ! Tu ne m'abandonnera pas...je te protégerai moi...
Il l'avait dit d'un ton si doux et sensuelle, un ton qui se voulait aimant et reposant mais qui n'avait que l'effet de brisé un peu plus Sanzo se sentant prit au piège dans les bras de son ainé.
Par pitié...
- Ne fais pas de bruit les autres serai jaloux de nous...
Par pitié, aidez moi ! Que quelqu'un m'entende ! QUE QUELQU'UN M'AIDE !
Son père caressait le torse de son fils, continuant de remué son bassin contre le sien ! Ça le rendait fou ! Il était tellement désirable ! Jamais il ne le partagera ! C'était son fils ! A lui et à lui seul ! Sa chose !
- Papa s'il te plaît..., sanglotait Sanzo
- A genoux mon amour papa se sent oppressé dans son pantalon occupe toi de ça !
- Non non non pitié papa ! Paniqua le jeune garçon
- Tais toi et fait ce que je te dis !
Le ton si tendre avait prit une tournure plus dure ! Ferme et qui ne voulait aucune discussion. Ce père là faisait encore plus peur ! Il savait que si il faisait du bruit il le battrai jusqu'à ce qu'il ne puisse plus bougé, il le priverait par la suite de nourriture, l'alimentant uniquement à l'eau.
Il avait déjà eut l'expérience.
Sanzo finit par céder alors, se mordant à nouveau la lèvre inférieur jusqu'au sang. Il s'abaissa regardant en larmes la fermeture du pantalon sans oser la toucher. C'était trop pour lui ! Si il faisait ça il serai complice de ses souffrances ! Il ne pouvait pas si résoudre. Il subissait mais ne voulait pas s'infliger.
A bout de patience le père agacé déboutonna son pantalon le faisant tomber le long de ses jambes et son boxer noir suivant le même trajet. La verge dressée il se masturba rapidement devant son fils écoeuré qui se mordait encore plus fortement la lèvre, ses yeux mis-clos ne cessaient de pleurés sachant très bien qu'il devra goûter à cette chose horrible ! Cette chose si interdite.
Ne voyant toujours aucune réaction le paternel prit les cheveux de Sanzo pour l'obliger à l'engloutir dans sa totalité ! Dans un râle si profond il exprima le plaisir de sentir cette bouche fine et pure si chaude sur son pénis dressé ! Qu'il aimait quand son fils l'enfournait ! Qu'il aimait cette sensation de domination. Il aurait tant aimé l'entendre gémir comme lui mais le bruit minime des pleures était encore plus excitant que l'orgasme le plus poussé. Sachant très bien que son fils ne bougerai pas et se contenterai d'accueillir la verge il fit des vas et viens dans sa bouche tenant toujours ses cheveux pour ne pas qu'il bouge ou recrache. Il devait avaler ! Avaler tout l'amour qu'il lui portait !
- C'est bon mon amour ! C'est tellement bon..., respira fortement le père
Sanzo hurlait au fond de son être ! Ce sentait encore plus sali tellement humilié ! Il ferma les yeux et tenta de s'échapper de ce monde. Oui il voulait s'envoler ! Mourir de honte ! Il aimerait tellement mourir de honte ! Il était sur que l'enfer ne pouvait pas être pire qu'ici, il était sûr que tout serai mieux loin de lui. Loin de ses tortures loin de tout ça il ne pria pour une seule chose en ce moment, tout ce qu'il voulait c'était que quelqu'un...
- Oh monsieur le Proviseur...
Sanzo avait entendu une voix, il savait que quelqu'un était là et bizarrement il ne s'en sentait pas soulager mais plutôt horriblement mal.
- Je suis désolé je ne voulais pas..., avait prononcé cette même voix
Le père quant à lui avait rougit violemment, il regardait cette homme qui avait soudain fait son apparition de nul part, il se mit à rougir et prit un air innocent.
- Je t'en supplies Chaz, ne dit rien à personne de ce que tu as vu...
- Euh...d'a..d'accord je m'en vais...
Non !
- Tu es gentil.
Ne partez pas !
- Encore désolé, dit le garçon gêné en partant en courant
Je vous en supplies !!
Jeu 1 mai 2008
9 commentaires
Danouch...ton chapitre est tellement dur que j'en tremble.
Connard de put*n de merde le père! Crève en prison!
Pitié que Sanzo s'en sorte, il va pas se sucider ou quelque chose comme ça, hein? Non parce qu'il aurait des raisons quand même!
Ne sois pas si sadique... s'il te plait?
Bef super chapitre comme d'hab'! Bisous ^^
Connard de put*n de merde le père! Crève en prison!
Pitié que Sanzo s'en sorte, il va pas se sucider ou quelque chose comme ça, hein? Non parce qu'il aurait des raisons quand même!
Ne sois pas si sadique... s'il te plait?
Bef super chapitre comme d'hab'! Bisous ^^
Reveuse - le 03/05/2008 à 23h19
Oulala que de révélations xD
C'est énorme, j'adore cette histoire.
Pauvre Sanzo quand meme T_T
Fais parler Chaz, fais parler Chaz ^^
Bisouss!
C'est énorme, j'adore cette histoire.
Pauvre Sanzo quand meme T_T
Fais parler Chaz, fais parler Chaz ^^
Bisouss!
JoY - le 04/05/2008 à 02h03
Oh putain mais pourquoi il fait rien Oo?!!!!!!!!!!
Jsais pas si je tombe là dessus je massacre le mec à coup de n'imoprte quoi!!!!!
Han danouch tu me tortuuuuuuuures xD
C'est affreux tout ça. Enfin c'est génial, mais limite à vomir tellement c'est horrible.
Jsais pas si je tombe là dessus je massacre le mec à coup de n'imoprte quoi!!!!!
Han danouch tu me tortuuuuuuuures xD
C'est affreux tout ça. Enfin c'est génial, mais limite à vomir tellement c'est horrible.
Absynthe - le 20/05/2008 à 15h54
c'est imonde. on reste scotché à l'histoire. j'ai l'impression de faire du voyeurisme. ça me dégoute.
cass - le 11/06/2008 à 17h21
Je me suis aperçue que je métais plainte dans mon commentaire précédent. J'aime pas me plaindre. Après tu vas me prendre pour une geignarde et j'espère ne pas l'être^^.
Et le mec qu'est rentré dans la pièce là, Chaz, il va rien dire? Pauvre Sanzo!
Et le mec qu'est rentré dans la pièce là, Chaz, il va rien dire? Pauvre Sanzo!
Goblinaya - le 15/06/2008 à 19h23
ce père il faut le dépecer, le pendre par les couilles le...!!! bon j'arrête, et puis quoi que je dise j'adore cette fic!!!!!
saya - le 05/09/2008 à 21h34
je déteste son père. c'est un fou. il veut le protéger en le fessant souffrir. trop con. laisse moi le frapper.lol. j'adore cette histoire j'espère qu'elle finira bien
jenny - le 08/02/2010 à 10h09
euuuh bah bonne lecture tu verra bien mdr
D***
J'aime ton style sombre, et qui fout les chocottes...ça donne des frissons.
Yuki - le 25/12/2010 à 17h14
merci beaucoup ! =)
D***
FAIT CHIER BORDEL DE MERDEEEEUUUH!!!
Hum...
Le festival des amabilités passé, j'éspère une suite super bientot!!
Gros bisous!
Léa