World-and-Yaoi

                         Je le repousse violemment et me redresse une colère noire me couvre petit à petit le coeur.
- Pour qui tu me prends hein !!? Je cri
- Quoi ? Dit il étonné par ma réaction
- Qu'est-ce que tu crois ? Que je vais te sauter dans les bras ? Que je vais tout effacer et recommencer avec toi ! 
- Oui.
Furieux je lui met un gifle pour son audace même si j'aurai voulus lui mettre mon poing dans la gueule, j'avoue qu'une gifle fait un peu femme effarouchée.
- JE ME SUIS JAMAIS SENTI SI MAL DE TOUTE MA VIE ! J'EN ETAIT REDUIT A VOMIR DANS DES CHIOTE POURRIT COMME UN DROGUE !!!
Il baisse la tête doucement gardant son aire têtu et bourru n'admettant pas que c'était de sa faute.
Il se lève brusquemment et me jette mes habits au visage en claquant la porte derrière lui. Je les enfile en fulminant l'injuriant de tous les noms au plus profond de mon égo blessé ! C'était pas à lui de faire la tête !!! C'est moi qu'il a abandonné et pas l'inverse ! Je l'ai pas laissé comme une merde dans un moment difficile, moi.
Bordel que j'aurai put l'étrangler si il était devant moi mais je préfère partir sans me retourner, je veux plus jamais le revoir, plus jamais lui parler, pas même le voir en peinture ! Impossible je brûlerait la toile jusqu'à ce que je vois dégouliner le liquide chaud effaçant son sourire sournois qu'il arborait avec tellement de fierté.
Je claque la porte de l'entrée et dévale les escaliers à toute allure, je me retrouve très vite dans la rue, le froid me poignarde brusquemment j'avais oublié ma veste au haut mais quel tâche ! 
Puis merde t'en pis.
J'enfonce mes mains dans les poches et retrousse les épaules comme pour me protéger les oreilles du vent, les passants ne font pas tellement attention à moi à New York voir un homme sortir avec un fin pull gris en cole rouler n'était pas très anodin certains trainaient même en t-shirt pour se faire remarquer.
Le ridicule ne tue pas, tout est bon à prendre pour se faire remarquer dans la ville où tout est possible.
Je presse le pas sentant que petit à petit mon corps se frigorifiait sous le vent froid, la buée qui sortait de ma bouche se faisait de plus en plus régulière j'étais presque en train de courir jusqu'au prochaine arrêt de bus. 
Raphaël n'habitait pas tout prêt de chez moi, il était presque à la sortie de la ville quelle idée d'emmenager si loin de son lieux de travail en plus ! 
Merde ! Je m'étais juré de ne pas repenser à lui pourtant j'ai l'impression que quelque chose change dans ma colère noire, une petite pointe de culpabilité me pince le coeur en revoyant son regard attristé, maladroit, têtu...blessé. Non ! T'as aucune raison de t'en vouloir Vincent ! Aucune vraiment aucune.
Le bus arrive enfin je rentre le plus vite possible à l'intérieur et paie le chauffeur avant de me placer au fond callé contre les parois du bus, m'entourant de mes bras. Je regardais les rues défilées jusqu'à ce que j'arrive enfin à mon arrêt il ne me manquait plus que quelques minutes de course pour arriver dans mon appartement au chaud, respirant le bonne odeur de la bougie à la vanille...
- Oh non...
LA BOUGIE !!!! 
Je cours comme un dératé à en perdre le souffle, je manque de tomber plusieurs fois, le coeur accélérant chaque seconde un peu plus, le souffle devenu roque et dur. Je cours sans m'arrêter.
La bougie, je l'ai pas éteinte ! Merde si jamais...oh non mon Dieu ne me faite pas ça !! Je vous en supplies ! Pas ça !! 
Tout mais pas ça.

- Monsieurs Mayon ! Vous ne pouvez pas entré dans votre appartement.

Je fais signe au receptioniste de se taire, paralysé, je vois les gens s'agiter, les lumières du camion des pompiers, des personnes qui se regroupaient petit à petit autour de l'immeuble crachant mes meubles hauts-gamme. Je voyais mon petit mobilier étendu par terre, carboniser, il est possible que ma bougie est attaqué le bois après conbustion, que la table ai pris feu mettant ainsi le canapé, le tapis...
Je suppose que ce sont des choses qui arrivent.
Tétaniser, je m'avance doucement, le pas lent et lourd, mes yeux perdu dans la vague.
J'étais maudit, il n'y avait pas d'autre explication.
Instinctivement je me suis dirigé vers un petit restaurant où je mangerai ce midi, mais où irai je ce soir ? Dans une chambre d'hôtel ? Mes cours, mes livres tout ça étaient maintenant dans les airs retombant bryamment sur le sol. Comme je tombais une fois de plus sur ce même sol écraser par le poids des mal chances accumlés.
A ce rythme là j'atteindrais des puits de pétroles d'ici une semaine.
- Je vous sers quoi ? 
- Le plat du jour s'il vous plait, dis je sans vie et sans ton
A peine articulé, la femme arque un sourcil puis s'en va hurlant au chef ma commande, le bruit des cuissons parvenaient à mes oreilles et l'odeur des steak grillés à mes narines. Très vite tous ses sens seront en contact avec un plat typiquement Américain : steak frites.
Tout mes biens viennent de partir en fumés j'essaye de me vider l'esprit mais très vite se sont les larmes qui viennent se vider de mes yeux, sans vraiment avoir de la peine la pression de tous ses évenements me faisaient perdre l'espoir d'un jour être tranquille. 
Quand tout ceci s'arrêtera ? Quand est-ce qu'enfin j'arrêterai de pleurer ? Saloperie de vie, tous mes rêves brûlent aussi à leurs tour. 
- On peut pas dire que t'ai la forme.
Je relève les yeux humides, j'avais vraiment touché le fond et voilà qu'il se rammène ! C'était vraiment pas le moment.
Je me lève pour partir sans même lui adresse un signe mais il m'aggripe le poignet me suppliant du regard de rester.
- Je m'excuse, lâcha-t-il
Je marqua un temps de pause, toujours fixant ses yeux vermillons puis je me suis rassis les bras croisés reniflant mon chagrin d'il y a quelques minutes.
- Je m'excuses, il répéta, ma dernière intention était que tu t'énerves je t'assure mais quand je t'ai vu sur ce sol, le regard vide...je. Il ravala sa salive, serrant les paupières puis me fixant brusquement. J'ai eu peur Vincent. Je sais que je ne suis pas pardonnable ! Je sais que je t'ai abandonné, je n'aurai pas du être aussi dur mais j'avais vraiment l'impression que tu partais loin de moi et que je n'arrivais pas à te retenir. 
Il s'arrêta comme attendant une réaction de ma part mais j'ai continué de le fixer de la même manière me rappelant de son visage avant qu'il ne me regarde plein d'assurance. Il semblait perdu dans des souvenirs lointain, pas assez lointain apparament. 
- Autant que toi je me suis senti abandonné et je pouvais pas l'accepter. Que cette dépression t'es volé à moi si facilement ma fait découvrir que je...
- Que tu..., dis je en insistant
Le coeur battant la chamade j'avais peur de ce qu'il allait dire mais j'étais tellement exciter au fond que je ne t'attendais plus qu'il dise ces deux petits mots. Allait il les dire ?
- Que je tenais beaucoup à toi !
J'ai regardé l'extérieur évitant son regard, j'étais déçu, finalement il ne ressent pas ce que je ressens pour lui.
- Ma maison à brûler ce matin, dis je ailleurs
- Quoi ? Il me  demande abasourdit
- J'ai laissé malencontreusement ma bougie allumer toute la nuit et voilà.
- Je...je comprends mieux pourquoi tu n'allais pas bien quand je suis arrivé. Il dit étonné
Un simple "hum" à suivit la discussion puis il a finit par rester à manger avec moi parlant de tout et de rien, j'étais malgré moi celui qui parlait le plus ! Même dans un état second, je me sentais bien prêt de lui en sécurité à ses côtés. Il m'écoutait vider mon sac sans broncher, disant une phrase de temps en temps mais pas plus, Raphaël restait quelqu'un de discret et moi je restais quelqu'un d'énergique même briser de l'intérieure. 
Avec lui c'était différent, même la peine empoisonnante ne pouvait rien contre mon amour pour lui. Il avait le code à mon mutisme.
Un simple regard.
Un simple sourire.
Et voila, ma bouche déceler.
- J'avoue que je me sens coupable de l'avoir laisser là bas hier...Il avait la gentillesse d'être avec moi j'aurai dut lui téléphoner m...
- Tu veux venir habiter à la maison ? 
Hein ? 
La fourchette à quelques centimètres de ma bouche avait arrêter son trajet, les mains tremblantes, la bouche toujours ouverte, le temps s'est figé. Son regard perdu vers l'extérieur il répéta sa question qui m'avait rendu si stoïque.
- Tu veux venir habiter chez moi ? 
Cette fois il me fit face, le visage neutre, une simple question exigeait surement une simple réponse.
- Hab..habiter ? Avec toi ? 
- Temporrérement le temps que tu trouves un nouvel appartement. Je vis avec personne de toute manière ! 
- D'accord, dis je ne avalant ma bouché de frites
- D'accord ? Dit il surpris
- Oui.
Il sourit tendrement et avança sa main vers la mienne posé sur la table, je suivait le trajet ralentit par mon subconscient, j'ai reculé ma main de reflexe ! Non c'était trop facile.
- Ca ne veut pas dire que je me remet avec toi.
- D'accord. Dit il en regardant à nouveau par la fenêtre
- D'accord ? 
- Oui.
- Ca t'amuse ? Dis je un grand sourire
- De quoi ? Dit il faignant l'innocence
- De reprendre mes mots ! 
- Tôt ou tard tu ne m'échappera plus. 
Le regard d'un prédateur, le sourire d'un vainqueur, il me fixait comme si j'étais une proie de qualité. Il passa sa langue machinalement sur ses lèvres avec une lenteur calculé, des frissons de plaisir me parcourut l'échine, je me sentais paralysé comme la souris face au serpent. Il m'envoûtait totalement à me rendre dingue ! Mais je céderai pas si facilement.
Etrangement cette colocation me paraissait vraiment excitante, lui résister n'allait qu'augementer deux fois plus notre envie mutelle du corps de l'autre. Rien de tel pour raviver les flammes de l'enfer et la fusion de deux corps en ébullition.
Que la chasse commence.

Mer 27 fév 2008 9 commentaires
ouaa jai hate de svaoir xD jadore jouer au chat et a la sourit je toruve ca trop mignon et exitant mdrr ( Quoi? Moi une perversse? Jamais!! mdr)
Bisous!! Jadore ton histoire!!
ondine - le 27/02/2008 à 18h19
yayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaayaaaaaaaaaaa dommage pour sa maison ms trop bien qu'il aille habiter avec Raph =D
Mahea - le 27/02/2008 à 21h38

ROH putain et maintenant la maison, ça s'appelle avoir la poisse...

bah heureusement qu'il ya l'Hospitalité de Vincent ... enfin peut être que ça, ça va permettre de régler le problème d'Eux ! xD

Bizoux mistinguette !
Oh faite je sai pa si t'as vu, mais ya suite + OS sur ma fic' ! :)

jjk - le 28/02/2008 à 12h11
Tiens, ça fait longtemps que j'étais pas venue...
Pardon, pardon ^^'

Enfin bref, elle est toujours aussi bien cette histoire =)
Sont mimis tout plein les deux là =P
Lino - le 02/03/2008 à 23h08
FIGHT !!!!!
cindy - le 23/12/2008 à 07h34
Miourf... Pourtant, ça partait bien au début.
Lilly - le 20/08/2009 à 20h27
ouais comme d'hab comme d'hab xD
D***
Tu radotes, ma vieille!
Lilly - le 21/08/2009 à 19h03
aah encore les outrages du temps...
D***
lol
Lilly - le 22/08/2009 à 18h10
on fait dans le monosyllabe haha
D***

ouf tout s arrange douce;ent.

jenny - le 05/02/2010 à 23h15